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Souriante et affable, Madame la directrice de cabinet du préfet de l’Yonne sait recevoir ses invités dans son bureau, cafés à l’appui ! En l’occurrence, quatre représentants de la presse départementale qui ont convergé vers l’hôtel de la préfecture en début d’après-midi afin de faire plus ample connaissance avec la représentante de l’Etat. Logique et indispensable, tant la fonction incarnée depuis peu par Clémence CHOUTET, représente un élément clef dans l’organigramme du corps préfectoral…

 

AUXERRE: C’est le bras droit du préfet. L’élément indissociable de cette gouvernance étatique, ramenée à l’échelon du territoire départemental et qui permet à l’ensemble des rouages de la grande maison de fonctionner. Une précieuse courroie de transmission entre les services qui collabore en étroite osmose avec la secrétaire générale de la préfecture. Dans le cas présent, Pauline GIRARDOT, sous-préfète d’arrondissement d’Auxerre.

 

Une appétence pour la vie économique

 

Mais, c’est aussi un ou une responsable sécurité qui assiste le préfet (Pascal JAN dans l’Yonne) pour animer et coordonner l’action des services chargés du respect de l’ordre public et de la protection des personnes et des biens, via la police, la gendarmerie et les services de secours.

Bref, on l’aura compris la fonction de directrice de cabinet du préfet est éminemment stratégique au sein de la préfecture. Succédant à Marion AOUSTIN-ROTH – cette dernière a donc troqué désormais ses préférences footballistiques réservées jusque-là à l’AJ Auxerre pour le Pau FC puisque nommée sous-préfète à Oloron-Sainte-Marie ! -, Clémence CHOUTET nous arrive tout de droit de Seine-Saint-Denis où elle devait œuvré en qualité de sous-préfète à la gestion de multiples dossiers se rapportant notamment à la lutte contre l’habitat indigne, le plan France Relance qui lui aura permis de multiplier les contacts avec l’entrepreneuriat et…la future organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024. Son successeur, Julien AMIEL, jusque-là chef du bureau du système d’information financière au ministère de l’Intérieur, lui emboîtant le pas…

 

 

La bosse des études dans la tête !

 

A l’écoute – elle demandera avant le terme de l’entretien l’avis des journalistes sur la topographie conjoncturelle de l’Yonne d’aujourd’hui -, communicante – en sa qualité d’ancienne directrice de la communication et du marketing au sein d’EXPLEO Group (un spécialiste de l’ingénierie, de la technologie et du conseil) elle alimente la conversation qui se sera rallongée pour notre plus grand plaisir de vingt minutes supplémentaires ! -, posée – elle fut la conseillère en communication de l’actuel gouverneur de la Banque de France François VILLEROY DE GALHAU -, curieuse et affûtée – son vécu comme directrice conseil adjoint de PUBLICIS Consultant -, Clémence CHOUTET possède un sacré cursus qui traduit de belles carrières dans le…privé. Ce qui ne l’aura nullement rebuté à devenir depuis un serviteur de l’Etat !

Diplômée d’un master Affaires Publiques décroché à Sciences Po Paris et de HEC Paris (éducation et fondamentaux de la finance), la jeune femme a la bosse des études avec un passage à l’Université de la Sorbonne à Paris (lettres modernes) et même en faculté de sciences politiques à Copenhague au Danemark, ce qui est peu commun, en vérité !

Maîtrise-t-elle pour autant et à la perfection le danois ? De cela, nous n’en sommes pas sûrs ! En revanche, son appétence pour la langue de la perfide Albion est une certitude !

  

Des attaches icaunaises familiales…

 

Maman de jeunes deux garçons, bourguignonne d’adoption – son époux est originaire de Côte d’Or -, la nouvelle haute fonctionnaire, native de Tours, possède toutefois des attaches familiales dans l’Yonne, du côté de la Celle Saint-Cyr où l’un de ses arrières grands-pères officiait jadis en qualité de médecin. Clémence CHOUTET incarne cette nouvelle génération de personnel attaché aux valeurs de la France, servant à la préfectorale et n’étant pas nécessairement une énarque.

Ici, sur ce nouveau territoire où elle s’est déjà imprégnée de l’ambiance footballistique à l’Abbé Deschamps, la directrice de cabinet sera aussi la référente sécurité routière – on ne transgresse pas avec le Code de la Route ! – et de la sécurité économique, à travers la lutte contre toutes les formes de harcèlement numérique. Une chose est sûre : depuis une quinzaine de jours, elle est déjà à pied d’œuvre !

