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Créée par deux figures emblématiques de la politique française, Jean-Louis BORLOO et Jean-Christophe LAGARDE, l’UDI profitera de son congrès national, programmé le 15 décembre, pour annoncer son acte de candidature aux futures joutes électorales européennes du printemps 2019. Un retour au premier plan, et sous sa seule bannière identitaire, sur le devant de la scène nationale au niveau d’un scrutin. Souhaitant une France forte dans une Europe fédérée, le parti qui avait accueilli par le passé Simone VEIL en qualité de première adhérente, est déjà dans les starting-blocks de cette prochaine campagne. Dans l’Yonne, c’est autour de la sénatrice Dominique VERIEN que les militants et sympathisants du mouvement du centre et de la droite progressiste se préparent à vivre ces échéances capitales…

AUXERRE : Impatients d’en découdre dans les urnes et de connaître la fébrilité d’une campagne électorale, les militants de l’UDI de l’Yonne ont hâte de se projeter vers l’un des enjeux essentiels de la vie politique de l’année 2019 : les élections européennes.

Soixante-dix-neuf députés européens, représentant la France, siègeront au Parlement européen, après le scrutin du 26 mai. Parmi les innovations majeures qui ont été apportées à ce futur vote, par rapport aux précédentes élections de 2014, le retour aux listes nationales et l’abolition des circonscriptions régionales.

C’est sous le prisme de cette opportunité représentative que l’UDI (Union des démocrates et des indépendants) souhaite envoyer ses propres représentants à Strasbourg et à Bruxelles. Toutefois, la patience est encore de rigueur. L’orientation définitive de ce choix sera communiquée le 15 décembre à l’issue du Congrès national. La stratégie de la formation du centre et de la droite de progrès s’étalera alors au grand jour.

Mais, selon toute vraisemblance, le suspens lié à la prise de décision ne semble pas cornélien parmi les fédérations départementales. Dont celle de l’Yonne, présidée par la sénatrice Dominique VERIEN. Toutes les structures optent favorablement pour se lancer dans la bataille. Ce serait le retour au premier plan sur la scène politique nationale pour l’UDI qui n’avait pas présenté de candidat à la présidentielle de 2017.

L’Europe, une thématique dans les gènes de l’UDI

L’idée d’une liste nationale des démocrates et indépendants du centre droit est légitimée par la position historique de ses membres. Portée sur les fonts baptismaux de la vie politique hexagonale en 2012, l’héritière de l’UDF a toujours revendiqué ses valeurs européennes à travers son indépendance, son fédéralisme et sa protection sécuritaire.

« Aujourd’hui, explique la sénatrice Dominique VERIEN, nous manquons cruellement d’Europe. A nous de la construire en toute transparence et efficacité… ».

Constatant que l’Europe actuelle ne correspond pas aux attentes des citoyens qui vivent parmi les pays de l’Union, la pensionnaire du Palais du Luxembourg désire désormais « une entité européenne forte qui puisse riposter aux menaces économiques des Etats-Unis et de la Chine ».

« La gestion des flux migratoires requiert la présence d’une Europe forte, ajoute-t-elle, lors de la conférence de presse donnée au niveau de la fédération départementale, nous devons être une communauté de nations qui confie des compétences précises au Parlement européen… ».

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La défense des couleurs européennes : l’ADN de l’UDI…

Les instances suprêmes de l’Union des démocrates et des indépendants a peaufiné ces derniers mois sa feuille de route. Celle-ci s’articule autour de neuf propositions concrètes.

Elles englobent tour à tour la convergence des règles fiscales et sociales, le renforcement de la transition écologique, la défense militaire, la lutte contre le terrorisme, une nouvelle politique en faveur de l’agriculture ou la création d’un ministère économique européen.

Parmi les suggestions qui existeraient afin de ne plus être dépendant d’un dollar fort et perturbateur dans nos échanges économiques : la présence d’un euro, qui deviendrait une véritable monnaie d’échange internationale.

Quant à la motivation des adhérents du mouvement centriste (le « véritable » comme aime à le préciser l’un des partisans de l’UDI), elle est entière.

« Nous nous apercevons qu’il y a belle lurette que nous n’avons pas fait campagne dans nos rangs, confie l’ancien maire de Saint-Sauveur en Puisaye, or, même si nous ne recensons qu’une cinquantaine de membres officiels sur le département de l’Yonne, nous existons bel et bien et nous voulons le montrer ! ».

L’alliance avec le MODEM qui était la teneur stratégique lors des précédentes échéances européennes n’est donc plus d’actualité. Aujourd’hui, l’UDI souhaite faire cavalier seul et éviter toute dispersion idéologique.

