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Favoriser la reprise de l’activité et préserver la création d’emplois. C’est la réponse sans équivoque apportée par la Région Bourgogne Franche-Comté aux conséquences dommageables de la pandémie virale sur notre territoire. En adoptant un Plan d’accélération de l’investissement régional, l’organe institutionnel entend bien jouer un rôle majeur dans la gestion de cette crise sanitaire. Autour des trois thèmes que sont l’emploi, l’écologie et la solidarité…

DIJON (Côte d’Or) : C’est l’heure du deuxième acte pour la Région Bourgogne Franche-Comté pour relancer favorablement l’activité économique après la première initiative prise au début de la crise. Une réponse qui semble être appropriée à la situation actuelle, complexe et si délicate à appréhender pour des centaines d’entreprises en proie aux doutes et difficultés.    

Doté d’une enveloppe globale de 540 millions d’euros dont 435 millions d’euros de financement régional et d’un reliquat constitué de fonds européens, le Plan d’accélération de l’investissement régional a été adopté lors de la séance plénière ce vendredi 09 octobre dans l’hémicycle du boulevard de la Trémouille.

Après avoir injecté cent millions d’euros au printemps, le pouvoir exécutif de notre contrée démontre ainsi qu’il entend mobiliser tous les moyens financiers disponibles pour participer au rebond de l’économie. Dès à présent, puisque le plan est devenu effectif dès son adoption par les élus, et ce, jusqu’au terme de 2023.

Elaboré à l’issue d’un cycle de concertations avec les différentes filières économiques, les branches professionnelles et les partenaires institutionnels, ce plan traduit la volonté de la présidente Marie-Guite DUFAY de mettre tout en œuvre pour sortir de l’ornière le monde de l’entrepreneuriat de l’abîme.

 

 

Un plan devant générer 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises

 

« Proposer un plan à trois ans aux dimensions ambitieuses afin de soutenir l’activité économique en Bourgogne Franche-Comté est l’une des premières responsabilités de notre collectivité, devait-elle préciser lors de sa prise de parole introductive.

Ce plan s’inscrit dans la droite ligne de l’action nationale déclinée sous le vocable de « France Relance » et des actions mises en exergue au niveau européen.

Articulé en trois éléments (emploi, écologie, territoires et solidarité), l’outil qui devrait permettre de générer deux milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises régionales préconise cent-deux mesures spécifiques. Certaines d’entre elles à hauteur de 30 % existent déjà : leurs financements en seront élargis. Pour les autres, elles ne sont que le reflet de véritables nouveautés.

 

 

La répartition entre les trois axes privilégiés est la suivante : 237 millions d’euros se destineront à l’écologie, 113,5 millions iront vers le volet pur économie et emploi. L’aide attribuée au pôle Territoires et Solidarité s’élèvera à 84,5 millions d’euros.

Précisons que ce plan d’accélération s’adosse au pacte régional en faveur de l’économie de proximité qui a vu le jour en juin dernier. Conçu avec le concours des intercommunalités, il se destine pour les artisans, les commerçants et les entreprises de moins de dix salariés, pour une enveloppe globale de 27 millions d’euros.

 

Une coloration écologique forte insufflée à ce plan…

 

Parmi les mesures qui ont été votées par la Région dans le cadre de ce plan de reconquête économique, environ la moitié (soit 47 sur 102) se rapporte directement à la transition écologique et énergétique. Dans le concret, une enveloppe de 70 millions d’euros est consacrée aux projets de rénovation énergétique. C’est-à-dire ceux qui ont des effets positifs pour le climat, l’emploi et le pouvoir d’achat des ménages.

L’angle pédagogique n’a pas été occulté de cette vision stratégique globale. La présidente Marie-Guite DUFAY désirait promouvoir la formation professionnelle avec l’adaptation des compétences aux besoins émergents : ce sera fait via une dimension sociale forte.

A ce titre, une charte, en cours de négociation avec les structures patronales et les syndicats, pourrait déboucher pour que ces aides régionales aux entreprises soient assorties de contreparties en matière de dialogue social et de sécurisation des emplois.

Face à « des situations que nous n’avions jamais connues […], nous avons su faire face, résister, créer,  collectivement, a tenu à rappeler la présidente. Nous avons aussi beaucoup appris. Aujourd’hui, il nous faut rester très dans l’humilité, attentifs et vigilants ». 

