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C’est la faute à pas de chance. A cette satanée saison 2022/2023 où la Ligue professionnelle de football a choisi de réduire la voilure de son championnat élite, en renvoyant dans les limbes quatre clubs au lieu de deux, comme il était de coutume d’ordinaire chaque année. Et malheureusement, à ce petit jeu-là, l’AJ Auxerre n’aura pas fait le poids face aux cadors habituels et aux « chanceux » expérimentés – le FC Nantes ! – de cette compétition longue et difficile. Bye, bye la Ligue 1, retour à la case départ, en Ligue 2…

 

AUXERRE: C’est le pire des scenarii où il ne fallait pas tomber ! La victoire de Nantes, dans son antre de Loire-Atlantique face au voisin angevin, bon dernier de Ligue 1 alors que dans le même temps, Lens et sa superbe dominaient de la tête et des jambes une vaillante équipe bourguignonne qui se sera persuadée d’y croire jusqu’au bout. Les pronostiqueurs ne s’y étaient point trompés avant la rencontre. Le différentiel entre les surprenants nordistes – ils terminent à la deuxième place du championnat à quatre longueurs seulement d’une formation parisienne toute en contraste et mi-figue mi-raisin encore ce week-end – et les Auxerrois n’a pas été usurpé lors de cette finale pour le maintien. Sur le papier, les Bourguignons n’avaient qu’une infime probabilité de pouvoir battre les époustouflants nordistes. Dans les faits, les spectateurs qu’ils soient rivés devant leur écran de télévision ou dans le stade ont vite compris dès l’entame de cette ultime joute de la saison que le plus dur serait devant eux ! Et quand survint le premier but de l’équipe adverse, l’espoir ne tint plus qu’à un fil. D’autant que du côté de Nantes, Angers devait battre en retraite devant sa cage, encaissant ce petit but qui in fine fera toute la différence en envoyant les Icaunais au tapis, sans qu’il y ait quoi que ce soit à contester.

 

 

Lens ne se privera pas d’alourdir la note en marquant trois buts. Auxerre réduisant le score, sans réelle motivation à une quinzaine de minutes de la clôture de cette rencontre écrite d’avance côté suspense.

Au bout du compte, les protégés de Christophe PELISSIER n’auront pas démérités durant ce match capital même si les frissons de l’enthousiasme ne furent guère nombreux et convaincants pour entretenir la flamme de l’espérance.

Conséquence, mais en toute logique, au vu de la rencontre – voire de la saison qui fut tendue à l’extrême -, l’AJ Auxerre retrouvera donc Troyes et sa victime expiatoire de la saison dernière, l’AS Saint-Etienne, dans le futur championnat de Ligue 2 qui avec Bordeaux, fait figure de série B de belle classe et à l’allure prometteuse tout de même. Il faut bien se consoler d’une manière ou d’une autre, non ?

 

Thierry BRET

 


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Le chiffre fait froid dans le dos. Chaque jour, dans l’Hexagone, plus de quatre cents personnes décèdent d’une maladie cardio-vasculaire. Or, les observations scientifiques confirment cette donnée : plus de la moitié de ces décès se rapportent à des femmes. Une population que l’on pensait jusqu’alors préservée par l’infarctus. Le mal concerne de plus en plus de jeunes. Les raisons en sont simples, malheureusement : le stress, le tabac, l’alcool, le surmenage, la charge mentale…

 

AUXERRE : En l’espace de trente ans, le mode de vie des femmes a considérablement évolué dans notre société. Et, par forcément en bien ! Vivant au même rythme que les hommes, elles en subissent désormais les méfaits et aléas identiques dans leur quotidien, entre stress et alimentation peu équilibrée, manque d’activité physique et prise d’alcool, consommation accrue de tabac, hypertension et surmenage imputables à la vie professionnelle et aux charges familiales…Bref, rien ne va plus pour la gent féminine qui paie chaque année un très lourd tribu au niveau sanitaire, victime de risque cardio-vasculaire très fréquent.

