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Créé le 19 mai 1802 par Napoléon lorsqu’il était empereur, l’ordre de la Légion d’honneur accueille des personnes qui ont été récompensées pour des mérites éminents au service de la Nation, qu’ils soient civils ou militaires. Les détenteurs de cette honorable distinction se sont retrouvés il y a quelques jours à la préfecture à l’occasion de la traditionnelle cérémonie des vœux…

 

AUXERRE : C’est l’ultime manifestation publique de janvier qui ponctue la période de vœux. Un dernier tour de pirouette avant de remiser cet exercice si particulier du protocole hexagonal aux futures calendes. Celles de l’année prochaine. Il revient comme à l’accoutumée à l’ordre de la Légion d’Honneur de l’Yonne de clore en beauté ces retrouvailles conviviales et chaleureuses, dans les salons de la préfecture.

Un parterre de personnalités du sérail icaunais a donc assisté à cette animation cordiale, placée sous l’égide du préfet Pascal JAN et en présence du président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD.

L’opportunité fut laissée au président de la délégation départementale, Baudouin DELFORGE, d’aborder les projets de l’année en cours. A commencer par la mise en application du prix de la Légion d’honneur récompensant les apprentis méritants. Une nouvelle distinction venant encourager celles et ceux de ces jeunes gens qui flirtent avec la vie professionnelle et savent être en phase avec la réalité des territoires ruraux en voie de désertification.

« Nous nous sommes rapprochés des centres de formation des apprentis de nos départements afin de mieux cerner les candidats, expliqua Baudouin DELFORGE. Bien évidemment, nous ne pourrons pas récompenser tous les corps de métier. Nous avons choisi quatre ou cinq prétendants. Et puis, nous changerons les années suivantes. Tout cela, je vous le répète, se fera en accord avec les formateurs, les artisans et les centres d’apprentissage… ».

 

Des déplacements pour conforter les liens et perpétuer les traditions…

 

Autre structure soutenue par l’antenne icaunaise de la Légion d’honneur : l’association D.Y.G.E. (traduction : De l’Yonne aux Grandes Ecoles). Fondée en 2018, la structure vise à combattre la sous-représentation des Icaunais dans les études supérieures et à contribuer au développement économique de ce département. Une entité qui fut déjà plébiscitée lors de la célébration du centenaire de la Légion d’honneur à Joigny qui vit la visite du scientifique, Jean-Louis ETIENNE.

Côté déplacements, les légionnaires ont toujours pour projet de visiter la ville de Troyes et ses musées, certainement avant la fin de l’année. La réouverture du Musée d’Art Moderne, après de nombreuses années de fermeture et de travaux, et  le musée de l’Outil et de la Pensée Ouvrière devraient figurer au programme de cette excursion auboise à venir, histoire de raffermir les liens entre deux découvertes touristiques.

 

 

Quant au séjour dans la capitale, à l’occasion du ravivage de la flamme sous l’Arc de Triomphe, cela reste d’actualité sous la direction du vice-président, Dominique LUDWIG.

Pour ce qui est de l’effectif, le comité d’Auxerre devrait voir grossir ses rangs en accueillant des légionnaires de la Puisaye-Forterre et de l’Avallonnais. Soit une quinzaine de membres supplémentaires.

 

 

Pourquoi attendre si longtemps avant d’honorer un héros ?

 

Puis, Baudouin DELFORGE reviendra sur les nominations dans l’ordre. « Nous venons d’apprendre l’élévation à la dignité de grand-croix d’un sous-officier qui fut résistant engagé volontaire, deux fois évadés et déportés au camp de Bergen-Belsen où il fut libéré. Il ne pesait plus que 36 kilos. C’est la première fois qu’un sous-officier est élevé à cette dignité … il est âgé de 96 ans. J’ai eu l’honneur de remettre l’ordre la Légion d’honneur à un ancien résistant et volontaire du régiment du Morvan, Jean-Claude SIMMONNET, 98 ans. Ils ne sont plus que trois survivants sur les 47 engagés volontaires du département. Faut-il attendre si longtemps pour honorer nos héros ! ».