Priorité à la communication physique et numérique…

Dans l’optique où le parti du centre droit irait jusqu’au bout de son cheminement intellectuel, reste à savoir quel en serait la tête de liste nationale ?

Même si les délégués des régions devraient être bien représentés parmi les 79 candidats composant la liste nationale, Jean-Christophe LAGARDE pourrait être le leader naturel, en sa qualité de président du mouvement, de cette formation.

Avant de fourbir leurs armes dans cette nouvelle campagne électorale, les militants icaunais souhaitent bénéficier d’une meilleure couverture territoriale au niveau de leur représentativité.

Le projet de création d’une cellule qui évoluerait sur le secteur septentrional du territoire figure parmi les prochains objectifs.

« Lors de notre déplacement au Congrès national, confirme la sénatrice à l’estampille UDI, notre délégation se composera d’une vingtaine d’adhérents. L’UDI dans l’Yonne ne représente pas la portion congrue du mouvement ! ».

La secrétaire nationale à la ruralité au sein de l’organe décisionnel multiplie sans relâche les axes de communication, physiques auprès des échanges nourris avec la population et numériques (plus de 1 500 vus lors d’un Facebook live) pour prêcher la bonne parole et convaincre largement autour de son périmètre. En n’omettant pas de tendre la main à la jeune génération…  

 


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Connu à travers l’histoire pour le faste de son train de vie et surtout de son appétence pour les arts de la table, le sénateur et ancien général de la Rome Antique ne pouvait s’imaginer que son patronyme traverserait un jour les siècles et deviendrait illustre auprès des…épicuriens et gastronomes du monde entier ! En Bourgogne Franche-Comté, l’appellation « Lucullus » est associée à celle de la table. C’est sous ce vocable quelque peu historique et teinté de souvenirs latins que la Foire internationale de Dijon valorise désormais à chaque édition les artisans des métiers de bouche et des arts de la table. L’un de ces spécialistes, FESTINS, a bénéficié le mois dernier de cette aura aux sources sémantiques séculaires…

CHEMILLY SUR YONNE : Vitrine du savoir-faire et de la dextérité professionnelle des artisans des métiers de bouche, la « Table de Lucullus » évoque l’esthète épicurien. Un homme d’état, avant tout, et général de l’armée qui menait grand train à Rome entre 116 et 56 av J.C. !

Pourtant, le patronyme de l’auguste romain, le César de la bombance et de la gastronomie gargantuesque, n’est pas sortie des tablettes de l’histoire. Loin s’en faut ! Le nom de Lucullus rappelle les arts de vivre et la mise en exergue de la gastronomie internationale depuis des lustres.

Début novembre, la Foire internationale de Dijon qui a fait sienne des principes culinaires du premier épicurien reconnu par l’histoire, proposait aux professionnels des métiers de bouche (restaurateurs, traiteurs, bouchers, charcutiers, boulangers, pâtissiers, fromagers,…) d’exposer leurs réalisations de manière artistique. Une mise en valeur, toujours très appréciée par les artisans et le public qui se régale de manière onirique devant les tables savamment décorées.

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Un 08 novembre béni des dieux, par Jupiter !

Que s’est-il réellement passé le 08 novembre dernier, journée de présentation dévolue aux équipes des FESTINS ?

Toujours est-il que le jury de ce traditionnel rendez-vous pour gastronomes aguerris a souhaité auréoler l’entreprise de l’Yonne en lui décernant le diplôme d’honneur de la « Table de Lucullus 2018 ».

Il est vrai que les experts de la réception, du traiteur et des cérémonies protocolaires n’avaient pas lésiné sur les moyens, en concevant une table de rêve flamboyante autour de leurs univers professionnels : le mariage, les cocktails, le partage, la convivialité, la naturalité.

Bref, une vision paradisiaque pour les jurés qui n’ont pu résister devant les fruits ô combien succulents de cette tentation gourmande idéale pour aiguiser les papilles.

 

 

 


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Une enquête flash circule depuis quelques jours via les outils numériques de communication auprès des membres de la Confédération des moyennes et petites entreprises (CPME) et de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière (UMIH) de l’Yonne. Objectif de ce sondage spot : connaître les effets réels de la crise revendicatrice qui secoue le pays sur le quotidien des entreprises de notre territoire. Ces informations, une fois récoltées, serviront de base de réflexion aux représentants de ces deux syndicats patronaux. Ces derniers transmettront les fruits de leur enquête à leurs instances nationales mais aussi aux services de la préfecture…

AUXERRE : Du concret pour mieux cerner la véracité du contenu informatif du moment. C’est le souhait liminaire du président départemental de la CPME, Olivier TRICON. Pour se faire : le responsable du syndicat patronal des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, en accointance avec l’antenne icaunaise de l’UMIH, a décidé de concevoir sa propre enquête d’opinion. Pour savoir ce que vit sa base.

