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Les cérémonies de la discorde à Auxerre : des élus de l’opposition s’insurgent de ne pas être invités…
avril 30, 2021Circonspects, les élus de l’opposition d’Auxerre ? Pour certains d’entre eux, c’est presque un doux euphémisme que de le dire ! Surtout après le rassemblement organisé ce lundi 26 avril en mémoire de la policière assassinée au commissariat de Rambouillet. Leur absence fut remarquée. Logique, rétorquent-ils : ils n’avaient reçu ni invitation ni courriel leur proposant de s’y rendre !
AUXERRE: Ils sont très irrités, les élus de l’opposition de la Ville d’Auxerre. A ne pas prendre avec des pincettes, compte tenu d’un énième épisode supposé politicien qu’ils déplorent et dont ils ciblent volontiers le principal responsable, c’est-à-dire l’édile de la municipalité en personne.
En particulier trois d’entre eux qui arborent les couleurs du groupe « L’Assurance d’une transition sereine » : Maud NAVARRE, Farah ZIANI et Rémi MELINE.
Eux qui auraient voulu afficher leur unité républicaine en participant bien au-delà des clivages politiques à la cérémonie du souvenir qui évoquait la mémoire de la malheureuse fonctionnaire de police, assassinée il y a quelques jours dans les Yvelines.
Oui mais, voilà, l’opération organisée le 26 avril sur le parvis du commissariat de police s’est déroulée à leur insu. Sans qu’ils ne reçoivent la moindre invitation sur papier, ni un simple e-mail sur leur messagerie leur indiquant la date, le lieu et l’horaire de ce rendez-vous commémoratif.
« C’est un comportement de la part de Crescent MARAULT qui est pour le moins déstabilisant, pour ne pas dire plus… ».
Sauf que dans le cas présent, la municipalité n’y était pour rien ! Car, non organisatrice de ce rassemblement inopiné. Qui émanait uniquement des seuls syndicats de police. Ces derniers répondaient ainsi à un appel de mobilisation lancé au niveau national, largement diffusé via les réseaux sociaux et la sphère médiatique.
Toutefois, les trois signataires du communiqué de presse qui a fait le tour des rédactions départementales insistent en se disant peu surpris par cet état de fait par ailleurs. Car, le 25 avril, il y eut déjà un précédent.
Le lien républicain est mis à mal…
Les élus de l’opposition n’étaient pas présents à la journée de commémoration consacrée aux victimes de la déportation. Ce fut du même acabit le 19 mars dernier lors de l’évènement rappelant le terme de la guerre d’Algérie.
La raison de ces absences répétitives ? La Ville ne convierait pas ses élus d’opposition d’après les représentants de « L’Assurance d’une transition sereine » !
Selon ces derniers, « c’est une attitude pour le moins curieuse qui contribue à affaiblir le lien républicain d’usage, unissant toutes les forces politiques en place lors d’évènements patriotiques ou mémoriels ».
Bref, y aurait-il de la part de la Ville une volonté de boycott orchestré de manière systématique ? Ou ne serait-ce que l’application stricto sensu des règles de confinement instaurées par la préfecture, qui autorise in fine que peu de personnes à se réunir même à l’extérieur ?
Voire un épisode, plus politicien celui-là, en concordance avec la campagne électorale qui débute ?
Une chose est sûre manifestement : les syndicats de police, organisateurs dudit évènement qui fait controverse dans le landerneau auxerrois depuis quelques jours, ont omis, il est vrai, de respecter les sacro-saints rituels imposés par le protocole républicain. Inviter tout le monde !
Mais, à leur décharge, la conception d’un recueillement dans l’urgence émotionnelle fait parfois oublier les principes cérémoniaux habituels.
D’autant que la douleur de perdre l’une des leurs dans des circonstances aussi funestes demeure bien vivace parmi ces esprits éplorés. Peut-être un peu trop enclins au vue de ces faits tragiques d'omettre les pratiques usuelles…
Thierry BRET
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La pharmacopée chinoise n’a plus de secrets pour lui : Philippe SIONNEAU un soignant du corps et…de l’esprit ?
avril 29, 2021Dans son domaine, celui de la formation et de la pratique de la médecine chinoise, notre interlocuteur qui exerce en Andorre est une sommité internationale. C’est par ailleurs l’un des rares occidentaux à avoir suivi dans une université en Chine un cursus complet de cette discipline qui se démocratise de plus en plus en Europe. Portrait de ce praticien qui sort des sentiers battus…
TRIBUNE : Quand on demande à Philippe SIONNEAU de se décrire ; il explique de prime abord qu’il est un heureux papa de quatre enfants fruits d’une union formidable, celle qu’il a contractée avec son épouse, véritable pilier de la famille.
