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Un bonheur ne vient jamais seul précise l’adage ! Au début de l’été, Emmanuel VEY ajoutait à son cursus la direction générale du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne. Remplaçant de fait l’une de ses figures charismatiques Jacques KERMARREC. Coup double pour le professionnel : il succède depuis peu à Jean-Pierre DERAMECOURT au Comité régional des banques de la FBF Bourgogne Franche-Comté. Un mandat présidentiel qui court sur deux ans…

DIJON (Côte d’Or) : 2020 n’est pas synonyme de sinistrose pour le directeur général de la Banque verte sur le territoire de Champagne-Bourgogne. Même si dans le cas présent, le professionnel étend ses prérogatives à la Franche-Comté qui n’est pas intégrée, d’ordinaire, dans sa zone d’influence habituelle.

C’est par le biais du Comité régional des banques à l’estampille FBF (Fédération Bancaire Française) qu’Emmanuel VEY va donc imposer sa stature de nouveau personnage incontournable de la sphère financière territoriale.

Nommé directeur général du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne au début de l’été, Emmanuel VEY succède à une autre figure de ce milieu corporatiste qui aura tenu les rênes de la vénérable institution Jean-Pierre DERAMECOURT, président du directoire de la Caisse d’Epargne Bourgogne-Franche-Comté.

Nommé par ses pairs pour une mandature de deux ans, le dirigeant du Crédit Agricole se dit très honoré de représenter la profession bancaire qui compte à ce jour 11 000 salariés sur ce secteur géographique.  

 

 

Une organisation professionnelle relais des actions de la FBF…

 

Apparue en 2001, la Fédération Bancaire Française représente aujourd’hui les intérêts de 340 établissements français et étrangers qui exercent leur activité dans l’Hexagone. Elle dispose d’un réseau de cent-trois comités régionaux et départementaux, à l’instar de celui dont a hérité en Bourgogne Franche-Comté Emmanuel VEY au niveau de la gouvernance. Son rôle est d’aborder toutes les questions réglementaires bancaires et financières sur tous les sujets relatifs à la place de la banque dans l’économie et la société. Rappelons que le secteur emploie 360 000 collaborateurs aujourd’hui.

Il existe 1 200 agences bancaires réparties sur les huit départements de notre région.

« Nous sommes tous, avec nos spécificités, engagés dans un profond changement sociétal, a précisé Emmanuel VEY après la prise de ses nouvelles fonctions, nous sommes déterminer à jouer un rôle moteur pour aider l’économie locale à se réinventer… ».

Un rôle essentiel, il va s’en dire, pour la croissance et l’emploi qui en ont bien besoin en ces périodes troublées par la présence du coronavirus…

 

 

 

 

 


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Trois cent mille trajets avaient fait l’objet d’un remboursement lors de la première période de confinement. Un geste solidaire voulu par le groupe APRR, entre autres, à destination du personnel soignant qui était mobilisé dans la lutte contre le coronavirus. Une judicieuse initiative qui est reconduite avec la nouvelle vague de la pandémie.

DIJON (Côte d’Or) : Faciliter les déplacements professionnels des personnels soignants s’inscrit parmi les priorités actuelles des gestionnaires des réseaux autoroutiers de France. En particulier, de celles qui sont sous l’administration d’APRR, AREA, ATMB et SANEF.

Le remboursement du péage est renouvelé après la première vague sanitaire du printemps. En bénéficier est facile pour les personnels soignants. Ils peuvent solliciter le service client, dans l’exemple de notre territoire, du groupe APRR sur la référence suivante : https://contact.aprr.fr.

Les personnes n’ayant pas de badge télépéage devront présenter les attestations de péage (reçus en voie) et un justificatif d’exercice d’une profession relevant du personnel soignant.

 

 

Pour les personnes ayant un badge, les démarches sont facilitées et le remboursement sera appliqué directement sur la facture télépéage.

Cette mesure, mise en place dès à présent, s’applique à tous les trajets, en direction du lieu d’exercice et au retour au domicile.

La démarche s’inscrit dans le cadre de l’effort collectif national pour lutter contre les conséquences du coronavirus sur notre territoire.

 

 


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Une indicible peur se lit au fond des yeux de la personne malade. Alité, le matériel de ventilation placé sur le nez et la bouche pour lui procurer le maximum d’oxygène, le patient scrute avec intérêt en direction du petit groupe qui s’immisce dans l’intimité de cette unité un peu spéciale du centre hospitalier d’Auxerre. Un sursaut salvateur pour mieux se raccrocher à l’existence ? Etrange sensation que de visiter cette unité qui accueille les personnes atteintes de l’infection virale du moment : le tristement célèbre coronavirus, COVID-19…

AUXERRE : L’effervescence se conjugue à l’humilité. La crainte, aussi qui s’affiche dans les regards des profanes de ce service hospitalier qui nous ouvrira grandement ses portes dans un court laps de temps.

Les professionnels de santé, réunis dans le hall d’accueil, discutent, échangent, patientent, plaisantent avant la venue de la délégation officielle. Un temps de latence qui leur permet de faire un break. Une respiration appréciable où quelques-unes de ces blouses blanches en profitent pour se griller une cigarette salvatrice afin de mieux maîtriser leur tension nerveuse. Compréhensible avec la recrudescence accrue de la pandémie à laquelle ils doivent faire face…

Devant nous se dresse la double porte battante barrée d’une énorme signalétique interdisant tout accès aux visiteurs. Un accès qui donne d’ordinaire sur le service de cardiologie. C’est ici, en cet endroit stratégique du centre hospitalier d’Auxerre que l’unité COVID-19 a été installée. Son prolongement se situe à l’étage supérieur : le service de réanimation où une dizaine de patients reçoivent des soins plus lourds.

Quelques lits sont encore disponibles à cet instant « t ». Ce ne sera que de courte durée. Les praticiens attendent l’arrivée imminente de quatre malades en provenance de Mâcon. La préfecture de Saône-et-Loire est saturée de patients. Plutôt graves. Ses services sanitaires ne savent plus comment juguler la propagation de l’épidémie. Alors, on déleste vers les autres centres hospitaliers de la région. Là où il reste encore quelques possibilités d’accueil, à l’instar de l’établissement auxerrois.

 

 

 

Les services de la Ville à l’écoute des soignants…

 

Il faut relever le défi. Accueillir des malades afin de pouvoir leur prodiguer les premiers soins. Un challenge qui requiert pugnacité et abnégation. Un défi constant. Qui ne manquera pas de sensibiliser les officiels qui viennent de pénétrer dans l’enceinte névralgique de cet hôpital à l’atmosphère si étrange où se relaient aux côtés de patients en proie à des difficultés respiratoires les spécialistes de plusieurs disciplines : cardiologie, réanimation, chirurgie, neurologie, etc.

Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST rappellera les responsabilités de chaque citoyen dans cette « guerre » menée contre ce virus qui aura profondément chamboulé notre existence.

Le respect des gestes barrières ? « Les pratiquer au quotidien, c’est aussi respecter le personnel soignant… » soulignera avec justesse le représentant de l’Etat lors d’une brève intervention.

L’accompagnent le maire d’Auxerre et président de la Communauté de l’agglomération Crescent MARAULT, et l’un des vice-présidents du Département Christophe BONNEFOND. L’édile d’Auxerre en profitera pour adresser un message à la direction du centre hospitalier représenté par Pascal GOUIN et aux médecins :

« Les services de la Ville sont à l’écoute des besoins du corps médical et du personnel soignant pour les aspects de logistique … ».

Il faut aussi penser nécessairement à la gestion et à l’accueil des enfants des couples de praticiens ou d’infirmiers qui tentent l’impossible pour sauver des vies. En crèche ou à l’école.  

 

 

 

Le service de réanimation, cœur névralgique de la lutte…

 

Pénétrer dans l’espace qui accueille le service de réanimation où se distinguent derrière les vitres opaques de ces chambres très surveillées des silhouettes allongées dans leur lit fait froid dans le dos.

Chacune et chacun tente de ne pas trop y penser en visitant subrepticement une pièce encore vacante de tout malade. On nous explique alors le principe de la ventilation respiratoire, l’absence de soins par intubation pour le moment (peut-être un signe mais ce n’est qu’une hypothèse que la seconde vague de ce maudit virus soit moins virulente que celle qui nous a frappées au printemps).

Une chose est sûre : à les écouter attentivement, les praticiens avancent avec une grande prudence sur ce territoire inconnu bordé par la COVID-19.

Dans une petite salle, aire de détente pour de courageuses infirmières et soignantes, quatre d’entre elles s’offrent une légère pose autour d’un thé agrémenté d’une mandarine. Une image de retour à la vie plaisante pour ce petit groupe qui ne baisse pas les bras dans sa lutte au jour le jour contre cet inéluctable virus au centre de toutes les préoccupations actuelles.

Ouf ! Qu’il fait bon de respirer dehors à l’air pur, même sous son masque chirurgical, dès que l’on s’éloigne de cet endroit où des fidèles au serment d’Hippocrate font usage de leur savoir et de leur volonté pour bouter loin de nous cet ennemi invisible…

Thierry BRET

 

 

 


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Ils sont prêts, les professionnels des travaux publics. Prêts à poursuivre leurs activités malgré la période de confinement afin d’assurer la relance économique de notre pays. Prêts, également à préserver et à créer des emplois. Mais, pour cela, ils ont besoin du soutien inconditionnel des élus. Et surtout de la reprise urgente de la commande publique !

DIJON (Côte d’Or) : Les semaines se suivent et se ressemblent pour les dirigeants des entreprises de travaux publics de notre territoire. Ils ne cessent d’envoyer des messages forts à destination des collectivités locales pour que celles-ci fassent enfin bouger les lignes au niveau de la commande publique.

L’équation est simple. Pas de projets en perspective, donc pas de chantiers à assurer, avec les conséquences que l’on peut aisément imaginer au niveau de l’emploi.

Depuis le discours du président de la République Emmanuel MACRON en date du 28 octobre où ce dernier reconnaissait comme « essentielle à la nation la filière des travaux publics », la FRTP (Fédération régionale des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté) adresse une kyrielle de signes auprès des élus locaux. Celles et ceux qui identifient clairement les besoins de développement et d’entretien des infrastructures sur les territoires.

 

 

« Nous sommes là pour les accompagner, explique sans équivoque le président de l’organisme régional, l’entrepreneur Vincent MARTIN, qui a pris à bras le corps la défense des intérêts de sa corporation.

Ce dernier n’hésite pas à préciser qu’il serait dommageable pour les élus locaux de ne pas profiter des effets du plan de relance économique distillé par l’Etat (France Relance) qui favorise l’obtention de financements exceptionnels afin de juguler la crise économique.

En conclusion, la position de la FRTP est très limpide : il faut investir très vite pour garantir la pérennité d’une filière professionnelle qui ne demande qu’à poursuivre sereinement ses activités. Mesdames et messieurs les élus, la balle est désormais dans votre camp !

 


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Il y va des principes fondamentaux de la démocratie. Un gage inaliénable selon les deux élus de l’opposition à la gouvernance actuelle, le duo écologiste Florence LOURY et Denis ROYCOURT. Dans une missive adressée à l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT, les leaders d’Auxerre Ecologie demandent que le prochain conseil municipal se déroule le jeudi 12 novembre en présentiel. Afin que les décisions puissent y être débattues en public…

AUXERRE : Initialement programmée le jeudi 05 novembre en séance physique, la prochaine session du conseil municipal d’Auxerre a été décalée à la date du lundi 16 novembre à 18 heures. De manière numérique puisque devant s’appuyer sur la technologie offerte par la visioconférence.   

Les raisons à ce report de dernière minute se justifient avec la recrudescence du nombre de cas de COVID-19 dans la capitale de l’Yonne. Même si les arrêtés organisant la tenue des différentes instances devaient encore en préciser la nature pratico-pratique ce vendredi 06 novembre.

Cependant, l’idée d’un conseil municipal à distance ne satisfait pas deux des élus de l’opposition, les écologistes Florence LOURY et Denis ROYCOURT.

Outre les contraintes techniques imposées par l’emploi de la visioconférence, notamment au niveau de la fiabilité des connexions, voire de la vétusté de certains appareillages informatiques à domicile, c’est surtout le recul de la démocratie que représente la dématérialisation d’une assemblée délibérante qui est aujourd’hui pointée du doigt par les porte-étendards d’Auxerre Ecologie.

« Il est très important que dans cette période aussi troublée, les décisions puissent être débattues en public afin que la démocratie continue à s’exercer… ».

 

 

Pas de garantie possible au niveau de la qualité des connexions…

 

Arguant que l’édile Crescent MARAULT ne pourra garantir que les 39 élus du conseil municipal puissent participer de manière démocratique et convenable aux débats via ce processus numérique, du fait de connexion insatisfaisante ou de matériels peu fiables, les élus écologistes souhaitent le report de la séance au jeudi 12 novembre de manière présentielle.

Le lieu de ce rendez-vous est déjà tout indiqué : il s’agirait de l’enceinte principale du parc AUXERREXPO qui peut en garantir le respect des mesures sanitaires obligatoires.

Parmi leur argumentation, le tandem écologique rappelle que « le principe de réunion en présentiel est conforme à l’orientation du gouvernement et aux consignes données sur le maintien des services publics et le maintien des lieux de travail ».  

Des éléments explicatifs qui étayent la missive qui a été adressée au maire d’Auxerre et président de l’Agglo.

Certes, les deux élus réfractaires à l’utilisation du numérique comprennent le besoin de restrictions imputables à la pandémie de coronavirus. Toutefois, ils font la distinction entre deux types de réunions : les commissions dites « non-décisionnaires » qui peuvent se réaliser par le biais de la visioconférence et la séance plénière qui doit, elle, se faire en présentiel.

D’autant, que le choix d’organiser ce conseil municipal devant son écran d’ordinateur aurait été pris à la hâte et sans concertation avec les élus, dénoncent Florence LOURY et Denis ROYCOURT.

Pour l’heure, à défaut du jeudi 12 novembre, le conseil municipal est toujours maintenu au lundi 16 novembre pour les élus qui y participeront. Sans doute, ces derniers seront-ils confortablement installés pour y prendre part depuis leur bureau à domicile…  

Thierry BRET

 

 

 


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