 

Thierry BRET

 


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Le gouvernement détricoterait-il le travail extraordinaire qui a été fait en faveur de l’apprentissage depuis des mois et initié par ses soins ? L’interrogation méritait d’être posée : elle émane donc de Christophe DORE, président de l’Union nationale des Entreprises de Coiffure (UNEC), de passage à Auxerre pour y inaugurer le nouveau centre de formation de la Maison de la Coiffure. Malgré les 800 000 apprentis en France, dont 20 000 pour le secteur de la coiffure, des questions demeurent en suspens quant à l’avenir de l’apprentissage...  

 

 

AUXERRE: Profitant de la tribune qui lui était offerte lors de l’inauguration des nouveaux locaux du CFA de la Coiffure, le président national de l’UNEC Christophe DORE a mis en garde le gouvernement. « Il faut qu’il fasse très attention ! ». Car, en matière d’apprentissage, les chiffres actuels traduisent une dégringolade dans les effectifs.

« On n’a pas su stabiliser l’aide aux entreprises, on n’a pas su stabiliser les fonds de la formation. Ni les aides aux cours contrats ! Et là, d’un seul coup, pourquoi vient-on détricoter un système qui se met à fonctionner ? ».

Les causes à tout cela ? L’orateur, un brin désabusé, en apporte lui-même la réponse. « Pourquoi ? Parce que le gouvernement doit faire des économies… ».

Amer et déçu, le président de l’Union nationale des Entreprises de Coiffure poursuit sur sa lancée son intervention qui l’éloigne de la simple cérémonie inaugurale, devant un parterre de choix, composé d’élus locaux dont l’ancien ministre Jean-Baptiste LEMOYNE, d’institutionnels et de représentants de la corporation.

Pourtant, observe-t-il, le bilan du gouvernement au sujet de l’apprentissage est loin d’être négatif : « jamais la France n’a mis en lumière l’apprentissage comme maintenant… ».

 

L’autoentrepreneur, le véritable sujet d’inquiétude…

 

Mais, à ses yeux, la situation lui semble incompréhensible à bien des égards. D’autant, que le secteur de la coiffure, soit 102 000 établissements en France, manque cruellement de collaborateurs. Il faut le savoir mais 60 % des propriétaires de salon exercent d’ailleurs leur métier en solo dans l’Hexagone. Si la COVID-19 a profondément chamboulé le paysage de la filière en l’espace de deux années, l’explosion de l’autoentreprise en aura aussi perturbé totalement l’éthique.

« On est juste en train de précariser une future génération d’artisans, ajoute sans fioritures Christophe DORE, qui dans quelques années sera dans l’obligation d’aller au-delà de ses 67 ans afin de percevoir sa retraite, ça c’est une évidence ; et puis surtout, on est en train de fragiliser tout un système économique avec ces autoentrepreneurs qui se pérennisent dans le temps alors que nous sommes tous attachés à notre système social… ».

Des interrogations et des doutes, parfaitement légitimés de l’aveu du président de l’UNEC, face à ces autoentrepreneurs qui ne seront pas formés dans les centres de formation tel que ce nouveau CFA Coiffure, accueilli désormais rue de Jemmapes à Auxerre.

 

 

 

Une filière de la coiffure en difficulté mais pas en crise…

 

Conséquence, en encourageant cette « dérive » du tremplin professionnel qui ne se transforme pas en bout de course, tous les métiers de l’artisanat – ils sont plus de 260 à être reconnus pour tel ! – vont être ainsi fragilisés.

Nonobstant, tel le roseau qui plie mais ne casse pas, la coiffure doit faire à ces nouvelles mutations.

« Notre filière est en difficulté mais elle n’est pas en crise, insiste Christophe DORE à la tribune, nous ne sommes pas en crise parce que nous avons encore des jeunes qui viennent vers nos métiers… ».

Reste la méconnaissance de la jeunesse, autour de la filière.

« On est en train d’y travailler avec les services de l’Etat, ajoute Christophe DORE, dois-je vous rappeler que nous avons été la première des professions à avoir publié le guide de la transition écologique, un élément porteur auprès des nouvelles recrues. Grand visionnaire déjà à son époque, Pierre MARTIN – il a été le président national de la Coiffure et président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne – avait sorti, « Mon coiffeur s’engage », un label sur le développement durable… ».

Un clin d’œil malicieux à ce professionnel de la coiffure qui lui donna en son temps ses heures de gloire et de noblesse bien au-delà de la France !

 

Thierry BRET

 

 


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Hasard de l’actualité avec la saison olympique qui s’amorce à l’horizon 2024 en France ? Ou nécessaire besoin de revendiquer haut et fort que les valeurs du sport peuvent s’adapter aux besoins des personnes malades ainsi qu’aux aidants, concernés par des pathologies complexes ? Sans doute un peu des deux ! La Journée internationale Alzheimer, ce samedi 23 septembre, permettra à de nombreuses associations départementales de présenter des activités physiques facilitant cet indispensable rapprochement. Dans l’Yonne, France Alzheimer 89 accueillera le public à Monéteau.

