Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Stop aux comportements inacceptables ! Ras-le bol de celles et ceux qui s’en prennent au quotidien, et pour le seul et unique plaisir de l’oisiveté, à la dégradation des parties communes des immeubles. En ne respectant pas les vertus de la cohésion sociale. Le bailleur social auxerrois et les services de l’Etat ont voulu pousser le bouchon plus loin que de simples échanges. En paraphant une convention de partenariat leur permettant d’être raccord pour lutter contre les incivilités et la délinquance.

 

AUXERRE : Bien sûr, grâce à ce rapprochement inédit statué avec les services de l’Etat, les infractions les plus graves commises dans cet univers spécifique que sont les HLM de l’Yonne seront plus que jamais dans le collimateur des forces de l’ordre. Logique, les règles du vivre-ensemble et de la loi se doivent d’être appliquées. Un item qui fut évoqué par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST à quelques jours de son départ de notre territoire.

Mais, le volet préventif, à force de moult actions de pédagogie et de messages forts destinés à toute la population, n’en demeure pas moins fondamental pour que l’ordre règne enfin, éradiquant ainsi des dérives plus importantes dont auraient à subir les habitants de ces quartiers, parfois qualifiés de « sensibles ».

Soucieux de ce cap important à franchir, DOMANYS confronté à des situations de plus en plus complexes à résoudre chaque année sur ses nombreux sites répartis sur le département n’a donc pas ergoté pour valider dans les faits ses véritables intentions. Celles d’apporter de vraies lueurs d’espoir aux locataires de ses logements ayant à subir une fois par semaine en moyenne des inéluctables actes d’incivilités et de délinquance qui virent parfois à l’insupportable et au cauchemar pour les résidents.

 

 

54 plaintes déposées auprès des services de la justice en 2021…

 

Rien que l’exercice 2021 plaide déjà en faveur de l’initiative prise par son président, Patrick GENDRAUD, également aux manettes du Conseil départemental, et sa directrice qui veille au grain, Karine LASCOLS.

Cinquante-quatre plaintes ont ainsi été déposées auprès des services de la justice de l’Yonne. Les faits sont révélateurs de ce que peuvent parfois éprouver les résidents de ces HLM mais aussi de celles et ceux qui y interviennent du fait de leur statut de salariés du principal bailleur social territorial.

Les faits sont accablants pour leurs auteurs : cinq plaintes pour agressions sur des collaborateurs de DOMANYS, vingt-huit pour des dégradations de biens, treize pour incendies, quatre pour des occupations illicites de logement et quatre qui concernent des vols de matériels appartenant à l’office.

Bref, à croire, que les faits divers sont devenus monnaie courante dans ces périmètres urbains composés d’immeubles et de pavillons locatifs !

De cela, la préfecture ne veut plus. En signant cette convention de partenariat, la première rendue officielle dans l’Yonne, l’Etat adresse un message clair et sans ambiguïté aucune, dans sa lutte contre les auteurs de ces incivilités chroniques qui défraient à chaque rendez-vous hebdomadaire les pages juridiques des médias.

Conséquence, la peur du répressif va peut-être modifier la donne à l’avenir.

L’accord implique de fait une coopération renforcée avec la justice, les forces de sécurité intérieure et les services de l’Etat. Tous signataires de ce paraphe aux contours bien ficelés.

 

 

 

Des correspondants « tranquillité-sécurité » agissant sur le terrain…

 

Toutefois, cette coopération multipartite ne date pas d’hier. Les dispositions et les modalités de cet accord s’appuient sur des éléments qui figuraient dans l’accord-cadre signé le 29 mars 2019 entre l’Union Sociale pour l’Habitat, organisme dont dépend DOMANYS, et le ministère de l’Intérieur. Un accord qui précise les principes et contours d’une coopération opérationnelle renforcée entre les organismes HLM et les services de police et de gendarmerie.

