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Il est un tantinet prémonitoire, le visuel adressé aux médias par la section de la NUPES d’Avallon afin de traduire l’occupation par ses représentants du rond-point du « LIDL », toute la journée de ce vendredi. Un ultime rassemblement protestataire avant que ne tombe le verdict en fin d’après-midi du Conseil constitutionnel, devant valider le projet de réforme des retraites telle que l’a décrété le président de la République. On y voit un cercueil noir, flanqué des lettres mémorielles (RIP) – repose en paix- qui plombe peut-être de manière définitive toutes les espérances des manifestants…

 

AVALLON : Elle est forte en symbole, l’image du jour adressée aux rédactions par l’antenne avallonnaise de la NUPES ! Posé sur un monument de pierre qui n’est pas sans rappeler les édifices qui commémorent d’ordinaire le souvenir des défunts de ces guerres ayant précédé nos existences, un cercueil noir, flanqué de sa fameuse formule repose en paix (RIP), résume à lui seul les ressentis et émotions de l’instant.

A ceci près que « la mort de la réforme et son enterrement en grande pompe » ne sont plus au goût du jour après le verdict officiel rendu par les neuf sages du Conseil constitutionnel et la promulgation dans la nuit, à la vitesse dare-dare, du fameux texte de loi, si décrié par une large majorité des Français, par la présidence elle-même.

En y regardant de plus près, ce visuel pourrait aussi illustrer l’inhumation du « RIP », puisque le « Référendum d’Initiative Partagée » voulu par les mouvements réfractaires à cette réforme s’est vu lui aussi retoqué sans l’once d’une ambiguïté au même titre que l’index senior et une demi-douzaine d’autres alinéas que comportaient le texte de loi initial par les neuf représentants du Conseil constitutionnel.

 

 

Un grand rassemblement citoyen et même un concert…

 

Pourtant, citoyens et militants de la NUPES, opposés à ce texte de loi, avaient manifesté tout au long de la journée leur désapprobation avec la décision de l’exécutif, distribuant des tracts aux abords du fameux rond-point situé au nord d’Avallon et échangeant avec les automobilistes dont certains prenaient le chemin des vacances.

Il y eut même, en fin d’après-midi, à partir de 17 heures, un grand rassemblement populaire au moment de la publication de la décision desdits sages à Paris. Même le concert qui devait suivre avait pour objectif initial d’égayer un peu cette journée qui sera finalement tristounette pour l’ensemble des participants.

Reste ce curieux visuel qui peut susciter différentes interprétations selon le camp où l’on se situe, effectivement…Entre partisans et opposants d’une réforme que rien ni personne ne semble arrêtée désormais…

 

Thierry BRET

 

 


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Pourquoi le bio va mal ? Entre les producteurs, les revendeurs, la grande distribution, les consommateurs…quel est le problème majeur de la filière bio ? Dans notre tribune précédente, nous avons examiné les contraintes de l’agriculture bio. Aujourd’hui, regardons de plus près les autres causes de la chute de cette activité, à l’origine prometteuse en termes d’écologie, de santé et d’emploi.

TRIBUNE : Le principal facteur de cette décrue est évidemment l'inflation. Un produit bio reste en moyenne 44 % plus cher que son équivalent conventionnel. A titre d’exemple, la tomate ronde est ainsi 70 % plus chère que la tomate classique. En période d'inflation, peu de foyers peuvent se permettre d'acheter 100 % bio. Ils vont donc réaliser des arbitrages. 2022 a enregistré une baisse de près de 7 % de l’activité et on s’attend à une chute encore plus importante pour 2023. Chez les experts, le « bio » est aussi victime d’une expérience client peu convaincante.

Si les grandes surfaces traditionnelles connaissent un recul de 5,3 % des achats « bio », les magasins spécialisés (BIOCOOP, La Vie Claire…) marquent le pas avec 16 % d’effondrement du chiffre d’affaires ! Aujourd’hui, 54 % des Français déclarent que les produits bios sont bien trop chers par rapport aux bénéfices qu’ils apportent.

 

 

Le bio se relèvera-t-il de la crise de l'inflation?

 

Des producteurs aux consommateurs, tous les voyants de la filière bio sont au rouge. Toute la filière est mise à mal. La crise du bio, c’est le plan « hors sec » et « Defcon 3 » réunis, au point que la filière en appelle désormais la grande distribution à l'aide, après l'avoir pourtant critiquée des années durant. Dans une lettre ouverte, les trois grandes organisations du secteur (SYNABIO, FOREBio et la FNAB) prient les supermarchés de ne pas se désengager du bio.

