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Le  principal bailleur social de l’Yonne, depuis peu rallié au groupement IDELIANS, fait bloc face à la pandémie galopante du coronavirus. Un certain nombre d’actions ont été mis en place depuis le 17 mars, début de la période de confinement. Objectif : protéger au mieux celles et ceux des locataires qui font usage des services de la structure. Sans omettre les collaborateurs et les partenaires du monde de l’entrepreneuriat…

AUXERRE : Karine LASCOLS est-elle devenue, à l’image de tant d’autres décideurs économiques, une cheffe de guerre engagée dans la bataille contre la propagation du COVID 19 ? En tout cas, le plan mobilisateur décliné cette semaine par DOMANYS y fait référence en tout point.

La directrice du bailleur social icaunais vient de présenter la stratégie de l’organisme institutionnel afin de poursuivre au mieux ses missions d’intérêt général.

Le leitmotiv commun à toutes les équipes qui agissent dans le bien-fondé de cette démarche citoyenne est la mobilisation. Et, en premier lieu, à l’égard des clients locataires.

Rappelons que l’office public de l’habitat gère près de neuf mille logements répartis sur deux cents communes du département de l’Yonne. Les forces humaines en présence s’élèvent à 190 collaborateurs.

Plusieurs mesures sont ainsi appliquées depuis la date du 17 mars. Si la fermeture des lieux d’accueil est factuelle, les interlocuteurs des locataires restent joignables. Le processus d’attribution de logement n’est pas remis en cause : les commissions sont organisées à distance.

Les états des lieux entrants ont été maintenus quand ils ne peuvent être décalés. Mais, la remise des clés du nouvel appartement se fait en agence avec la signature du contrat de bail dans le respect des gestes barrières. Il en va de même pour les sorties de location. Les états des lieux ne seront en revanche réalisés qu’après la période de confinement.

Quant aux entretiens des parties communes et les sorties des ordures ménagères, ils se poursuivent avec le même souci de l’observance des mesures de protection gestuelles.

Le cas des commerçants locataires de locaux professionnels est spécifique. Ces derniers sont contactés pour être informés qu’il n’y aura pas de relance sur les loyers impayés durant cette période. Des solutions d’étalement de paiement seront trouvées par la suite si nécessaire.

Les enfants scolarisés peuvent toujours bénéficier du service de soutien gratuit mis en ligne dans le cadre du partenariat avec ACADOMIA et l’AJ Auxerre. Enfin, le lien n’est pas rompu entre le bailleur et ses locataires. Le site de DOMANYS (www.domanys) propose une rubrique spéciale « questions/réponses » permettant d’aiguiller les locataires sur des aspects personnels et précis.

 

 

 

 

Ne pas oublier les publics fragilisés…

 

Le bailleur social a, en parallèle, organisé une vaste campagne d’appels (téléphone, SMS) vers plus de 5 000 personnes isolées et fragiles afin de s’assurer si ces dernières ne manquaient de rien. En outre, la structure a fait don de neuf cents masques protecteurs de type FFP2 aux services du centre hospitalier d’Auxerre pour le personnel soignant.

La mise à disposition de logements pour mettre en sécurité des personnes victimes de violences conjugales ou des enfants en danger est également opérationnelle.

Au plan financier, DOMANYS a réglé de manière immédiate les factures transmises par les entreprises sans attendre la date d’échéance. Ainsi, c’est plus d’un million d’euros qui ont été versés la semaine dernière aux prestataires extérieurs afin de ne pas pénaliser leur trésorerie.

Enfin, dans le cadre des mesures prises en faveur du personnel, DOMANYS a invité l’ensemble des collaborateurs pouvant travailler depuis leur domicile à le faire. Seules ont été conservées les interventions techniques urgentes et le traitement du courrier à réception. Les chantiers ont été suspendus et mis en sécurité jusqu’à nouvel ordre.

 

 

 


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Le casse-tête n’est plus chinois : il est devenu planétaire. L’économie de l’Hexagone est ainsi frappée de plein fouet par ce nouveau tsunami en provenance d’Extrême-Orient qui balaie tout sur son passage et ne laisse que très peu de répit aux soignants…et aux entrepreneurs. L’exemple de Thierry JALLON, un cas parmi tant d’autres malheureusement, est très significatif de ce que vivent au quotidien les gérants de société individuelle dans l’Yonne. A bord de son foodtruck, opérationnel depuis octobre, le chef d’entreprise se fait un sang d’encre pour son avenir…

AUXERRE : Cet hiver, ses potages si goûteux et appétissants ont sustenté avec bonheur, tels de petits pains bénis des dieux, la clientèle de particuliers et de professionnels qui s’affairaient autour de son véhicule.