 

AUXERRE : C’est une date à biffer sur l’agenda. Le 23 septembre, jour de l’automne, cette année. Un rendez-vous qui est proposé par l’association France Alzheimer 89, dans le cadre de la traditionnelle journée mondiale consacrée à la pathologie.

Les objectifs de cette manifestation, concoctée annuellement, sont multiples. Présenter les actions qui sont développées sur chaque territoire en faveur des malades et de leurs corollaires, les aidants, en informant et sensibilisant le grand public. Mais pas que ! Les pouvoirs publics, le milieu associatif, les collectivités, voire les entreprises sont aussi des cibles potentielles, aptes à accueillir ces informations sur l’une des maladies qui bouleverse des milliers d’existence et leurs familles.

Briser les tabous qui entourent ce fléau imputable, entre autres, au vieillissement est devenu une obligation.

Cette année, la thématique choisie par les instances internationales – elle est déclinable sur la terre de l’Yonne – n’est autre que le sport. Et, par ricochet, la pratique des sports adaptés à cette typologie de la population.

Ce samedi tantôt, de 14h30 à 17 heures, dans la grande salle à Monéteau, seront accueillies des démonstrations sportives destinées tant aux personnes malades qu’aux aidants. On sait par expérience puisque cela est déjà pratiqué par les nombreuses structures associatives qui sont à l’origine en France de ce rendez-vous que le tennis de table, la danse, la randonnée pédestre, la gymnastique douce, le tennis, les jeux de ballon voire la pratique de l’équitation procurent un bien fou aux personnes atteintes de la pathologie.

Dans le cas présent, parmi les subtilités, sera justement assurée une découverte du golf. Une animation qui précèdera un goûter musical.  

On le sait, l’activité physique adaptée permet aux personnes atteintes de la maladie de conserver le plus longtemps possible des capacités motrices et d’orientation. De prolonger des liens sociaux avec l’autre…

Du côté des aidants, ces exercices sont importants. Cela leur offre l’opportunité de pouvoir disposer d’un moment de répit tout en se défoulant. Bref, un bonheur qui ne vient jamais seul…

 

 

En savoir plus :

Journée mondiale Alzheimer

Organisée dans l’Yonne par l’association France Alzheimer 89

Samedi 23 septembre 2023

Grande salle 7 route d’Auxerre à Monéteau

De 14h30 à 17 heures.

Ouvert à tous autour d’un programme d’activités physiques adaptées.

 

Thierry BRET

 


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Questionnant tour à tour ses interlocuteurs, observant le moindre mouvement technique sur l’espace de la pesée avant les pressoirs  – notamment le ballet des tracteurs transportant des palettes garnies de raisins -, la représentante de la préfecture de l’Yonne n’a donc pas manqué sa rentrée viticole en s’immergeant au cœur des vendanges organisées aux Caves de Bailly Lapierre. Curieuse et attentive, la sous-préfète d’Auxerre s’est montrée ravie d’une telle opportunité au contact des viticulteurs…

 

BAILLY: Elle ne perd pas une miette des explications fournies par Jean-Baptiste THIBAUT, l’un des représentants de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, présent à ses côtés. Avide de la moindre information sur l’établissement qu’elle visite en cette très chaude journée ensoleillée, Madame la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne plonge avec délectation au cœur de ces vendanges 2023, déjà qualifiées de bonne tenue par les esthètes en la matière.

Réflexion de Jean-Baptiste THIBAUT : « Tous les voyants sont au vert, il y a du raisin en pagaille cette année ! ». Ce qui change de quelques années antérieures il est vrai.

Il suffisait d’observer l’incessant ballet chorégraphique mené par les tracteurs qui transportaient avec soin des caisses ajourées garnies abondamment de raisins où apparaissaient les noms des vignerons pour se forger une première opinion. Récoltés manuellement  dans les vignes, les raisins sont en grande quantité et de belle facture si l’on en croit les commentaires distillés par le maître des lieux, Sylvain MARTINAND, nouveau directeur du site, de ces fameuses Caves de Bailly Lapierre qui élaborent, entre autres, depuis 1972 un crémant de Bourgogne de belle réputation bénéficiant d’une AOC.

 

 

Tout connaître ou presque des enjeux de la filière

 

Focalisant mentalement chacune des opérations qui lui sont présentées, Pauline GIRARDOT a pu donc assister à la pesée de ces caisses sur le centre de pressage crée en 2007, avant qu’elles ne soient vidées dans les trémies qui acheminaient les raisins entiers jusqu’au pressoir sélectionné (ils sont au nombre de quatre sous le grand hangar qui les reçoit). Tout ceci avec les explications de texte des professionnels qui ne se privèrent pas de lui en donner !

