Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Les deux spécialistes de la blockchain et de la crypto-monnaie que sont Alexandre TEINTURIER et Maxime CHERY, de la société MUGI – une des belles pépites entrepreneuriales que compte le département de l’Yonne positionnée sur ce segment d’activité – proposeront en guise de hors d’œuvre de rentrée pour les adhérents de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) mais aussi pour toutes celles et tous ceux qui sont intéressés une thématique spéciale sur l’économie de demain, via ces systèmes de paiement numérique qui ne s’appuient pas sur les réseaux bancaires traditionnels.

 

AUXERRE : Sans doute devrait-il y avoir foule car le sujet proposé lors de cette conférence de rentrée ne manque pas de passionner les aficionados de la finance, en temps normal ! Les membres de la CPME Yonne sont ainsi conviés à assister à une soirée spéciale proposée par MUGI, ESCALIA et T 10 autour de l’univers de la crypto et du web 3, des termes qui parlent déjà aux initiés et ils sont légion y compris sur notre territoire !

 

 

Un rendez-vous qui sera animé par Alexandre TEINTURIER et Maxime CHERY, deux des dirigeants de la structure icaunaise MUGI, avec sans aucun doute un préambule de Sonia MOUFFOK, responsable de la société ESCALIA, associée à ce projet de vulgarisation autour de cette économie de demain, faite de transactions numériques.

Le rendez-vous est décliné au 10 rue du Temple (le T 10) à Auxerre le jeudi 07 septembre à partir de 18h30, ouvert à tous.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le fameux « 6/8 », bien connu des sans domicile fixe et autres personnes cabossées par l’existence qui proposait jusque-là le gîte et le couvert à Auxerre, va se transporter de manière définitive au numéro « 4 ». A la suite de son déménagement, effectif d’ici peu. Mais, pas dans la même rue. Le foyer d’accueil de jour intègrera le Centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) de la rue Thomas Ancel. Un choix imputable à une réorganisation de la structure…

 

AUXERRE: Un souffle de nostalgie balaie les différentes salles où se mêlent les invités de la réception et les habitués des lieux. Ici, un homme d’une cinquantaine d’années, barbe mal taillée et cheveux hirsutes, consulte sans trop se préoccuper du brouhaha naissant un écran d’ordinateur. Indifférent à l’atmosphère ambiante.

Là, dans une toute petite pièce, un autre tente tant bien que mal, en se protégeant le pavillon de l’oreille avec sa main gauche pour couvrir les bruits qui s’amplifient, de converser avec son interlocuteur à l’autre bout de la ligne de son portable. Images de la vie ordinaire, captées à brûle pourpoint dans un accueil de jour au début d’un après-midi.

 

Une institution qui va perdurer au CHRS

 

Le « 6/8 », nom couramment usité pour désigner le foyer réservé aux personnes sans domicile fixe, accueille il est vrai du monde en ce lundi tantôt. Normal, nous ne sommes plus qu’à quelques encablures de la fermeture définitive de ce site d’hébergement pour défavorisés.

Non pas de l’institution qui perdurera dès le 04 septembre ailleurs, au sein du CHRS d’Auxerre, sis au 04 de la rue Thomas Ancel, mais de ce complexe structurel, bien connu des Auxerrois.

Un lieu de vie et d’échange, d’espérance aussi pour toutes celles et ceux qui ont le malheur de basculer de l’autre côté du miroir. Celui de la solitude, de la précarité, de l’absence de chaleur humaine, de toit et de nourriture...jadis, les « clochards », désormais les SDF, un acronyme en trois lettres qui malheureusement au fil des ans et des crises successives qui s’abattent sur notre pays ne cesse de faire croître ses rangs. Bien malgré eux.

 

 

 

« Chaque fin est le début d’un nouveau départ »

 

Le déménagement n’est plus qu’une question de jour et la direction a décidé dans un ultime élan de vie de rendre festif le lieu, celui de la rue du Nil, pour la dernière fois avant que ne se referment définitivement les portes.

Expositions de visuels – on y aperçoit des photocopies de photographies prises il y a bien longtemps où l’édile de l’époque, Guy FEREZ, souriant et costumé venait à la rencontre de ses occupants de fortune -, scènes de joies iconographiques où des fruits et légumes se partageaient dans la bonne humeur avec les résidents chaque lundi, présentation de petits mots placardés sur un panonceau de bois à la calligraphie mal assurée.