Ce mélange du chou-fleur à la vanille ou le fameux duo de carottes et patates douces accommodé au curry auront ravi les papilles des plus réfractaires à ce mets liquide si réconfortant par froide température.

Oui mais voilà : sera-ce d’ici quelques temps un lointain souvenir culinaire ? Car aujourd’hui, la préoccupation primordiale du président de la SAS, « O BISTROT MOBILE », n’est pas de concocter de nouvelles recettes de soupes à sa griffe mais bel et bien de survivre au jour le jour malgré le tourbillon économique indescriptible qui s’abat sur le monde.

Alors que 35 % des activités économiques partent à vau l’eau depuis une semaine en France, la jeune entité apparue en octobre 2019 n’a d’autres alternatives que de poursuivre vaillamment sa mission professionnelle. Pour ne pas mourir après un dépôt de bilan.

Seul à bord de sa camionnette, Thierry JALLON assure toujours les livraisons de repas qu’il a réalisé de lui-même à base de produits frais au plus près des zones de travail des Auxerrois mais aussi vers les personnes âgées, vivant à domicile, qui en établiraient la commande.

Mais, depuis lundi, c’est le néant total ou presque en matière de ventes réalisées. Une cinquantaine d’euros seulement ont été glanées par l’artisan entrepreneur. Trop peu pour survivre. Une misère pour espérer en vivre.

 

 

Un démarchage auprès des professionnels de santé demeuré stérile…

 

Afin d’honorer ses créances régulières auprès de ses fournisseurs et rembourser le reliquat d’un emprunt qui s’élève encore à 31 000 euros, Thierry devrait réaliser une rentrée quotidienne de 380 euros chaque jour. Histoire de rester confortable et de ne pas à avoir la tête sous l’eau.

Or, depuis une dizaine de jours, le scénario de la montée en puissance positive imputable à son lancement à l’automne dernier a viré soudainement à la catastrophe sans nom.

Plus rien ne rentre ou presque dans les caisses de la société : un véritable désastre.

 

 

Depuis le début du confinement, ce cuisinier de profession (il en possède les diplômes et le talent), accompagné par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, soutenu par l’association INITIACTIVE 89 (obtention d’un prêt d’honneur de 8 000 euros) multiplie les démarches de référencement auprès des professionnels de santé et des laboratoires de la place afin de se faire connaître. En vain…

La plupart disposent déjà de leurs propres fournisseurs en matière de restauration. Même si les formules de menus (entrée, plats et dessert) sont alléchantes à leur lecture sur le papier.

 

 

Obtenir enfin les réponses adéquates à sa situation…

 

Pour l’heure, le partenaire financier originel, la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté, ne met pas en péril l’existence de la structure. Mais, Thierry JALLON s’interroge sérieusement sur son devenir. Quand le couperet lui tombera-t-il sur la tête ?

« Bien sûr se profile à l’horizon une aide potentielle de mille cinq cents euros délivrée aux entrepreneurs individuels, explique-t-il en proie aux doutes, mais rien ou presque n’a été réellement annoncé dans le cas des gérants de société individuelle qui ont développé leur affaire depuis moins d’un an et qui ne peuvent pas par ricochet produire un comparatif avec le mois de mars 2019 où seront pris en compte les entreprises ayant perdu 70 % de leur chiffre d’affaires… ».

Devant cette situation confuse et cornélienne, le gérant d’O BISTROT MOBILE espère obtenir enfin les réponses adéquates qui lui manquent cruellement.

Ne serait-ce que pour le rassurer sur ce qui l’attend demain si le pire devait persister.

 

 

 

Pour occuper le temps, faute de clients venant acheter ses repas, il se propose d’organiser des livraisons dont il prend les frais à sa charge dans un rayonnement autour d’Auxerre pour livrer les personnes âgées, confinées à leur domicile qui en exprimeraient le besoin.