Des éléments qui ont permis d’initier des interactions au niveau local entre les forces de sécurité intérieure et les bailleurs sociaux, l’un des objectifs prioritaires du Plan départemental de prévention de la délinquance. Celui-ci a été entériné le 17 décembre dernier par le préfet de l’Yonne, les procureurs d’Auxerre et de Sens ainsi que le président du Département.

Dès lors, le nom de code de ce partenariat pourrait être celui-ci : la tranquillité résidentielle pour tous sur notre territoire. Dans les faits, des correspondants « tranquillité-sécurité », propre à DOMANYS, travailleront en concertation étroite avec ceux qui évoluent déjà dans les commissariats de police ou les brigades de gendarmerie.

Ces relais opérationnels coordonneraient les échanges d’informations en s’assurant de facto que le partenariat fonctionne bien sur le terrain. Des interventions se faisant sous le sceau de la confidentialité, il va de soi, pour optimiser la libre circulation de ces renseignements si précieux.

Particularisme curieux, mais ô combien civique de cette convention de partenariat signé avec les services de l’Etat : le bailleur social icaunais s’engage en contrepartie à accueillir sur ses sites des postes de travail d’intérêt général (TIG).

Histoire de remettre sur le droit chemin de la citoyenneté celles et ceux qui commettraient un peu trop d’actes d’incivilités répréhensibles par la loi. La morale de cette histoire, en quelque sorte !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On le savait pédagogue auprès de ses collaborateurs du milieu assurantiel. Le voici qui endosse une toute autre casquette : celle de spécialiste de l’apprentissage à la conduite et à la prévention des risques sur la route ! Décidément, Jacques BLANCHOT est un véritable couteau suisse de la transmission des savoirs, quel que ce soit le public en face de lui. En l’occurrence celui des Cadets de la Gendarmerie, en immersion ce samedi autour de la découverte de la prévention routière chez GROUPAMA !

 

AUXERRE : Il explique avec patience et en trouvant les mots justes le principe du simulateur. Présentant les exercices auxquels seront confrontés dans quelques instants les adolescents encore tout émoustillés de vivre de pareilles circonstances. Une plongée dans un univers que certains connaissent déjà avec l’apprentissage de la conduite. Le code avant la mise en pratique sur la route.

Soutenus depuis leur apparition dans le paysage collectif de l’Yonne il y a deux saisons par l’assureur mutualiste régional, les Cadets de la Gendarmerie accueillent des jeunes gens, âgés de 16/17 ans, qui, pour la plupart, ont accompli une mission d’intérêt général au sein du SNU, le Service National Universel.

L’objectif étant à terme d’embrasser la carrière au sein de ce corps militaire mais aussi, pourquoi pas, de bifurquer vers les compagnies de sapeur-pompiers. D’autres éprouvent de la satisfaction à s’embarquer à bord d’aventures mêlant civisme et citoyenneté. Pour le plaisir…

 

 

 

Le civisme et la citoyenneté comme vertus à enseigner…

 

Samedi en matinée, un petit groupe de ces jeunes gens, très motivés, a reçu les renseignements informatifs de base se rapportant aux risques inhérents à la circulation routière (rappelons que le département de l’Yonne figure le plus souvent parmi les mauvais élèves de l’Hexagone depuis plusieurs années au niveau de l’accidentologie).

Des séances qui ont été assurées par le commandant MARTI et…Jacques BLANCHOT, en personne, qui rappelons-le, n’officie pas seulement en sa qualité de directeur d’établissement de l’antenne de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire dans l’Yonne et en Seine-et-Marne mais également en tant qu’ambassadeur du civisme avec son titre de lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale. Tout cela s’est déroulé sous le regard expert de Francis CHOUVILLE, lieutenant-colonel de réserve, responsable des Cadets de la Gendarmerie nationale de l’Yonne et attentif de Marion AOUSTIN-ROTH, sous-préfète d’Auxerre et directrice de cabinet du préfet de l’Yonne. On notera aussi la présence du colonel MONVOISIN et du capitaine REBOULEAU, qui dirigeait la cellule "conduite"...

