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L’initiative, très louable, est le fruit de l’étroite symbiose qui s’est développée au fil du temps entre un réseau de bricoleurs bénévoles des « Ateliers des Beaux Boulons » à Auxerre, ceux du collectif « Le Maillet » à Joigny et plusieurs personnes réunies à Sens. Ensemble, et en s’appuyant sur une page Facebook, ils luttent à leur manière contre les effets de l’épidémie en fabriquant des visières de protection destinées aux professionnels de santé…

AUXERRE : Au 08 avril, le bilan des premières réalisations était le suivant : 1 965 visières de protection avaient été produites, 1 233 de ces précieux ustensiles protecteurs avaient été distribués aux personnels soignants des EHPAD de l’Yonne ainsi que dans les centres hospitaliers et aux sapeurs-pompiers. Quant aux demandes qui restaient à fournir à cet instant précis, elles s’élevaient à 1 116 unités.

Depuis le 28 mars, date à laquelle a débuté l’opération, le réseau « MAKERS 89 contre le COVID 19 » (on dirait presque le titre d’un film inspiré par MARVELS !) aura répondu présent par sa généreuse mobilisation.

Composé d’une quarantaine de personnes, ce groupe de bénévoles travaille à la conception de visières homologuées en s’appuyant sur la technologie des imprimantes 3D qui sont ensuite acheminées en direction des professionnels de santé, de sûreté et de sécurité.

A ce groupe initial s’ajoutent celles et ceux qui collectent l’indispensable matière première servant à confectionner les objets, les assemblent et les font parvenir à leurs destinataires. Ce réseau trouve une nouvelle caisse de résonnance en s’amplifiant au quotidien.

 

Un besoin constant de matières premières…

 

Face à la recrudescence des demandes, le réseau doit faire face au manque de réassort, en optimisant son approvisionnement. Comme le précise Loïc VIGNET, l’un des porte-parole de la structure : « Nous avons besoin de plusieurs éléments pour fabriquer ces visières de protection, c’est-à-dire des bobines de filament plastique pour assurer l’impression des supports de visière, des feuilles plastiques transparentes, des élastiques de maintien et autres consommables… ».

Un appel à la générosité a été lancé auprès des milieux industriels et économiques il y a quelques jours par les « MAKERS ». Ils espèrent ainsi avec cette collecte de matières premières récupérer le nécessaire pour assurer la continuité des approvisionnements de ces visières qu’ils destinent à celles et ceux qui luttent d’arrache-pied contre le coronavirus.

 

 

Organisés en cellules opérationnelles, les « MAKERS 89 » s’occupent de la logistique (la collecte des différents ingrédients servant à fabriquer cette visière). Une entité spécifique prend à sa charge la gestion des fournitures en recherchant les professionnels capables de fournir les matières premières. Une autre cellule gère la veille impression. C’est-à-dire qu’elle effectue une surveillance technologique quotidienne pour trouver de nouveaux modèles en lien avec les autres réseaux existants. Les demandes sont traitées par la cellule ad hoc. Elle répond également aux besoins en fonction de l’état des stocks. Le pôle stockage ayant lui la responsabilité de conditionner les supports de visière, les élastiques et les feuilles de plastique en y ajoutant une notice d’utilisation et de montage.

Précisons qu’une cagnotte a été créée. S’élevant à mille euros, elle est reconduite chaque semaine afin de répondre aux nouvelles demandes, aux besoins d’approvisionnement et à l’évolution de la situation.

 

Un prix de revient d’environ un euro par visière !

 

Quant à la communication, elle incombe à la cellule support. Elle a construit des liens étroits avec les médias régionaux qui suivent cette aventure altruiste et solidaire.

Aujourd’hui, les caractéristiques du matériel recherché sont les suivantes : de la bobine de filaments plastiques PLA, ABS ou PETG pour l’impression du support de la visière, des feuilles A4 transparentes pour la visière, des élastiques pour le maintien autour de la tête (x2), des consommables et pièces d’usure pour les imprimantes 3D.

