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Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.

 

APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.

Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.

Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.

En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !

 

Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre

 

Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.

Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.

 

 

Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…

 

Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.

Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.

Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.

Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.

Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…

 

Thierry BRET

 


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On dit qu’il est le révélateur de l’âme. Le regard. Le sien est profond et intense. D’un bleu azuréen, comme gorgé de soleil. Chaud et doux à la fois, à l’image de ces toiles, petits et grands formats, figuratives ou abstraites, aux couleurs éclatantes mais finement choisies que l’artiste icaunaise se plaît à positionner avec sérénité et harmonie sur les cimaises de l’Espace culturel. Jusqu’au 03 décembre, celle qui a fréquenté les ateliers de Montparnasse et de Paris aux côtés des esthètes en la matière va donc prendre racine. Pour y dévoiler sa rétrospective. Logique, quand on a la passion comme elle de la nature et des arbres, sources d’inspiration…

 

GURGY : Elle est très volubile, Odette LACAZE-BERNARD, dans ses explications. Surtout dès qu’elle évoque ses souvenirs d’enfance – particulièrement âpres et difficiles –, sa relation privilégiée entretenue avec sa maman, toujours sa référence pour avancer dans l’existence, et sa vie personnelle, un brin complexe parfois. Son rapport salvateur avec le monde des arts et de la créativité, aussi. Un refuge pour sa paix intérieure. Elle, qui ne se prédestinait pas vraiment à embrasser un jour la carrière d’artiste.   

D’ailleurs, aujourd’hui, la dame – respect, elle fête ses vingt-cinq ans d’imagination fertile en dévoilant cette rétrospective unique en son genre déclinée en une trentaine d’œuvres, certaines colorées, aux constructions éclectiques – est fière du chemin parcouru. Se remémorant ce que lui disait jadis une enseignante du collège qu’elle fréquentait : « n’arrête jamais de dessiner, tu as un don, du talent et tu verras un jour tu t’y remettras… ».

 

 

Une grande liberté dans la richesse créative

 

Une sage prémonition, qui aura permis à la « peintresse » comme elle aime à se définir de travailler avec les maîtres parisiens de l’art pictural.

Paris. Ville lumière qui lui apportera que du bonheur. Elle y a fréquenté pendant de nombreuses années les maîtres compétents, tous auréolés d’un Grand Prix de Rome à l’instar de Me DIEBOLD, mais aussi de VERDEILLE, Mickaele André SCHATT, Ros BLASCO, GERMIGNAGNI…

A leurs côtés, Odette apprend, assimile, travaille, essaie, se teste, esquisse. Son travail évolue d’année en année. Passant de la peinture figurative à l’abstraction que son second époux, hélas aujourd’hui disparu, ne percevait pas trop, voire à l’expressionnisme abstrait. Tel que le conçoit l’école de New York, source d’inspiration. Elle qui affectionne aussi en s’en nourrissant des toiles de PICASSO, BACON, BASQUIAT, ROTKO…Que du lourd dans ce registre des créateurs intemporels !

« J’ai toujours aimé leur impression de force et de vitalité, admet-elle tout sourire, leur grande liberté et leur richesse créative… ».

 

 

Une impérieuse nécessité de fonctionnement

 

La passion, toujours et encore, dont elle ne se départit pas. Même quand elle présente l’un après l’autre ses tableaux en les commentant à quelques visiteurs ayant osé braver leur timidité pour pénétrer dans cette enceinte artistique de renom, que le maire de Gurgy Jean-Luc LIVERNEAUX et sa fidèle collaboratrice, Ludivine ALLIOT, poussent en avant.

« Peindre ou dessiner reste  une impérieuse nécessité de fonctionnement dit cette charmante personne qui adore les chats et vénère la nature.

Une nature à qui elle rend hommage. Sur toile, évidemment. On y voit des troncs léchés par les flammes incandescentes d’un incendie. Sur fond de couleurs orangées. Une façon expressive de dire stop à l’incivilité et au non-respect que l’humain entretient avec la forêt.