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Au moins, les choses sont claires et sans ambiguïté aucune. En baptisant leur nouveau groupe au sein du conseil municipal, « Pour Auxerre », tout quiproquo sémantique est donc exclu des tablettes des commentateurs ! Les officiels de la sphère médiatique comme  ceux qui s’expriment via les réseaux sociaux. Amputé de deux personnalités de l’opposition (Maud NAVARRE et Farah ZIANI), le quintette restant affiche ainsi sa véritable raison d’être…

 

AUXERRE : C’est tout frais, cela vient de tomber ! Suite à la dissolution du groupe « L’Assurance d’une transition sereine », entité quelque peu mise à mal depuis le développement juridique de quelques affaires, les cinq conseillers municipaux d’opposition restants n’ont donc pas tardé à refaire surface à l’orée du bois. Ils portent sur les fonts baptismaux un nouveau groupe de travail.

Son appellation est on ne peut plus basique : « Pour Auxerre ». Ni plus, ni moins. Mais, cela semble suffisant pour que chacun des observateurs puisse en appréhender le véritable sens régalien. Soit la défense des valeurs humanistes, sociales, écologiques et citoyennes telles qu’elles étaient applicables à l’époque dans la liste conduite par le chef de file de toute cette génération d’élus engagés aujourd’hui dans l’opposition, Guy FEREZ.

 

 

Conformément à ce qui avait été annoncé il y a quelques jours par Mani CAMBEFORT, l’un des représentants socialistes de l’opposition auxerroise, le refus de se mettre en retrait de la part de l’élue Farah ZIANI après sa condamnation par le tribunal correctionnel d’Auxerre devait précipiter la dissolution du groupe initial.

Dès lors, Sophie FEVRE, Isabelle POIFOL-FERREIRA, Rémi PROU-MELINE, Mathieu DEBAIN et Mani CAMBEFORT se retrouvent de facto au sein de cette structure, diminuée de deux de ses membres, Maud NAVARRE et Farah ZIANI. Souhaitant ainsi poursuivre leurs travaux au quotidien…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Absence d’infraction ». C’est par ces quelques mots lapidaires que le Procureur de la République d’Auxerre, Hugues de PHILY, a définitivement classé sans suite une affaire qui a pu apporter la confusion dans les esprits et une relative noirceur sur les élections départementales vécues en juin dernier sur le canton d’Auxerre 2. A l’origine, une plainte pour suspicion de fraude électorale. Elle se rapportait à une vingtaine de signatures qui furent dénoncées comme « litigieuses ». Avec le rendu de ce verdict, levant les doutes, c’est un « ouf » de soulagement pour le maire Magloire SIOPATHIS…

 

APPOIGNY : Elle fait bloc derrière son élu, l’équipe municipale locale. Sans fioritures, ni triomphalisme aucun. Peut-être juste un goût d’amertume un peu trop prononcé dans la bouche, avec quelques couleuvres qui ont du mal à être avalées. On sent la rancœur. Peut-être la rancune chez certains ?

Pourtant, la décision du ministère public est revenue positive. « Une absence d’infraction ». Clouant ainsi au pilori tous les ragots et autres commérages de bon ton qui circulaient abondamment depuis plusieurs semaines chez ces persifleurs du post vindicatif et assassin sur les réseaux sociaux. Satané, outils numériques ! La lie de la société ?

Grave, les yeux encore trop mouillés de larmes après avoir mis en terre son épouse, le maire Magloire SIOPATHIS rassure ses ouailles. La fin des turpitudes juridiques et l’honneur lavé ? Oui, incontestablement.

Puisque le Procureur de la République a tiré un trait indélébile sur cette affaire de suspicion de fraude électorale qui in fine n’en était pas une. Besogneux, le travail de fourmi des enquêteurs a payé puisque rien n’a été révélé de suspicieux. Et s’ils existaient des « absences de conformité » à ce dossier, elles auront « trouvé leurs explications logiques », selon le représentant du barreau.