A titre informatif, concevoir de telles visières revient à dépenser pour l’impression d’un support de visière (0,66 euro), élastique pour le maintien autour de la tête (0,10 €), feuille de plastique transparente (0,10 €). Soit un total de 0,86 € !

Auxquels s’ajoutent principalement les frais logistiques et de fonctionnement et d’entretien des machines environ 0,14 €. Soit un prix de revient unitaire d’environ 1 € pour une visière standard. Actuellement, la fabrication est effectuée gracieusement par les bénévoles des « MAKERS ». Le réseau jouera d’ailleurs la carte de la solidarité jusqu’au bout puisqu’il reversera en cas de fonds non utilisé l’intégralité des sommes récoltées à une association en lien avec la lutte contre le COVID 19. Une initiative qui ne manque ni de panache ni de vertu…

 


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On le savait atteint de coronavirus depuis quelques semaines déjà. Placé sous l’étroite surveillance des équipes médicales dans une chambre du Nouvel hôpital civil de Strasbourg. Mais, en ce funeste lundi de Pâques, cet homme chaleureux à la moustache si emblématique et au franc parler nous a quittés. A l’âge de 63 ans alors qu’il occupait encore de nombreux mandats dont ceux de présidents de l’Union nationale des entreprises de la Coiffure (UNEC) et de la Confédération nationale des métiers et des services (CNAMS). En août dernier, il était subjugué par sa visite au CIFA de l’Yonne dont il découvrait l’univers pédagogique orienté vers le modernisme et les valeurs de l’excellence…Hommage.

AUXERRE : Profondément humain et maîtrisant à la perfection son sujet, celui de la défense des intérêts des artisans. Voilà ce qui ressortait des premiers échanges que l’on pouvait établir avec ce personnage de la vie entrepreneuriale et politique français, conseiller régional LR de son Alsace natale.

A la fin de l’été dernier, Bernard STALTER, sommité dans l’univers de l’artisanat et de la coiffure, effectua l’un de ses premiers déplacements de la rentrée dans la capitale de l’Yonne pour s’immerger au CIFA.

Depuis le temps que son ami Pierre MARTIN, ancien président de l’UPA et de l’UNEC, ayant à son actif plusieurs mandats présidentiels à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, le taraudait avec ce site pédagogique d’exception à découvrir coûte que coûte !

La chose fut rendue possible grâce au travail collaboratif fourni par toutes les instances en présence qui virent dans ce déplacement l’opportunité de faire le point sur une situation conjoncturelle qui était à l’époque pour le moins alambiquée avec le mouvement persistant des Gilets jaunes.

Et surtout, pour le milieu de l’apprentissage, face à la grande effervescence qui régnait à l’amorce de ce mois de septembre. D’autant que depuis la promulgation d’un texte de loi (05 septembre 2018), les pistes du pragmatisme en matière de formation étaient quelque peu embrouillées. Notamment, au sujet du financement des CFA où les enjeux sont d’importance.

 

 

 

Ardent promoteur de l’apprentissage…

 

Le président de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et fabrication) Bernard STALTER n’avait pas manqué de s’entretenir de cet item essentiel en marge de sa visite au centre de formation de l’apprentissage de l’Yonne.

Porte-parole des artisans, pourvu de multiples cartes de visite corporatistes dans sa poche, Bernard STALTER avait pris soin ce jour-là de faire savoir sa stratégie juste avant l’amorce d’un automne chaud bouillant au plan social.

« Je travaille à la mobilisation générale de l’ensemble des métiers de service que je représente pour que le nombre d’apprentis augmente dans des filières qui en manquent cruellement : les métiers de bouche, le bâtiment, la coiffure. Certes, il y a eu par le passé quelques ersatz de mesures distillées par l’Etat pour tenter de remédier à la situation (des aides destinées aux petites entreprises qui s’octroyaient les services d’apprentis âgés de moins de 18 ans) mais cela n’aura guère eu d’effets à terme... ».

Réaliste et lucide, Bernard STALTER ! Le sémillant personnage avait même poussé avec bonhommie ses réflexions intellectuelles un peu plus loin dans les discussions. Appelant la France et les Français à lutter de toutes leurs forces contre la morosité ambiante dans laquelle le pays s’empêtrait. Du petit lait pour son auditoire d’un jour : Michel TONNELLIER, président du CIFA, Marcel FONTBONNE, son directeur, Christophe DESMEDT, président régional de l’U2P Bourgogne Franche-Comté (Union des entreprises de proximité), Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne ou encore David MARTIN, président départemental de l’U2P.

 

 

 

Supprimer les faits divers pour valoriser l’entrepreneuriat !

 

Cette figure nationale au charisme incontestable souhaitait même à la surprise générale que les médias se mobilisent en ce sens en supprimant de leurs supports de diffusion la rubrique des faits divers trop anxiogène à son goût pour se consacrer à la valorisation de celles et ceux qui entreprenaient dans ce pays !

« Croyez-moi, concluait-il, on peut vivre heureux en France. Si tous les acteurs économiques et institutionnels collaborent ensemble à l’amélioration de notre pays, chacun y trouvera son compte… ».

Malheureusement, alors que l’on parle de changer les paradigmes de notre société après les affres de cette pandémie sans nom, Bernard STALTER n’aura pas eu le temps d’en apprécier les premiers effets. Son départ est un vide abyssal.

La voix des artisans de France s’est donc tue, définitivement. C’est sûr : elle va nous manquer…

 

 

 


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Sous l’égide du représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, les chambres consulaires (Chambre de Commerce et d’Industrie, Chambre des Métiers et de l’Artisanat et Chambre d’Agriculture), mais aussi les organisations patronales (elles sont représentées par le MEDEF) la Banque de France et les administrations (DDFIP, DDT, UD-DIRECCTE) ont constitué un groupe de travail aux premiers jours du confinement. Objectif : répondre aux attentes des entreprises…

AUXERRE : L’accompagnement et l’entraide font figure de règle d’or de cette cellule de crise consultative et opérationnelle qui réunit l’ensemble des acteurs publics et économiques de notre territoire. Sa mission est de suivre avec la régularité d’un métronome chacune des entreprises dans ses besoins de soutiens financiers.

Proposant des points réguliers entre ses interlocuteurs, c’était encore le cas la semaine dernière le mardi 07 avril, l’entité se définit comme un facilitateur au traitement des problèmes de financement rencontrés par certaines entreprises en proie à de sérieuses difficultés vu le contexte sanitaire.

Les membres de cet organe institutionnel veulent également faire connaître et fédérer les initiatives des sociétés icaunaises dans la fabrication d’équipement de protection individuelle. A l’instar des masques ou des visières.

 

 

Parmi ses autres priorités : la relance des chantiers publics et privés dans le respect des gestes barrières et des recommandations d’usage.

Afin de gagner en efficience et rapidité, la cellule s’est dotée de plateformes numériques qui lui permettent de relayer les informations utiles auprès de ses utilisateurs.

Elles sont à consulter sur les références suivantes :

http://www.yonne.gouv.fr/Actualites/COVID-19-information-et-soutien-aux-entreprises et https://www.covid19-entreprises89.fr/

 

En complément, voici le lien vers le site de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat : https://artisanat-bfc.fr/article/coronavirus-dispositif-special-de-votre-cma

 


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Globalement, les dispositifs d’accompagnement mis en œuvre au profit des entreprises devraient s’élever à plus d’un milliard d’euros pour cette banque. Ce chiffre traduit la réactivité de l’établissement à vouloir s’engouffrer dans la brèche de la solidarité. Dès le 25 mars, date de la mise en place du Prêt garanti par l’Etat (PGE), le réseau mutualiste répondait aux attentes des entreprises qui en exprimaient le besoin. Au 06 avril, elle avait accordée plus de mille PGE pour cent millions d’euros d’encours.

DIJON : Précisons tout de go, que ces montants s’ajoutent aux 250 millions d’euros d’échéances reportées depuis le début de la crise. Quoi qu’il en soit, le réseau de la Banque Populaire a décidé de ne pas rester inactif dans la période actuelle en apportant des solutions adaptées aussi bien pour les ménages que dans l’intérêt des entreprises.

Pour ces dernières, l’établissement bancaire a conçu un programme d’accompagnement sur mesure. Il s’articule en plusieurs items : le report au cas par cas et ce jusqu’à six mois pour les remboursements des crédits, l’assurance de contacts avec un conseiller sous un délai de 48 heures maximum, être un appui dans l’accélération de la prise en charge des dossiers de sinistres et leurs indemnisations, proposer des dispositifs sécurisés de fonctionnement à distance et être le relais dans la distribution des prêts garantis par l’Etat, les fameux PGE.

En parallèle, la banque diffuse une analyse quotidienne des marchés financiers. Afin de suivre en temps réel les évolutions de ceux-ci dans le contexte si particulier que nous connaissons.

 

85 % des agences continuent d’offrir leurs services…

 

Le réseau a fait le choix de laisser des équipes présentes sur le terrain. En continuant à servir et à recevoir les clients tout en tenant compte des mesures barrières. La liste des agences ouvertes est d’ailleurs consultable sur le site de la banque.

Aucun risque de pénurie par ailleurs n’est à prévoir pour les distributeurs qui ne manqueront pas d’argent : le réapprovisionnement est assuré de manière régulière et l’accès aux GAB s’effectue normalement pour celles et ceux qui sont en quête de liquidités.

Toutefois, les responsables de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, à l’instar de Yann NUNES, directeur régional de l’Yonne, invite la clientèle à privilégier les solutions de paiement sans contact. Ils permettent avec la carte bancaire de réaliser ses achats de manière totalement sécurisée et sans manipuler d’espèces afin d’éviter les contacts physiques.

L’usage des services à distance offre le respect des mesures de limitation de déplacements voulues par le gouvernement. Ils se conçoivent par téléphone ou par e-mail, ou via le centre de relation clientèle au 03.80.48.50.00. (Appel non surtaxé).

Enfin, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est très attentive à la recrudescence de la fraude numérique (phishing).

Elle rappelle à ses sociétaires et clients qu’elle ne demande jamais d’information par mail comme des identifiants ou mots de passe, des éléments sur une carte bancaire ou encore les codes de validation d’achat sur Internet.

L’établissement régional a su faire montre de solidarité en octroyant dernièrement une dotation de 32 000 masques de protection au centre hospitalier et universitaire de Dijon afin qu’ils soient distribués aux soignants du territoire…

 


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La première de ces livraisons en provenance de Chine via Marseille est arrivée ce vendredi 10 avril dans la capitale régionale. La majeure partie de son contenu, soit ces fameux masques de protection espérés depuis si longtemps, équipera les EHPAD et les services de soins à domicile…

DIJON : Composée d’un million de masques de types chirurgicaux, cette cargaison à destination des professionnels de santé a été réceptionnée par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, ce vendredi en fin de journée.

Conçue en Chine dans une usine de Shanghai, la marchandise a transité par l’aéroport de Marseille-Marignane avant d’être acheminée par camion dans la capitale bourguignonne en fin d’après-midi.

Ce n’est que la première étape du processus d’approvisionnement des EHPAD et autres services de soins à domicile. D’autres masques sont encore attendus dans les jours prochains.

 

 

Ce sont en effet quatre millions de ces précieux ustensiles qui ont été commandés par l’institution régionale pour un engagement de crédits à hauteur de trois millions d’euros.

Les Conseils départementaux en prendront possession ce week-end, avant de les distribuer dans les différents établissements médico-sociaux.

L’Yonne percevra une dotation de 50 000 unités. Cent mille de ces produits alimenteront les réserves des grossistes pour les pharmacies…

 

 

 

 


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