« Dans ce contexte, vous avez, en tant que leaders de la distribution alimentaire, un rôle clé à jouer pour maintenir une offre bio qui soit visible, attractive et diversifiée, écrivent-elles en chœur. Or, nous constatons que vos enseignes tendent en ce moment à réduire le marché bio ».

Ce qui est le cas. Pour faire de la place aux produits plus accessibles, les grandes surfaces alimentaires s'en prennent logiquement aux rayons bios moins attractifs. En septembre 2022, l’offre avait reculé de 7,3 % sur huit mois, selon IRI. Un recul plus important que la baisse du chiffre d'affaires, relèvent les fédérations. Les acteurs du bio constatent un démantèlement des équipes dédiées au bio, « une dégradation du niveau d’expertise sur les produits et les filières » et craignent « de voir le bio noyé dans des catégories aux contours mal définis, comme l’offre durable ».

 

La démocratisation du bio se fait par les grandes surfaces…

 

Les grandes surfaces seront-elles les fossoyeurs du bio ou sont-elles le bouc émissaire facile d'une crise qui fragilise toute une filière ? Certains groupes de distribution se veulent rassurants. « Il n'y a pas de désinvestissement massif sur le bio chez Système U », assure Dominique SCHELCHER, le PDG de l'enseigne aux médias. « On pense que la baisse est conjoncturelle », déclare-t-il. « La vraie difficulté est celle de ces producteurs qui se sont convertis au bio ces dernières années et dont les débouchés se restreignent. Le coupable, c'est l'inflation qui contraint les gens à arbitrer sur ces produits-là ».

Lancés en 2018 en grande pompe sur un positionnement bio accessible (prix 30 % plus bas), les « Marchés Bio » chez Leclerc visaient quarante magasins en 2019 et 200 en 2022. Quatre ans plus tard, le groupement en dénombre péniblement dix-sept : le concept devrait être abandonné. C’est un projet mal né selon le spécialiste Frank ROSENTHAL : « Quel intérêt pour un adhérent de mettre un « Marché Bio » dans sa galerie marchande quand il a déjà un rayon bio bien fourni ?, s'interroge-t-il. La démocratisation du bio se fait par les grandes surfaces, pas par les magasins spécialisés ".

 

 

Une crise sur fond de mise en sommeil…

 

« Faisons le dos rond, les lendemains chanteront ». C'est en substance le discours des pro-bios actuellement. La réalité est peut-être moins idyllique. C'est en tout cas ce que pensent certains observateurs du monde de la consommation. Comme Xavier TERLET, président de « Protéines XTC » qui juge dans une tribune publiée sur le site de « LSA », que le prix du bio était déjà un frein avant la crise actuelle.

« En 2020, le magazine « Linéaires » a analysé les prix moyens en bio et en conventionnel de plus de deux cents familles de produits alimentaires recensées par Nielsen. L’écart de prix est loin de se limiter à 30 % comme on l’évoque souvent mais s'élève à 75 % en moyenne », rappelle-t-il.

« Le mois dernier, j’ai moi-même constaté chez Carrefour un écart de 94 % entre le yaourt nature de Danone et son équivalent bio », poursuit l'expert. « Presque le double ! Une grande partie des consommateurs ne regarde même plus cette offre indécente, réservée aux plus aisés d’entre nous ».

 

Produit bio ou produit bon ?

 

Si le facteur prix est évidemment central dans la désaffection actuelle, il n'est peut-être pas le seul. C'est la relation bénéfice/prix qui pousse les consommateurs à estimer qu'un produit est trop cher et à arbitrer en sa défaveur. Et c'est là, le point nodal du problème avec le bio.

« Ce n'est pas parce qu'un produit est bio qu'il est bon, il peut y avoir des produits conventionnels qui ont plus de goût par exemple », constate Frank ROSENTHAL, spécialiste du marketing de la consommation. « Les experts du bio disent qu'il s'agit du vrai goût des produits, mais si le « vrai goût » c'est de ne pas avoir de goût, les consommateurs ne sont pas satisfaits ».

Payer plus cher (voire beaucoup plus cher) pour un produit qui n'apporte pas plus de plaisir qu'un produit conventionnel passe plus difficilement en période de contrainte sur le pouvoir d'achat. D'autant que la dimension commerciale est souvent négligée, surtout par les enseignes de bio. Offre limitée, mise en scène des produits réduite à la portion congrue, information et pédagogie inexistantes... les enseignes spécialisées peinent à attirer les clients, au-delà d'un cercle de consommateurs déjà convaincus par le bio.