 

« La polémique n’a jamais fait partie de notre programme… »…

 

Alors, comme qui dirait, tout est bien qui finit bien ? Pas si sûr. Les séquelles sont visibles et douloureuses parmi l’équipe un brin éprouvée pour tous ces embrouillaminis juridiques. Des salamalecs qui n’avaient pas lieu d’être, selon ses représentants, lors de ce scrutin de juin 2021, relatif aux départementales organisées sur le second canton auxerrois.          

Pourtant, comme le stipulera l’édile de la localité périphérique d’Auxerre en préambule de la conférence de presse qu’il organise à ce propos, « la polémique n’a jamais fait partie de notre programme ».

Un exercice oratoire sobre qui s’avère nécessaire selon lui, pour tirer les conclusions de ce dossier et surtout pour y mettre un terme de manière irrévocable, en « tournant la page ». Ne se concentrant uniquement après coup que sur le travail à exercer sur le canton. Le fondement même de toute élection.

Evoquant de douloureux souvenirs personnels, liés à la dernière période de congés vécue aux côtés de son épouse, Marie-Aimée, disparue depuis peu, et qui fut très affectée de subir cette affaire, Magloire SIOPATHIS s’indigna de la manière brutale dont se sont déroulées les circonstances autour de la récupération du procès-verbal du bureau de vote numéro un. Un bureau au cœur de la suspicion de fraude. Ecourtant ses vacances, le couple SIOPATHIS reviendra dare-dare à leur domicile afin de produire une copie de ce fameux procès-verbal, dont l’original était à la préfecture, comme il se doit. Dans le respect de la procédure.

 

 

La légitimité sectorielle adossée à l’expérience…

 

Puis, le maire et conseiller départemental de l’Yonne s’adressa à ses électeurs. « Mes pensées vont naturellement vers eux, expliqua-t-il, à celles et à ceux qui nous ont accordé leur confiance et leur soutien devant cette indignation et ce manque de si peu de respect du résultat démocratique. Nous avons, Arminda (GUIBLAIN, le maire de Monéteau) et moi une trop grande estime de nos institutions pour n’avoir pu imaginer un seul instant faire ce qu’on nous a accusé. Cela démontre que certains préfèrent user de tous les moyens pour garder ou obtenir un statut plutôt que d’œuvrer sur le terrain pour mériter la confiance des électeurs… ».

Une phrase qui sera suivie d’un silence approbateur dans la salle du conseil municipal où prenait part, également, en qualité de soutien au ticket vainqueur de la départementale de l’été 2021, Jean-Luc LIVERNEAUX, maire de Gurgy.

Poursuivant, avec la même intonation de gravité dans la voix, Magloire SIOPATHIS insistera sur le principe du gain de l’élection en démocratie : « elle se gagne dans les urnes et de manière régulière, comme nous l’avons fait en ce soir de juin 2021. Une élection ne se remporte pas en employant des méthodes peu dignes, ou dignes de ce qui se pratiquait jadis sous d’autres cieux. Notre binôme est sorti en tête de ce scrutin aussi bien au soir du premier que du second tour. Je n’ose même pas rappeler le score : il ressemblait à celui d’un scrutin soviétique avec près de 77 % des suffrages ! ».

Bref, devait-il souligner, un résultat traduisant la confiance des électeurs, à défaut un plébiscite. Evoquant la légitimité de sa candidature, en qualité de représentant de la quatrième localité de l’Agglomération de l’Auxerrois et celle de sa collègue élue à Monéteau, Arminda GUIBLAIN, Magloire SIOPATHIS rappela qu’il n’était pas insensé de prétendre à une telle échéance électoraliste (les départementales), affublés de deux autres communes Charbuy (Gérard DELISLE, absent, a été cité parmi les soutiens de l’initiative du soir) et Gurgy, pour représenter le canton en siégeant dans l’hémicycle de la Pyramide à Auxerre.

« En outre, ajouta-t-il, votre serviteur possède pas moins de vingt ans d’expérience au sein de l’institution départementale, tant dans l’Yonne que dans le Limousin par le passé, pour connaître suffisamment les arcanes de cette collectivité ô combien importante que représente un Département… ».