Extraits de ces textes si touchants de vérité à lire et à méditer longuement par celles et ceux qui font la fine bouche au gré de leur existence parfois de privilégiés : « Merci à l’aide que vous nous avez donné à nous autres les gens qui ont tant besoin d’aide et de soutien… ou encore, celui-là qui est punaisé un peu plus haut, « Le CCAS Accueil de jour 6/8 est pour le SDF ce que le cœur est pour l’homme, vital et indispensable… ». Sans omettre le credo visible de tous qui rayonne telle une lumière incandescente à côté de la réception de l’établissement, « Tout ce qui a un début a une fin mais chaque fin est le début d’un nouveau départ… ».

 

 

Le manque d’humilité rend aveugle…

 

Ici, cela ne respire ni le spleen, ni le désarroi ! Mais, l’envie de se reconstruire, à force d’abnégation et de volonté !

Il suffit de voir les sourires qui s’affichent sur les lèvres des personnels et bénévoles qui sont aux petits soins pour leurs hébergés. La gratitude est reine. Les remerciements envers les aidants sont partout. Y compris dans le double témoignage, apporté par Christophe et Gérard, deux personnes fréquentant le site qui narrent devant l’assistance leur très délicat parcours de vie, parsemé d’embûches et de coups du sort. Moralité : tout un chacun peut tomber de haut, du jour au lendemain, et se retrouver dans la rue pour y dormir la nuit à même le trottoir…Cela n’arrive pas qu’autres autres, selon la formule consacrée ! Le manque d’humilité rend également aveugle, beaucoup d’entre nous…

Conviviale jusqu’au bout, la cérémonie de départ de la rue du Nil ne pouvait que se conclure par la dégustation de douces pâtisseries dans les jardins, en égrenant de bons souvenirs…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Heureuse initiative que celle-ci ! Franchement, elle ne peut que séduire les professionnels de la construction qui peuvent y trouver un intérêt selon les cas, à l’identique des bricoleurs du dimanche qui aiment manier la truelle et la pelle en guise de salvatrices occupations. Proposer la distribution automatique de béton, un produit fabriqué sur place à la demande et délivré en petite quantité selon le principe d’un drive, ne peut que réconcilier les béotiens de la bricole avec les travaux manuels ! A tester sans modération…

 

AUXERRE: Rien que la sémantique qui est associée au nom de baptême de cette jeune entreprise icaunaise fait plaisir à lire ! « BETON RELAX » ! Ou l’art et la manière de se doter du précieux matériau, indispensable à la réalisation de toute construction en dur digne de ce nom, avec aisance. Et une déconcertante facilité à l’usage, preuve à l’appui surtout quand c’est Jérémy KAUFFMANN, jeune chef d’entreprise à la manœuvre, en assure lui-même la démonstration !

Imaginez-vous vous trouver en présence d’un distributeur automatique disposé au cœur d’une zone industrielle au milieu de presque nulle part ! L’un de ces automates pratico-pratiques, façon GAB bancaire, qui ne vous remet pas des billets de banque (dommage !) dans le cas présent mais vous permet de passer commande selon vos critères de choix (volume, catégorie technique…) et de la régler monétairement sur le champ. C’est le service plus, façon supplément d’âme en mode technologique qui est proposé là par cette entité entrepreneuriale à l’appellation à peine galvaudée permettant à son utilisateur de repartir séance tenante avec la précieuse marchandise, fabriquée en un laps de temps record devant lui et distribuée par la suite jusque dans sa remorque accrochée à son véhicule, stationné sous cette étrange station.

 

 

 

Une somme d’avantages qui pousse à l’utilisation de cet appareil

 

Même un gamin de dix ans – c’est dire ! -  saurait se servir de ce distributeur de béton prêt à l’emploi qui depuis son installation à l’hiver dernier fait converger moult artisans du bâtiment comme monsieur et madame tout le monde, férus de bricolage et de rénovation domestique. En trois minutes chrono – si, si, cela a été vérifié ! -, les utilisateurs de ladite machine automatisée repartent chez eux avec la quantité nécessaire de béton, servant à leurs travaux.  

