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Son attachement pour l’essor de l’économie en circuit court ne date pas d’hier. D’ailleurs, le patron de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, jamais avare sur ce sujet une fois qu’il est lancé, n’a jamais caché ses appétences pour les actes de consommation qui privilégient la qualité à la quantité, le local au mondialisé, le personnalisé au standardisé. Ce franc retour de nos modes consuméristes vers la proximité le réjouit. Une exigence qu’il défend bec et ongles au quotidien…

AUXERRE : Avec ses collègues de la toute nouvelle mouture de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté (une configuration institutionnelle qui a vu le jour au 01er janvier), Jean-François LEMAITRE est devenu l’archétype même du défenseur investi de l’économie de proximité à 100 % !

Ne comprenant pas les motivations personnelles de celles et ceux de ces consommateurs qui se tournent vers une ultra consommation totalement hors sol et désincarnée (si, si cela existe encore !), le dynamique président de la chambre consulaire départementale vante les mérites des circuits courts. Pas un de ses discours officiels qu’il est amené à prononcer ne peut se soustraire à ces références vertueuses.

D’ailleurs, il se dit ravi de cette fusion intéressante des chambres de Bourgogne et de Franche-Comté qui vont permettre à brève échéance de coordonner des actions au niveau de la grande région.

 

 

Des ententes qui lui tiennent à cœur…

 

Et en particulier, une qui lui tient à cœur mais qui n’a pas encore été éventée de manière opérationnelle la mise en œuvre d’un outil au service du développement local. Son entente cordiale avec le président Emmanuel POYEN devrait faciliter une présence forte et engagée de ce nouvel organe régional y compris sur le territoire de l’Yonne.

Autre entente qui a tout l’air de fonctionner avec harmonie et efficience, c’est la Chambre économique de l’Yonne. Un auxiliaire précieux et utile favorisant le rapprochement et sur la même longueur d’ondes des trois partenaires institutionnels que doivent être, au-delà d’une simple feuille de route, le monde agricole, celui du commerce et de l’industrie et bien sûr celui des métiers et de l’artisanat.

 

 

 

A ce titre, la dernière opération mutuelle concoctée en début d’année au moment des vœux, avec la présence de l’économiste Nicolas BOUZOU, fut une entière réussite.

« J’ai immédiatement trouvé que ce projet conjoint possédait du sens, explique Jean-François LEMAITRE, que vous soyez commerçant, agriculteur, artisan, vous avez un dénominateur commun qui est le fait d’être un dirigeant d’entreprise. Sans oublier que le territoire où vous intervenez à titre professionnel est le même dans la plupart des cas… ».

 

Œuvrer à la création d’entreprises durables…

 

La philosophie du président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne n’occulte pas la problématique de l’emploi. Bien au contraire !

Il renchérit : « faire évoluer nos modes de vie pour consommer mieux et local, c’est contribuer à créer de l’emploi pérenne sur son lieu de vie. Et surtout permettre aux entreprises de former des jeunes qui resteront fidèles à ce département. Ils y prendront confiance grâce au travail et ne partiront pas… ».

C’est peut-être là, la clé du véritable problème qui en préoccupe plus d’un. Quant à la situation de l’artisanat, notre interlocuteur se montre plutôt confiant et réaliste dans ses propos.

« Malgré leur taille modeste, les entreprises artisanales se réforment, innovent et proposent de nouvelles solutions face aux défis environnementaux. Prenons l’exemple des artisans du bâtiment. Ils mettent en œuvre des matériaux plus performants et respectueux de la nature. Ceux de la production créent des produits de qualité, plus durables, et surtout réparables.

Quant aux professionnels des métiers de bouche, ils mettent l’accent sur la traçabilité et les circuits courts. Enfin, les professionnels du service limitent leur consommation énergétique en gérant mieux leur impact environnemental… ».

Bref : une vision des choses idyllique. Mais, bien réelle. La base de tout, en revanche, demeure la formation. Jean-François LEMAITRE insiste sur ce dernier point : sans elle, pas de salut.

« L’été dernier, dans une volonté de simplification, le gouvernement a choisi de supprimer l’obligation de suivre un stage de formation préalable en entreprise. Mais si l’obligation n’existe plus : la nécessité demeure au quotidien… ».

L’offre de services aux créateurs et repreneurs d’entreprise a été relookée en profondeur. Pour que chacun puisse trouver chaussure à son pied à travers la formation, le conseil et l’accompagnement propres à la réussite de tout projet…Immanquablement, de proximité !

 

 

 


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Les prix se nomment « Trophée Egalité ». Ils seront décernés dans la seconde partie de matinée du jeudi 20 février lors d’une cérémonie protocolaire qui verra la présence de la rectrice de l’académie de Dijon et d’un représentant de l’Etat.