La consultation se diffuse depuis quelques jours à l’ensemble des adhérents des deux organismes. En toile de fond, il s’agit d’évaluer l’impact réel du mouvement des « Gilets jaunes » sur l’économie territoriale. Et d’en tirer de précieux enseignements.

Connaître les désagréments subis par les entrepreneurs de l’Yonne devenait indispensable au moment où le conflit se durcit parmi les différentes strates de la population. Ainsi, l’étude propose de recueillir les commentaires des entrepreneurs sur la baisse de fréquentation dans leurs entreprises, les conséquences sur leur chiffre d’affaires et les difficultés observées.

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Recenser et comprendre les problèmes des entrepreneurs…

Tâter le pouls de leurs adhérents afin de mieux comprendre leurs problématiques actuelles devenait un impératif pour les responsables de la CPME. Avec son corollaire sur l’économie.

« Il nous faut comptabiliser l’ensemble des méfaits et des pertes économiques qu’ont eu à subir nos adhérents pour avoir un aperçu réel de la situation, explique Olivier TRICON, ces informations constitueront un socle de données importantes que nous adresserons ensuite à nos instances nationales ».

Les éléments informatifs de cette enquête, élaborée à chaud, se destineront aussi aux services de la préfecture de l’Yonne. Histoire de traduire dans les faits, et commentaires à l’appui, ce que pensent réellement les chefs d’entreprises des TPE et PME de l’Yonne des effets sournois de la contestation populaire sur leur outil de travail.

 

 

 

 

 


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Associée à son partenaire WIZBII, plateforme professionnelle spécialiste de l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes, la Banque Verte reconduit le judicieux concept « Premier stage, premier job ». Une nouvelle déclinaison de ce dispositif se déroulera le 11 décembre à Dijon, sous la forme d’un job dating. Lors de sa première édition, l’année dernière, l’initiative a fait largement ses preuves. 83 % des entreprises participantes ont envisagé, voire entamé, depuis un processus de recrutement. Tandis que 71 % des jeunes gens sensibilisés par cette mise en relation directe avec les services RH des entreprises, devaient la trouver fort utile dans leur recherche d’emploi…

DIJON (Côte d’Or) : Initié à l’échelle de l’hexagone, le concept « Premier stage, premier job » se révèle être un réel succès pour ses organisateurs. Traduite par le déroulement de 80 opérations de « job dating », déclinées entre septembre 2017 et juin 2018, l’initiative portée conjointement par le Crédit agricole et WIZBII, a fait ses preuves.

L’animation a su séduire à la fois les jeunes en quête d’un précieux sésame leur permettant d’intégrer la vie active mais aussi les entreprises. Par le biais de leurs responsables des ressources humaines qui n’ont jamais boudé leur plaisir d’assister à ce type de rencontres.

A chaque rendez-vous, ce sont entre 60 et 80 candidats qui se réunissent dans un lieu convivial autour d’un apéritif dînatoire pour échanger avec les dirigeants et cadres d’entreprises. Des moments privilégiés qui permettent aux jeunes d’obtenir des contacts directs avec les recruteurs de la région.

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Briser le cadre traditionnel d’un entretien classique

Ce travail de proximité et de réseau comporte de sérieux avantages pour les interlocuteurs des deux parties. Les codes ordinaires des entretiens professionnels volent en éclat. Réunis dans des lieux insolites (musées, bars, opéras, châteaux, stades de football et même aquarium !), les participants se déconnectent avec volontarisme d’un protocole cérémonial superfétatoire pour présenter leurs arguments en toute convivialité. Le bilan est plutôt surprenant : cela fonctionne parfaitement bien !

La saison dernière, à l’échelon national, 102 manifestations ont ainsi été proposées. Elles ont permis l’accueil de plus de 6 600 candidats, préalablement sélectionnés, et 825 entreprises. Le nombre de postes à pouvoir s’élevait, quant à lui, à 1 800 offres.

Alors que 34 caisses régionales du Crédit agricole ont rejoint l’initiative, celle de Champagne Bourgogne a opté dès 2017 son choix d’être un acteur essentiel de ce concept dynamique.

Trois opérations de job dating ponctuèrent le calendrier 2017/2018, à Auxerre, Dijon et Troyes. 170 candidats y prenaient part. Ils ont eu l’opportunité de pouvoir rencontrer 25 entreprises de la région.