Dubitatif sur les nominations parfois surprenantes, le président de la section départementale ne conteste pas le talent de certains. « Mais combien de héros sont restés discrets et de personnes méritantes sont demeurées dans l’anonymat, ajouta-t-il, des personnes discrètes qui ont participé au succès des armes, de l’économie de la France ; des personnes engagées auprès des autres au sein d’association ou parfois à titre individuel… ».

On peut se poser la question de manière très légitime, il est vrai…

 

Thierry BRET

 

 


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Concevoir une épreuve culinaire dont le nom de baptême se référerait au célèbre personnage auxerrois devait tôt ou tard s’inscrire dans le calendrier des réjouissances gastronomiques de l’Yonne. La première édition du concours « Cadet Roussel » s’est donc tenue au lycée des métiers Vauban vendredi. Un challenge réunissant trois équipes de l’Hexagone : Colmar, Gérardmer et La Rochelle. La victoire est revenue aux Alsaciens…

 

AUXERRE: La joie est à peine dissimulée à l’annonce des résultats. On se congratule entre co-équipiers, on se donne l’accolade entre représentants de la délégation alsacienne, on s’embrasse parmi les plus jeunes. Les couleurs du CFA de l’hôtellerie et de la restauration de Colmar flottent dans le vent icaunais, de manière très symbolique bien sûr.

Celui de la réussite puisque le team alsacien vient d’empocher la première édition de ce nouveau concours « Cadet Roussel » que l’on doit au niveau de sa conception à deux esthètes des arts de la table auxerrois : François HENNARD, professeur de sciences et technologies culinaires et Serge GOULAIEFF, un des « Meilleurs Ouvriers de France » (MOF) que l’on ne présente plus, lui-même professeur de sciences et technologies des services de l’hôtellerie et de la restauration.

Un habitué fidèle dans l’organisation des grands évènementiels : n’était-il pas à l’origine des championnats nationaux des maîtres d’hôtel, accueillis avant la COVID au lycée des métiers Vauban ?!

Si l’établissement bourguignon ne pouvait pas, pour cause de stricte déontologie tout à fait légitime présenter une équipe lors de cette première édition – il n’en sera rien la saison prochaine lorsque ce « Cadet Roussel » seconde mouture posera ses jalons en terre d’Alsace après le succès initial obtenu -, ce sont trois autres villes participantes qui tinrent les membres du jury en haleine au moment du verdict.  

 

 

Un binôme original formé d’un enseignant et d’un enseigné…

 

Et, à ce petit jeu, entre Colmar, Gérardmer et La Rochelle, ce sont les Alsaciens qui tirèrent finalement les marrons du feu. Accompagnés de leurs formateurs, René WERLEN et Jonathan GROSHENS, les deux apprentis du CFA alsacien, Valentine JENN et Clément LAMBERT surent convaincre les membres du jury de leur dextérité à maîtriser les épreuves de ce concours relevé.

Ouvert aux élèves des classes de Terminale Bac Pro, Terminale Bac STHR, mais aussi aux classes de MAN et aux BTS MHR de première ou de deuxième année des lycées d’enseignement public et privé, le concours « Cadet Roussel » offrait l’opportunité de faciliter la relation entre enseignant et enseigné, et bien au-delà de partager le savoir-faire et les connaissances entre les deux membres de cet étonnant binôme, réuni en compétition officielle.

Concourant dans deux catégories (la cuisine et le service, indissociables l’une de l’autre dans le métier), élèves et enseignants se sont livrés à ce défi singulier mais ô combien révélateur permettant de renforcer les liens entre l’apprenant et celui qui y puise le savoir. Une véritable transmission du partage en quelque sorte.

Du côté de la cuisine, les candidats devaient proposer à la sagacité du jury une entrée à base d’escargots pour six personnes ainsi qu’un plat à base de plat de côte et queue de bœuf agrémenté de sa garniture légumière. Pour le service, il s’agissait pour le concurrent de créer un cocktail pour deux personnes à base de ratafia, boisson emblématique de Bourgogne ! Une épreuve complétée par un flambage d’escargots en salle avant que cette entrée n’arrive sur la table des dégustateurs agréés.

