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Il a été présenté par le président de l’institution territoriale Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI lui-même au terme de l’ultime séance communautaire de 2021 réunie à Charny-Orée-de-Puisaye. Bernard RISTORD, expert de la vie institutionnelle de l’Yonne (il occupa autrefois le poste de directeur de cabinet du président du Conseil départemental), revient sur le devant de la scène, devenant ainsi le nouveau directeur général des services de l’organe communautaire…

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : C’est un retour de tout premier plan aux manettes institutionnelles pour Bernard RISTORD. Un come-back pour l’ex-directeur de cabinet de l’ancien président du Conseil départemental de l’Yonne, André VILLIERS.

Bernard RISTORD occupe depuis peu la fonction de directeur général des services de la communauté de commune de Puisaye-Forterre. Un rôle qui lui va comme un gant, lui qui a côtoyé toutes les arcanes de la vie institutionnelle et politique de notre contrée au cours de ces dernières années.

C’est le président de l’organe communautaire Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI qui devait présenter au terme de la dernière séance de travail réunissant les élus territoriaux le nouvel impétrant, fin décembre.

 

 

Précisons que le rôle de DGS (directeur général des services) est un poste stratégique ô combien important au sein des organismes institutionnels. Selon les attributions affectées à cette fonction, le DGS agit à la fois entre la technique et le politique, mettant en exergue son agilité intellectuelle, relationnelle et situationnelle au service de l’institution. Une vraie posture de manager devant faciliter l’émergence des politiques publiques tout en supervisant la production de ces dernières. Bref : de la dentelle finement ciselée au service de l’opérationnalité de l’outil territorial…

 

Thierry BRET

 


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Deux cents postes d’opticien-lunetier sont à pourvoir en ce début d’année au sein du réseau hexagonal de cette enseigne référente dans la filière. Dont sept sont à occuper en région Bourgogne Franche-Comté. Pour y remédier, le groupe dirigé par Eric PLAT innove en développant un cycle formatif en accéléré afin de faire face à la crise des vocations sur ce segment d’activité.

 

PARIS : Tout le monde a encore en mémoire le célèbre spot publicitaire, aux images un tantinet exotique, où était mis en scène le chanteur-aventurier Antoine qui vantait alors la qualité des produits lunetiers commercialisés par l’enseigne. ATOL : un nom qui ne cesse de résonner depuis dans notre inconscient nimbé de slogans empruntés au marketing qui savait faire mouche sur son cœur de cible.

Apparue en 1970, la marque s’est depuis imposée comme l’enseigne d’optique référente en matière de santé visuelle. En imprimant ses valeurs made in France à la suite de l’incubation de la start-up française, ABEYE.

A l’aune de cette nouvelle année, le groupe recherche deux cents collaborateurs à intégrer au sein de sa force de frappe. Deux cents postes disponibles de suite ou presque sur l’ensemble du réseau en France. La Bourgogne Franche-Comté, berceau de la conception de lunettes (le savoir-faire franc-comtois) ne déroge donc pas à la règle. Avec ses sept postes à pourvoir de suite.

 

 

Deux cents postes créés pour alimenter les 730 magasins du réseau…

  

Pourtant, pour faire face à la crise des vocations de cette filière, l’entreprise pilotée par Eric PLAT a conçu sa propre méthodologie lui permettant d’assurer une formation en accéléré.  

Un programme pédagogique qui a été élaboré dans le cadre d’un nouveau plan stratégique, répondant à l’appellation « Accélér’Atol 2021-2026 ». L’apprentissage de la base du métier comprend ainsi l’acquisition des notions élémentaires de la vente optique, la connaissance des conseils à prodiguer à la clientèle en magasin, la maîtrise explicative d’une prescription de l’ophtalmologiste et surtout l’assurance de pouvoir réaliser une vente pour des corrections visuelles simples.

Bref, déclinable sur une semaine, ce cursus fait également l’objet d’un accompagnement individualisé et personnalisé post formation en magasin. Une initiative bénéficiant de la présence d’un coach formateur, pur produit de la maison.

« Avoir créé cette formation sur-mesure constitue un atout pour mieux attirer de nouveaux profils, hors optique, et les former à la technique de l’optique afin de pourvoir les 200 emplois proposés par notre réseau de 730 magasins partout en France, explique le PDG d’ATOL Les Opticiens, l’enseigne entend développer son réseau sur les territoires pour rendre accessible la santé visuelle et le bien-être à tous ».