AUXERRE : Accueilli dans l’enceinte du lycée des métiers Vauban, le futur évènement se peaufine déjà depuis quelques semaines pour celles et ceux qui en assument la logistique et l’organisation.

Ce moment fort de la vie éducative de notre territoire bénéficiera de la participation de Nathalie ALBERT-MORETTI, rectrice de l’Académie de Dijon. Cette dernière a, en effet, confirmé qu’elle effectuerait le déplacement depuis la capitale régionale pour assister à cette remise honorifique de récompenses.

Après la phase des discours officiels, les projets des différents lauréats profiteront de cinq minutes d’explication afin de mieux s’en imprégner.

Une fois le déjeuner avalé (il est servi sur place), un temps de visite sera proposé pour les élèves, les personnels des autres établissements présents et les invités.

Rappelons que ces Trophées Egalité avaient été décernés lors du colloque consacré aux femmes et les métiers du vin, en mai dernier. Sous la houlette de Claire DUCHET, déléguée départementale de l’association FETE (Carrefour des métiers au féminin), la manifestation avait réuni une vingtaine de professionnelles issues du milieu viticole (viticultrices, cavistes, négociantes, guides touristique…) autour de la question de l’insertion professionnelle des femmes dans ce secteur d’activité.

Les services académiques n’avaient pas manqué de décerner leur coup de cœur de ces trophées égalité/mixité à cette initiative pertinente du lycée Vauban…

 

Les lauréats de ces Trophées Egalité sont :

Côte d'Or : collège Paul Fort à Is-sur-Tille,

Nièvre : collège Henri Wallon à Varennes-Vauzelles,
Saône-et-Loire : collège Victor Hugo à Lugny,
Yonne : lycée Jacques Amyot à Auxerre.
Notons que le prix Coup de cœur reviendra à l’hôte de cette manifestation, le lycée des métiers Vauban à Auxerre, dont la proviseure n’est autre que Capucine VIGEL.

 

 

 


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Le projet soutenu par le syndicat de l’immobilier national aurait-il du plomb dans l’aile après la décision prise par son président Jean-Marc TORROLLION de le suspendre contre toute attente ? Une réunion de travail à l’initiative de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a permis d’effectuer un point précis autour de la faisabilité de ce projet. Une étude approfondie de son impact pourrait aider à sa continuité selon le dirigeant de la FNAIM qui reste néanmoins convaincu de son opportunité…

PARIS : Est-ce un retrait définitif ? Une nette reculade ? Un renoncement mûri et réfléchi ? A la lecture du communiqué de presse transmis par la puissante fédération nationale de l’immobilier (FNAIM), rien de tout cela, en vérité.

La décision de suspendre la création du fichier des incidents de paiements locatifs qui avait provoqué quelques remous il y a peu ressemble plus à un ajournement plutôt qu’à une fin de non-recevoir nette et définitive.

L’explication de Jean-Marc TORROLLION, président de l’institution nationale, est donnée sans l’once d’une ambiguïté : « En l’état des conditions techniques actuelles, nous ne pouvons créer un fichier des impayés locatifs… ».

Du temps sera donc nécessaire. Avant que ne soit programmée la probable mise en exergue de ce système, fait avec professionnalisme et exigence selon le responsable de la FNAIM.

Il aura fallu cette rencontre avec les membres de la CNIL pour accoucher de ce choix qui aura surpris les observateurs. Toutefois, la FNAIM d’ajouter que « son intention a toujours été d’agir dans le strict respect des normes en vigueur (aucun obstacle juridique ne s’y oppose en réalité) au bénéfice d’une plus grande confiance entre propriétaires et locataires, indispensable pour améliorer la fluidité du marché locatif et lutter contre la vacance… ».

 

 

Ce fichier, décrié par les associations de défense des locataires, n’a pas pour objectif de répertorier les accidents de la vie mais de circonscrire le risque de non-solvabilité pour les propriétaires.

La FNAIM justifie sa création pour préserver les garanties des bailleurs qui n’ont cessé depuis vingt ans de voir amoindrir leurs intérêts : dépôt de garantie divisé par deux, suppression du cumul Garantie loyer impayé/cautionnement personnel, abandon de la clause pénale forfaitaire, rallongement des délais de procédure…

Jean-Marc TORROLLION conclut son message à la presse par un rectificatif, un démenti qui exclut tout engagement de la part de la FNAIM d’être liée avec une société spécialisée dans le traitement des données (ARTHEL) ni de posséder de quelconque lien capitalistique et juridique dans ce projet.

