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LECLERC remet un chèque de 1 500 euros à la Ligue 89 : les enfants victimes du cancer leur disent merci !
mai 04, 2021Chaque année, il meurt dans les services de cancérologie des centres hospitaliers de l’Hexagone près d’un millier d’enfants et d’adolescents. Un trop lourd tribut à l’existence, insupportable pour les praticiens et les parents. Depuis 18 ans, la Ligue contre le cancer et les centres Edouard LECLERC se mobilisent dans le cadre d’une opération baptisée sobrement, « Tous unis contre le cancer ». Le magasin d’Auxerre n’a pas dérogé à cette règle mobilisatrice et généreuse…
AUXERRE : Indispensables à la recherche, les dons collectés auprès des 486 vitrines commerciales de l’enseigne et autant de drives (494) implantés en France vont alimenter en partie le programme « Enfants, adolescents, jeunes adultes et cancer ». Un dispositif piloté par la Ligue nationale contre ce fléau qui concerne chacun d’entre nous.
Mardi dès potron-minet, et avant l’ouverture de la grande surface, le directeur du centre E.LECLERC Jérôme CHAUFOURNAIS devait procéder à une remise symbolique de chèque.
D’un montant de 1 500 euros (750 euros de dons issus de la collecte réalisée auprès de la clientèle du magasin en mars et un abondement de la somme équivalente par la vitrine commerciale), ce précieux subside a été remis au président de la Ligue contre le cancer de l’Yonne, le docteur Serge TCHERAKIAN.
Pour promouvoir le bien-fondé de cette opération altruiste, plusieurs possibilités s’offraient aux généreux donateurs. Soit de réaliser un don en payant directement par carte bancaire via le terminal de paiement en arrondissant leur panier à l’euro supérieur ; soit pour les clients fidèles de la pratique des courses avec le service drive, de pouvoir envisager le don en ligne.
Une politique de recherche articulée en quatre grands axes…
Muni de son imposant fac-similé qui identifiait la valeur de la somme offerte, le docteur Serge TCHERAKIAN expliqua juste avant d’immortaliser la scène avec l’ensemble du personnel du magasin auxerrois que ce don serait converti à la recherche selon quatre grands axes : la compréhension de la maladie, l’accès aux traitements innovants, l’accompagnement des enfants et de leurs proches et l’éducation en milieu scolaire.
Aujourd’hui, l’enseigne E. LECLERC reste le premier soutien financier intervenant sur la recherche pour lutter contre ces pathologies dans l’Hexagone. Une volonté qui n’est pas prête de s’altérer comme devait le réaffirmer il y a peu au début de cette dix-huitième campagne de sensibilisation Michel-Edouard LECLERC, président du Comité stratégique des centres E.LECLERC lui-même.
Thierry BRET
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Sursis pour MBF Aluminium et aides de la Région : l’ultime combat pour préserver l’emploi est engagé…
avril 28, 2021La crise devrait marquer durablement la filière automobile et ses nombreux acteurs. Avec une chute de la production qui impacte par les marchés. Conséquence : la sous-traitance industrielle est à la peine, côté carnet de commandes. C’est le cas de la société de Saint-Claude dont l’avenir des 284 salariés est désormais conditionné à une offre de reprise. La Région, elle, vient d’apporter une bouffée d’air pur de 500 000 euros...
SAINT-CLAUDE (Jura) : Empêcher coûte que coûte la fermeture du premier employeur privé de la sous-préfecture du Jura : c’est l’objectif de la Région Bourgogne-Franche-Comté. L’organe institutionnel tente de maintenir à flot l’une des PME historiques implantée depuis soixante-dix ans dans la ville dont la notoriété a été établie sur la base du tourisme.
MBF Aluminium fait malheureusement la une de l’actualité régionale aujourd’hui du fait de la pénibilité de sa situation.
Le sauvetage de la fonderie est devenu impérieux afin de préserver le labeur des 284 personnes qui y travaillent. Mais, la marge de manœuvre est extrêmement étroite. Pour ne pas dire impossible.
La gestion financière et administrative de l’actuel propriétaire a conduit à l’assèchement de la trésorerie de la société. Celle-ci vient d’échapper de justesse à la liquidation judiciaire. Le tribunal de commerce de Dijon n’y a pas été favorable. Offrant un sursis supplémentaire pour favoriser une solution de reprise. Mais, pour combien de temps ?
Face à ce contexte pour le moins tendu, Marie-Guite DUFAY, présidente de la Bourgogne-Franche-Comté, est montée au créneau.