Une vraie démarche citoyenne en attendant mieux et surtout qu’on vienne lui tendre la main…

 

 

 

 

 


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« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ». La citation de Jean de LA FONTAINE sied très bien à l’état d’esprit actuel du double champion du monde de canoë-kayak auxerrois. Déçu de ne pouvoir vivre ses quatrièmes Jeux Olympiques à Tokyo en juillet prochain afin d’y briguer un podium, le sociétaire de l’OCKA s’en remet à la sagesse pour compenser le manque. Lucide et solidaire, ses pensées vont bien au-delà de la chose sportive en cette période de confinement où dit-il, « il faut savoir faire preuve d’altruisme pour endiguer le fléau… »

 AUXERRE: « Même si la situation est grave, je crois qu’il faut savoir prendre du recul, l’accepter et adopter les bonnes mesures en sachant s’adapter aux changements… Mais, au bout du compte, nous surmonterons cela !».

Craignant depuis plusieurs jours que ne tombe la décision inéluctable du Comité international olympique (CIO), Cyrille CARRE accuse tout de même le coup. Normal ! Vivre une nouvelle aventure sportive sur le toit de l’Olympe au Japon cet été, il en rêvait depuis des mois. 

Auréolé de son titre de champion du monde de short race, le kayakiste Icaunais recherchait une énorme performance aux Jeux Olympiques cet été. Un rendez-vous qu’il n’aurait manqué pour rien au monde. D’autant que le bateau avait obtenu les quotas obligatoires, synonymes de qualification.

Récemment, Cyrille qui suivait l’évolution du dossier avec la régularité d’un métronome, avait déclaré « qu’il n’était pas nécessaire de prendre des décisions trop radicales et hâtives qui auraient pu s’avérer contre-productive pour les athlètes… ».

Mais, les choses ont évolué depuis. Jusqu’à la prise de décision définitive cette semaine, la mort dans l’âme, du Comité international olympique de décaler à l’année prochaine l’évènement planétaire.

« C’est vrai au vu du contexte, cela sentait vraiment le roussi, précise le sapeur-pompier professionnel, plusieurs délégations avaient fait part de leur intention de ne pas envoyer de compétiteurs aux Jeux, menaçant d’un boycott pur et simple les épreuves. Même si c’est un crève-cœur pour le monde du sport : le choix du CIO est raisonnable et surtout équitable vis-à-vis des sportifs qui ne pouvaient pas tous décemment préparer ce rendez-vous dans des conditions optimales… ».

L’avalanche d’annulation observée autour des compétions nationales et européennes ne fait que confirmer les dires du champion. Le programme de stages et de courses officielles s’évaporait de jour en jour du calendrier : séjour au Portugal du 22 au 31 mars disparu, open d’avril supprimé, championnat de France de fond reporté, manches de la Coupe du monde du mois de mai enlevées… Bref : Cyrille CARRE n’avait plus rien à se mettre sous la dent pour parfaire sa condition physique et accroître son mental avant de disputer les épreuves nippones.

 

Le plus dur est de se projeter dans les douze à quinze mois à venir…

 

Le problème pour le garçon qui continue de s’entraîner d’arrache-pied afin de se maintenir en forme (la commune d’IRANCY lui a mis une salle confinée à disposition) est le manque absolu de visibilité sur la suite de la saison. Une saison dépouillée du moindre rendez-vous officiel même si l’accumulation du report des épreuves sur le second semestre n’est pas une garantie.

Le plus dur est de se projeter de nouveau vers un objectif à atteindre dans douze à quinze mois. Car pour l’heure, le Comité international olympique n’a arrêté aucune date au calendrier. Mettant un point d’orgue à finaliser les Jeux avant l’été 2021.

« Je vais profiter de ce temps de repos contraint pour souffler quelque peu, confie le surdoué du kayak, d’autant que la nouvelle saison à l’automne dernier avait démarré sur les chapeaux de roue… ».

Désigné sportif Icaunais de l’année 2019, Cyrille CARRE avait avalé avec un appétit d’orque les compétitions hivernales comme celles organisées à Vaires-sur-Marne où le garçon avait multiplié les performances : 2ème en K4 500 m et K2 1000 m, 4ème en K1 1000 m, 7ème en K1 4000 m, et 17ème en K1 200 m.