 

 

La main tendue pour un travail de concertation ensemble…

 

Rien d’étonnant, au final, à ce que l’ancien directeur de service du Conseil départemental de l’Yonne postule en candidatant à cette mandature territoriale.

« J’hésite beaucoup entre donner une suite judiciaire à ce dossier et prendre le risque peut être de salir la mémoire de mon épouse qui a été affectée par cette affaire ou au contraire de saisir cette occasion pour taper du poing sur la table en disant à un moment donné, il faut arrêter. J’ai échangé avec mon avocate qui va se rapprocher des services qui sont en charge de ce dossier. En fonction de son analyse, elle nous conseillera utilement quant à la suite judiciaire ou pas à donner à ce dossier… ».

Toutefois, lors de sa conclusion survenant un peu plus tard, Magloire SIOPATHIS semblait vouloir tourner la page. Ouvrant la suivante pour mieux se consacrer avec son équipe au travail à assurer dans l’intérêt des habitants du canton.

« On n'est pas élu pour polémiquer, martela-t-il au terme de sa prise de parole, certes, on a du mal à associer les deux autres communes à nos projets (Branches et Perrigny) mais, on espère après tout ça que l’on trouvera un moyen de pouvoir les attirer vers nous et travailler ensemble de manière positive dans l’intérêt du canton et de ses concitoyens ».

Une main tendue par le maire d’Appoigny qui ne veut plus se diluer et perdre son temps dans des polémiques futiles. Voire stériles…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Et si le coup d’essai qu’il entreprend en accointance avec le retour du printemps se muait en un véritable coup de maître in fine ?! Pour cela, il lui suffit de rallier les déçus des formations politiques traditionnelles, dont certaines y laisseront des plumes au lendemain des présidentielles et de convaincre les férus indécrottables de l’abstentionnisme au sein de ce parti du progrès social et de l’humanisme pur jus. Pas si bête, en somme !

 

AUXERRE: La démarche pourrait reposer sur une simple nostalgie de façade mais ce n’est pas cela qui anime aujourd’hui le quotidien de l’un de ces personnages majeurs de la vie politique auxerroise. Une figure charismatique qui ne se range pas dans la catégorie des « perdreaux » de l’année. Pour autant, ce n’est pas parce que le compteur du temps a déjà égrené 68 coups à l’horloge qu’il serait impensable de ne pas se projeter encore en avant, vers de nouveaux projets et de réelles perspectives. Qu’elles soient associatives ou politiques. Voire les deux, si on les additionne. Car tel devrait être le cas d’ici quelques semaines.

Jacques HOJLO, puisque c’est de lui dont il s’agit, refait surface. Pas comme un serpent de mer faisant le yoyo selon les courants ou un intriguant perfide qui reviendrait pour brouiller les cartes dans le jeu très complexe du microcosme politique local actuel en quête de quelque chose.

D’ailleurs, ce qui frappe quand on discute tranquille avec cet humaniste au grand cœur, c’est son humilité profonde. Une sagesse mâtinée avec l’âge de ses artères mais attention qui reste toujours dans le vent et au contact des réalités. Ce n’est pas parce que l’on est sexagénaire, que l’on possède un solide passé d’élu derrière soi que l’on est tout juste bon à incarner un cacique de la vie publique à jeter comme un Kleenex usagé !

 

Des bisbilles entre radicaux de gauche et valoisiens un tantinet à droite…

 

Certes, ce serviteur des autres se revendique de la plus vieille formation politique de France, apparue en 1901 ! Cela ne s’invente pas. Le Parti Radical. Et d’évoquer à la façon d’un inventaire à la Prévert (tiens, un autre Jacques là-aussi !) les patronymes célèbres de ses pairs qui ont su porter hautes les couleurs de cette structure en France dans une période que les moins de vingt ans (mais aussi beaucoup d’autres !) n’ont pu connaître.

Georges CLEMENCEAU, Jean MOULIN, Jean ZAY, pour les fondamentaux mais aussi Pierre MENDES-France ou encore Robert FABRE, clé de voûte de l’Union de la Gauche en 1972 lors du Congrès d’Epinay qui allait placer sur orbite un François MITTERRAND goguenard vers la victoire présidentielle moins de dix ans plus tard.

Bon, c’est sûr : tout n’est pas rose non plus dans le milieu du radicalisme à la française. Des disputes se succèdent en divorces au fil des ans entre ceux qui prônent leur appartenance à la mouvance de gauche et sociale, et leur corollaire, les Valoisiens, nettement plus libéraux et un tantinet à droite toute !

 

 

D’ailleurs, en 2017, une tentative de rapprochement entre ces deux tendances a viré au flop, entraînant un nouveau déchirement parmi les lointains héritiers du « Tigre ». Georges CLEMENCEAU pour les incultes !

L’une des personnalités marquantes de ces grandes années qui titille encore l’esprit de Jacques HOJLO se nomme Jean-Baptiste BIENVENU-MARTIN. Eh oui, on connaît son nom en l’identifiant avec un établissement scolaire du secondaire qui a connu des déboires fonctionnels qui lui furent fatals. On imagine que de là-haut ce personnage, nommé trois fois ministre du Culte, du Travail et de la Justice en qualité de Garde des Sceaux a dû se tourner maintes et maintes fois dans sa tombe en apprenant la nouvelle de la fermeture du collège auxerrois qui portait son nom !

Alléluia ! Le patronyme de ce représentant de l’Etat va reverdir localement. Pas plus tard qu’au cours de ces prochaines semaines en désignant l’appellation du futur cercle collectif (peut-être sous la forme juridique d’une association) que Jacques HOJLO, rempart immuable de la laïcité et du progrès social va faire naître dans le département.

 

Un cercle Bienvenu-Martin pour faire phosphorer les idées…

 

Objectif de ce cabinet de réflexion à maturité constante : l’organisation de rencontres et de réunions participatives se rapportant aux préoccupations régaliennes de la société, à savoir le travail, la justice, le progrès social. Trois sujets centraux qui sont le fondement du parti radical en plein renouveau.

Dans le concret, l’ancien élu socialiste de l’équipe de Guy FEREZ (devenu durant ses mandats ardent défenseur de la cause radicale de gauche) s’appuiera sur un autre visage de l’époque « rose » qu’a connue la ville d’Auxerre : l’ancienne élue Elodie ROY.

Tout ceci se fera sous l’égide des grands préceptes de la majorité présidentielle, Jacques HOJLO est l’un des membres du comité de soutien du président de la République Emmanuel MACRON.

Avec cet outil associatif, le cercle Bienvenu-Martin, le chef de file du Parti Radical de l’Yonne souhaite attirer à lui des personnes éloignées de la politique, des réfractaires aux partis actuels qui risquent de se disloquer après la présidentielle, des représentants de la société civile mais aussi des abstentionnistes, dont les rangs ne cessent de grossir en France.

Vice-président national du réseau « Habitat et Francophonie » dont il a aussi géré le mandat de président par le passé, Jacques HOJLO demeure un maillon fort au sein de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat. Il fut pour mémoire président de l’Office Auxerrois de l’Habitat.

Le second souffle donné au Parti Radical en France induit nécessairement une action directe lors des prochaines législatives de juin. Jacques HOJLO qui ne brigue rien à titre personnel entend en revanche positionner sur les bons rails celles et ceux de ces bonnes volontés qui pourraient jouer un rôle crucial de catalyseur dans le sérail.

« Nous n’avons aucun complexe, précise-t-il, le passé flamboyant plaide en notre faveur, et nous pouvons être très utile à notre pays, au demeurant à notre territoire départemental… ».

Le Parti radical effectue donc son come-back. Oyez, oyez braves gens : il faudra désormais compter sur lui pour impulser de nouvelles espérances et des lignes novatrices à celles et à ceux qui croient toujours en l’humanisme et au progrès sociétal ! Ainsi soit-il !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil