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Un invité de marque assistait à la troisième conférence départementale du plan « France Relance » ce vendredi 05 février à Auxerre. Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE prenait part à cette séance de travail, présidée par le préfet Henri PREVOST. A l’issue, le membre du gouvernement a pu faire toute la lumière sur la situation dans l’Yonne…

AUXERRE : Incisif, enthousiaste, dynamique dans la forme et sur le fond. Le régional de l’étape au sein du gouvernement CASTEX, l’élu de l’Yonne Jean-Baptiste LEMOYNE, tenait sa première conférence de presse de l’année dans son fief bourguignon, porteur de bonnes nouvelles pour l’économie territoriale. D’ailleurs, qui d’autre que le conseiller départemental du Gâtinais aurait pu se livrer à cet exercice de présentation si éclectique sur les effets du plan relance avec autant de convictions ?

Chiffres à l’appui, notes posées sur le bureau et soulignées au préalable par un trait fluorescent d’un marqueur jaune, le ministre en charge du tourisme et de la francophonie déroula lors de son intervention de près de cinquante minutes in extenso ses arguments aux côtés du préfet de l’Yonne à l’écoute.

Un exercice oratoire devant déboucher sur un seul et unique constat : l’Yonne est à la relance, c’est sûr ! Une relance devant préparer à court terme le département septentrional de Bourgogne à mieux rebondir pour faire face à la crise. Tant au niveau de ses capacités industrielles que par l’implication de ses unités professionnelles intervenant sur les filières de service.

 

 

Des aides nécessaires à la préservation de l’emploi….

 

Le seul fonds de solidarité, l’un des socles majeurs des mesures d’urgence voulues par l’Etat afin de soutenir la sphère économique face au contexte sanitaire actuel, concerne plus de sept mille entreprises bénéficiaires sur notre territoire. Soit une enveloppe globale de 46 millions d’euros, prélevés sur les 470 millions initiaux qui ont été attribués par l’Etat pour venir en aide aux entreprises de la nation.

L’activité partielle a profité à plus de cinq mille structures issues de l’entreprenariat. Un chiffre à retenir sur ce point : 70 millions d’euros. Les reports fiscaux permettant d’alléger les charges des chefs d’entreprises privés de trésorerie s’élèvent à 12 millions d’euros. Quant aux prêts garantis par l’Etat, les fameux PGE, ils concernent à date 800 entreprises qui y ont eu recours pour un montant total de 340 millions d’euros. Seuls 2,5 % des dossiers ont été ajournés.

Toutefois, il existait des alternatives pour les entrepreneurs ne pouvant y prétendre. Les avances remboursables et les prêts participatifs purent combler les fameux « trous dans la raquette » dont les observateurs font régulièrement mention dans leurs analyses.

Ces engagements financiers ont été conséquents, souligna Jean-Baptiste LEMOYNE après l’énoncé de cet inventaire à la Prévert, mais indispensables pour franchir ce cap. Surtout avec une récession estimée à 8 % du PIB au lieu des 11  % prévus initialement par l’INSEE qui plonge inéluctablement notre économie vers les limbes.

 

 

Défendre le fabriqué dans l’Yonne et promouvoir les circuits courts…

 

Le ministre rappela que ces dispositifs n’avaient d’autres vocations que de maintenir les entreprises à flot en préservant en priorité les talents et les emplois.

Les collectivités n’ont pas été exclues de ces aides étatiques. La rénovation de certains bâtiments de l’Etat, celle induite au nom de la réduction énergétique se traduiront par l’octroi d’une enveloppe budgétaire de quatre millions d’euros de travaux en 2021.

Un dispositif devant faire mouche par effet gigogne sur les carnets de commande des entreprises du BTP. Auquel s’agrège également le concept « « Ma Prime Rénov » à destination des particuliers où près de mille dossiers ont d’ores et déjà été instruits, soit un équivalent de cinq millions d’euros de travaux supplémentaires.

D’autres coups de pouce sont à mentionner. Ceux qui se rapportent à la transition énergétique, cheval de bataille de la gouvernance, avec deux appels à projet qui caractérisent leur application dans l’Yonne. L’un concerne le développement des jardins familiaux avec l’implication des bailleurs sociaux. L’autre se destine à l’essor des circuits courts afin de promouvoir les ressources alimentaires de proximité.

Européaniste convaincu, Jean-Baptiste LEMOYNE ne pouvait occulter le rôle prégnant de l’Union dans l’octroi de ces subsides financiers qui ont été injectés dans ce plan de relance économique aux contours ambitieux.

Sur les cent milliards d’euros affectés par la France à ses différents outils de production, quarante milliards proviennent de fonds européens. Ils ont été obtenus après d’âpres tractations avec l’Allemagne. Mais, l’essentiel est là : la gestion de la sortie de crise de l’après-COVID-19 ne se résume pas qu’au seul prisme franco-français.  

Commentant les vertus de ce plan « France Relance », le préfet Henri PREVOST évoqua la capacité de résilience et d’innovation des TPE/PME de notre territoire. Elles représentent le vrai tissu industriel de ce département. Défendre le fabriqué dans l’Yonne est devenu l’un de ses leitmotivs !

 

Thierry BRET

 


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La barre des 500 000 apprentis est enfin franchie en France. Un vieux rêve caressé de longue date par les exégètes de la formation professionnelle qui ne croyaient pas obtenir de tels résultats un jour. Il est vrai qu’en matière d’apprentissage, la France partait de très loin dans le concert européen. Additionnant les préjugés vis-à-vis de cette méthode pédagogique ayant fait ses preuves. Dans l’Yonne, 700 jeunes viennent de bénéficier des aides exceptionnelles de l’Etat pour y parvenir…

AUXERRE : « Cocorico ! ». C’est l’expression qu’a employée le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE à l’annonce du chiffre révélateur de l’intérêt grandissant de l’apprentissage auprès des jeunes dans notre pays.

Le cap symbolique des 500 000 jeunes gens recrutés ayant choisi l’apprentissage pour mieux s’insérer dans la vie active vient d’être dépassé. Une première significative dans un pays qui, il y a encore quelques années de cela, était à la traîne sur le sujet et accumulait de considérables retards, notamment vis-à-vis de notre voisin d’Outre-Rhin, l’Allemagne.

Pour la première fois de sa longue histoire sociale, la France passe ce cap des cinq cent mille apprentis recrutés. Un record historique qui a fait réagir tout de go et par un tweet circonstancié, le président de la République Emmanuel MACRON, très attaché au développement de cette méthode formative pour la jeunesse. Ce dernier a précisé qu’il était nécessaire de « continuer pour assurer un meilleur avenir professionnel à nos jeunes ».

Mais, comme devait l’argumenter Jean-Baptiste LEMOYNE, lors de sa conférence de presse tenue ce vendredi 05 février dans les salons de la préfecture, derrière ce bon résultat, il y a le rôle implicatif et citoyen des chefs d’entreprises.

Malgré un contexte très délicat et en l’absence de toute visibilité en termes de projection, les entrepreneurs de France comme ceux de l’Yonne ont poursuivi leur cheminement pédagogique en intégrant de jeunes pousses parmi leurs sociétés. Un état de fait qui a fait dire au ministre originaire de l’Yonne que « la valeur ressources humaines n’avait pas été oubliée durant cette période complexe… ».

Rien que sur notre territoire, ce sont plus de sept cents bénéficiaires de l’apprentissage qui ont ainsi été épaulés par les services de l’Etat.

A cela, huit cents autres de ces jeunes gens ont été aidés dans leur démarche d’embauche. Au total, plus de 3 600 jeunes adultes en âge de s’insérer dans la vie active ont été accompagnés en profitant des différents dispositifs mis en place dans le cadre du plan de relance sur le volet des ressources humaines. Soit l’équivalent de la population adolescente qui fréquenterait dix collèges !

 

Thierry BRET

 


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L’une des figures de proue de la compagnie « Drôles de Drames », le comédien et professeur de théâtre Michaël GONNET, renoue ce samedi 06 février avec la pédagogie artistique en présentiel aux côtés d’enfants et d’adolescents. Avant de retrouver les adultes un peu plus tard, l’artiste entame une série de cours consacrés à la maîtrise de l’improvisation théâtrale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Une lueur d’espoir dans cet univers glauque et de grisaille où la vie culturelle n’a plus voix au chapitre depuis plusieurs mois. C’est le comédien Michaël GONNET qui nous offre cette belle bulle d’oxygène salvatrice. Avec son retour en présentiel qui sera acté ce samedi 06 février dans une salle de l’Yonne.

Certes, il ne s’agit pas encore d’une présence physique sur les planches face au public. Bien que l’artiste répète inlassablement avec son compère de la Compagnie « Drôles de Drames » Sylvain LUQUIN une adaptation dont le titre est déjà croustillant juste à l’énoncé : « Du pain, plein les poches ».