L’eau, ressource primordiale pour la vie sur Terre, est également magnifiée par l’artiste, établie dans l’Yonne depuis 1991. C’est beau, franchement poignant, didactique – les deux tableaux de la Garde républicaine placés côte-à-côte en version figurative ont valeur de pédagogie -, émouvant à la contemplation de ce dessin d’un homme qui, attristé sur son sort, pense à la manière du fameux personnage de RODIN et qui regarde l’avenir sur la séquence suivante pour mieux l’appréhender, vivifiant avec ces paysages nimbées de coloris éclatants…

Bref, une exposition à découvrir de suite pour mieux comprendre qu’un artiste se doit ne jamais transiger avec soi-même au risque d’y perdre sa liberté de création. Une liberté imaginative qu’Odette LACAZE-BERNARD a su conserver tout au long de cette belle carrière…

 

En savoir plus :

Exposition vente d’Odette LACAZE-BERNARD

Espace culturel de Gurgy

Du 04 novebre au 03 décembre 2023

Entrée gratuite

Les mercredis, samedis et dimanches de 14h à 18 h

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Sommes-nous tous désormais intoxiqués et dépendants à la technique ? Oui, ce n’est plus un fait établi, c’est une certitude avérée ! D’ailleurs, une étude mené par le centre de recherche de l'institut  Rafael en partenariat avec l'observatoire Santé PRO BTP, l’atteste, chiffre à l’appui : 97 % de nos compatriotes estiment consacrer beaucoup trop de temps aux ordinateurs et aux écrans, en règle générale !

Ouf, voilà enfin une once de jugeote mais cela ne change rien à la problématique du reste ! C’est bien de le reconnaître mais cela n’évite absolument pas cette incurie qui n’est autre qu’une intoxication qui vire à l’indigestion totale, pour ne pas dire à l’addiction complète !

Pensez donc ! Dès potron-minet, quand il ne s’agit pas de la nuit entière – aussi blafarde qu’un écran 22 pouces où les images auraient totalement disparu – et pour le reste de la journée, certaines et certains de nos semblables – ce n’est pas possible, « elles » et « ils » ne nous ressemblent pas à ce point- là ! – vivent, respirent, mangent, travaillent, dorment (s’ils le peuvent encore malgré les maux de tête, les brûlures dans les rétines et des insomnies à n’en plus finir), raisonnent, se meuvent…en technologie numérique !

Purée, cela fait peur ! La France des cerveaux est devenue au fil des décennies la France des robots et des accros qui ne peuvent rien faire ni dire ni agir ni penser sans se soumettre à leur écran d’ordinateur, de tablette, de smartphone, voire encore de leur téléviseur pour les plus anciens d’entre nous. Puisque on le sait, les trentenaires et autres « milléniums » se passent très volontiers de cet ustensile de distraction que l’on appelait jadis une télévision ! C’est vrai, chez certains de ces ados totalement immergés dans leur monde virtuel, une télé n’est autre qu’un Minitel mais en plus grand ! Vu et entendu : aïe, aïe, aïe, bonjour les neurones !

 

 

L’addiction numérique poussée vers l’absurde !

 

C’est pourtant vrai, qu’il est très agréable de se lever le matin en posant le pied gauche de préférence sur le parquet de sa chambre en vérifiant immédiatement s’il y a toujours de la connexion sur le portable – on ne sait jamais, la nuit, certaines entités fantomatiques pourraient se nourrir de cette énergie pour subsister dans leurs hantises ! – afin de découvrir le flot d’informations nébuleuses et mortifères qui inondent à grands coups de notifications sonores ledit appareil, de consulter les yeux encore embuées de sommeil ses messages mails et SMS qui la plupart du temps sont soit un rappel à l’ordre intrusif de votre vie professionnelle qui vous tend les bras pour les heures à venir, soit ne servent strictement à rien, au niveau informatif avant de se mouvoir, encore vêtu de son pyjama, vers la cuisine pour y prendre son petit-déjeuner !

 

 

Remarquez, vous n’avez pas encore franchi la porte de la cuisine que déjà vous vous précipitez vers l’écran du téléviseur dans le salon, cette fois, avant d’en allumer l’une des chaînes en boucle pour mieux pouvoir se gorger d’immondes nouvelles venues des quatre coins de la planète, mauvaises comme de bien entendu à grand renforts de meurtres, assassinats, attentats, guerres, menaces nucléaires, destruction des peuples, catastrophes naturelles, et qui pourraient vous donner la nausée avant d’avaler thé ou café. Dans la salle de bains, on sera accompagné de sa tablette pour y vivre les ultimes péripéties de sa série sur Netflix ou Disney + en cours.

Dis « Monsieur Apple ou Samsung, tu ne pourrais pas les faire waterproof tes tablettes, ordinateurs et autres portables pour que je puisse en profiter à loisir sous la douche ?! »…

Et ceci n’est que le début de la journée, évidemment.

 

 

Un monde dépourvu de supplément d’âme

 

Inquiétant, n’est-ce pas ? Mais, malheureusement, cette sinistre réalité est vécue par 97 % des Français qui considèrent passer trop de temps devant les écrans. Même si – cela pourrait nous rassurer quelque peu – 92,5 % de la population hexagonale possède un accès à Internet.

Moralité, il ne reste plus grand monde dans ce pays qui ne soit pas encore contaminé par le virus numérique qui se répand plus vite que notre ombre et la COVID réunies ! 

Bon, soyons sérieux. A l’heure où la 5G se propage progressivement dans les grandes agglomérations, à l’heure où la nécessaire fibre optique gagne de plus en plus terrain sur l’ADSL, à l’heure où l’intelligence artificielle est capable de ressusciter et purifier la voix de John LENNON pour en faire, associée aux prestations vocales et instrumentales de ses trois autres complices, l’ultime tube des BEATLES à paraître en 2023, à l’heure où les progrès scientifiques puisent leurs ressources dans les miracles de la technologie et des DATA, il serait inconvenant de faire la fine bouche devant tant de prouesses, indispensables à l’humanité.

Toutefois, l’accélération de l’incivilité, de l’individualisme, de la permissivité imputable à l’existence de ces mondes connexes – metaverse – et virtuels ne peuvent qu’engendrer si l’on n’y prend pas garde vers le déclin de la pensée et de l’intellectualisme. La chaleur humaine et la relation à l’autre, aussi. Bref, un monde dépourvu d’âme…

Qu’il s’agisse de réseaux sociaux (« asociaux » serait le terme le plus approprié à utiliser au vu de ce qu’il en découle réellement au quotidien), de jeux de hasard faisant miroiter fortunes et gains à tous les étages, de jeux vidéo qui plongent ses aficionados vers des mondes imaginaires où ils sont parfois les héros surarmés et immortels tuant tout ce qui bouge, des jeux d’argent en ligne où l’appât du gain attire jusqu’aux allocataires du RSA… : il y a manifestement danger à trop les pratiquer.

Pourtant, la France n’est que le quatorzième pays de l’Union européenne à être pourvu en accessibilité à Internet. C’est dire si le problème addictif de l’usage des écrans  est devenu mondial – cela concerne majoritairement les jeunes générations mais pas que – et affole dans leurs alcôves spécialistes de la santé, enseignants, éducateurs, psychologues, ainsi que les parents.

Ce n’est pas tout de constater qu’on use et qu’on abuse de trop d’écrans dans son quotidien, pour y accomplir diverses tâches. Il serait bon d’y ajouter aussi de salvateurs remèdes et sortir de cette frénésie absurde où même les vieux couples se retrouvant dans une salle de restaurant passent plus de temps à pianoter sur leurs smartphones austères et froids sans se dire un mot, que de simplement se parler et se conter fleurette. Où est donc le romantisme d’antan ?!

Ces comportements numériques, addictifs, voire totalement maladifs pour certains ne sont finalement que le reflet de notre société actuelle, dite « civilisée », faite de désamour et de déshumanisation. Un précipice vers l’abîme…

Bonne lecture : moi, je retourne devant mon écran pour y rédiger l’article suivant !

 

Thierry BRET

 


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C’est un véritable pavé dans la mare qui nous est proposé de découvrir. Au bout des 448 pages de cet opus publié en 2022, on en aurait presque des frissons dans le dos, tant la réalité nous dépasse, nous autres pauvres mortels. Tout savoir sur le financement occulte, ou pas, du terrorisme à travers un abécédaire bien ficelé. Un sujet brûlant qui revient en tête de gondole de l’actualité en ces moments troubles, entre la série d’attentats perpétrés en Europe par des loups solitaires radicalisés et la nouvelle guerre au Moyen-Orient. Invitée de l’UDI 89, la sénatrice Nathalie GOULET, auteure de ce livre, aura tenu en haleine un auditoire, certes peu nombreux, mais passionné par une thématique à fleur de peau…

 

APPOIGNY : Elle n’a pas froid aux yeux, la sénatrice de l’Orne, Nathalie GOULET. Et sa relative désinvolture lors de ses prises de parole face au public n’en enlève rien de sa témérité. Ni de son courage. Elle qui a osé enquêter et publier un vrai brûlot, empli de vérités, sur l’un des sujets majeurs de ce siècle : le terrorisme et ses multiples moyens de financement. A terme d’une très longue investigation, la pensionnaire du Palais du Luxembourg – elle a renouvelé son bail en juin dernier pour un troisième mandat – révèle des choses qui sont inquiétantes, surprenantes, pour ne pas dire édifiantes !

Son livre, se présentant sous la forme d’un copieux abécédaire, traite du financement – des financements devrait-on dire pour être exact – du terrorisme. Un passage en revue détaillé, contenant moult exemples, des principaux stratagèmes financiers qui sont utilisés par les terroristes afin de continuer leurs combats à travers la planète. Surtout contre l’Occident. Car, ici comme ailleurs, le nerf de la guerre – sans jeu de mot, bien sûr ! – c’est l’argent !

 

Contribuons-nous à financer le terrorisme sans le savoir ?

 

Parmi les items qui animent d’ordinaire le travail de cette vaillante sénatrice au quotidien avec les élus de proximité de son territoire normand : la défense de la ruralité, la maîtrise de la dette publique. Mais, il y a aussi la sécurité et la lutte contre la fraude sociale et fiscale. Des domaines qui ne pouvaient que la faire basculer intellectuellement vers la réflexion menant à la lutte contre le terrorisme.

Au fil de la causerie, devant un parterre d’élus et de sympathisants de l’UDI de l’Yonne, organisatrice de ce rendez-vous qui aurait mérité plus ample présence parmi le public, Nathalie GOULET nous estomaque. Ses révélations frappent au foie. Bing, et cela fait mal à attendre avec cette lancinante question : « et si vous financiez le terrorisme à votre insu ? ». Même son homologue, Dominique VERIEN qui anime la conférence semble ébranlée par tant d’arguments.

 

 

Même la crypto-monnaie est dans le collimateur

 

Aujourd’hui, les réseaux terroristes qui développent de plus en plus la pratique des attentats low-cost, peu coûteux en moyens humains et financiers, s’appuient sur le commerce d’objets d’art, les cagnottes en ligne, la contrefaçon, les crédits à la consommation (ben, voyons dirait ZEMMOUR !), le trafic en tout genre, même celui du chocolat dans la bande de Gaza, à l’épicentre de l’actualité depuis le 07 octobre. Des canaux d’alimentation financiers qui sont devenus insoupçonnables pour le grand public mais qui se révèlent très fructueux pour faire tourner la pompe à fric à plein régime afin d’acheter les armes et faire fonctionner le système logistique. Un constat de la part de la parlementaire : « Remonter jusqu’aux réseaux organisés n’est pas une mince affaire… ».

Comment alors endiguer ce phénomène mouvant et opportuniste ? Comment lutter avec efficience contre la fraude ? Que faire contre l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent ?

Réponse de l’intéressée : « la question du financement est centrale. Même si on est passé d’un terrorisme d’état voyou au terrorisme low-cost. A titre d’exemples, celui du 14 juillet à Nice aura coûté la simple location d’un poids lourd. Celui du Bataclan est estimé à 8 000 euros. Certaines mosquées pratiquent sous la forme de dons obligatoires le blanchiment d’argent. N’oublions aussi que la crypto-monnaie est sous la loupe des observateurs depuis 2020, car ce système finance lui aussi le terrorisme… ».

 

Les aberrations de l’Europe sur les notions de radicalisation

 

On aura donc compris qu’en multipliant les activités illicites, le fléau de ce siècle (mais aussi du précédent) se nourrit de la délinquance financière à haute dose. Et qu’il est temps de tirer la sonnette d’alarme à l’échelle mondiale.

« Il faudra prendre un jour ou l’autre les mesures qui s’imposent, ajoute Nathalie GOULET, il est nécessaire que les lois soient appliquées et que le respect du droit républicain (laïcité) ne soit plus bafoué… ».

Quid alors du droit d’asile en ces périodes troubles de grande mutation civilisationnelle ? « Je vous rappelle que des migrants accueillis dans des camps de réfugiés en Grèce en attente de déplacement vers l’Europe ont applaudi à la connaissance des massacres perpétrés par le Hamas sur le sol d’Israël… ».

Un débat passionnant et passionné qui fut proposé là, à l’initiative de l’UDI 89, qui aura révélé la méconnaissance du plus grand nombre envers ces trafics et autres moyens de blanchiment d’argent, sans omettre les aberrations existantes en Europe (et en France) sur les notions de radicalisation. Pas de quoi nous rassurer, en vérité !