Le 11 décembre, la capitale de Bourgogne Franche-Comté accueillera le premier des rendez-vous proposés cette saison. Une dizaine d’entreprises ont déjà confirmées leur présence. Parmi celles-ci, Super U ou le Crédit agricole. Elles y dévoileront leur stratégie en matière de recrutement, recherchant de futurs collaborateurs.

Des postes de développeurs informatiques, responsables HSE, responsables achats, responsables communication et marketing, attachés commerciaux, mais aussi de commerciaux de terrain, conseillers commerciaux, managers et employés commerciaux ou hôtes de caisse seront à pourvoir.

Les candidats doivent obligatoirement s’enregistrer sur le lien suivant (https://bit.ly/2Pm8x25) pour y prendre part. Il est possible de contacter la plateforme WIZBII (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.) ou le lien téléphonique, 06.69.67.10.87.

 


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Les élus, sont-ils les meilleurs ? « Il faut booster le revenu des classes moyennes » disait récemment un député-économiste, membre de la commission des finances de l’Assemblée Nationale. On a vu la semaine dernière que ce sont les ménages aux revenus les plus modestes qui avaient le plus été touchés par la réduction du pouvoir d’achat au cours de ces dernières années. Mais, il ne semblait pas nécessaire à notre député-économiste de « rebooster » leurs revenus…

CHRONIQUE : L’Institut des Politiques Publiques (IPP) confirme le caractère pénal des taxes pour les foyers aux faibles revenus. La part des ressources consacrées à la hausse carbone est trois fois supérieure pour les ménages modestes que pour les ménages aisés.

La messe est dite. Ah, pardon, restons laïques : « le gilet jaune est mis !».

Christine LAGARDE, directrice générale du Fonds Monétaire International (F.M.I.) a lancé un cri d’alerte : « Les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe » !

C’est bien le cas lorsqu’on entend notre député-économiste, dire qu’il faut « rebooster » le pouvoir d’achat des classes moyennes. A Versailles non plus, en 1789, on n’avait pas conscience de ce qui se passait.

En octobre 1789, c’était des femmes du peuple et non pas de la classe moyenne qui venaient demander du pain au roi et à la reine. Maintenant, ce sont leurs descendants qui disent qu’ils n’ont plus d’argent pour acheter du carburant de façon à pouvoir circuler et aller au travail librement. Car, ils n’ont pas d’autre moyen de transport. Au lieu de marcher sur Versailles, ils enfilent des gilets jaunes. Que s’est-il passé après 1789 ? Nous le savons ! Que se passera-t-il après 2018 ? Nous ne le savons pas encore.

Notre député-économiste, membre de la commission des finances de l’Assemblée nationale, fait partie de l’élite visée par Christine LAGARDE lorsqu’elle dit que les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe.

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Les élites, mais qu’est-ce que c’est ?

L’élite …là, arrêtons-nous un instant. Qu’est-ce que l’élite ? Par une évolution classique du sens des mots, le mot élite est pris aujourd’hui comme signifiant « les meilleurs ». Que non ! Revenons à l’étymologie. Ce mot vient du latin, « elegere » qui signifie élire. Nous sommes en plein dans le mille : l’élite, au sens originel du mot : ce sont les élus.

Posons-nous alors cette question : sommes-nous sûrs que les élus sont les meilleurs ? Demandons-le aux Gilets jaunes en premier lieu et aux Français en deuxième lieu. La réponse, nous la connaissons. La classe politique ne jouit pas d’une grande considération de la part des Français.

Voyez la dernière élection dans l’Essonne où il s’agissait de remplacer à l’Assemblée nationale un ex-premier ministre, Manuel VALLS, qui est allé chercher au soleil, au-delà des Pyrénées, de nouveaux électeurs. Son ancien adjoint se présentait. Le taux d’abstention s’est élevé à 82 %. Il a recueilli 54 % des voix, c’est-à-dire qu’il a été élu par 9,7 % des électeurs.

On ne peut pas mieux démontrer la désaffection des électeurs, c’est-à-dire des Français pour l’élection d’un député. Ajoutons qu’il a su opérer un virage salvateur : il est passé du Parti socialiste à La République en Marche.

« Paris vaut bien une messe », disait Henry IV. Un siège de député vaut bien une petite désertion. Et, ainsi, notre nouveau député LREM fera bien parti de l’élite !

Pour terminer, je m’adresse directement aux lectrices et aux lecteurs de « Presse Evasion » : « Pensez-vous, chères lectrices, chers lecteurs, que les élus soient les meilleurs ? ». Faites-nous l’honneur de vous manifester et d’envoyer un e-mail à « Presse-évasion » afin de connaître votre réponse.

Emmanuel RACINE


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