La moitié de « Drôles de Drames » endossera cependant une toute autre vêture ce samedi dans la localité de la périphérie méridionale d’Auxerre. Celle de pédagogue.

C’est en effet en qualité de professeur que Michaël GONNET donnera son premier cours d’improvisation aux enfants et adolescents dans le cadre de son atelier théâtre. Des séances qui se veulent instructives et qui seront déclinées gracieusement tout au long de février avec le concours de la municipalité.

Toujours en quête de lieux pour accueillir leur future création présentée au public dès que le contexte sanitaire le permettra, les deux chevilles ouvrières de la Compagnie « Drôles de Drames » entrevoient le futur avec un projet de résidence dans les tuyaux. Mais, pour l’heure, il leur faut encore s’armer de patience…

 

 

En savoir plus :

 

Atelier théâtre et improvisation de Michaël GONNET 

Les cours sont programmés tous les samedis, de 10 h à 12 h pour les enfants et de 14 h à 16 h pour les adolescents.

Pour plus de renseignements : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 06 62 27 30 41.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 


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La ville de Sens célèbre d’ores et déjà les prochains Jeux Olympiques d’été de Paris. Ceux-ci se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024. De nombreux projets pédagogiques ont été proposés aux écoles élémentaires dont un marathon coopératif de 42,195 km par classe. Un défi relevé avec succès, notamment à l’école des Champs d’Aloup…

SENS : Ce jeudi 04 février, vingt-deux élèves de CM2 de l’école primaire des Champs d’Aloup foulaient la piste de course de l’établissement, sous l’œil avisé de Stéphane POUZET, l’un des trois éducateurs sportifs de la ville. Athlète confirmé, il est également membre du club de course à pied nature « Sens Route Trail ». « J’adore courir à la montagne. Je n’aime pas le bitume » confiait-il en aparté.

Ce marathon coopératif était organisé dans le cadre de la Semaine olympique par les services des Sports et de l’Enfance, labellisée « Terre de Jeux 2024 ». Toutes les écoles élémentaires de la commune participaient à ce challenge, soit 89 classes et 1 773 enfants. On notait également la présence de l’institut médico-éducatif Sainte-Béate et l’école multisports. Un total à parcourir de 2 024 kilomètres.

Les élèves sénonais sont excellents dans ce domaine, a priori, puisque la distance parcourue à ce jour est de 3 100 kilomètres !

 

Les élus et les équipes pédagogiques ont œuvré malgré un contexte difficile…

 

Romain CROCCO, l’adjoint en charge des sports, effectue un véritable pèlerinage en ce moment. Dernièrement le stand de tir de sa jeunesse, aujourd’hui l’école de son enfance !

Quoi qu’il en soit, l’élu ne perdait pas de vue l’objectif de la municipalité, double, en l’occurrence : « Joindre l’utile à l’agréable ». Cet évènement aura permis à la ville de s’inscrire dans des actions sportives, « salutaires à l’époque où on vit, qui est anxiogène, compliquée ». Le but est également de démontrer que le sport est, pour la ville de Sens, « un vrai enjeu ».

Depuis une semaine, les enseignants et leurs élèves réalisent un travail culturel et historique sur l’olympisme : ses valeurs, la flamme, etc. D’un point de vue sportif, la préparation au marathon dure depuis trois à quatre semaines selon les classes. Certaines se sont entrainées seules avec leur professeur.

« Tout le monde ne s’est pas préparé de la même manière » remarque d’ailleurs Stéphane POUZET. « Et ça se ressent un peu au niveau de l’effort. Certains le gèrent bien et sont réguliers. A contrario, il y en a qui font un peu de l’intermittence et qui courent beaucoup, qui courent vite et marchent… ».

Il faut dire que la mise en place de ce projet s’est avérée complexe à cause des mesures gouvernementales liée à l’épidémie, notamment sur l’obtention des autorisations. En fin de compte, il a pu être mené à bien avec le concours énergique des enseignants.

« On est quand même content, ça a quand même bien pris » ajoute Philippe SENECHAL, responsable du service des sports. « C’est vrai qu’il y a eu peu de temps pour parler du projet, pour le préparer à l’avance ».

 

 

Les élèves de CM2 relèvent le défi du marathon avec brio…

 

En temps normal, bon nombre d’enfants rechignent plutôt à réaliser cet exercice. Mais vues les conditions, notamment des restrictions au niveau des activités sportives, les élèves s’en sont donné à cœur joie.