Historique du site, organisation de la coopérative, processus de vinification depuis la collecte dans les coteaux avoisinants jusqu’à la fabrication du fameux crémant, maladies de la vigne, rendement et volumes à produire, export et débouché vers de nouveaux pays consommateurs… : Pauline GIRARDOT devait en apprendre suffisamment en l’espace d’une heure de visite pour mieux s’imprégner de la culture viticole de ce terroir dont elle apprécie tant les spécificités à chaque visite sur le terrain.

Ces échanges lui auront aussi permis de mieux appréhender la vie de la filière et de ses difficultés au contact des exploitants qui adhèrent à la coopérative (à date, cela représente plus de 430 vignerons apporteurs de raisins destinés à la production de crémant de Bourgogne mais pas que puisque le site produit 25 % de saint-bris, du chitry, du bourgogne…) et de disserter ouvertement avec les représentants de la FDSEA de l’Yonne.

 

 

Des Caves de Bailly Lapierre en progression constante…

 

La représentante de l’Etat a pu s’entretenir longuement avec le quatrième directeur de la coopérative depuis la création du site, Sylvain MARTINAND qui vient de prendre ses fonctions il y a quelques jours.

Dommage que le timing de la haute fonctionnaire était trop serré, car la sous-préfète n’aura pas eu l’opportunité de visiter la carrière de pierre souterraine faisant office de lieu de stockage à peine croyable pour les millions de bouteilles de vins (6,5) effervescents entreposées là depuis des mois.

Précisons, pour être complet, que les Caves de Bailly Lapierre produisent annuellement plus de 3 millions de bouteilles de crémant, ce qui représente 25 000 hectolitres. Le marché bourguignon pèse tout de même 22 millions de bouteilles contre 100 millions au rival d’Alsace !

Au niveau de l’exportation, les Caves de Bailly Lapierre distribuent leurs produits aux quatre coins de la planète (1,4 million de bouteilles) vers l’Allemagne, la Scandinavie – la Norvège et le Danemark sont très friands de ce breuvage si agréable de fraîcheur au palais !) – mais aussi outre-Atlantique vers les Etats-Unis et le Canada, sans omettre l’Asie avec la conquête de nouvelles parts de marché du côté de Bangkok en Thaïlande. Le chiffre d’affaires, en constante progression on l’imagine, dépasse désormais les 18 millions d’euros.

Une passionnante leçon de viticulture prodiguée à la sous-préfète d’Auxerre qui pourra désormais savourer une coupe de crémant de Bourgogne avec un regard différent. En connaisseuse, donc !

 

Thierry BRET

 

 


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Les paires de ciseaux devraient être remisées dans les tiroirs des salons : c’est une évidence chez les coiffeurs de l’Yonne qui exerçaient leurs activités ce lundi après-midi ! La réunion-débat, concoctée lors de l’inauguration du nouvel espace de l’UNEC (Union nationale des entreprises de coiffure) à Auxerre, accueillera le président national de la première organisation professionnelle du secteur, Christophe DORE. Il évoquera les enjeux d’une filière en pleine mutation économique…

 

AUXERRE: On ne coupera pas les cheveux en quatre mais ce n’est pas tous les jours que se déplace dans l’Yonne un haut représentant de la filière coiffure ! L’un des derniers à l’avoir fait n’était autre que le charismatique Franck PROVOST, à l’occasion d’une soirée débat économique organisée par les instances départementales de la CPME. Il y a déjà quelques années de cela : c’était en juin 2013…

Alors que ce secteur professionnel représente le second pôle de l’artisanat en France (la Bourgogne Franche-Comté recense à elle seule plus de 4 000 établissements !), il était important pour les responsables de l’UNEC (Union nationale des entreprises de coiffure) de notre contrée de profiter de la venue du « big boss » Christophe DORE à Auxerre pour y favoriser une rencontre. Un échange constructif avec les coiffeuses et coiffeurs du territoire icaunais, confrontés à la réalité économique d’aujourd’hui.

 

 

Le deuxième pôle de l’artisanat en France : la coiffure !

 

On imagine aisément que le président national de l’UNEC (l’organisme vieux de cent vingt ans compte plus de 6 000 adhérents et 114 antennes dans l’Hexagone) a des choses à dire tant sur l’actualité de la filière que sur ses enjeux et perspectives. Le volet de la formation devrait également au centre des débats.

Auparavant, Christophe DORE aura assisté à la cérémonie inaugurale des nouveaux locaux accueillant l’UNEC Yonne, à Auxerre au 6 de la rue de Jemmapes. Une visite d’une entreprise, « Passage Bleu », est également biffée à son agenda.

Rappelons que la coiffure représente plus de 100 100 établissements en France en 2022, employant près de 175 800 actifs dont 19 000 apprentis. Le chiffre d’affaires annuel du secteur dépasse les 6,1 milliards d’euros.

 

Thierry BRET

 


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