 

 

Y-a-t-il des solutions dans la salle ?

 

Les producteurs de bio disparaissent peu à peu, tandis que les magasins spécialisés perdent des parts de marché. La grande distribution limite de plus en plus leur offre « bio »… Le plus grave, les consommateurs ne peuvent plus s’offrir des produits bios et y trouvent un intérêt moindre pour leur santé…

Certains demandent à l’Etat d’injecter quelques centaines de millions d’euros pour soutenir une filière moribonde. Et les « Verts » dans tout ça : ils ne trouvent pas de solutions pérennes pour affronter véritablement la crise du bio. Ils devraient y réfléchir sérieusement…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Le top départ de l’épreuve est donné pour une durée de huit heures ! Le 38ème concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France » (MAF), spécifique au métier de jardinier-paysagiste, se déroule dans la petite fraîcheur matinale de ce vendredi saint, juste derrière les locaux du CFA La Brosse, centre de formation agricole par l’apprentissage. Une opportunité pour les six candidats de se mettre en lumière sous l’œil scrupuleux du jury, avec l’objectif de glaner les médailles des concours départementaux et régionaux…

 

VENOY : Mais il ne s’arrête donc jamais, Marc LABARDE ! Le président départemental de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne (MOF) s’affaire déjà avec minutie et concentration derrière son écran, pianotant sur le clavier ses premières impressions de ce qu’il a vu extérieurement avec le lancement de ce nouveau concours.

Une double épreuve en vérité puisque s’organisant tant au niveau départemental que régional. Même si le nombre de candidats désireux y prétendre se résumerait presque à la portion congrue, soit six jeunes gens hyper motivés de bien faire et de réussir à décrocher – peut-être – les places qualificatives pour le national de la discipline – le métier du jour qui est concerné est celui des jardiniers-paysagistes - devant se disputer à l’automne quelque part dans l’Hexagone.

Bref, dès potron-minet, ces six là – quatre garçons du CFA La Brosse suivant un cursus en baccalauréat professionnel en aménagement du paysage et deux autres de leurs condisciples en provenance de la MFR de Gron chère à Stéphane PERENNES ! – n’ont pas hésité à braver la température frisquette et humide de ce matin blafard pour se plonger dans l’étude de cas du jour : la réalisation d’une scène de jardin originale et harmonieuse comprenant la création d’un muret conçu en pierre sèche, un dallage, un pavage, des plantations avec arbustes à fleurs, conifères et autres végétaux, un espace vert en gazon de placage.

 

 

 

Valoriser les jeunes apprentis qui osent relever le défi…

 

Un chantier prenant racine sous le regard scrutateur des membres du jury (quatre professionnels des services espaces verts des communes de Chablis et d’Auxerre notamment) et de Marc LABARDE, qui arborant comme à l’accoutumée son immuable écharpe rouge, veillait à la bonne application d’un règlement hyper scrupuleux. Normal, on participe tout de même à l’un des plus beaux concours de prestige réservé aux apprentis !

Pour Hélène DECULTOT-TREMBLAY, directrice du CFA La Brosse, toute heureuse d’accueillir ce concours en ces murs, un tel évènement est indispensable car il permet de valoriser les jeunes apprenants à leur juste valeur, ils sont prêts à relever le défi. Il est vrai que de gagner un MAF dans son existence fait toujours recette sur une carte de visite remise à un employeur, un sésame plus facile pouvant aider à s’insérer dans la vie active…

 

Thierry BRET

 

 


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Jusqu’au premier avril 2023, il présentait un profil de « globe-trotter » professionnel vantant le savoir-faire de la technologie made in France et de sa filière des télécommunications, le futur patron de la région Grand Nord-Est de la société Orange ! Nommé directeur de zones sectorielles englobant les Hauts-de-France, le Grand-Est et la Bourgogne Franche-Comté, Thierry MARIGNY, à 59 ans, se lance un tout autre défi : celui d’imposer sa griffe et son expérience sur cette partie de l’Hexagone.

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est certain, question climats et températures, le nouveau dirigeant de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde risque de s’apercevoir du changement !