Bref : ceci étant précisé, le temps de la concertation commence à la FNAIM, ouverte à tout type de solutions permettant de rétablir la confiance entre propriétaires et locataires…

 

 

 


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La sécurité, on le sait, n’a pas de prix. Ni la protection de la ressource humaine sur le lieu de l’emploi. En l’espace d’une petite décennie, le nombre d’accidents au travail a chuté de façon vertigineuse pour la filiale icaunaise du groupe MICHELIN. Une division par dix ! Quant à la cohabitation, d’ordinaire si problématique entre les chariots élévateurs à fourche et les salariés qui évoluent à pied parmi les ateliers, elle n’apparaît désormais plus une problématique ingérable. Grâce à une approche intelligente, ordonnée et pédagogique applicable au quotidien…

AVALLON: Certes, on ne peut se déplacer au cœur de l’immense site industriel de rechapage de pneumatiques qu’en ayant pris au préalable un minimum de précautions lorsque l’on est un visiteur externe. Logique, en somme ! Mais, aujourd’hui, les collaborateurs de Pneu LAURENT qui s’affairent au quotidien sur leurs postes de travail se sentent également en parfaite sécurité.       

La mise en place d’un certain nombre d’initiatives adaptables à la configuration du site industriel aura permis de résoudre un vrai sujet de fonds : celui des risques d’accident. Non seulement, la préservation du personnel est assurée mais en outre les résultats de la structure s’en sont trouvés améliorer. Une forme de pratique de l’excellence, profitable à tous.

Chantre de cette optimisation de la sécurité à ne jamais négliger, Arnaud MALECAMP, directeur du site avallonnais, se dit satisfait par les résultats engrangés de ces expériences positives.

Le premier item dont il fallait en priorité résoudre les effets négatifs se rapportait à la circulation des fameux chariots élévateurs à fourche au sein des ateliers. Indispensables auxiliaires de locomotion pour éviter le poids de charges trop lourdes à l’humain, ces petits engins à la motricité très versatile peuvent parfois se mouvoir sans que les piétons s’en aperçoivent réellement, concentrés sur leurs opérations professionnelles.

 

 

Le piéton est prioritaire sur l’engin dans les règles de circulation…

 

Des cycles de formation à la sécurité ont ainsi vu le jour dans l’entreprise. Les 420 salariés ont pu prendre pleinement conscience des dangers pouvant exister en cas de négligence.

Un plan de circulation a été instauré dans les ateliers avec une signalétique spécifique au sol. Chose paradoxale et contraire à certaines autres habitudes industrielles : le piéton est, ici, prioritaire par rapport à la mobilité de l’engin. Celui-ci ne peut par ailleurs pénétrer sur des secteurs clairement identifiés tant que le personnel à pied s’y trouve.

Sans doute, la direction générale du groupe MICHELIN s’est-elle appuyée dans ses préconisations sur les conclusions alarmantes de deux rapports d’enquête émanant de la CNESST, la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail.

Ces études font état d’accidents graves survenus dans le milieu industriel à la suite du renversement d’un chariot élévateur, d’une part, et de la cohabitation difficile entre piétons et engins, d’autre part.

 

 

 

Depuis, les caristes ont reçu de nombreuses consignes sécuritaires dans le cadre de leur travail. Dans le cas de collision avec du personnel à pied où les informations divulguées ont été très précises.

Par exemple, il faut savoir que le poids d’un chariot élévateur équivaut à environ six voitures automobiles. Conséquence : si un piéton est heurté par ce type d’engin très mobile, il y a peu de chance pour qu’il puisse s’en sortir indemne. Sans omettre que la charge transportée par l’appareil risque aussi de tomber sur le salarié.

Chez Pneu LAURENT, comme devait le préciser Arnaud MALECAMP lors d’une visite du site par les entrepreneurs du réseau Entreprendre Bourgogne, différentes solutions ont été ainsi déclinées pour réduire les risques au maximum.

Ainsi, dans les ateliers, des zones de travail ont été dédiées à la circulation des chariots élévateurs. Laissant le passage aux piétons par le biais de corridors. Ces mesures se sont accompagnées d’installation de barrières de sécurité facilitant la diminution des dommages.

Bref, tous les vecteurs favorables à la sécurité ont été développés. Ils sont complétés par des séances régulières de rappel informatif des normes spécifiques. Pour que l’humain et les machines cohabitent du mieux possible. Et sans aucune anicroche…

 

 

 


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Homme affable et engageant, ce professionnel de l’hôtellerie est particulièrement apprécié dans le sérail Icaunais. Mais, sa relative discrétion n’a d’égale que son implication sans borne qu’il voue au milieu du football (sport qu’il vénère) depuis tant d’années. Pourtant, le président de l’Association AJA Football a été, ces dernières semaines, l’une des chevilles ouvrières incontournables des négociations menées avec les représentants de la société AJA. Celle-ci, présidée par Francis GRAILLE, comprend dans ses rangs, un actionnaire de poids qui n’est autre que l’entrepreneur Chinois, le milliardaire James ZHOU, dirigeant de la société ORG…Il a fallu composer pour obtenir des résultats tangibles !

AUXERRE : Les nuages qui s’étaient amoncelées au-dessus de l’Abbé Deschamps depuis une période interminable ont disparu. Totalement. Comme par magie et par enchantement !

Les tensions qui avaient cours et qui étaient sous-jacentes, voire palpables, dans le cénacle de ce temple du football, sacré pour les Icaunais, n’ont plus lieu d’être. Elles se sont estompées après moult efforts et de fructueuses tractations entre les différentes parties prenantes.

Désormais, l’aube d’une ère nouvelle se dessine. Et cela sied à ravir à l’interlocuteur du jour, l’une des clés de voûte de cet univers footballistique régional, le président de l’association AJA Football, Alain GEHIN.

L’homme, même s’il intègre le club restreint des personnalités emblématiques de cette discipline, aime la discrétion. Rares sont ses paroles dans la presse. Mais, là, satisfait de la configuration des choses, il a choisi de s’épancher davantage. Sans doute pour montrer sa soif de nouvelles espérances. Montrant aussi que les atermoiements et les doutes ne se marient pas avec les réussites des relations humaines.

Obtenant l’aval du conseil d’administration d’une structure associative vieille de plus de cent ans, Alain GEHIN prit soin alors d’entamer un cycle de négociations avec le président Francis GRAILLE il y plus de douze mois. Celui-ci représentait également les intérêts de l’actionnaire majoritaire du club, James ZHOU.

« Lorsque nous avons débuté ces rencontres de concertation, explique-t-il, il figurait sur la feuille de route plusieurs éléments à négocier… ».

 

Obtenir des garanties avant de prendre des décisions positives…

 

La première des choses à pérenniser demeurait l’association : une institution inaliénable à l’existence du club. Encaisser le loyer, payé d’ordinaire par le club professionnel à l'association afin de pouvoir jouir d’une visibilité à cinq ans sur ses actions, a ainsi été accepté. De même, la vente de terrains placés sous les tribunes et les lieux d’entraînement fut autorisée.

« On a accepté cela à condition que le rectangle vert (la pelouse) qui est notre propriété ne soit pas cédée. Autre condition : il nous fallait également l’assurance que le terrain où figure l’entrée de l’école de football, appartenant à la Ville, ne soit pas vendu. Nous avons obtenu des garanties écrites du maire, Guy FEREZ, en ce sens… ».

In fine, ce sont trois hectares de terrain sur un total de treize hectares qui changeront ainsi de main et reviendront au bénéfice de la SAS, au sortir de ces négociations.

Conséquence : les travaux de sécurisation des tribunes et l’accès aux personnes en situation de handicap, exigés par la préfecture, purent être pris en charge par la SAS. Cette dernière était partante à leurs conceptions à la seule condition d’être propriétaire desdits terrains sur lesquels avaient été construits ces édifices.

« En fait, révèle Alain GEHIN, comme je souhaitai une décision unanime de la part du conseil d’administration de l’association, cela fut plus nettement compliqué que prévu à obtenir… ».

Il aura fallu tout le sens relationnel, l’imaginaire et le tact du président associatif pour que le légendaire coach de l’AJA, Guy ROUX, et Francis GRAILLE terminent ce qui avait été commencé dans le petit bureau professionnel de l’hôtelier, au bout de près d’une heure et demie de palabres constructives !

 

 

Un ballon de baudruche qui se dégonfle

 

Rasséréné, Alain GEHIN compare cet état de fait à un « ballon de baudruche à plat qui se serait dégonflé d’un seul coup » !

Mais, un bonheur ne venant jamais seul, et à la période des vœux, Francis GRAILLE a pris l’initiative, après l’avoir proposé au président GEHIN, de baptiser la tribune principale du stade, au nom de l’incontournable entraîneur au célèbre bonnet. Seul l’intéressé ne fut pas au courant de la chose !

Aujourd’hui, le retour au calme s’annonce prolixe pour mettre en exergue de nouveaux projets.

« Je souhaite travailler davantage avec la SAS, explique  Alain GEHIN, avoir des liens plus étroits avec la gouvernance du club. Nous jouons pour le même maillot et apporter notre aide au devenir de ce club sportif qui nous est cher est plus que naturel… ».

Ainsi, prochainement, devait voir le jour un comité organisationnel regroupant des membres de l’association et ceux de la SAS en vue d’harmoniser idées et suggestions dans l’intérêt commun. Le ciel est au beau fixe au-dessus du complexe sportif auxerrois…

 

 

 

 


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