Une mise en condition optimale qui préfigurait une saison exceptionnelle…

Faisant montre de relativisme par rapport à la situation, le sportif bourguignon pense surtout au contexte actuel que traverse le monde. En mettant les incertitudes sportives de côté, pour ne se consacrer qu’à l’instant présent…

 

 

 


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Et maintenant ? Que faire ? Beaucoup d’argent a été perdu en bourse en très peu de temps. Une seule interrogation : quelles perspectives pour l’avenir ? Il est nécessaire de cesser les polémiques et de visualiser celui-ci avec réalisme. Mais, avec un peu plus d’optimisme malgré ce paysage apocalyptique. L’histoire jugera les erreurs des uns et les aberrations des autres. La crise économique, on peut parler de récession, est déjà présente. Le krach boursier prolonge les convulsions économiques. La bourse plonge, le pétrole s’effondre, l’or chute et l’immobilier est rempli d’incertitudes…

TRIBUNE : Où mettre son argent ? Nous insistons sur la béatitude du financier sage : bienheureux le détenteur du Livret A ! A la différence de 2008, la crise d’aujourd’hui est d’abord économique.

La bonne question à se poser est la suivante : j’ai besoin de quoi ? Un complément de ressources ? Donc, il me faut un placement qui rapporte des intérêts, sans aucun risque. Un capital pour l’avenir et dans l’immédiat ? Je n’ai pas besoin de complément de revenus ? Donc, il faut opter pour un placement qui ne rapporte rien…d’autre que le maintien du pouvoir d’achat de mon capital ! L’erreur permanente faite par les salariés est de prendre une fiscalité sur des intérêts dont ils n’ont pas besoin.

Quant au troisième objectif de l’épargne, il est, rappelons-le, la facilité de la transmission de mon patrimoine vers mes descendants. Imaginons simplement un épargnant qui souhaite solder un placement retraite aujourd’hui. C’est tout bonnement impossible puisque cela n’engendrera que des pertes.

La retraite par capitalisation est à proscrire, tout comme l’assurance-vie. Sauf si on doit à tout prix obtenir des liquidités : il ne faut pas vendre les valeurs en chute libre (les portefeuilles de titres, les SICAV, FCP, SCPI…).

Dans un premier temps, il est préférable de suspendre les versements mensuels vers ces placements à hauts risques ! L’orientation de l’épargne, c’est l’objectif assigné. Observons de cette constante : la rentabilité élevée d’un placement s’accompagne d’un risque élevé.

 

Des placements à réaliser avec sagesse et discernement…

 

Ceux qui proposent des placements à 12 ou 15 %, alors que sur les marchés on trouve des taux négatifs, sont des escrocs ! Les placements purement bancaires rapportent peu. Soit, mais ils sont sans risques. Si l’on veut protéger son épargne : la chute de l’or est de courte durée et on peut estimer que les cours repartiront à la hausse.

Certains spécialistes pensent qu’acheter l’once d’or en dessous de 1 400 dollars US, c’est faire une bonne affaire pour l’avenir. Et si ma banque venait à faire faillite ?

Retenons que les comptes de chèques sont garantis jusqu'à 100 000 euros, par personne et par banque. Si vous avez 250 000 euros : optez pour la formule suivante, ouvrez trois comptes dans trois banques différentes. L’assurance-vie est garantie jusqu’à 70 000 euros par personne et par compagnie. La première démarche pour les plus jeunes est d’acheter avec du crédit, sa résidence principale.

Dans l’avenir, les banques seront plus restrictives dans l’octroi des prêts. A la différence de 2019, elles vont se figer sur la règle de remboursements inférieurs au tiers des revenus de l’emprunteur.

Certains conseillers proposent d’acheter en bourse, d’acquérir des options de vente… La sagesse doit conduire à fuir, pour l’instant, tout placement en lien avec les marchés financiers.

Faire confiance aux conseillers financiers des banques requiert de la modération, voire de la prudence ! Au niveau des réseaux, l’expertise juridico-financière des conseillers de clientèle est à écouter par deux fois. 

Un boulanger n’est pas nécessairement un excellent pâtissier et un spécialiste de la confiserie et du chocolat. Pourtant, il propose à ses clients l’ensemble des produits liés à ces spécialités !

Idem pour la banque : on propose des produits bancaires, financiers, d’assurances, d’assistance en sécurité des personnes et des biens, du téléphone mobile, du service de conseils fiscaux et de transmission de patrimoine, sans une compétence éprouvée dans tous ces domaines. Demain, ils nous proposeront peut-être des masques et du gel hydro allergénique !