Lui qui était depuis 2018 l’un des artisans du développement du groupe Orange sur la zone Afrique et Moyen-Orient (Jordanie, Tunisie, Sénégal, Liban…) y perdra au change, du côté de l’ensoleillement. Mais, il y gagne une belle promotion avec ce retour en France, devenant de facto l’un des ambassadeurs territorial de la directrice générale du groupe aux 43,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, Christine HEYDMANN.

Diplômé de l’IMT Business School, Thierry MARIGNY, natif de la capitale, presque sexagénaire, possède dans sa besace un DESS en télécommunications, agrémenté d’un Master en gestion de l’Université Paris-Dauphine. A 59 ans, et après avoir exercé moult responsabilités au sein du groupe, notamment dans le marketing mobile mais aussi pour le compte de la marque en assurant son développement promotionnel, le nouvel impétrant à la fonction directionnelle Grand Nord-Est voulait relever un challenge supplémentaire.

 

La modernisation des réseaux : la première des priorités !

 

En succédant en ce mois d’avril à Ludovic GUILCHER – ce dernier est promu directeur en charge de la mise en œuvre du nouveau modèle d’entreprise porté par Christine HEYDMANN – Thierry MARIGNY hérite d’une équipe efficiente, forte de 8 000 femmes et hommes, ayant pour objectif de maintenir le leadership d’Orange dans les réseaux de télécommunications.

Un beau challenge, d’autant que parmi les projets à venir à brève échéance, on peut identifier la modernisation des réseaux Très Haut Débit sur le fixe avec le déploiement de la fibre optique et sur le mobile, avec la présence de la 5G.

C’est sûr : Thierry MARIGNY, au vu de son emploi du temps très serré, devrait très vite s’accommoder, sans trop s’en préoccuper, des rigueurs du climat continental qui l’attend désormais !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Au XIXe siècle, lors de l'invention du chemin de fer, une locomotive à vapeur tirait des wagons. Cela constituait un train. Cela perdura longtemps : les locos devinrent diesel ou électriques mais le train demeurait. Désormais, ce binôme mythique de l'histoire du chemin de fer est en train de disparaître. Adieu les locos ! Adieu les wagons suspendus et confortables sur nos lignes de chemin de fer…

 

BILLET : C'est l'heure désormais des rames automotrices dans lesquelles l'embarquement des passagers est facilité. On pense aux fauteuils roulants et aux poussettes, accessibles au niveau du quai. Le hic ? Le confort y a disparu et nos navetteurs Icaunais vont vite regretter les vaillantes voitures « Corail ».

En 1975, l'apparition des wagons Corail révolutionna le transport des voyageurs à la SNCF. La plupart des voitures y ont un couloir central. Les sièges y sont  de couleur orange, « LA » couleur de ces années si florissantes.

Sur le plan de la sécurité, les contrôleurs ferment via une commande hydraulique les portes au moment du départ. Les rames sont sonorisées, ce qui permet de diffuser des annonces. Tout cela est novateur.

 

L’époque mythique des locomotives est révolue…

 

Accessibles au 160 km/h, les temps de trajet se réduisent : Paris-Marseille passe de 7h45 à 7h. Ces voitures au siège épais sont fort bien suspendues et l'on y voyage fort confortablement, en pouvant ranger une valise  à l'entrée du wagon.

Rien de cela dans les plus modernistes rames « Bombardier » - l'intérieur montre des signes précoces de vieillissement - ou celles de « MOBIGO », siglée par la Région : « Emmène-moi où je veux (sauf grève, panne et autre retard !).

Le confort y a disparu, un peu comme les nappes au restaurant ! C'est une époque révolue ! Dans les rames « MOBIGO » : peu de toilettes et aucun logement dédié aux valises. Question secousse : c’est à l’identique des manèges de la foire ! Effet garanti !

Quant aux rames « Bombardier », il faut faire attention au chauffage surpuissant mais mal réglé, si d'aventure en hiver, on y est assis proche de la brûlante cloison !
Aussi, c'est bien plus qu'une époque du transport ferroviaire qui disparaît avec la fin des wagons et des mythiques locomotives : les « 2D2 », les « CC 7 100 » (championne du monde de vitesse en 1955 à 331 km/h) et surpuissantes « CC 6 500 », star du rail des années 70 !

Au revoir confortables wagons « Corail » : les voyageurs vous regretteront longtemps. Et bonne retraite...à l’âge de 48 ans !

Quai numéro 2, le train rapide « n° 5 049 » va partir. Attention au départ. La SNCF vous souhaite un agréable voyage !

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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