 

 

Des recrutements se faisant au niveau Bac + 2…

 

Cette formation est autant adaptée aux personnes venant d’un bac ou BTS optique qu’une personne n’ayant pas forcément les mêmes bases du fait d’allier vente/optique.

De plus, la relation client est clairement abordée, ce qui permet d’avoir moins d’appréhension lors d’une réelle mise en situation.

Concevoir son propre cycle de formation est l’une des réponses concrètes pour attirer de nouveaux talents. Comme le confirme le président-directeur-général de l’enseigne.

« Depuis une dizaine d’années, la filière optique connaît une véritable crise des vocations et peine à recruter. Conscients qu’il est aujourd’hui difficile d’attirer de nouveaux talents dans un secteur de l’optique qui souffre d’un manque d’attractivité, nous avons créé cette formation spécifique qui permet aux personnes ayant un niveau Bac +2 (force de vente) de découvrir le métier d’opticien-lunetier et d’acquérir rapidement les bases fondamentales qui seront ensuite mises en application en magasin ».

Un procédé didactique plutôt astucieux comme on peut l’observer aussi dans le domaine de l’industrie où il n’est pas rare que les acteurs de ce pan de l’économie développent en interne leur école de soudure ou de chaudronnerie afin de combler un manque évident de main d’œuvre qualifiée.

 

 

Un métier qui n’est plus dans les radars des jeunes générations…

 

Pourtant, il existe en France plus de 12 000 magasins d’optique et plus de 40 000 opticiens dont 75 % sont salariés. Depuis quelques années, on observe une légère hausse de l'âge moyen pour la profession d'opticien-lunetier, tout comme un recul continu des candidats au BTS OL.

Entre 2011 et 2020, on rapporte 33 % de diplômés en moins et 70 % des titulaires de ce BTS-OL poursuivent leurs études. Seul un quart entrera in fine  sur le marché du travail une fois le diplôme en poche, selon les sources diffusées par le magazine « Bien Vu ».

Il s’avère que le métier d'opticien-lunetier séduit moins les nouvelles générations à l'heure actuelle. La filière rencontre des difficultés à pourvoir de nombreux postes. D'ailleurs, le nombre d'annonces diffusées par Pôle Emploi et ses partenaires est passé de 13 303 en 2020 à 21 033, rien que pour les dix premiers mois de 2021. Gageons que l'heureuse initiative portée par ATOL Les Opticiens tende à inverser quelque peu la vapeur...

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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C’est officiel depuis le 07 janvier, le premier CRTE a été signé dans l’Yonne. CRTE ? Quèsaco ? Un acronyme de plus avec lequel il faudra pourtant bien se familiariser à l’avenir. Car, ce Contrat de Relance et de Transition Ecologique devrait proliférer sur le territoire, adoubé par les intercommunalités désireuses de l’utiliser à bon escient. D’autant que cet outil à géométrie variable vise à soutenir des actions aussi éclectiques que les transitions écologique, démographique, numérique et économique…

 

SENS : C’est un véritable melting-pot d’heureuses opportunités, ce CRTE ! S’il n’existait pas d’ailleurs, c’est sûr : il serait de bon ton de l’inventer ! Surtout que sa finalité essentielle repose sur l’amélioration de la qualité de vie des territoires et de ses habitants.

Via différents axiomes qui ont pour raison d’être le bien-vivre ensemble (notion dans l’air du temps côté cohésion sociale), la protection des hommes et de leurs milieux (le classique couplet destiné à la sauvegarde nécessaire de l’environnement), la transition écologique et ses réussites (l’application des principes inhérents au développement durable), le « faire territoire » (soit l’essor de l’action publique locale au service d’un projet global) et particularisme cocardier selon la zone géographique dans laquelle on se situe, le « Sens Intense toute l’année », une déclinaison affirmée du rayonnement de ce secteur territorial au nord de l’Yonne et de son affirmation de soi bien au-delà de ses frontières !

Bref, voilà un document bougrement important au niveau tactique et stratégique ! Il s’appuie sur les fonds de l’Etat et ses différents partenaires institutionnels et devrait booster à l’avenir les projets des signataires qui vont se l’approprier.