Une édition qui trouvait son terme de la plus belle des manières par la remise des prix, notamment le magnifique trophée transmis par le président du jury, le chef Jean-François GIRARDIN, président de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France et MOF lui-même à l’équipe lauréate.

Une édition qui fut aussi saluée très positivement par Capucine VIGEL, proviseure du lycée des métiers Vauban, satisfaite d’une telle initiative en ses murs…

 

Thierry BRET

 

 


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Plus de 14 000 spectateurs ont été réunis au stade de l’Abbé Deschamps dimanche dernier pour un match entre deux équipes du bas de tableau, en mal de victoire. Avec un supporter un peu particulier, en la personne de l’ambassadeur plénipotentiaire de la République populaire de Chine, Lu SHAYE. Normal, le club a célébré à sa manière le Nouvel An chinois…

 

AUXERRE : A ses couleurs mariales traditionnelles que sont le bleu et le blanc, l’AJA avait, une fois n’est pas coutume, rajouté une note de rouge dimanche, à l’occasion du Nouvel An chinois, qui a débuté il y a peu. Une année qui, selon l’astrologie du pays, sera celle du lapin d’eau, synonyme d’abondance, de fertilité, d’harmonie, mais aussi de vulnérabilité. A quelques minutes du coup d’envoi, l’AJA était donc prévenue !

 

 

 

 

C’est sous les lanternes traditionnelles et au son des tambours rythmant les danses du dragon et du lion que les spectateurs venus en nombre se sont vus accueillir ce dimanche. Une touche asiatique confirmée par la présence à l’Abbé Deschamps, de l’ambassadeur de Chine en France, Lu SHAYE.

 

 

Un ambassadeur qualifié de « loup combattant » dans le sérail…

 

 

Qualifié par certains de « loup combattant », ce diplomate de carrière incarne ce nouveau visage d’une Chine décomplexée face à l’Occident, multipliant depuis son installation en France en juillet 2019, discours offensifs et déclarations polémiques. Au point de s’être vu à plusieurs reprises, convoqué par le Quai d’Orsay pour des propos jugés offensants, à l’image de ceux proférés à l’encontre des EHPAD en France sous l’ère de la COVID, soupçonnés de « laisser mourir leurs pensionnaires de faim et de maladie… ».

Mais dimanche après-midi, l’homme était affable et tout sourire face à la presse. Pas question pour autant d’aborder les sujets qui fâchent et d’ailleurs, les Ouïghours ne jouent même pas au foot !

Quant au pronostic émis avant le coup d’envoi, bravo Monsieur l’ambassadeur : deux buts ont bien été marqués, mais par Montpellier, et pas par l’AJA…

Foutue année du lapin d’eau ! 

 

Dominique BERNERD

          

 

 

 


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Quoi de plus appropriée qu’une cérémonie des vœux pour dresser un tour d’horizon des actions menées et des prospectives pour demain ? Le président du Syndicat Départemental d’Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY, s’est prêté à l’exercice devant un parterre nourri de maires du département, usant d’un discours résolument tourné vers l’avenir, émaillé de « coups de gueule » dont le maire de Val-de-Mercy a le secret.

 

APPOIGNY: Si le déclenchement de la guerre en Ukraine a contribué à la hausse des coûts de l’énergie que l’on connaît, pas question pour autant de faire du conflit le seul responsable, selon le président du SDEY : « une situation due entre autres, et à mon sens à un défaut d’anticipation d’EDF et de la gouvernance pour la production énergétique liée notamment au défaut d’entretien des centrales nucléaires… , dénonçant dans la foulée, « tous les profiteurs qui n’ont rien à voir avec l’énergie et qui usent de ces circonstances pour faire des profits exorbitants mettant en grande difficulté les collectivités, les entreprises et les familles… ».