Face à la situation, la Région a décidé d’agir vite en prenant le taureau par les cornes. Une première enveloppe sera débloquée avant le 01er décembre 2020 avec vingt-cinq millions d’euros à la clé. Pas de doute, il n’y a plus une minute à perdre pour sauver le « soldat » économie de ce bourbier dans lequel il s’enlise…

Thierry BRET

 

 


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C’est l’une des spécificités de la vénérable institution. S’assurer que l’accès aux soins des personnes en situation les plus précaires soit toujours facilité. Surtout en période de crise sanitaire aussi délicate qui vient impacter le bon fonctionnement de notre pays. En lien avec le tissu associatif local, la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie de l’Yonne multiplie les initiatives pour ne laisser personne au bord de la route…Explications.

AUXERRE : Drôle de période anniversaire que celle-là ! La soixante-quinzième célébration de la Sécurité sociale, l’une des sacro-saintes institutions les plus marquantes de notre histoire qui aura chamboulé l’existence de millions de nos compatriotes au fil de ces décennies.

Et pourtant, même si cette « vieille dame » de la protection individuelle en matière de santé et de soins a troqué son nom de baptême par un acronyme plus dans l’air du temps, ses interventions concrètes n’en sont pas moins toujours aussi prégnantes dans cette France du XXIème siècle.

Avec, actualité oblige, un Hexagone confronté à la pire des pandémies de ce siècle encore balbutiant qui n’est pas sans rappeler la terrible grippe espagnole ayant terrassé des millions d’êtres humains dans le premier quart du vingtième siècle.

Or, il y a nécessairement une similitude troublante quant à l’évocation de ce parallèle historique : les atermoiements d’une frange de la population face à la maladie, celle et ceux qui constituent cette caste désignée par le terme de public dit « fragilisé ».

C’est là que la locution « Sécurité sociale » reprend tous ses droits et ses principes salvateurs pour soutenir les oubliés de nos systèmes économiques, durs et impitoyables, qui régissent depuis des lustres notre société.

L’eau a eu beau s’écouler au fil de ces 75 ans, le combat mené par la Commission de l’Action Sanitaire et Sociale (CASS) de la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie demeure le même. Il s’agit d’accompagner et de soutenir du mieux possible ces publics en position de déshérence, parfois pire. Justement, en leur garantissant l’accès aux soins, la chose la plus vertueuse qu’il soit en ce bas monde avec la possibilité de se nourrir et de se loger dignement.

 

 

Capacité d’initiative et sens de l’innovation : le credo de la CPAM…

 

Fort de ce postulat sociétal, la CPAM n’a eu d’autres alternatives que de réagir en ce sens. Devenant force de proposition au passage grâce à cette spécificité que représente sa Commission de l’Action Sanitaire et Sociale.

L’aide se décline dans chaque caisse départementale de l’organisme ; une aide au financement de soins selon un barème fixé et régi par le règlement intérieur.

Pour en évoquer les contours dans l’Yonne : Marie-Jeanne LECLERC. Responsable de ladite commission, l’oratrice devait succéder aux propos liminaires du président de la CPAM de l’Yonne Bruno BLAUVAC, en brossant un tableau récapitulatif des différentes actions menées en cette période conjoncturelle si particulière.

Au bénéfice de celles et ceux de ces assurés sociaux ou ayant-droits affiliés à la caisse départementale qui rencontrent de sérieuses problématiques d’ordre financier du fait des risques maladie, maternité, accident du travail, maladie professionnelle, invalidité et décès.

 

 

Des aides pour quelle typologie de bénéficiaires ?

 

Qui sont ces publics fragilisés ? Marie-Jeanne LECLERC en donnera un bref aperçu, chiffres à l’appui, lors de sa prise de parole. Ce sont à 70 % des femmes. Elles vivent dans des foyers où il y a en moyenne 1,84 personne et 18 % sont des bénéficiaires de l’ancienne CMU-C, devenue depuis la Complémentaire Santé Solidaire. Socialement, la grande majorité de ce public précaire subsiste grâce à leur retraite, mais on dénombre aussi des salariés, des allocataires de minima sociaux, des étudiants et des travailleurs indépendants.