Et à ce petit jeu-là, celui de l’innovation et de la prime initiative à adopter des solutions innovantes, comme ce fut le cas par ailleurs pour le concept « Territoires d’Industrie », le Grand Sénonais tire une nouvelle fois les marrons du feu. Prouvant, comme à son habitude, que frilosité et atermoiements ne sont pas de son apanage dès qu’il s’agit de passer à l’acte !

 

 

Un outil qui guide l’action territoriale de l’Etat…

 

Dévoilé à l’époque de son lancement par la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales Jacqueline GOURAULT et son homologue de la Transition écologique, Barbara POMPILI, ce Contrat de relance et de transition écologique s’apparente véritablement à un outil déclinable sur mesure. L’Etat proposant aux élus locaux de les accompagner pour définir et mettre en œuvre leur projet de territoire tout au long de la mandature.  

Outre un état des lieux des atouts et faiblesses de la future zone bénéficiaire, eu égard aux grandes transitions écologiques (environnement, démographie, numérique, économique), le CRTE se construit en parfaite symbiose entre les services de la collectivité (en l’occurrence dans le cas présent le Grand Sénonais fort de ses 27 communes) et ceux de l’Etat.

 

 

Mais pas seulement, puisque parmi les signataires devant apposer leurs paraphes au bas de ces documents, au cours de la cérémonie protocolaire ce vendredi aux Espaces Culturels Savinien, figurait aussi le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD. Ce dernier se disant très enthousiaste devant cette initiative novatrice.

Autre particularisme : ce CRTE se veut évolutif et intégrateur dans le temps. Non seulement, le processus permet de regrouper en son sein l’ensemble des contrats signés entre l’Etat et les collectivités (Action Cœur de Ville, Petites Villes de Demain…), mais en outre, il profite des crédits alloués dans le cadre du Plan de Relance. Un gain de temps et de simplification que voulait accroître le gouvernement à la création de ce dispositif dont l’Agglomération sénonaise est la première des EPCI de l’Yonne à avoir adoptée.

 

 

Le fruit d’une concertation aboutie entre les services de l’Etat et ceux de l’agglo…

 

A la tribune officielle, la présidente de la Communauté du Grand Sénonais et maire de Sens Marie-Louise FORT expliqua la genèse et les raisons l’ayant poussé à cette validation de projet. Rappelant que « la collectivité communautaire avait les moyens d’y croire et le devoir de l’assumer ».

Constatant la dynamique démographique du territoire, l’un des choix de prédilections des Parisiens, et la bonne santé financière des collectivités sénonaises, la maire-présidente souligna que « cette nouvelle donne obligeait la collectivité à agir fort aujourd’hui pour préparer demain, en anticipant les besoins et aspirations de ses populations actuelles et futures… ».

Fruit d’une étroite osmose entre les 27 localités de l’agglomération, ce travail correspond aussi à l’aboutissement d’une collaboration intense et concertée avec les services de l’Etat. Prometteur pour l’avenir…

 

Thierry BRET

 


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S’il y avait un mot, un seul, à retenir de la conférence de presse, organisée à l’occasion de la naissance officielle du comité de soutien à Valérie PECRESSE pour le rendez-vous présidentiel 2022, ce serait celui-là : « mobilisation ». A 93 jours de ladite échéance électorale et de son premier tour, le 10 avril, les élus Républicains et UDI de l’Yonne se sont réunis à Saint-Clément pour affûter leur stratégie avant de livrer ce qu’ils pensent être l’ultime combat pour sauver la France…

 

SAINT-CLEMENT : On se croirait presque dans un QG de campagne. Non pas, électoral. Mais, bel et bien, militaire. Toutefois, toute proportion gardée, il n’est pas question d’en découdre physiquement et de manière belliqueuse sur le terrain ! Sauf sur celui des idées et de la prospective puisqu’il s’agit de sauver la France ! De qui, de quoi, en vérité ? De sa paupérisation chronique, de son apathie économique, de son manque de fermeté à l’international, de son déficit de brillance et de rayonnement intellectuel, de son leadership européen !

Bref, derrière la « générale en chef » de l’armée tricolore, Valérie PECRESSE, qui prétend relever ce défi au nom de la droite et du centre en prenant les rênes du pouvoir élyséen au printemps prochain (si les citoyens lui donnent le nombre de suffrages nécessaires), ses fidèles lieutenants se préparent à mener bataille au plus près du terrain. Deux objectifs dans cette campagne qui s’amorce dans les semaines à venir : convaincre et rassembler !