Notre homme est à ce jour l’un des quatre français à avoir obtenu le fameux diplôme national chinois lui permettant d’exercer depuis 1994 dans n’importe quel établissement hospitalier de l’ex-Empire du Milieu ! C’est suffisamment rare pour être mentionné !
Son cursus devant l’amener à ce que beaucoup considèrent là-bas comme la profession de médecin, il l’a suivi en université à Pékin ou à Wuhan. Une ville qui est aujourd’hui universellement reconnue pour être le foyer initial de la pandémie de la COVID-19.
Alors, nécessairement, lorsqu’on aborde avec lui la question cruciale de ce terrible fléau qui s’est répandu depuis octobre 2019 aux quatre coins de la planète, Philippe SIONNEAU ne peut que témoigner avec beaucoup d’humilité et d’humanisme.
Lui qui se définit tel un modeste soignant a proposé un protocole sanitaire sur place. Un processus ayant généré des résultats.
Aider de la meilleure façon celles et ceux qui viennent le consulter demeure aujourd’hui son principal leitmotiv. Il pratique son art, non pas comme du « prêt-à-porter » mais avec dans la tête le fait qu’administrer un médicament à un patient se réalise de la manière la plus adaptée qu’il soit. C’est à partir de ce cheminement basique que les résultats tant attendus sont perceptibles…
Retrouver le lien de l’entretien avec Philippe SIONNEAU sur la référence suivante :
En savoir plus :
Site du cabinet de Philippe SIONNEAU : http://acupuncture-andorre.com/
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Hadrien ACELA
Interview réalisée par Daniel BOUKEZ
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Du rififi dans les amphis : un millier d’étudiants portent plainte contre les ministres de l’éducation
avril 28, 2021L’avocat Fabrice di VIZIO a déposé plainte vendredi 23 avril 2021 contre le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel BLANQUER et la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique VIDAL au nom de mille étudiants. Un cas d’école dans le monde de l’éducation qui rejette l’idée des examens à accomplir en présentiel !
PARIS : Le jeudi 22 avril, le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel BLANQUER a annoncé lors d’une conférence de presse que les épreuves pour les étudiants de BTS seraient maintenues en présentiel au-delà du 02 mai. En revanche, cela confirme aussi le déroulé des épreuves du 27 et 28 avril prochain en présentiel. Quelques jours plus tôt, la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique VIDAL avait annoncé que des rattrapages seront mis en place pour les étudiants qui seraient malades le jour des épreuves.
Près d’un millier d’étudiants mais aussi un collectif de médecins et des familles de victimes de la COVID-19 ont porté plainte contre les ministres.
L’avocat en droit de la santé publique Fabrice di VIZIO a acté cette initiative dès le vendredi 23 avril 2021 auprès de la Cour de justice de la République, a révélé le Journal du Dimanche.[1] L’association victimes Coronavirus COVID-19 France s’est associée à l’avocat pour porter plainte. Ils accusent donc le maintien des épreuves de fin d’année des BTS en présentiel.
Une réelle mise en danger sanitaire des étudiants…
Fabrice di VIZIO confirme la plainte dans un communiqué : « 400 personnes dans une même salle, pendant que les collèges, lycées et établissements de l’enseignement supérieur sont fermés en raison de la situation sanitaire, cela est incompréhensible et expose ces jeunes non seulement à un risque de contamination par le virus, mais aussi à des risques psychologiques ».
En parallèle de la plainte portée contre les deux ministres, une requête en référé-liberté au Conseil d’État a été déposée ce même jour. Le but étant de faire annuler d’urgence les examens en présentiel pour les transformer en contrôle continue.