 

Vivre en autarcie ne serait-il pas recommandable à l’avenir ?

Pour tous les aspects de la transmission du patrimoine, il est impératif de faire confiance au notaire !

Alors, « Adieu, veau, vache, cochon, couvée… comme le disait Perrette munie de son pot de lait dans l’une des fables de Jean de LA FONTAINE ? Pas forcément. On peut imaginer une relocalisation d’un patrimoine emprunt, de bon sens, vers davantage de sécurité, d’autonomie sans le stress de la fluctuation des cours de la bourse.

Visualisons une propriété (plus ou moins importante) avec une surface boisée (fabriquer ses propres granulés de bois aux fins d’alimenter sa chaudière), un maximum de panneaux solaires, un verger (autonomie fruitière), un grand potager (réalisation de conserves stérilisées), un puits, un étang pour le poisson, des poules (qui ne seront surtout pas de luxe !)…, ne serait-ce point le rêve ?

Bref, pouvoir vivre en autarcie, au cas où ? Après la crise du coronavirus, plus rien ne sera jamais comme avant ! Donc, rappelons-nous la formule chère à l’humoriste Pierre DESPROGES : «  L’élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense donc tu suis » ! » ! A ne jamais oublier de nos esprits !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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L’heure est au rassemblement. A la concertation, aussi. Mais surtout à l’unité. D’une seule et même voix, l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM) ainsi que trois organisations syndicales représentatives (CFDT, CFE-CGC, Force Ouvrière) se mobilisent pour assurer les modalités d’une reprise progressive des activités industrielles dans des conditions sanitaires optimales…

AUXERRE: Prendre ses responsabilités, c’est l’affaire de tous. Chacun le sait. Dans la filière industrielle, l’initiative initiée par l’UIMM et trois organisations syndicales représentatives (CFDT, FO et CFE-CGC) n’a d’autre objectif que de remettre l’appareil industriel en route. Après quelques moments de flottement, survenus en toute logique la semaine dernière.

Il est vrai que face à l’inquiétude croissante liée au contexte si étrange de la pandémie virale, et après avoir observé une légère dichotomie dans les discours officiels, les quatre alliés de circonstance avaient pu observer le ralentissement, voire la cessation partielle ou totale des activités sur le territoire. Mais, il est essentiel que la vie économique et sociale de la Nation soit restaurée. Dans le droit et le respect sanitaire que chaque salarié peut attendre et espérer.

Comme le précise Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie, « il en va de l’avenir de notre pays et de notre industrie ainsi que la préservation des emplois ».

Conséquence : l’IUMM et ses partenaires syndicaux demandent aujourd’hui que les entreprises identifient en priorité les activités vitales nécessaires à leur fonctionnement, à celles des filières utiles au pays, ainsi que celles intra-filières.

 

 

 

Le respect des consignes pour garantir la sécurité dans le travail…

 

« En concertation avec les salariés et leurs représentants, nous demandons expressément que les entreprises adaptent scrupuleusement leur environnement de travail en mettant en place les mesures organisationnelles, collectives et individuelles, qui facilitent la sécurité sanitaire de tous, ajoute Claude VAUCOULOUX, c’est-à-dire la mise en pratique des distances de sécurité, les gestes barrières, la mise à disposition d’équipements individuels (gants, masques…), de produits désinfectants, du lavage des vêtements de travail, voire d’une nouvelle organisation dans le travail… ».

Sachant que ce plan de prévention est adaptable et suit l’évolution de la situation au jour le jour. Jugées indispensables, ces dispositions permettent selon les quatre partenaires de créer des conditions favorables d’un retour progressif à l’activité.

En conformité avec les instructions qui émanent des ministères de la Santé et des Solidarités, et du ministère de l’Intérieur.

« Notre objectif est d’assurer la sécurité de tous afin de permettre à chacun de retrouver la confiance et la sérénité nécessaires pour travailler, conclut le délégué général de l’UIMM. L’industrie doit, dès que possible et dans de bonnes conditions sanitaires, retrouver un niveau d’activités satisfaisant dans l’intérêt de l’ensemble de nos concitoyens… ».

A court terme, la résorption des difficultés dans lesquelles notre pays se trouve à l’heure actuelle en serait grandement facilitée. Bref : ce plan d’action commun est plus que jamais l’affaire de tous…

 


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