Fatigué mais satisfait, le jeune Issam débordait encore d’énergie après la course, comme la plupart de ses camarades. « C’était dur mais c’était bien » lance-t-il, pas peu fier d’avoir réalisé quatorze tours, soit une distance de près de quatre kilomètres.

Issam et sa classe ont couru pendant vingt minutes, temps règlementaire des CM2. L’éducateur sportif a déterminé les temps de course en fonction du barème de l’USEP (Union sportive de l'enseignement du premier degré) : 18 minutes pour les CM1, 15 minutes pour les CE2, 12 minutes pour les CE1 et 10 minutes pour les CP.

Les séances d’endurance démarrent par des courses en intermittence. Le temps augmente peu à peu jusqu’à atteindre la durée maximale. « Normalement, à la fin du cycle endurance, ils sont censés tenir ce temps-là sans s’arrêter » précise l’éducateur sportif.

Au final, tous ont participé avec enthousiasme à l’épreuve et même largement atteint l’objectif avec un score de cinquante kilomètres. Ce qui représente une douzaine de tours (entre 2,5 et 3 km). Bravo pour les efforts !

 

Floriane BOIVIN

 


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Lui, il endosse le rôle de métronome de la jeune entité, s’activant autour de la production, la conception et la pose des supports. Elle, c’est le joker côté chiffres, surveillant les curseurs comptables et la sérénité financière de l’entreprise. Associés depuis deux ans, Aurélie BOUCHARD et Alexandre CHABIN ont donné naissance à CREA PROJECT. Une SAS de communication visuelle où intervient un troisième élément, l’apporteur d’affaires Pascal DEMARTIN. Un exégète de la filière…

AUXERRE : Un trio de choc désireux de se faire une place au soleil dans l’univers très concurrentiel de la communication visuelle ? C’est l’un des objectifs avoués du pôle décisionnel de CREA PROJECT, nouvelle structure entrepreneuriale. Apparue en juillet 2018, elle se fonde dans le paysage icaunais, en n’hésitant pas à rayonner plus largement vers le territoire régional et les départements limitrophes.

Alors que le marché de l’événementiel subit de plein fouet la crise sanitaire qui perdure, celui de la communication visuelle via une multitude de supports hétéroclites (panneaux, enseignes lumineuses, marquage de véhicules…) subsiste encore.

Permettant une continuité plus ou moins progressive en termes de chiffre d’affaires pour ses acteurs. Même si la baisse d’activité avoisine les 30 % depuis que le coronavirus impacte durement les milieux économiques.

C’est aussi la preuve que les entreprises et les collectivités éprouvent toujours le besoin, et c’est tant mieux, de véhiculer leurs messages, même les plus liminaires, vers leurs cibles.

Vingt-quatre mois après avoir été portée sur les fonts baptismaux de la création, l’entreprise CREA PROJECT présente un bilan plutôt positif qui qualifie ses activités. Son PDG, Alexandre CHABIN, se satisfait de cette période de croissance vécue après le lancement de sa SAS dans le grand bain du business.

 

 

 

 

Des options stratégiques qui confèrent une touche de modernité…

 

Le carnet de commandes se garnit. La visibilité en matière de prospective est bien réelle : du pain béni pour l’ancien poseur en menuiserie de la société GENIES. Au terme de quinze années de collaboration, il a choisi de vivre une nouvelle étape de sa jeune carrière. En embrassant la responsabilité de dirigeant d’entreprise.

Lorgnant du côté de la Seine-et-Marne, tout en privilégiant les opportunités existantes sur le territoire régional, l’entité envisage de recruter les services d’un poseur d’ici la fin de l’année.

Mais, ce sont ses options stratégiques qui confèrent une réelle touche de modernité et de différenciation avec la concurrence. D’une part, CREA PROJECT est accueillie chez l’un de ses partenaires majeurs, la société RE-PACKED, concepteur de supports publicitaires et de PLV. Une manière pratico-pratique de mutualiser les intérêts communs.

D’autre part, la SAS a recours au service d’un apporteur d’affaires, Pascal DEMARTIN. Un spécialiste de ce secteur d’activité.

Son rôle l’amène à travailler au développement des relations publiques, initier des rendez-vous constructifs, faire connaître la structure dans le sérail professionnel départemental.

Résultat : CREA PROJECT décroche davantage de marchés. Notamment auprès des collectivités où à l’instar de la commune de Bassou, lui a été confiée la réalisation d’abris bus…  

 

Thierry BRET

 

 


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