Grâce aux amplitudes horaires importantes proposées in situ, le consommateur évite ainsi  les queues d’attente dans les boutiques spécialisées, ne réalise pas le mélange lui permettant de donner naissance au béton, n’a nul besoin de se doter de matériels en location pour y parvenir, et n’a pas de déchets à jeter en terme de gestion. Bref, un quasi vingt sur vingt pour le juvénile patron de cette entité auxerroise qui a l’art de savoir « bétonner » ses affaires !

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Devant la poussée exponentielle du e-commerce à l’échelle internationale, les règles des échanges commerciaux ont quelque peu évolué ces dernières années. Les achats de biens matériels, de matières premières et les répercussions sur la hausse des tarifs doivent s’anticiper en amont avec le concours des spécialistes de l’entreprise que sont les experts-comptables. Acte deux proposé aujourd’hui avec cette « Tribune d’expert » qui est consacrée aux livraisons intracommunautaires (LIC)…

 

TRIBUNE : Il s'agit par exemple des ventes effectuées par un assujetti à la TVA en France à destination d'un assujetti d'un autre état membre de l'Union européenne. Elles concernent les relations commerciales entre professionnels (B to B). En principe, ces ventes entrent dans le champ d'application de la TVA française.

Elles sont exonérées de TVA au moment de la livraison si, et seulement si, les six conditions suivantes sont cumulativement réunies :

1. La livraison doit être effectuée à titre onéreux (vente payante) ;

2. Le vendeur est un assujetti agissant en tant que tel (le vendeur est soumis au régime de la TVA dans son pays) ;

3. L'acquéreur est un assujetti à la TVA ou une personne morale non assujettie qui ne bénéficie pas du régime dérogatoire lui permettant de ne pas soumettre les acquisitions intracommunautaires à la TVA. En pratique, l'acquéreur est réputé assujetti à la TVA dès lors qu'il fournit son numéro d'identification à la TVA et qu'il s'agit d'une entreprise privée (l’acquéreur est soumis au régime de la TVA dans son pays) ;

4. Le bien est expédié ou transporté hors de France par le vendeur, par l’acquéreur ou pour leur compte, à destination d’un autre état membre ;

5. Le vendeur doit être en possession du numéro d'identification à la TVA de l'acquéreur dans un autre état membre ;

6. Le vendeur doit disposer des justificatifs du transport de biens hors de France. S'il ne peut pas justifier l'expédition, alors il doit soumettre la vente à la TVA.

 

 

Apporter les preuves du transport

Bien qu'exonérées de TVA, ces opérations ouvrent tout de même droit à déduction pour la TVA ayant grevé les éléments du prix des biens expédiés à l'étranger.

Sont désormais à respecter les règles en matière de preuve de transport. Si la marchandise est expédiée ou transportée dans un autre état membre, pour bénéficier de l’exonération, le vendeur doit être en possession soit de la déclaration du vendeur, soit de l’attestation de l’acquéreur (dans les deux cas avec les documents prouvant l’expédition ou le transport des marchandises).

En cas de livraisons intracommunautaires exonérées, des mentions spécifiques sont à préciser sur les factures, à savoir : les numéros d’identification à la TVA du vendeur et de l’acquéreur ; la mention « Exonération TVA, article 262 ter –I du Code général des impôts ».

 

Le régime des ventes à distance pour les « B to C »

 

Attention, c’est bien au vendeur de s’assurer de l’existence et de la validité du numéro de TVA de l’acquéreur du bien.

Les LIC à distinguer des ventes à distance qui concernent les relations « B to C » (professionnels à particuliers). Ce régime détermine le lieu de taxation de l’opération en fonction du seuil de chiffre d’affaires de 10 000 euros des ventes à distance réalisées. Si ce chiffre d’affaires réalisé par la société française ne dépasse pas le seuil fixé dans l’état de destination, la vente est soumise à TVA française. Sinon elle est taxable dans l’état membre de destination. Dans ce cas, l’entreprise française doit s’identifier à la TVA dans ce pays de destination et y déposer ses déclarations de TVA.

Vous devez déclarer la TVA sur les opérations de vente à distance de deux manières différentes : soit le guichet unique de TVA, soit vous immatriculer à la TVA dans chacun des états membres de l’UE où vous réalisez vos opérations européennes.

Si les échanges intracommunautaires sont de plus en plus courants, il est impératif de connaître, au préalable, l’ensemble des obligations déclaratives spécifiques qui en découlent, notamment en matière de TVA.

 

Sandrine LHUILLIER

Expert-comptable

 

ordre des experts comptables de bourgogne franche comte newsletter

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Entre deux verres de rosé-pamplemousse et une trempette bien méritée dans la fraîcheur relative de la « Grande Bleue », la nouvelle est tombée au cœur de la touffeur estivale. Sans crier gare, de manière presque imperceptible pour le commun des mortels, trop préoccupés à s’adonner aux joies de l’hédonisme et au plaisir du farniente sur la plage. En provenance de nos voisins d’outre-Rhin, elle disait ceci en substance : l’Allemagne renonce à l’avenir à la commande de nouveaux trains fonctionnant à l’hydrogène !

Une véritable onde de choc que cette information, à première vue. Une incompréhension à la lecture des manchettes de la presse hexagonale qui s’en faisait l’écho par quelques entrefilets dès le lendemain. Comment cela était-il possible alors que l’on nous vante à toutes les sauces ici-bas les bienfaits émérites de cette technologie avant-gardiste, renouvelable et propre énergétiquement !?

 

 

Un coût d’exploitation trop onéreux à l’usage

 

Et ce, depuis des lustres, ne serait-ce que sur notre seul territoire de Bourgogne Franche-Comté qui en accueille l’un des éléments moteur (sans jeu de mot !) dans la région de Belfort avec la société ALSTOM, encouragée par les institutionnels et politiques du terroir.

Dans les faits, ce n’est nullement l’inventive technologie ayant fait ses preuves qui est remise en cause par le ministère des Transports de Basse-Saxe, devant s’exprimer face à la presse fin juillet sur le sujet. Si le côté technique ne fait pas défaut, à quoi alors imputer cette surprenante volte-face de l’une des compagnies ferroviaires régionales germaniques qui fut pourtant la première à avoir adopté l’hydrogène comme source d’alimentation de ses trains ?

Je vous le donne en mille : la réponse ne tient qu’en un seul mot, son coût ! Une raison plutôt malvenue en pareille circonstance et en période de crise économique alors que les prix des billets du transport ferroviaire grevant le budget des voyageurs ne cessent de s’envoler en version astronomique depuis longtemps.

 

 

Une flotte électrique à batteries au lithium six fois moins coûteuse mais...

 

A ce titre, l’Allemagne n’est pas la seule à avoir manifesté son désintérêt devant cette technologie pourtant qualifiée de si prometteuse au niveau du développement durable mais trop onéreuse au niveau de son exploitation. En France, on n’est pas en reste puisque du côté de Montpellier, dans l’Hérault, décision fut prise l’an dernier par la métropole de geler une commande de 51 bus à hydrogène et de la privilégier par une flotte électrique à batteries, six fois moins coûteuse. D’autant qu’en bout de course, et cela n’est précisé par personne que les surplus budgétaires de fonctionnement seraient immanquablement répercutés auprès des usagers de ces lignes lors de l’achat de leur titre de transport...On imagine aisément la note plutôt salée à la sortie !

Comment alors démocratiser de façon acceptable les transports collectifs (ferroviaire, bus…) et réduire le flux des véhicules « impropres » sur les routes de France et de Navarre (les thermiques évidemment !) si les tarifs appliqués pour les emprunter au quotidien deviennent ultra prohibitifs ? Un casse-tête chinois qui ne semble pas avoir été résolu pour l’heure par toute l’intelligentsia hexagonale qui fait des yeux de Chimène à l’hydrogène…

 

 

Une flotte diesel vétuste et polluante avec 4 millions de tonnes de CO2 rejetés

 

En Allemagne, le retour en grâce des trains électriques à batteries, fonctionnant au lithium (la belle affaire quant au niveau de son exploitation et des dégâts occasionnés à la planète pour l’extraire !) revient donc au goût du jour.

Ces trains sont plus compétitifs et permettront d’éliminer petit à petit les flottes de ces antiques rames diesel devenues trop poussives et polluantes au fil des ans.

Une flotte de trains à la vétusté éprouvée, circulant encore dans la plupart des pays de l’Union européenne et de ses régions rurales, afin de desservir de petites lignes qui aura rejeté dans l’atmosphère la bagatelle de plus de 4 millions de tonnes de CO2 ces dernières années !

Morale de l’histoire : la locomotion par hydrogène serait-elle déjà en manque d’oxygène pour pouvoir subsister !?

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil