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D’une durée de trois ans, ce partenariat entre l’établissement financier régional de Bourgogne Franche-Comté et des Pays de l’Ain et la structure associative qui accompagne la levée de fonds des porteurs de projets ne répond qu’à un seul et unique objectif : développer l’activité économique de notre territoire…

AUXERRE: C’est à distance et par le biais d’un jeu d’écritures électroniques que les deux signataires ont reconduit cette convention de partenariat il y a quelques jours dans l’Yonne.

L’expérience entamée en 2017 entre l’organisme financier dont 80 % de l’activité repose sur l’accompagnement et le suivi d’activité des projets entrepreneuriaux, et l’association INITIACTIVE 89 a été jugée comme très satisfaisante par les deux parties. Puisque le renouvellement dudit contrat a été prorogé sans l’ombre d’une difficulté en milieu de semaine dernière.

En seront les bénéficiaires les porteurs de projets, c’est-à-dire les futurs créateurs et repreneurs d’entreprise suivis au quotidien par les conseillers de la structure icaunaise qui aide à l’obtention de prêts d’honneur.   

Mais aussi, la clientèle professionnelle de la banque mutualiste qui éprouverait des difficultés au niveau de leur trésorerie. Au vu du contexte actuel, y répondre grâce à cette convention est approprié.

Le paraphe de cette convention nouvelle mouture (elle a subi une légère retouche de son contenu) a été déposé par la présidente de l’association, Malikha OUNES (elle siège également au Conseil départemental de l’Yonne) et sa directrice, Angélique COEURDOUX.

C’est le directeur régional pour l’Yonne Yann NUNES qui aura validé le renouvellement de ladite convention pour le compte de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et des Pays de l’Ain.

 

 


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Nouvelle difficulté pour le secteur des travaux publics qui ne s’attendait pas à recevoir une pareille estocade de la part du gouvernement. Malgré les efforts déployés ces dernières semaines par la filière artisanale dans l’optique de reprendre au plus vite leurs activités, une ordonnance de l’Etat qui modifie la règle du jeu provoque désormais le courroux de la Fédération régionale des Travaux Publics (FRTP) et de son représentant, Vincent MARTIN. Explications…

DIJON (Côte d’Or) : Il voit rouge le président de la FRTP de Bourgogne Franche-Comté ! Et il le fait savoir avec véhémence par un communiqué de presse qu’il a adressé dans les rédactions ce vendredi 15 mai.

Le sang de Vincent MARTIN n’a fait qu’un court lorsqu’il a appris le 13 mai, et sans aucune concertation avec la corporation dont il défend les intérêts, qu’une ordonnance de l’Etat modifiait les délais applicables à l’ensemble des marchés.

Dans les faits, le texte gouvernemental ne prend volontairement pas en compte la prorogation de l’état d’urgence sanitaire dans le calcul des délais qui entoure les marchés publics et privés.

En conséquence, en cas de non-respect de ces délais (pour mémoire rappelons que les délais d’exécution des chantiers sont contractualisés dans les marchés publics et privés), des pénalités seront appliquées au titulaire du marché.

Or, le contexte de la crise sanitaire imputable à la propagation de l’épidémie de coronavirus en France et la période de confinement auront conduit à l’arrêt forcé des chantiers. Allongeant de facto les délais d’exécution des marchés en cours !

 

 

Comme le précise le président MARTIN, « la profession a mis tout en œuvre pour organiser une reprise des activités en garantissant les mesures sanitaires indispensables afin de protéger la santé et la sécurité de ses salariés… ».

Le représentant régional de la FRTP en appelle donc au bon sens et demande à l’Etat de faire machine arrière : « Le gouvernement doit revenir de toute urgence sur cette ordonnance pour la protection des entreprises et la préservation des emplois dans un secteur essentiel pour la relance économique de nos territoires… ».

Sera-t-il entendu ? Pas si sûr ! Mais d’ores et déjà, le torchon brûle entre le gouvernement et le secteur des travaux publics !


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Aux alentours de midi, plus de mille cent vingt-cinq personnes avaient déjà été comptabilisées par les services de la Ville, place de l’Arquebuse, sur le marché couvert. Soit le double de chalands par rapport au vendredi précédent. Pas de doute : et comme ont pu le constater de visu le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, le maire Guy FEREZ et le premier adjoint Guy PARIS, les activités commerçantes reprennent petit à petit du poil de la bête. A la grande satisfaction des professionnels et surtout d’une clientèle avide de refaire ses courses…

AUXERRE: Visite officielle pour les autorités de la Ville ce vendredi matin avec un rayonnant soleil comme témoin ! Soucieux d’observer si les mesures de protections sanitaires étaient rigoureusement appliquées et respectées par les personnes qui fréquentaient le site, les élus d’Auxerre et le représentant de l’Etat se sont rendus place de l’Arquebuse pour y humer l’air ambiant, munis de leurs masques protecteurs.

C’est d’un pas décidé que l’édile d’Auxerre Guy FEREZ, le premier adjoint Guy PARIS et le préfet de l’Yonne Henri PREVOST pénètrent à l’intérieur du marché couvert après s’être entretenus un bref instant avec les vigiles qui assuraient la sécurité à l’entrée de ce lieu marchand.

 

 

Un échange constructif qui permit de recueillir les premières tendances chiffrées quant à la fréquentation des consommateurs sur le coup des douze heures. Plus de 1 125 personnes étaient déjà répertoriées sur le petit calepin que l’agent municipal noircissait au fur et à mesure que les gens entraient dans l’espace couvert.

Une immersion agréable et appétissante au plus près des produits frais, des fruits et des légumes disposés sur les nombreux étals qu’une fois revêtu de l’incontournable masque obligatoire dans un espace public. Un point de distribution de gel hydro-alcoolique attendait également les visiteurs.

 

 

Améliorer le sens de circulation sous l’esplanade de la place de l’Arquebuse…

 

Durant quarante-cinq minutes, les trois personnalités icaunaises allèrent au contact des commerçants ainsi que de leur clientèle afin de les saluer et de les rassurer au vu de ce contexte conjoncturel si particulier.

Certes, quelques points techniques seront encore à améliorer de l’avis de Guy PARIS dans un avenir proche. Pour permettre à la circulation sous l’esplanade de la place de l’Arquebuse qu’elle soit rendue encore plus sûre. Notamment avec l’adoption d’un sens de la circulation repérable grâce à un fléchage au sol à l’appui : cela éviterait que la clientèle ne se croise trop souvent.

 

 

Pour le reste, des barrières métalliques disposées devant les stands des commerces non sédentaires assurent la distanciation physique entre le producteur de fruits et de légumes et le futur acquéreur de ces produits.

Le mot de la fin revint à Guy FEREZ qui au terme de ce parcours se dit « ravi de voir le marché du vendredi aussi fréquenté par les Auxerrois et dans de bonnes dispositions sanitaires… ».

Un sentiment partagé par le préfet qui avait débuté la matinée par la visite d’un établissement scolaire…

 

 

 


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Le délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de la Nièvre et de l’Yonne Claude VAUCOULOUX a choisi nos colonnes pour y publier un long plaidoyer favorable à l’apprentissage. Et aux résultantes qui en découlent en matière d’emplois grâce aux embauches de ces jeunes apprenants. Des embauches ô combien importantes et nécessaires malgré le délicat contexte économique que nous traversons avec la crise sanitaire…

TRIBUNE : « Alors oui, la période que nous traversons est vraiment très compliquée. Alors oui, la somme des problèmes immédiats qu’il nous faut régler est immense. Alors oui, les préoccupations du très court terme l’emportent nécessairement sur des sujets qui peuvent paraître plus secondaires.

Alors oui, lorsque la question du niveau de la masse salariale se pose pour les mois qui viennent, la réponse qui s’impose naturellement ne se trouve pas forcément dans la recherche de jeunes alternants. Et pourtant ! Souvenons-nous du temps pas si éloigné d’ailleurs (c’était il y a seulement quelques mois, même s’il est vrai qu’après les huit semaines de confinement que nous venons de traverser, la notion du temps est devenue plus floue), où nous étions tous désespérément à la recherche de compétences. Voire même parfois, et en désespoir de cause, tout simplement prêts à embaucher la personne qui aurait bien voulu venir travailler chez nous !

Nous nous serions occupés du reste, n’est-ce pas ! Cette situation nous la connaîtrons de nouveau dans un avenir que je nous souhaite le plus proche possible. Cela voulant dire au passage, que nous aurons alors retrouvé notre niveau d’activité nominal et que cette crise sera enfin derrière nous…

 

Intégrer des jeunes gens motivés et diplômés dans les entreprises !

 

Les oracles autoproclamés nous prédisent aujourd’hui que plus rien ne sera comme avant et que tout doit être réinventé. Ont-ils tort ? Ont-ils raison ? L’avenir nous le dira ! Mais, permettez-moi de nuancer le « plus rien », parce que sur un point au moins, les mêmes causes entrainant les mêmes effets, je suis prêt à parier qu’au premier jour d’un retour significatif des commandes, nous nous retrouverons alors de nouveau face à la même problématique des compétences. Sans doute probablement de façon amplifiée, par les effets du « papy-boom » qui lui, n’aura pas connu la crise !

Pour la prochaine rentrée, c’est-à-dire dès maintenant, le Pôle Formation UIMM 58/89, comme tous les CFA industriels, peut vous présenter des jeunes gens, motivés et prêts à s’engager pour se former à nos métiers, pour des niveaux d’étude allant du CAP au BAC+5.

Alors bien sûr, je sais que vous allez me répondre qu’aujourd’hui ce n’est vraiment pas le moment et que vous verrez ça plus tard… Enfin peut-être… Rassurez-vous, je ne vous demande pas de signer le contrat à la fin de la lecture de cette tribune. Mais, ce que je vous demande absolument, c’est de ne pas vous interdire d’y réfléchir, parce que plusieurs planètes vont s’aligner en ce sens et qu’à défaut qu’elles ne le soient toutes, certaines fenêtres de tir vont néanmoins s’ouvrir suffisamment en grand pour saisir de belles opportunités.

 

 

L’Etat est attendu au niveau de sa mobilisation en faveur des apprentis

 

La dynamique initiée depuis plusieurs années autour de l’apprentissage, notamment industriel, ne peut pas s’arrêter comme ça, d’un coup d’un seul. Il est donc plus qu’évident que tous les acteurs qui gravitent autour de ce sujet vont devoir se mobiliser pour la conforter, voire même l’amplifier. En prenant des initiatives courageuses et déterminées, afin que ne retombe pas, tel un soufflé sorti du four, le début du regain d’intérêt mesuré au fil des quelques dernières rentrées.

Au premier rang de ces acteurs, doit figurer bien sûr l’Etat. Puisque d’abord, ayant fait main basse sur les destinées de la formation professionnelle et de l’apprentissage depuis la promulgation en septembre 2018 de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » dite « avenir », il lui appartient de montrer qu’il est véritablement le leader qu’il a souhaité devenir.

Comment ensuite, imaginer un seul instant qu’il pourrait abandonner l’une des orientations majeures qu’il avait portée et mise en œuvre dès le début du quinquennat. Ce qui constituait une sorte de totem pour l’exécutif.

La Région Bourgogne Franche-Comté, quant à elle, a toujours fait preuve d’une grande sensibilité vis-à-vis de la formation, en particulier pour l’apprentissage. Et bien que dépossédée depuis deux ans d’une prérogative à laquelle elle était très attachée, il y a fort à parier qu’elle saura ici saisir l’occasion de se remettre le pied à l’étrier. Après ce qu’elle considère sans doute encore aujourd’hui comme un camouflet dont elle n’a certainement pas fini la digestion...

 

 

« Pas de contrat, plus d’apprenti… » : cela deviendrait le pire des échecs…

 

Et puis il y a bien entendu les Opérateurs de Compétences (OPCO) qui, à peine mis en place dans le cadre de la loi « Avenir » vont avoir à cœur de montrer qu’ils sont des passages obligés dans un dispositif qui pourtant, à certains égards, peut aujourd’hui laisser à penser aux observateurs avisés, qu’ils constituent plus un alibi paritaire qu’un véritable facteur clé de succès.

Bref, tout cela pour dire que beaucoup sera entrepris pour sauver le soldat apprentissage. Cela passera avant tout par l’instauration de mesures d’ampleur, visant d’une part à la réduction du coût d’un apprenti pour l’entreprise et d’autre part, par une souplesse permettant d’accueillir les jeunes dans les CFA. Dès la rentrée prochaine, quand bien même ils n’auraient pas tout de suite une entreprise d’accueil avec laquelle signer leur contrat.

C’est ici qu’intervient le rôle des employeurs. Car, à l’instar de la formule « pas de bras, pas de chocolat », passé le temps raisonnable de la dispense d’avoir signé le contrat d’apprentissage, nous aurons droit au « pas de contrat, plus d’apprenti ». Ce qui serait alors un terrible constat d’échec !

Echec, tout d’abord, vis-à-vis de notre jeunesse et des parents d’élèves que nous avons eus tant de mal à convaincre de choisir une autre voie que celle d’une formation classique. Mais assurément en second lieu, échec pour les entreprises qui courront le risque de voir ainsi mises à mal des années d’efforts. Echec, enfin, pour l’apprentissage d’une manière générale, dont les détracteurs auront beau jeu de soutenir la thèse d’un dispositif mineur ne valant la peine d’être sauvé.

Alors NON ! Nous savons bien, au contraire, que l’apprentissage constitue et constituera plus que jamais une voie d’excellence pour accéder à la compétence, au diplôme et enfin à l’emploi. Ces emplois qualifiés que nous avons à pourvoir dans nos entreprises, aujourd’hui, demain et après-demain. Nous ne pouvons donc pas laisser s’écrouler ce que nous avons eu tant de mal à construire.

Aussi, chefs d’entreprises industrielles, ne vous interdisez surtout pas de miser sur la jeunesse ! Elle est assurément « LE » pari gagnant pour l’entreprise. Et l’UIMM est à vos côtés pour vous aider à rafler la mise !

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de la Nièvre et de l’Yonne

 


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A peine rouvert depuis le 12 mai après l’interminable période de confinement et voilà que la triste nouvelle s’est déjà répandue très vite par le biais des réseaux sociaux. Le spécialiste des articles de sports d’extérieur a décidé de fermer les portes de sa vitrine commerciale dans peu de temps. Un arrêt qui semble définitif. Il a fait l’objet d’une longue explication de texte dans un communiqué…

AUXERRE : « The end » pour l’enseigne RABASKA ! Elle avait pourtant coutume de faire régulièrement le buzz sur les réseaux sociaux grâce à ses opérations évènementielles. Des actions que ses deux gérants, Vincent DUPUIS et Quentin THOUVENOT, animaient de main de maître !      

La boutique attirait les aficionados des sports extérieurs dits OUTDOOR (running, trail, randonnée, etc.). Elle ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir malgré sa réouverture ce mardi 12 mai après une longue période de léthargie imputable à l’épidémie de coronavirus.

Sur leur page Facebook, les deux co-gérants de la structure apparue à Auxerre en 2018 expliquent longuement cette décision mûrie et réfléchie : elle n’est pas la résultante directe de l’infection virale qui sévit à l’heure actuelle sur la planète.

Interrogé sur cet état de fait, Vincent DUPUIS n’a pu que confirmer cette information de très mauvais augure pour une enseigne qui avait réussi à la force du poignet et avec une cote de sympathie grandissante sur les réseaux sociaux de se faire un véritable nom de référence.

« Nous avons subi de plein fouet le mouvement des Gilets jaunes. Puis, celui inhérent aux réformes de la retraite. Maintenant, ce sont les affres du coronavirus qui nous ont obligés à demeurer porte close durant deux mois, constate un brin désabusé Vincent DUPUIS, notre trésorerie n’a pas tenu… ».

Au final, les pertes de la société s’élèvent à 20 000 euros. Malgré un chiffre d’affaires annuel de 250 000 euros. Il en aurait fallu davantage pour sortir l’entité de l’ornière dans laquelle elle se trouvait.

Malgré l’organisation d’évènements de qualité (les championnats de France de bûcheronnage concoctés à Auxerre, la multiplication d’animations sur le parvis du magasin), rien n’y fera. L’ombre du Tribunal de commerce se profilait davantage à l’horizon.

 

 

Une chute qui a débuté au démarrage de la société…

 

Mais, comme l’explique avec souci de transparence Vincent DUPUIS, la véritable cause de cet échec se situe au début de l’aventure des deux professionnels. Ils ouvrirent de manière prématurée leur magasin afin de répondre aux exigences et aux besoins de l’organisateur du CRAZY RACE FESTIVAL. Un évènement de sinistre mémoire dans le landerneau où les deux entrepreneurs s’étaient engagés en qualité de partenaires dans une opération prévue du 07 au 09 septembre 2018. Celle-ci, ayant avorté avant terme, n’eut jamais lieu.

RABASKA, à l’instar d’autres partenaires de renom sur la place auxerroise, consacra une enveloppe budgétaire conséquente à ce projet qui fut rayé du calendrier dix jours avant son échéance et ce, à la surprise générale. Faute d’un quota important du nombre de réservations garantissant la faisabilité de l’animation.

Pourtant, l’enseigne réussit par la suite à devenir l’une des vitrines les plus en vogue au plan national sur son segment d’activité. Multipliant les soirées à thèmes, les conférences, les phases de test d’équipement, et les échanges avec la communauté d’amis sous formes de soirées apéritives.

Mais, le manque de visibilité aura eu raison des appétences volontaristes de l’entreprise. Et surtout plombera sa croissance commerciale.

« A la fin de l’année 2019, précise Vincent DUPUIS, tout fut mis en œuvre pour quitter le secteur où nous étions pour emménager dans la zone des Clairions. Malheureusement, le local que nous avions repéré n’a pas pu nous revenir… ».

De Charybde en Scylla, la scoumoune s’est abattue sur le sympathique duo qui voyait ses pertes s’envoler au fil des mois malgré un fonctionnement correct de la boutique.

Désormais, en attendant la fermeture définitive d’une vitrine qui manquera cruellement au milieu sportif local, une procédure opératoire a été mise en place pour assurer sa fréquentation pendant cette sortie progressive du confinement.

Avant que ne survienne l’inexorable couperet…

 

 

 


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