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Le choix est responsable. Il émane de manière consensuelle des élus siégeant au conseil municipal. Suite à leur dernière séance de travail cette semaine, ils ont pris la décision, dans un climat qualifié d’harmonieux par le premier d’entre eux Magloire SIOPATHIS, de ne pas accroître la fiscalité et de pénaliser ainsi les habitants cette année malgré un contexte conjoncturel particulièrement sensible…

 

APPOIGNY : C’est un ouf de soulagement que peuvent pousser depuis vingt-quatre heures les habitantes et habitants de la commune de l’Auxerrois. La fiscalité n’augmentera pas cette année même si les incertitudes inhérentes à la crise économique et énergétique planent au-dessus des têtes des élus de la collectivité et de leurs administrés.

Réuni jeudi soir, le Conseil municipal a donc tranché en son âme et conscience – et surtout dans un climat consensuel harmonieux – pour ne pas revoir à la hausse les taxes qui auraient pu interférer avec les orientations budgétaires 2023, examinées durant la séance.

 

 

Le maire, Magloire SIOPATHIS devait le rappeler durant son analyse de la situation – et malgré le contexte inflationniste qui perturbe l’environnement des collectivités -, « nous sommes en mesure de dégager un résultat plus que correct en 2022 ».

Conséquence immédiate, le choix de ne pas faire progresser les impôts lors de ce nouvel exercice s’imposait donc comme une évidence.

Une heureuse nouvelle accueillie avec satisfaction par le Conseil qui en  profitera ensuite pour célébrer comme il se devait le départ de l’ancienne directrice générale des services et l’assistante du maire, parties sous d’autres cieux professionnels.

 

Thierry BRET

 

 


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Sous l’égide du ministère de l’Agriculture, le camion de « L’Aventure du Vivant » multiplie les escales à travers la France depuis deux ans. Objectif : faire découvrir la diversité des métiers et formations proposés par la sphère agricole à de jeunes collégiens ou lycéens ainsi qu’à des personnes en reconversion professionnelle. Il a jeté l’ancre quatre jours durant à Auxerre et Avallon, embarquant à son bord plus de 300 jeunes et nombre d’adultes, loin jusque-là d’imaginer tout le champ des possibles et les clés d’avenir qu’offrent les différents secteurs présentés.

 

AUXERRE: Avec ses 18 mètres de long et sa robe orange façon « Casimir et l’Ile aux Enfants », solidement ancré sur le parking auxerrois de la Porte de Paris, le camion de « l’Aventure du Vivant » tranche sur le paysage urbain.

A l’intérieur, une flopée d’équipements high-tech : un simulateur de conduite d’engin agricole, des tablettes connectées, des lunettes de réalité virtuelle, des écrans interactifs, tous destinés à promouvoir les richesses de l’enseignement agricole et ses multiples facettes. Avec pour objectif affirmé, de chasser les aprioris encore trop présents aujourd’hui sur les métiers liés à l’agriculture, notamment auprès des plus jeunes. Si la brouette a encore sa place dans les cours de ferme, il y a longtemps qu’elle se conjugue avec l’informatique et le numérique.

« Il y a urgence, rappelle France LAHUTTE, animatrice à l’antenne icaunaise de l’ANEFA, l’organisme gérant l’emploi et la formation en milieu agricole : « rien qu’en viticulture, sur le département plus de 200 postes de tous niveaux restent à pourvoir. Le secteur souffre notamment de l’absence de tractoristes où là, le déficit est immense… ».

Pas faute de communiquer pourtant, auprès des personnes en recherche d’emploi : « dans l’Yonne, l’on ne peut que se féliciter des passerelles existantes avec Pôle Emploi, une super équipe avec qui l’on travaille très bien, en un véritable partenariat… ».

Mais, les préjugés et clichés préconçus sont encore légion et difficiles à faire tomber, reconnaît Jean-Baptiste THIBAUT, vice-président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et administrateur à l’ANEFA 89 : « sur tout un tas de corps de métiers, nous sommes en déficit de recrutement. Une dynamique existait mais la COVID est passée par là, cassant depuis deux ans ce qui avait été mis en place… ».

 

 

Une palette de plus de deux cents métiers dans la filière…

 

Reconnaissant toute l’importance d’une manifestation de ce type : « en fait, la plupart des gamins n’ont aucune idée en arrivant, du nombre de métiers gravitant autour de celui d’agriculteur. Là où avant il y avait cinq personnes sur une ferme, la mécanisation a fait qu’il n’y en a plus qu’une, mais sans compter tout le savoir-faire extérieur dont nous avons besoin pour nous aider à exercer notre métier. Beaucoup de jeunes pensent que l’activité se résume à conduire un tracteur, sans imaginer toute l’importance d’un électro mécanicien pour le réparer en cas de besoin. Même chose en ce qui concerne l’informatique embarquée dans le tracteur… ».

Il y a longtemps que les formations de l’enseignement agricole vont bien au-delà du seul domaine de la filière. Aujourd’hui, existent plus de 150 formations générales, techniques ou professionnelles pour plus de 200 métiers dans les domaines les plus divers, comme le rappellent à leur jeune public, Amélie et Charlotte, les deux animatrices accompagnant le camion de « l’Aventure du Vivant » à travers la France : « de l’agroalimentaire avec la transformation des produits agricoles à la protection de l’environnement, en passant par la gestion des forêts ou de l’eau, les nouvelles technologies robotiques, le transport, l’aménagement des espaces, le service à la personne dans les territoires, ou encore, les métiers de l’enseignement… ».

Pour autant, la sphère agricole semble encore souffrir d’un déficit de notoriété chez les jeunes, à l’image de cette collégienne dont se souvient Amélie, « revenue le soir avec sa maman, avec tout un tas de questions car très intéressée, mais n’osant pas les formuler devant les autres élèves de sa classe… ».

 

 

Un enjeu majeur : le renouvellement des générations d’agriculteurs…

 

L’intérêt porté au simulateur de conduite d’engin agricole semble lui bien réel à en juger par le nombre d’élèves de cette classe de 3ème du lycée Vauban se pressant autour, mais pas facile de manœuvrer un tracteur et sa remorque de six mètres : « tu as renversé les bidons et maintenant tu roules sur les pots de fleurs ! ».

Pas certain qu’à l’issue de sa courte expérience, le jeune Marceau se tourne vers l’agriculture ! A contrario de son camarade Augustin qui lui a déjà choisi : « mon oncle et mes grands-parents le sont déjà et ça me plaît depuis que je suis tout petit, c’est mon truc depuis longtemps… ».

Un truc et une passion qui devraient tout naturellement le conduire à exploiter une ferme un jour. Et lui aussi aura besoin demain, de tous ces corps de métiers intermédiaires pour l’accompagner au quotidien dans l’exercice du sien. Si le renouvellement des générations d’agriculteurs est un défi majeur, celui des professions gravitant autour l’est tout autant.

A noter pour les personnes n’ayant pu profiter de l’arrêt dans le département du bus de « l’Aventure du Vivant », que celui-ci sera présent Porte de Versailles à Paris, tout le temps du Salon de l’Agriculture, du 25 février au 05 mars prochains.

 

Dominique BERNERD

 

 


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On la disait légèrement stressée, un peu soumise au trac avant qu’elle ne prenne la parole et officialise ainsi sa nouvelle fonction, celle de présidente du mouvement des « incubateurs citoyens », soit la Jeune Chambre Economique d’Auxerre. Force est de constater que l’oratrice d’un soir, Maud DUSSOL qui a succédé au président en chair, Jean-Baptiste HORTON, a produit une prestation de belle facture, lors de la passation de pouvoir, cérémonie orchestrée dans la parfaite des traditions…

 

MONETEAU : Elle est à l’aise dans ses baskets, la nouvelle présidente de la structure associative. Faisant démentir avec le plus bel effet celles et ceux de ses camarades qui avaient laissé courir le bruit – une blague de potache sympathique ! - quelques minutes avant qu’elle ne débute la cérémonie de passation de pouvoir que le trac l’a gagnait !

Certes, même si les membres de la JCE sont rompus à ce genre d’exercice, multipliant les colloques, séminaires, conférences et autres commissions tout au long de l’année – si, si, il existe aussi des ateliers de prise de parole en public, - il n’est jamais aisé de s’exprimer devant un parterre d’invités, lorsque l’interlocuteur devient l’astre diurne de la manifestation.

En l’occurrence, dans le cas présent, la nouvelle responsable d’une Jeune Chambre Economique auxerroise, située la saison dernière tout en haut de l’affiche comme le clamait un Charles AZNAVOUR au meilleur de sa forme et de sa plume avec « Je me voyais déjà » ! Une JCE sur le toit du monde, le temps d’une convention nationale épique et populaire – plus de six cents visiteurs – accueillie dans la capitale de l’Yonne…

 

 

Alors, c’est sûr, il en fallait davantage pour déstabiliser la manager de commerce exerçant ses activités professionnelles au sein de l’Agglomération de l’Auxerrois et vice-présidente de ce club en charge des actions – et dieu sait qu’il y en a qui ponctue le calendrier de cette entité ! - : Maud DUSSOL au pupitre, c’était un sans-faute assuré !

Impliquée, motivée, souriante, dynamique : la jeune femme a déroulé son laïus explicatif, mettant en exergue son bureau et annonçant la feuille de route à tenir au cours de ces prochains mois, sans que rien ne vienne la perturber d’un iota. La parfaite maîtrise de soi-même, en vérité !  

Mais qui a dit que la nouvelle capitaine de ce navire dont le cap est bien solide était sujette au stress ?! Une bonne blague, en résumé…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Heureuse initiative que celle-ci ! Elle concerne nos têtes blondes et se développe sur le versant méridional du territoire, accueilli chez « Radio Avallon ». Désormais, le secteur du périscolaire possède sa déclinaison radiophonique, vivement encouragée par la directrice d’antenne du média, l’infatigable Maria DA SILVA. Objectif : les enfants proposent selon leur propre sens analytique une relecture de l’actualité…

 

AVALLON : Le concept se nomme « Atelier Radio Junior » ! Un rendez-vous hebdomadaire qui s’est installé sur la grille de « Radio Avallon », tous les lundis – l’idéal pour bien entamer la nouvelle semaine ! – sur les temps périscolaires de la soirée. Volontaires pour vivre cette aventure radiophonique novatrice, les élèves participent à des ateliers d’initiation. Sous la férule de la journaliste et grande prêtresse de l’information locale, Maria DA SILVA qui les initie aux techniques particulières de ce média sonore, la radio étant l’un des plus prisés des Français.

Autant dire que l’émulation est bien présente chez ces jeunes pousses de l’information qui prennent part à ces ateliers reposant sur l’écoute collective du journal. Ceci induit moult échanges et explications, avec déjà du discernement !

Explication de texte fourni par Maria : « Les enfants doivent comprendre ce qu’est une émission radiophonique en repérant les différents sujets qui y sont traités, précise-t-elle, cela permet aux élèves de mieux comprendre la rédaction sur le choix des sujets et l'organisation de leur propre émission… ».

Pour se faire, à l’aide d’exercices concrets – tout cela est très sérieux au plan de la construction pédagogique -, les élèves doivent repérer des formules qui ont pour but de tenir en haleine l’auditeur (le buzz !) et de faire des transitions entre les sujets. La relève de Stéphane BERN ou de Julien COURBET est assuré, visiblement !

 

Des temps d’antenne et la construction technique d’un journal sonore…

 

Parmi les tâches à accomplir, la création d’un journal occupe les esprits. Avec la phase de montage, d’habillage, de choix de titres, de lancement, d’interviews, de brèves et de chroniques ! Bref, du sur mesure radiophonique adapté, jetant les bases saines des fondamentaux du journalisme, tout en recoupant les informations. Et comme ils doivent passer à l’antenne, ces jeunes néophytes travaillent aussi leurs intonations !

Ce sont les enfants eux-mêmes qui sélectionnent de façon collective à la manière d’une conférence de rédaction leurs sujets à traiter. Chacun se met dans la peau de son personnage. Un « Tintin » reporter en herbe !

Au terme de ces ateliers ludiques et éducatifs, les enfants intègrent le projet « Des sons animés », un concept porté par Radio Avallon. Il a pour objectif de proposer aux enfants des temps d’antenne radio afin de travailler l’éducation aux médias. Cela leur offre l’opportunité de devenir, le temps d’une saison, des animateurs de Radio Avallon en puissance. Et peut-être d’y prendre goût et de les inciter à choisir cette voie professionnelle ?

A l’aise, derrière le micro, prolixe et plutôt désinvolte, la nouvelle génération avallonnaise prend du plaisir à la découverte des richesses transmises par ces actualités qui font le monde.

Pour mieux l’appréhender, sans doute, et la bousculer avec son opinion et ses commentaires constructifs, sans pratiquer la politique de l’autruche dont bon nombre d’adultes d’aujourd’hui sont de fervents adeptes…

 

Thierry BRET

 


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Garder un lien privilégié avec les électeurs. Un contact judicieux qui offrirait réflexion et partage autour d’une problématique actuelle au plus près du terrain. C’est en substance ce qui a prévalu pour ces retrouvailles concoctées il y a peu par Europe Ecologie Les Verts (EELV) lors d’une conférence-débat de belle facture, accueillie à la salle des fêtes de Toucy. L’orateur du soir, brillant et d’une rare sagesse, se nommait Damien DEVILLE. Un docteur en géographie et anthropologue qui a gratifié le public de ses talents de conteur…

 

TOUCY: Spécialiste en aménagement du territoire, l’orateur trentenaire qui intervenait face au public d’une salle abondamment garnie de la capitale de la Puisaye – on y remarquait la présence de quelques têtes bien pensantes de la vie politique locale à l’image du premier fédéral du Parti Socialiste Mani CAMBEFORT ! – a su subjuguer de par son narratif nourri d’exemples concrets un auditoire, tout acquis à sa cause.

Damien DEVILLE n’est pas n’importe qui ! Docteur en géographie, le jeune homme possède d’autres titres de gloire universitaires à ajouter à son pédigrée : anthropologue de la nature et…conteur. Sans doute une réminiscence naturelle de ses origines franco-africaines, le garçon se réclamant de la double nationalité de français et de…burkinabé !

En choisissant de parler de ruralités, de territoires oubliés, mais aussi de terres de liens, le conférencier a pu mettre en évidence durant une quarantaine de minutes, bien avant que ne tombent les premières questions et les ressentis de l’assistance, des sujets de préoccupation qui font le lit habituel des écologistes.

Entre rupture de la cohésion sociale et déclassement des territoires ruraux, les items abordés par l’orateur faisaient mouche auprès du public avec lequel Damien DEVILLE partageait les analyses. D’autres interrogations ne tardèrent pas à faire surface lors de cet échange : celles se rapportant aux choix politiques de développement des territoires en France, l’absence de représentativité culturelle dans les espaces ruraux ou encore les points fondamentaux à mettre en œuvre afin d’améliorer la vie des gens dans les campagnes.

 

 

 

Les Cévennes et le Burkina-Faso comme sources inspirantes…

 

Des témoins, des acteurs locaux eurent voix au chapitre afin de compléter par leur témoignage et réagir à chaud à la parole de l’instant. Dont celui de Jean MASSE, le maire de Saint-Privé.

Damien DEVILLE succéda à la prise de parole inaugurale et introductive de Florence LOURY, la représentante d’EELV, entamant ainsi un long monologue servant de trame à ses explicatifs. Il parlera de la « diagonale du vide », de la « France périphérique », mais aussi de la « théorie des avantages comparatifs ». Illustrant à chaque fois ses propos d’exemples précis, faisant voyager le public du côté de Lorient, dans les Cévennes, etc.

C’est précisément du côté d’Alès et de cette belle région de l’Hexagone que le garçon s’appesantira – celui sur le thème de sa thèse en doctorat – en mettant en exergue les disparités observées dans ce décor si spécifique de la ruralité. Un secteur où règnent la précarité et le chômage…

Le second exemple alimentant sa narration sera plus exotique avec le vécu au Burkina-Faso. Et celui du personnage charismatique qui obtint le prix « Right Livelihood Award », plus connu sous l’appellation de prix Nobel alternatif, Yacouba SAWADOGO. Un paysan qui décida de stopper un jour la progression du désert en améliorant une méthode ancestrale de culture, le zaï. Avec réussite, quarante années plus tard.

Une conférence pleine de sagesse qui aura fait du bien à l’âme. En ces périodes complexes et difficiles, le public n’aura pu que savourer…

 

Thierry BRET

 

 

 


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