Rebondir et se réinventer, pour mieux anticiper le nouveau monde énergétique à venir, c’est l’objectif que s’est fixé le SDEY depuis déjà plusieurs années, au travers notamment des 160 bornes de recharges pour véhicules électriques déployées dans tout le territoire icaunais, faisant du département un leader en la matière. Leur gratuité jusqu’alors coûtait 400 000 euros par an au SDEY et depuis le 02 janvier dernier, leur accès est devenu payant : « cela n'était plus tenable financièrement pour notre collectivité, bien sûr, nous avons été confrontés à quelques râleurs… ». Des bornes appelées à se moderniser et être plus performantes dans un avenir proche, par le biais du plan « Energies Yonne 2026 ».

 

 

La clairvoyance de trois élus qui portent le projet d’un parc éolien…

 

Mais l’avenir, ce sont aussi ces « stations propres » sur lesquelles réfléchit le syndicat, où l’on pourra à la fois trouver des chargeurs électriques, à hydrogène et GNV, ce gaz naturel composé essentiellement de méthane. En parallèle, sont développés en partenariat avec ENEDIS, des chargeurs bidirectionnels qui permettront de « pomper » l’électricité d’un véhicule aux heures de pointe pour l’injecter sur le réseau en lui donnant la possibilité de se recharger la nuit. Deux bornes de démonstration seront installées sur le site auxerrois du SDEY, à destination des communes, mais aussi des écoles, collèges et lycées, « pour que toutes les générations s’approprient ce domaine… ».

Un futur associé également au développement de toutes les énergies renouvelables, méthanisation, hydro-électricité, éoliennes, porté par la SEM Yonne Energie dont le syndicat est actionnaire majoritaire à 80 %. En témoigne ce projet de méthanisation en filière biologique mené dans le nord du département à Pont-sur-Vanne, « une unité de production vertueuse à plusieurs égards, permettant d’injecter du gaz vert sur le réseau, tout en consolidant la filière luzerne et en préservant la ressource en eau dans une aire d’alimentation de captage… ».

Jean-Noël LOURY saluant dans la foulée « la clairvoyance des maires de Nuits, de Cry et d’Aisy-sur-Armançon », initiateurs dès 2016, d’un projet de parc éolien, « dont la capacité répondrait à un tiers de la consommation résidentielle de l’Yonne, c’est-à-dire 100 mégawatts… ».

 

 

Un coup de gueule contre des « pinpins » !

 

Le SDEY s’est aussi donné pour mission d’aider les communes à réduire de façon drastique leur facture énergétique, au travers notamment de la rénovation de l’éclairage public en « LEDS intelligents ». Un programme qui s’achèvera en 2023, au profit de174 communes et pour lequel le syndicat a contracté un emprunt de 15 millions d’euros, pour des travaux dépassant les 25 millions d’euros. L’occasion pour le président LOURY d’une mise au point : « vu le montant de nos investissements, je pense que nous n’entendrons plus de la part de personnes malveillantes ou ignares que le SDEY est riche. Il n’est pas riche, il fait travailler l’argent... ».

Rappelant que si sept millions d’euros de trésorerie avaient bien été engrangés au moment de la fusion des 23 syndicats primaires, huit millions d’emprunts avaient été « récupérés » conjointement, qu’il faudra rembourser jusqu’en 2030.

Le SDEY accompagne également le Conseil départemental pour la partie génie civil en cas de travaux mixtes liés au déploiement de la fibre dans le département, avec là encore, ce petit « coup de gueule » du président : « A plusieurs reprises, j’ai réagi fortement contre l’installation de poteaux dans des communes où nous avions enfoui les réseaux. C’est quand même assez déplaisant alors que nous œuvrons à l’amélioration de sites, sur le plan environnemental, en enfouissant des réseaux, de voir des « pinpins » qui arrivent derrière et qui replantent des poteaux en disant c’est la fibre ! Ça je ne le supporte pas… ».

 

 

La France détient le pompon en terme de delai pour réaliser des choses !

 

A noter qu’après les douze premières communes récompensées en 2022, de nouveaux labels « Terre d’Innovation » seront décernés cette année, aux communes les plus performantes en la matière portées par le SDEY. Un label qui a séduit par-delà les seules frontières icaunaises, puisqu’il sera repris au niveau national.