En effet, le fait de maintenir les examens dans ces conditions entrave l’article 223-1 du Code pénal : « Exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement ».[2]
Avec les évènements qui se déroulent depuis près d’un an, la fatigue accumulée, les cours qui sont difficiles à suivre, les étudiants voient un réel danger quant à suivre ces épreuves.
Le ministre de l’Education nationale campé sur ses positions…
Le ministre de l’Éducation nationale s’est rendu sur le plateau du Grand Jury sur LCI et RTL ce dimanche 25 avril. Il déclare rester sur les décisions prises au sujet des examens et sessions de rattrapages.
Il a ajouté qu’un coaching personnalisé sera organisé pour les élèves de BTS qui en ressentiraient le besoin et qui auraient raté leur première session d’examen.
La ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique VIDAL prévoit une rentrée 2021 avec 100 % en présentiel. Elle a annoncé que la reprise des cours pour les étudiants sera d’environ 50 % à la mi-mai. Cela permettra d’avoir un aperçu afin de mieux se projeter sur la rentrée prochaine.
En savoir plus :
https://www.lejdd.fr/Societe/Education/info-jdd-maintien-des-epreuves-de-bts-en-presentiel-des-etudiants-portent-plainte-4040758
[1] https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000024042637/
Jordane DESCHAMPS
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Départementales : quatre candidats du Gâtinais prônent pour davantage de proximité avec les élus du terrain
avril 27, 2021Christine AITA, maire de Courtoin, Loïc BARRET, maire de La Belliole, Annie AMBERMONT, première adjointe au maire de Vallery et Étienne SÉGUELAS, premier élu de Lixy, ont officialisé, jeudi dernier, leur candidature aux élections départementales qui se dérouleront les 20 et 27 juin 2021. Une conférence de presse tenue au foyer communal a permis à ces candidats de dévoiler leur programme...
VILLENEUVE-LA-DONDAGRE : Soutien aux politiques de sécurité en place (vidéo de surveillance, etc.), aux agriculteurs, souhait de développer le commerce local, demande d’élaboration d’un programme global de rénovation et de modernisation du réseau routier, les candidats aux départementales affichent des volontés plutôt familières, déjà engagées par leurs prédécesseurs.
Sur la couverture numérique du département, les élus déplorent la lenteur de la mise en route de la fibre optique, indispensable pour le développement de l’emploi.
En 2019, le département de l’Yonne a lancé un vaste chantier qui assurera la fibre à tout le territoire icaunais d’ici 2023 selon un calendrier précis. Une feuille de route quelque peu ralentie par des conditions restrictives qui sont dues à la crise sanitaire. Elus et habitants devront donc prendre leur mal en patience.
Côté culture, les candidats ambitionnent d’amplifier ce secteur sur tout le territoire du Gâtinais et de continuer à soutenir la sphère associative.
« Aujourd’hui, les associations n’ont pas le réflexe de s’adresser aux conseillers départementaux. Pourtant leur rôle, c’est de les écouter » explique Loïc BARRET, maire de La Belliole.
D’ailleurs, c’est surtout là que le bât blesse. Chacun réclame plus de cohésion entre les élus territoriaux.
« Nous ne sommes pas représentés »…
Les conseillers départementaux sont « très peu présents. Quand nous ne sommes pas sur le terrain, on ne peut pas être à l’écoute des demandes » d’après Christine AITA, maire de Courtoin.
« Il y a ce vide qui est là ». « Un vide intersidéral » confirme Loïc BARRET. Mais « ce n’est pas notre sujet. On ne se présente pas contre, mais pour quelque chose » tente-t-il de rectifier par cette phrase pleine de sagesse. Malgré tout, les hostilités sont bel et bien lancées.
Les candidats n’ont pas masqué leur amertume envers le Département en raison d’un déficit de communication avec les élus locaux, trop peu consultés. Étienne SÉGUELAS, maire de Lixy évoque avec nostalgie « un lien très fort » passé entre les élus de l’Yonne et ceux du canton.
Il souhaite aujourd’hui « retrouver cet esprit de collaboration et parler le même langage ».
Ils ont même fait de cet « abandon » l’axe principal de leur campagne.
« Sur le département, on a un manque de terrain. Et je crois que le terrain, de faire remonter les informations de la base jusqu’au département, c’est l’essentiel » assure Christine AITA, maire de Courtoin. Pour Loïc BARRET, il est temps « de faire exister le département comme il se doit ».
Les candidats comptent ainsi resserrer les liens entre les mairies, la Communauté de communes, le Conseil départemental et la population. Ils estiment en effet que la fonction de conseiller départemental est aujourd’hui méconnue du grand public en raison d’un manque évident de communication.
Floriane BOIVIN
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Le projet de loi interdisant la publicité dans les boîtes aux lettres pourrait condamner jusqu’à 10 000 emplois
avril 27, 2021L’interdiction par le gouvernement de distribuer de la publicité non voulue, celle qui regorge parfois au fond des boîtes aux lettres, s’examine à l’heure actuelle au parlement. Si les prospectus et autres flyers représentent près de 40 kilos de papier par habitant chaque année, il n’empêche que cette distribution nourrit toute une filière économique en proie aujourd’hui à la plus vive inquiétude pour son avenir. Etat des lieux, acte un !
PARIS : Halte à la publicité non sollicitée qui s’accumule dans les boîtes aux lettres ! C’est le leitmotiv actuel du gouvernement désireux de mettre le holà sur une éternelle problématique qui divise depuis des lustres bon nombre de personnes dans l’Hexagone. A commencer par celles et ceux de nos concitoyens qui relèvent le contenu de leurs boîtes aux lettres au quotidien !
Certains voient en effet un réel intérêt à recevoir avec régularité pléthore de ces documents à l’estampille commerciale qui assurent la promotion de produits et savoir-faire histoire d’en être informés ; d’autres, a contrario, vouent aux gémonies cette pollution marketing trop envahissante de leur espace vital jusqu’à en refuser l’accès en apposant un autocollant spécifique, « Stop Pub ».
Le gouvernement semble vouloir mettre tout le monde d’accord en travaillant actuellement dans le cadre du projet législatif Climat et Résilience un article se référant précisément à cet item contradictoire.
Portant la numérotation « neuf », ce texte examiné en commission depuis début mars autoriserait la distribution desdits plaquettes publicitaires et autres dépliants saisonniers uniquement chez les particuliers qui en accepteraient le principe.
Dans le concret, les boîtes aux lettres des personnes souhaitant bénéficier de cette communication publicitaire se verraient identifier par un autocollant, bien distinct, portant la mention « Oui Pub ». Un adhésif qui remplacerait en pure et bonne forme le document existant jusqu’alors, le fameux « Stop Pub », qui se caractérise déjà sur le devant de certaines boîtes aux lettres.
Précisons que cet article 9 de la loi à l’étude représente l’une des 146 propositions formulées lors de la Convention citoyenne pour le Climat. Les signataires de ce rendez-vous ont dénoncé l’impact écologique de ces documents publicitaires sur notre environnement ; soit près de quarante kilos de papier par personne chaque année !
Plusieurs filières professionnelles impactées par cette décision…
Nonobstant, l’article à l’étude ne fait pas que des heureux. Notamment auprès des professionnels de la distribution, à commencer par MEDIAPOST, l’une des filiales distributrices du groupe LA POSTE.
Plusieurs syndicats dont la CDFT sont d’ailleurs montés au créneau dès l’annonce de ce projet qui pourrait supprimer jusqu’à dix mille emplois en France. Et vu le contexte économique actuel, notre pays n’a vraiment pas besoin de cela !
Les opposants à ce projet estiment que la dimension sociale et économique n’a pas été prise en compte et que seul le volet écologique conditionnera l’application de ce texte.
Plusieurs autres secteurs dont la presse quotidienne régionale, l’imprimerie, les arts graphiques et la distribution directe font grise mine.
Si l’article 9 sortait définitivement du cadre expérimental à trois ans tel que les parlementaires souhaitent lui faire appliquer en cas de validation, il serait alors nécessaire d’accompagner financièrement toutes les filières qui utilisent la distribution directe de documents. Car, la casse pourrait s’avérer terrible.
Question : peut-on au simple nom du gaspillage condamner dix mille personnes à perdre définitivement leur travail et à aller pointer au chômage pour une longue durée ?
L’acte deux de ce volet informatif nous permettra de nous focaliser davantage sur MEDIAPOST et la manière dont est appréhendée le sujet chez ce distributeur de documents publicitaires…
Thierry BRET
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