 

Thierry BRET

 


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Avec une certaine solennité, il appose sa griffe au bas du document, sous le regard bienveillant du préfet de l’Yonne Pascal JAN, invité de la session. Une séance peu ordinaire puisque la communauté des « Entreprises qui s’engagent » de l’Yonne s’enrichira d’ici un instant de nouveaux membres dont le responsable départemental du réseau de recrutement, « Mercato de l’Emploi » Philippe BOUVEAU. L’un des nouveaux signataires de cette structure qui, animée par la Chambre de Commerce et d’Industrie, voit progresser son effectif…

 

AUXERRE : Il est un peu crispé, Philippe BOUVEAU ! Le dirigeant du « Mercato de l’Emploi », appellation originale de la société de recrutement qu’il représente sur l’Yonne à l’inspiration sémantique portée sur le football, s’avance à la tribune. Il succède ainsi au précédent signataire de la convention. A ses côtés, Pascal JAN. C’est toujours très impressionnant de poser pour la postérité en présence d’un haut fonctionnaire de l’Etat qui a pour mission de statuer de manière officielle sur l’engagement d’un nouvel impétrant !

Car, c’est bien de cela dont il s’agit. En rejoignant le club des « Entreprises qui s’engagent », illustration départementale de ce qui se décline désormais aux quatre coins de l’Hexagone sous l’impulsion de l’Etat afin de dynamiser l’économie via sa principale courroie de transmission qu’est l’entrepreneuriat, Philippe BOUVEAU sait au fond de lui, et sous le regard d’une salle pleine comme un œuf, remplie de chefs d’entreprises et de représentants des milieux institutionnels que son geste n’est pas fortuit.

 

Privilégier le partage des expériences et les actions communes

 

Comme lui, d’autres viendront tour à tour à la demande du maître de cérémonie habituel, Jean-Pierre LANTERNIER, animateur hors pair de ce club placé sous la responsabilité de la Chambre de Commerce et d’Industrie, parapher ce document officiel. Certains avec une légèreté et le sourire dans l’allure, d’autres comme Philippe BOUVEAU qui demeure plus concentré sur cet instant capital.

Tant pour la structure professionnelle dont il est le porte-voix sur le territoire de l’Yonne depuis peu de temps – le réseau hexagonal « Mercato de l’Emploi », entité organisée en parfaite osmose entre recruteurs et entrepreneurs qui officie dans l’Yonne depuis quelques mois – que pour sa propre promotion.

Signer ce certificat d’engagement possède un certain nombre de valeurs. D’une part, cela oblige le signataire à développer la découverte de l’entreprise vers le plus grand nombre pour bien en informer sur ses tenants et les aboutissants. D’autre part, en qualité d’adhérent du club, la nouvelle structure signataire participe à l’ensemble des réunions – celles-ci sont assurées par la CCI de l’Yonne – en privilégiant le partage et les actions communes. Un espace de coopération à tiroir qui n’est pas pour déplaire à Philippe BOUVEAU, qui souhaite initier davantage de relationnel dans sa stratégie à l’avenir.

 

Jouer un rôle plus citoyen et sociétal avec la réalité économique

 

Le credo de ce dispositif ayant vu le jour avec la bénédiction de l’Etat – un GIP, soit un groupement d’intérêt public - demeure l’accessibilité de l’emploi à tous. Du moins, au plus grand nombre, en vérité.

Aujourd’hui, le club des « Entreprises qui s’engagent » accueille en son sein près d’une cinquantaine de structures professionnelles sur le territoire icaunais qui ont pris pour cible différents domaines de l’inclusion, via des actions menées en faveur de la lutte contre l’illettrisme, l’illectronisme, voire au bénéfice des personnes en situation de handicap ou des réfugiés.

Autre subtilité, et ce n’est pas la moindre, des relations novatrices ont vu le jour entre le milieu entrepreneurial et l’Education nationale. Il était grand temps de construire des passerelles entre ces deux mondes !

Bref, autant d’éléments de premier choix qui résonnent aux oreilles de Philippe BOUVEAU qui ne regrette nullement le fait d’avoir signé un document lui permettant dorénavant de jouer un rôle plus citoyen et sociétal en phase avec la réalité du monde économique…

 

Thierry BRET

 


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