C’est à l’unanimité moins une voix, que le SDEY a voté une motion sur l’avenir énergétique de la France, préconisant entre autres, l’accélération du développement des énergies renouvelables, de l’hydrogène, du gaz vert, de la biomasse et de la simplification des procédures pour un aboutissement plus rapide des projets. Il y a urgence tonne son président : « Faut reconnaître quand même que la France détient le pompon en termes de délai pour réaliser quelque chose… ». Et le temps, c’est justement ce dont on manque le plus cruellement pour construire le monde énergétique de demain…

 

Dominique BERNERD

 


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Tiens, on se croirait presque revenu à la formule des matchs disputés en aller/retour version coupes européennes ! Et pour cause, la précédente opposition entre l’AJ Auxerre et l’AS Monaco date du 28 décembre dernier. Une rencontre qui eut lieu en pleine période de « Boxing Days » à la française. Une exception culturelle pour les supporters de la Ligue 1, pas habitué à un tel calendrier. Une confrontation initiale qui s’était soldée par une défaite sur un score méritoire de 2 à 3 face au club du Rocher. En sera-t-il de même mercredi soir sur les bords de la Méditerranée ?

 

AUXERRE : Ce n’est pas vraiment le hasard. L’explication se trouve dans le principe du championnat de France, disputé en phase de matchs « aller » et de matchs retour. Un mois à peine après la première rencontre qui avait vu la formation monégasque l’emporter d’une courte tête sur les Icaunais, l’AS Monaco reçoit les protégés de Christophe PELISSIER au stade Louis II. Une rencontre qui sent le soufre pour les Bourguignons, en cruel manque de points !  

Qu’espérer, dans le fonds, de ce déplacement périlleux si loin de ses bases arrière à une heure et demie de vol depuis Orly un mercredi soir de février ?! Beaucoup de choses, si l’on en croit les propos du coach, qui lors de son point de presse d’avant-match, a assuré que le groupe effectuait le déplacement avec la ferme intention de montrer ses qualités de jeu face à l’adversaire. Et de ramener quelque chose dans la besace ?

« Nous allons apporter la même résistance sur le terrain que lors du match aller, souligna Christophe PELISSIER, qui s’épancha longuement sur le mental de ses troupes après le revers immérité face à Montpellier dimanche. Une partie perdue sur le score de deux à zéro et un pénalty raté du pauvre capitaine Birama TOURE, en manque de confiance devant la cage du portier adverse.

Il est vrai, au vue de la physionomie de la rencontre face aux Héraultais que le sort de la partie aurait pu être tout autre, avec une belle domination des Bourguignons et deux frappes qui allaient mourir sur les poteaux.

Toutefois, attention, changement de registre face aux quatrièmes de Ligue 1 et prétendants à l’Europe : l’ASM représente un tout autre calibre que Montpellier en proie aux affres du doute. « C’est une formation de très haut niveau, concède le coach qui se livre face aux journalistes, on sait très bien ce qui nous attend ! ».

Confrontée au cycle infernal de six matchs à jouer en une vingtaine de jours, dont celui de la Coupe de France face à Rodez à domicile le 08 février, l’AJA qui présentera un groupe au grand complet mercredi soir sans la moindre absence imputable à une blessure doit relever la tête très vite et sortir du guêpier de la zone de relégation où elle occupe pour l’heure la dix-neuvième place.

« Il nous faut retrouver la confiance, lâche l’entraîneur auxerrois, on n’arrive pas à concrétiser alors que l’on peut être dominateur comme face à Montpellier… ».

Défendre ses chances, crânement. Voilà l’objectif avoué et assumé par Christophe PELISSIER qui a su distiller les mots psychologiques qu’il fallait au lendemain de la nouvelle défaite de son équipe. Des mots où le positivisme et l’unité ont subjugué les joueurs avec détermination en leur permettant de retrouver le bon chemin qui mène à la victoire.

Des mots qui ne doivent pas pour autant occulter les actes ! Rendez-vous est donc pris ce mercredi 01er février à partir de 20 heures…

 

Thierry BRET

 


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