Or, à un plus de trois mois du scrutin, il n’y a plus une minute à perdre pour déployer avec finesse et abnégation les tactiques subtiles pour y parvenir. Le temps presse, d’autant que les candidats à ce zénith suprême du pouvoir exécutif se bousculent au portillon. Certains rivalisant à une poignée de points près dans les derniers sondages, relayés par les médias.

C’est le cas précisément de la présidente de l’Ile-de-France qui se situe au coude-à-coude avec Marine LE PEN (RN) dans l’obtention de la seconde place qualificative pour le crucial deuxième tour, juste devant l’imprévisible Eric ZEMMOUR. Emmanuel MACRON faisant encore cavalier seul devant…

 

 

Un Guillaume LARRIVE à la pointe de la manœuvre en sa qualité de conseiller politique…

 

« L’avenir de l’Hexagone est en jeu ». Le député de la première circonscription de l’Yonne Guillaume LARRIVE le martèle en guise de préambule de cette rencontre stratégique face à un parterre représentatif d’élus icaunais inféodés à la cause du jour.

Lui qui vient d’être touché par la grâce de la candidate, première représentante de la gent féminine au sein du parti gaulliste à pouvoir briguer la fonction suprême de présidente de la République. Même Simone VEIL ou Françoise GIROUD ne s’y étaient pas frottées !

Le parlementaire de l’Yonne fait partie intégrante de l’équipe de campagne devant propulser la candidate LR/UDI sur orbite élyséenne. Il a été nommé conseiller politique et lui prodiguera sans doute de précieux avis sur bon nombre de dossiers qu’il a eu à traiter par le passé, au détour de son parcours en politique.  

 

 

Mais, le lancement de ce comité de soutien fait aussi la part belle aux symboles. Celui de l’union et de la réciprocité en matière d’engagement entre Les Républicains et l’UDI ; celui de l’appel à la mobilisation fait à l’ensemble des élus de droite et du centre que compte le département de l’Yonne à les rejoindre dans les jours qui viennent. Un message qui se véhicule également vers les citoyens lambda et les acteurs de la société civile.

« Cet appel ne se cantonne pas aux appétences des personnes qui se reconnaissent dans les valeurs de la droite et du centre, lancera de manière énigmatique le conseiller départemental Gilles PIRMAN, force invitante de la réunion, tenue dans la salle des fêtes de Saint-Clément. Sans doute ce dernier voit-il plus large encore cet esprit de rassemblement ?

 

 

Un organigramme bien établi pour répondre aux besoins du comité…

 

« Notre conviction profonde, c'est que nous pouvons changer l'avenir de la France en élisant Valérie PECRESSE à la présidence de la République, devait ajouter l’orateur LARRIVE, dans sa prise de parole introductive, elle a la force de diriger l'Etat, de réconcilier les Français et d'incarner la France en Europe et dans le monde… ».

Structurellement, deux co-présidents animeront ce comité qui n’aura rien de « Théodule », selon la formule chère au Général de GAULLE.

Bien au contraire, les deux présidents de partis que sont Dominique VERIEN,  sénatrice UDI de l’Yonne et Guillaume LARRIVE, aux manettes directionnelles pour Les Républicains de l’Yonne, impulseront le mode opérationnel de cet outil de relais et de communication.

Figurent dans le premier cercle de ce comité les poids lourds de la droite et du centre de la zone septentrionale de la Bourgogne : Marie-Louise FORT, présidente du Grand Sénonais et maire de Sens, Gilles PIRMAN, conseiller départemental de l’Yonne et maire de Saint-Clément, Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental et maire de Pont-sur-Yonne, Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne, Crescent MARAULT, président de l’Agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre, Christophe BONNEFOND, vice-président du Département et maire de Venoy ou encore François BOUCHER, conseiller départemental et maire de Migennes.

L’organe fera entendre sa voix par le truchement de deux porte-paroles, des figures féminines connues du landerneau : Céline BAHR, conseillère régionale et élue à Auxerre, et Clarisse QUENTIN, conseillère départementale et élue de la ville de Sens.

Pour être tout à fait complet, trois jeunes pousses du sérail politique de l’Yonne joueront également un rôle intéressant, en leur qualité de délégué de ce comité sur les trois circonscriptions : Kevin LEGENDRE-BONIFACE, le bras droit de Dominique VERIEN et président des Jeunes UDI désigné dans la première circonscription, le conseiller départemental de l’Avallonnais Jordan HEITZMANN, dans la seconde et Nicolas BOURSIN, responsable des Jeunes Républicains 89 dans la troisième.

Dans les jours prochains, le comité de soutien passera à l’offensive en multipliant les actes de présence sur les réseaux sociaux. A défaut de grands raouts publics contraints d’être abandonnés du fait de la crise sanitaire.

Toutefois, Guillaume LARRIVE promet quelques réunions publiques dans le respect d’un cadre législatif spécifique à la tenue de cette élection présidentielle qu’il a fait voter via un amendement par l’Assemblée nationale il y a peu. Moralité : on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même !

 

Thierry BRET

 

 


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Impératif horaire oblige, devant regagner Paris où l’attendait d’autres rendez-vous professionnels dans la soirée, le directeur de la Banque des Territoires Olivier SICHEL ne s’est malheureusement pas trop attardé dans la capitale du Centre Yonne où il fut accueilli par son édile Nicolas SORET. Qu’importe ! Le plaisir de venir apposer sa griffe sur plusieurs documents officiels engageant l’établissement dans le soutien financier à la collectivité n’en fut que plus intense.

 

JOIGNY : La venue du numéro un de la Banque des Territoires dans la ville la plus importante du Centre Yonne ce jeudi 06 janvier 2022 ne s’est pas trop éternisée, la faute incombant à un agenda trop chargé. Nonobstant, Olivier SICHEL a pris soin de souligner le plaisir qu’il avait à signer les différentes conventions de partenariat qui engagent l’établissement national aux côtés de la collectivité icaunaise.

Une rencontre entre vieilles connaissances en fait, comme devait le préciser tout de go lors de sa prise de parole le responsable de l’entité, organe directionnel du groupe Caisse des Dépôts.   

« Nous avions déjà eu l’occasion de nous croiser à maintes reprise, devait-il déclarer à l’issue de la cérémonie protocolaire, accueillie dans l’un des salons de l’hôtel de ville de Joigny, on s’est même retrouvés en Gironde lors d’un évènementiel il y a deux ans ».

Invité par le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté à s’immerger au cœur d’une des « Petites Villes de Demain » (PVD), programme visant à améliorer la qualité de vie et l’accompagnement des transitions en milieu rural lancé le 01er octobre 2020, Olivier SICHEL ne pouvait répondre à cette sollicitation que par l’affirmative. Honorant ainsi son premier déplacement de l’année en Bourgogne du Nord, un petit cocorico des plus sympathiques pour nos couleurs !

Précisons que le programme PVD permet aux villes de moins de vingt mille habitants (c’est le cas de Joigny) de bénéficier d’un soutien spécifique de l’Etat et de ses partenaires (la Banque des Territoires) pour élaborer et mettre en œuvre leurs projets de revitalisation. Une stratégie qui s’intègre parmi le Plan de Relance et qui vise à assurer le développement des territoires ruraux.

 

 

« C’était très important pour ma part d’être présent à Joigny, ajouta le directeur de la Banque des Territoires, de me nourrir de ce qui se réalise concrètement sur le terrain. Voir comment on pense la mobilité, la manière dont on se projette dans l’aménagement. On a pu évoquer également avec Nicolas SORET la transition énergétique ou le développement des circuits courts… ».

En substance, Olivier SICHEL ne voulait pas manquer également le contact privilégié qu’il aura eu avec deux de ses collaborateurs, chevilles ouvrières du relais opérationnel de la structure sur le terrain.

« Rencontrer les équipes qui effectuent le travail de proximité est une évidence pour moi, devait-il conclure, c’est très important d’aller soutenir l’artillerie… ».

Un clin d’œil appuyé à Mathieu AUFAUVRE, directeur régional de la Bourgogne Franche-Comté et à Aurélie GAUCHEY, chargée de mission et de communication. Puis, le « général » de la Banque des Territoires pouvait regagner Paris par la voie ferroviaire, dare-dare !

 

Thierry BRET

 

 


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