C’est simple : la première cause de mortalité des femmes en France est due à ces pathologies cardiaques. Selon le Bulletin épidémiologique hebdomadaire publié par Santé Publique France en 2016, les hospitalisations pour un infarctus du myocarde avaient progressé en France de 4,8 % par an entre 2009 et 2013 chez les femmes de 45 à 54 ans. Cela ne s’est pas amélioré depuis…

 

Une méconnaissance des signes qui doivent donner l’alerte…

 

Nonobstant, les femmes pensent être protégées de ces risques. Beaucoup ne se sentent pas concernées par les maladies cardio-vasculaires. Une erreur, manifeste, que l’association « Femmes Leaders Mondiale », via son antenne icaunaise, va tenter de juguler ce jeudi 08 juin en proposant une conférence débat sur l’AVC et le cœur des femmes. Un cœur dont il serait urgent de sauver, visiblement.

Sur la scène de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre seront conviés différents intervenants thérapeutes, spécialistes de la question. Cardiologue, tabacologue, kiné-respiratoire, diététicienne : tous éclaireront de leurs conseils le public, féminin ou pas, sur les risques encourus par notre corps (et notre cœur) en cas de non-respect de règles de vie élémentaires.

Régie par la loi 1901, à l’instar des structures associatives habituelles, Femmes Leaders Mondiales (FLM) a pour vocation de promouvoir la place de la femme dans la société et optimiser l’égalité des droits (hommes/femmes) dans la complémentarité des valeurs de chacun.

Présidée dans l’Yonne par Charline LENFANT, la structure accueille cette thématique nécessitant réflexion après Monaco et Clermont-Ferrand.

 « Trop de femmes minimisent les signes avant-coureur de ces risques cardio-vasculaires, concède-t-elle, c'est pourtant la première cause de décès chez la femme… ».

Pas de doute, il faut donc continuer à informer…

 

En savoir plus :

 

Conférence de Femmes Leaders Mondiale sur la problématique des troubles cardiaques chez les femmes.

Jeudi 08 juin 2023

Salle de conférence de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre

A 18 heures

Entrée libre

Intervenants :

Yann MORVAN, cardiologue,

Jean-Loup DUROS, tabacologue,

Yoan CABAJ, kiné-respiratoire,

Amélie MONCEAU, diététicienne.

 

Thierry BRET

 


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Le photographe du service communication de l’Agglomération de l’Auxerrois a eu le nez fin  en immortalisant via ce cliché la visite de la présidente de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), lors de son déplacement vendredi dans les quartiers des Brichères Sainte-Geneviève et des Rosoirs. Aux côtés du président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT, l’ancienne ministre, Catherine VAUTRIN, cheveux au vent, foule le sol auxerrois sur un passage piéton. Une réminiscence du célèbre cliché londonien ?

 

AUXERRE : Côte à côte, et devisant de concert tout en traversant ledit passage protégé sur les zébras balayés par un petit vent plutôt ébouriffant, la présidente de l’Agence nationale de la rénovation urbaine (ANRU) Catherine VAUTRIN et le président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT ont arpenté les rues des quartiers des Brichères Sainte-Geneviève et des Rosoirs, vendredi en début d’après-midi, avant que ne survienne à l’hôtel de ville la signature officielle de la convention de partenariat, suivant un protocole bien orchestré.

Un paraphe hautement symbolique qui aura permis de lancer, et de quelle manière, le nouveau programme de renouvellement urbain (NPNRU) visant à transformer tel un sou neuf ces deux endroits clés de la capitale de l’Yonne.

Concrètement, les immeubles vétustes seront détruits pour laisser la place à une nouvelle offre de logements sociaux de meilleure qualité. Mais, ce n’est pas tout ! Un groupe scolaire sera implanté dans le quartier de Sainte-Geneviève tandis que celui, déjà fonctionnel aux Rosoirs, subira un sérieux coup de lifting, en matière de rénovation. Cerise sur le gâteau : de nouveaux lieux de vie seront aménagés afin de rendre plus optimal le quotidien de ses habitants.

 

 

Un investissement total de 135,8 millions d'euros dont 52,5 millions apportés par l'ANRU...

 

Un projet ayant nécessité une enveloppe de près de 136 millions d’euros auquel est associée l’agence nationale de la rénovation urbaine. L’ANRU apportera, en effet, dans la corbeille de la « mariée » - la ville d’Auxerre ! – la coquette somme de 52,5 millions d’euros.

Cela méritait bien, juste avant la séance de signatures, une petite immersion dans lesdits quartiers pour les deux protagonistes de ce partenariat d’envergure qui se met en place. Avec en sus, et de façon bien involontaire pour leurs auteurs - on l’imagine ! -, ce clin d’œil photographique amusant à la célèbre pochette de l’album culte des BEATLES où les « Quatre garçons dans le vent » traversaient eux aussi un passage clouté en face de leur studio d’enregistrement londonien dans le quartier de Saint-John Wood en août 1969, « Abbey Road » !

Catherine VAUTRIN et Crescent MARAULT incarneraient-ils par cette posture les « LENNON et McCARTNEY » du renouvellement urbain sur l’Auxerrois ?!

 

Thierry BRET

 

 

 


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La crise du logement se décline également avec la crise du bâtiment. L’abbé Pierre a eu beau marteler que « gouverner, c’est d’abord loger son peuple », le logement n’a jamais été une cause politique dans l’Hexagone. Aujourd’hui, les tensions dans la population sont si exacerbées que le bâtiment et le logement constituent une nouvelle bombe sociale pour un gouvernement qui a du mal à nous rassurer…

TRIBUNE : Le secteur immobilier est menacé, miné par les hausses des prix et des taux d'intérêt de plus en plus élevés. C'est tout le secteur de la construction qui pourrait connaître une grave crise, avec 100 000 à 150 000  emplois qui pourraient disparaître, selon la Fédération Française du Bâtiment. Dans le même temps, les ventes de biens ont chuté de 15 à 20 % avec un coût du crédit plus cher et des conditions d’obtention des prêts plus drastiques. Les projets immobiliers sont en stand-by malgré plus de 2,5 millions de ménages en attente de logements  sociaux !

Le secteur subit de plein fouet les hausses des prix. Celle des matériaux d'abord, mais aussi celle de l'énergie et plus généralement du prix des terrains, qui empêchent toute opération immobilière, même l'achat de pavillon. Il faut ajouter les nouvelles normes imposées par la France via l’Europe et qui accroissent les coûts de production.

Et les autorités sont déjà au courant, selon le président de la Fédération Française du Bâtiment. « Il y a six mois, le Ministre du Logement a évoqué une bombe sociale dans le logement neuf et Bruno LE MAIRE a déjà rencontré les présidents des banques. Tout le monde a pris la mesure de la situation, l'audit est partagé… conclut Olivier SALLERON qui anticipe au moins deux années de crise dans le secteur. L’Etat, encore une fois constate et enregistre les faits, et demande aux autres de trouver des solutions. Aucune anticipation, aucune politique sociale, aucune stratégie ne concerne le logement.

Les professionnels du secteur avaient pourtant adressé une lettre ouverte au Président de la République en mai dernier. Le retour est éloquent : les conclusions du « Conseil National de la Refondation Logement », attendue le 09 mai, est reportée au 05 juin ! Les professionnels attendent fébrilement de «  puissantes mesures d’urgence » pour faire « face à la crise du logement qui s’installe durablement dans notre pays ». Tous ont bondi. « L’heure n’est plus aux constats, aux atermoiements ni aux hésitations. Quand l’Etat prendra-t-il la véritable mesure du risque de bombe économique, sociale et sociétale ?, tempêtent-ils.

 

Des faillites en cascades dans le viseur…

 

L’envolée des taux de crédit, qui passent de 1 % en octobre 2021 à plus de 5 % aujourd’hui, a fortement pénalisé les ménages qui ont reporté leurs projets immobiliers à plus tard. Les emprunteurs ne sont pas les seuls à être touchés par la crise. Les professionnels du secteur subissent de plein fouet ce retournement du marché. Ainsi, plus de 500 agences immobilières ont mis la clé sous la porte ou ont été placées en redressement judiciaire entre mai 2022 et avril 2023.

A l’instar des agences immobilières, une autre profession en souffrance est celle des courtiers. Le nombre de courtiers en déclin a atteint 142 en un an à fin avril, soit une hausse de près de 78 % par rapport à l’année précédente. Il y a cinq ans, le nombre de défaillances annuelles ne dépassait pas les 50 cas. Le taux d’usure, taux maximum auquel une banque peut prêter, était révisé tous les trimestres. Les courtiers alertaient sur le décalage avec la remontée des taux d’intérêt. Le taux d’usure est depuis février revu tous les mois, et ce, jusqu’au 01er juillet.

Les promoteurs ne sont pas en reste. Les faillites de promoteurs sont en hausse de quasiment 54 % sur les quatre premiers mois de l’année. On constate 111 cas de faillite, et la construction n’est pas épargnée non plus : 696 défaillances ont été dénombrées.

 

 

 

Logement neuf : le secteur s'enfonce dans une crise profonde…

 

Depuis trois mois, la demande en logements neufs dégringole. Cette spirale négative inquiète la Fédération des promoteurs immobiliers, qui réclame des mesures de soutien et d’accompagnement. Pour autant, entre les habitations laissées vacantes ou en cours de rénovation et la croissance démographique, un accroissement du parc immobilier est nécessaire, à raison de 450 000 logements neufs chaque année. Les promoteurs réclament au ministère de l’Économie des mesures pour relancer les achats. Les maires signent de moins en moins de permis de construire, les ventes chutent, les taux de crédits augmentent : ce sont tous les ingrédients des drames à venir…

Il y a de plus en plus de mal logés et des projets de logements sociaux sont au point mort. Les crédits sont trop chers et associés à une inflation galopante. Le budget logement fait passer une bonne partie de la population française en dessous du seuil de pauvreté. Les faillites s’enregistrent à la « pelle » et des « brouettes » de licenciement sont à prévoir à la clé, provoquant aussi un appauvrissement des ressources des communes !

En effet, l’essentiel des taxes payées chez le notaire lors des transactions immobilières passent dans le budget de nos communes : la cerise sur le gâteau après la suppression de la taxe d’habitation ! Le gouvernement avait déjà préparé ses bonnes résolutions pour 2023, avec une série de mesures et de réglementations. Logement, transition énergétique, gestion des déchets, aménagement territorial… beaucoup d’entre elles concernent le BTP.

La crise du bâtiment devient ainsi un ferment de révolte sociale qui s’ajoute ou se fond dans les crispations ambiantes : inflation, immigration non maîtrisée, justice en trompe-l’œil, police débordée, délinquance et trafic de drogue aux portes de nos écoles,… et la réforme des retraites qui fait toujours l’objet du conflit social avec les citoyens, les syndicats et le parlement.

 

 

Existe-t-il des solutions ?

 

Les professionnels du secteur demandent une aide de l’Etat pour les entreprises en difficultés. Peu pertinent, quand il n’y a pas de commandes, autant mettre du sparadrap sur une jambe de bois !

Parmi les mesures que l’Etat peut prendre : permettre aux banques de faciliter les conditions d’octroi de crédit (durée, capacité d’endettement), et booster les prêts à taux zéro en programmant une accession au plus grand nombre. Le secteur se remet en cause depuis quelques années et opère le virage d’une véritable révolution industrielle.

Plusieurs innovations promettent depuis des années d'augmenter la productivité des constructeurs et de réduire les coûts du logement neuf. Le secteur semble accélérer leur utilisation sous plusieurs pressions. L'impératif de construire bien davantage de logements, moins chers aussi pour en faciliter l'accès, relève plus que jamais du défi dans un contexte d'inflation des matériaux mais aussi de mise en oeuvre d' une nouvelle réglementation environnementale de la construction neuve, un facteur inflationniste avec le durcissement des normes.

C’est la mise en œuvre de la cybertechnologie, de l’automatisation tous azimuts afin de limiter les coûts de main d’œuvre, des connectivités ubiquitaires, prises de décision décentralisées et en temps réel… Le seul problème est financier : les nouvelles technologies sont très coûteuses. L’Etat pourrait intervenir dans le cadre de prêts bonifiés, par exemple.

Une autre ouverture pour diminuer les coûts liés au béton : le secteur Bois-Bâtiment fait partie intégrante de l’aval de la filière Bois-Forêt, par sa capacité à utiliser le matériau bois dans la composition de tous types d’ouvrages, tant en menuiserie intérieure, et agencement, qu’en enveloppe et en structure. Ici encore, l’Etat peut jouer un rôle de facilitateur en matière d’emploi et de formation, de gestion de la forêt…

A côté des 13 milliards mis sur la table pour l’industrie, que compte faire l’Etat pour palier une crise économique et sociale sans précédent dans notre pays ? Le nerf de toute entreprise, c’est surtout le client ! Si l’Etat n’intervient pas rapidement pour passer des commandes de logements sociaux, par exemple, de débloquer des ressources pour la construction via l’épargne des français, nous allons droit à la catastrophe…

Raymond DEVOS nous avait déjà prévu dans son sketch concernant les évènements de mai 1968 : « je vais maintenant pousser un cri d’alarme, si le gouvernement actuel n’est pas capable d’assurer la catastrophe, je dis attention, l’opposition pourrait  s’en emparer… » !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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C'est une table que l'on aime. Elle est symbolisée par la très belle qualité de son menu déjeuner du jour, proposé à 14,50 euros. C’est moins cher et bien meilleur que certaines enseignes médiocres identifiées à des chaînes ! Longtemps à sa tête,  il y eut un formidable cuisinier : Nicolas BRELAUD, originaire de Saône-et-Loire…

 

MIGENNES : Comme tant de grands chefs (Fernand POINT, Alexandre DUMAINE, antan, Jean-Pierre BILLOUX, Daniel DOUCET hier, puis Jean-Michel CARRETTE, Frédéric DOUCET, Yohann CHAPUIS, Jérôme BROCHOT ainsi que Cédric BURTIN (double étoilé au Michelin 2023 dans son restaurant proche de Chalon-sur-Saône), Nicolas BRELAUD aime le bon produit qu'il sait transformer.

Sa formule est imparable : trois entrées, trois plats (viande, poisson et pâte) ainsi que trois desserts. TOUT est fait maison ! Cela sentait bon lorsque l'on poussait la porte de cet estaminet, et l'on se souvient avec gourmandise de la lente cuisson  de délicieuses tripes. A table, on y retrouvait aussi les sublimes chablis, du truculent vigneron Daniel SEGUINOT.

Depuis lors, notre chef à l'impeccable CV (tables étoilées Michelin, ministère parisien...) s'est éloigné de quelques centaines de mètres, en prenant les fourneaux du beau « p'tit » hôtel-restaurant « Le MITIGANA » (voir notre chronique de janvier 2023). Place à une nouvelle équipe.

 

 

Une terrasse toujours aussi paisible pour s’y restaurer…

 

Anthony, casquette vissée sur la tête (un tablier semblerait plus adapté à l'endroit, mais bon !) en est le nouveau patron. Pour ce néophyte, aimant s'attabler au restaurant, c'est une reconversion souhaitée depuis longtemps. Notre jeune patron le clame aussi : « Nicolas demeurera mon mentor ! ». En cuisine, officie Thierry, un ancien charcutier. Ce vrai métier gourmand est souvent de bon augure aux fourneaux !

L'ardoise s'est un peu réduite passant de trois à deux choix. Quant à la paisible terrasse, elle demeure toujours aussi accueillante aux beaux jours.
En entrée, ce midi-là, étaient proposés des œufs meurette ou un duo de terrines. Les terrines maison sont bonnes. L'une est d'ailleurs garnie de foie gras. Peut-être le fromage de tête est-il un brin salé. La salade verte, quant à elle, est bien assaisonnée.

 

 

 

Encore deux à trois petits réglages et le tout sera parfait…

 

Un joli plat ensuite que les spaghettis à l'encre de seiche. En accompagnement, les crevettes sont impeccables de fraîcheur et le poisson, de l'églefin sûrement, bien poêlé. Il manque juste un brin de pas grand-chose - on pinaille un peu, car rappelons le prix du menu à 14,50 euros ! - peut-être un petit jus plus corsé que celui proposé, légèrement insipide. A coûts identiques de fabrication, cela rendrait ce bon plat encore meilleur…

En dessert, ce fut un correct clafoutis ou un bon fromage blanc aux herbes. On souhaite le meilleur à la nouvelle équipe du « Canal », il suffit de deux à trois petits réglages et de se souvenir avec constance des fondamentaux initiés par le chef Nicolas, un vrai passionné s’il en est !

Mais une chose est certaine : il fait toujours bon pousser la porte du restaurant du « Canal » à Migennes, une bourgade en pleine renaissance par ailleurs. Aussi, ne boudons pas notre plaisir !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : la carte des vins blancs est un peu courte, quatre vins du Chablisien uniquement. Allez, à quand un nectar du Tonnerrois, puis un autre de la Bourgogne dite du soleil ?! Soyons patients !

Les + : le service est aimable et actif.

 

 

 

Contact :

 

Restaurant du Canal

58 rue Pierre et Marie Curie

89400 MIGENNES

Tel : 03.86.80.17.30.

Parking facile.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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