Précisément, cette dernière catégorie socio-professionnelle peut profiter pleinement des bénéfices offerts par les aides de la CPAM.

Le nombre de demandeurs à l’ASS s’élevait à 1 014 personnes au 01er janvier 2020. Deux-cent-soixante-deux d’entre elles ont essuyé un refus pour cause de dépassement des seuils de revenus.

Les aides sont accordées après l’étude de chaque demande auprès de la Caisse. Elles peuvent concerner le paiement d’une complémentaire santé, la convalescence, les soins d’optique, ceux qui concernent les dents, l’orthodontie, les appareillages auditifs, la pharmacie et les accessoires nécessaires, les frais pour des fournitures médicales non remboursables, le ticket modérateur en cas d’hospitalisation et de soins, les frais de transport pour suivre un traitement sans hospitalisation ou ceux inhérents à l’accompagnement d’un malade.

Parmi les grandes nouveautés de 2020, la Commission a décidé de moduler son règlement intérieur afin d’y incorporer deux additifs supplémentaires : l’augmentation du montant de l’aide aux frais d’obsèques (l’aide est portée à 1 200 euros, soit 40 % d’une facture moyenne pour une cérémonie organisée sur notre territoire). Le second point se rapporte à la téléassistance.

L’idée d’une prise en charge de la cotisation mensuelle a été retenue par le Conseil de la Caisse Primaire sous certaines conditions : à savoir la condition de prescription médicale et après déduction des autres aides de type APA et organismes complémentaires.

 

 

Des conventions de partenariat avec le tissu associatif local…

 

La CPAM dans un souci de déploiement de sa stratégie de communication et de développement de ses actions s’est également rapprochée du tissu associatif, un excellent vecteur pour cibler les publics fragilisés.

Aujourd’hui, un certain nombre de conventions de partenariat lie l’organisme à plusieurs structures associatives reconnues d’utilité publique à l’instar des Restau du Cœur, du Secours Populaire, du Secours Catholique, etc.

Vingt-trois d’entre elles sont opérationnelles et génèrent près de 43 000 euros d’aides.

Ce financement s’intègre dans le Fonds d’Action Sanitaire et Social qui donne lieu à un appel à projets chaque année. Cela concerne en priorité des associations qui se positionnent sur le domaine de la prévention de la santé et du social. Signe des temps, mais aussi volonté de ratisser plus large en matière de cibles : neuf associations seulement étaient signataires de tels accords l’année dernière pour un montant de 12 900 euros.

 


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« La démocratie a-t-elle encore un avenir ? ». A la lecture du copieux programme, le thème générique était très alléchant pour celles et ceux qui aiment encore faire fonctionner leurs neurones. Ethnologues, sociologues, politologues, journalistes, libres penseurs…le Cercle Condorcet d’Auxerre avait su concocter un plateau intellectuel de rêve en vue de cette édition des « Entretiens d’Auxerre 2020 ». Las, la mort dans l’âme, son comité exécutif a dû se rendre à l’évidence face à la conjoncture sanitaire : il n’y aura pas d’édition publique. Tristesse, quand tu nous tiens…

AUXERRE : Tous les ingrédients pour faire de ce rendez-vous l’un des temps forts intellectuels de la saison étaient savamment réunis depuis plusieurs mois. Des intervenants à la stature nationale, des sujets propices à la réflexion qui devaient inéluctablement apportés leur lot de réponses, des conditions logistiques respectueuses des prérogatives actuelles inhérentes à la distanciation physique et aux gestes barrières. Les Entretiens d’Auxerre auraient dû se tenir du 05 au 07 novembre dans une ambiance de retrouvailles joyeuses même masquées !

Oui mais voilà, l’évènement culturo-intellectuel auxerrois n’échappe pas à la singulière atmosphère qui élimine les uns après les autres la plupart des rendez-vous publics de notre paysage.

 

Ne pas s’avouer vaincu en proposant une alternative numérique…

 

Malgré la forte mobilisation de l’équipe organisatrice et un plateau de choix autour de l’avenir de la démocratie, le colloque va donc rejoindre la déjà trop longue liste d’évènements qui passent par la trappe des pertes et profits.

Une annulation qui intervient après des semaines de labeur au niveau de ses préparatifs.

Toutefois, le Cercle Condorcet d’Auxerre ne s’avoue pas vaincu face à l’infection virale. Ses responsables réfléchissent à d’autres formes d’interventions qui s’appuieraient sur les technologies numériques et les médias locaux. Une manière de démontrer que la COVID-19 ne peut être victorieuse à tous les coups quand elle sévit !

 

 

 


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L’objectif est de gagner du temps. Et de multiplier les contacts grâce à des rendez-vous permettant d’accueillir des patients prioritaires au dépistage de la COVID-19. En partenariat avec le laboratoire MLAB, l’Agence régionale de Santé ouvre un point d’accueil éphémère dans la capitale de l’Yonne. Sur sa rive droite, au 14 bis de la rue Gambetta…

AUXERRE: Les locaux ont été mis gracieusement à la disposition de l’ARS par la Ville. Depuis ce jeudi 08 octobre, l’Agence Régionale de Santé dispose d’un centre d’accueil éphémère qui favorise le dépistage du coronavirus au cœur d’Auxerre. Une initiative qui va permettre de gérer l’urgence avec le concours de professionnels, ceux du laboratoire de biologie médicale MLAB.

D’ores et déjà, sont accueillis sur ce site qui a bénéficié de travaux de rafraîchissement par les services municipaux les patients qui présentent des symptômes caractéristiques, notamment sur prescriptions, cas-contacts identifiés par l’ARS ou la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie (CPAM).

 

 

Les prélèvements assurés dans les vingt-quatre heures grâce à la prise de rendez-vous sont effectués les lundis, mardis, jeudis et vendredis, de 13h00 à 16 heures et le samedi en matinée, entre 09 h et 12 h.

Garantir un délai optimal dans le retour des analyses est aussi la vocation initiale de ce centre éphémère afin d’enrayer le processus de chaîne de transmission du virus.

 

En savoir plus :

 

La prise de rendez-vous se fait en ligne sur la référence suivante :

https://www.mlab-groupe.fr/centre-de-depistage-et-de-diagnostic-covid-auxerre

 

 


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C’était l’une des propositions émanant de la Convention citoyenne pour le climat qui suscitait bon nombre d’interrogations et de polémiques dans la sphère politique de notre pays. Imposé un malus en fonction du poids du véhicule semblait totalement irréalisable pour la plupart des spécialistes de l’automobile. La décision négative prise à l’Assemblée nationale, ce mercredi 07 octobre,  de rejeter l’idée lève le doute sur toute ambiguïté…

PARIS : L’examen du projet de budget 2021 en commission des Finances au Palais Bourbon aura été impitoyable et fatal pour l’une des idées fortes qui prêtait à débat dans le cénacle politique national : l’instauration d’un malus automobile basé sur le poids des véhicules.

L’idée était apparue à la suite des mesures établies par la Convention citoyenne pour le Climat, un organe consultatif où cent-cinquante de nos compatriotes avaient été choisis pour réaliser un panel de suggestions environnementales à déployer dans un proche avenir.

Visiblement, celle se rapportant à une nouvelle taxation sur le poids des véhicules automobiles n’a pas retenu les faveurs de la majorité des membres de la Commission des Finances. Ces derniers l’ayant savamment rejetée.

Ce sont même les députés issus de la majorité présidentielle (La République en Marché) qui ont bouté la proposition hors des débats.

 

 

« Une fausse bonne idée », comme devait le commenter à l’issue de cette séance de travail le rapporteur général du Budget, Laurent SAINT-MARTIN.

A contrario, l’alourdissement du barème du malus auto traditionnel a été conservé dans le champ des propositions 2021. Une décision qui a fait bondir les élus Les Républicains qui estiment que l’industrie automobile française déjà en souffrance sera mise à mal par de pareilles attitudes.

En filigrane, c’est une fois de plus le pouvoir d’achat des Français qui risque d’être impacté par de telles décisions appliquées au nom de l’écologie punitive selon les élus LR.

Le retrait d’une mesure permettant de réduire la taxe sur les contrats d’assurance applicables sur les véhicules électriques ou hybrides, par manque d’information, a été également approuvé lors de cette séance.

 


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