Elle a proposé la tenue d’une commission permanente exceptionnelle ce lundi 26 avril en visioconférence. La séance aboutira in fine au vote d’une précieuse aide financière de 500 000 euros. Un coup de pouce salvateur qui est destiné uniquement au paiement des salariés.
Une bouffée d’oxygène substantielle donnant droit à un délai supplémentaire pour permettre à un repreneur de déposer une offre sérieuse ? On croise les doigts dans le département du Jura, qui n’a pas besoin de cela…
Thierry BRET
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Le gymnase de Montholon se relooke : la structure sera au top pour les adeptes des sports d’intérieur
avril 27, 20213,2 millions d’euros : c’est l’enveloppe budgétaire consacrée au futur complexe sportif, un gymnase en cours de réhabilitation, sur le site de Montholon. Une quarantaine de personnes, des élus communautaires mais également municipaux, se sont retrouvées récemment sur le chantier afin d’en apprécier les stades évolutifs…
AILLANT-SUR-THOLON : Elle prend corps de manière progressive, la nouvelle structure ! Subventionnée à hauteur de 670 916 euros par la Région et 75 000 euros par le Département, la réalisation a reçu des visiteurs il y a peu sous la responsabilité d’Alain THIERY, troisième vice-président en charge de l’Environnement et du projet d’extension du complexe sportif au sein de la Communauté de communes de l’Aillantais.
Bénéficiant de la Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) à hauteur de 734 418 euros, ce chantier de réhabilitation sera pris en charge pour son reliquat par l’organe communautaire lui-même présidé par Mahfoud AOMAR.
Avec un agrandissement de près de cinq cents mètres carrés, le futur gymnase proposera une surface de plus de deux mille mètres carrés in fine.
L’édifice recevra un mur d’escalade, nouvellement crée, des tribunes, un dojo pour s’adonner aux arts martiaux, ainsi qu’un parvis aménagé pour l’organisation de rendez-vous festifs. Même les vestiaires et l’aire de stationnement recevront un sérieux coup de lifting !
Au niveau du chauffage, le complexe utilisera la chaleur biomasse. Des éclairages vertueux, c’est-à-dire écologiques, y seront installés. La ventilation deviendra plus ergonomique en réduisant les nuisances sonores, habituelles d’ordinaire dans ce type d’infrastructure, et sera mieux dirigée.
Plus lumineux, le bâtiment gagnera en isolation et en fonctionnalité afin d’apporter le confort nécessaire aux différentes associations qui l’occuperont. Ainsi que les scolaires, les gendarmes et les sapeurs-pompiers, grands amateurs d’exercices physiques. Le planning, au cordeau, prévoit une utilisation du site chaque jour entre 08 heures et 23 heures !
Grâce à cette structure, la Communauté de communes de l’Aillantais disposera d’un parc sportif de premier choix. Une offre de service qui complètera les différentes structures déjà existantes à Fleury-la-Vallée et dans les localités alentours.
Maryline GANDON
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La filière de l’automobile face à un cocktail détonnant : gare aux multiples conséquences !
avril 23, 2021Du fait de la pandémie de la COVID-19 qui sévit en France depuis plus d’un an, tous les secteurs de la vie économique vont être impactés. Pour l’activité automobile, le problème est particulier. Concurrence, stratégies de marques, véhicules électriques, approvisionnements, coût des matières premières, réformes imposées par l’Europe et aides de l’Etat constituent un cocktail explosif. Qui pourrait faire de nombreuses victimes à l’avenir...
TRIBUNE : Renault et Peugeot sont au coude à coude pour les immatriculations de véhicules particuliers avec un léger avantage pour la marque aux losanges. La lutte sera vive en 2021.
Chacune des marques veut le leadership. Après une année 2020, perturbée par la pandémie de coronavirus, 2021 tournera-t-elle au cauchemar pour l'industrie automobile mondiale suite à la pénurie de composants électroniques ? Ajoutons le blocage provisoire du canal de Suez !
Selon différentes prévisions, les retards de production pourraient toucher de 672 000 à 964 000 véhicules cette année. Peugeot et Citroën (STELLANTIS) à Sochaux et Rennes, Renault à Sandouville, Volkswagen à Wolfsburg et Emden, General Motors ou Ford en Amérique du Nord vont connaître de graves perturbations dans leur production.
La pénurie mondiale de puces électroniques impacte progressivement tous les constructeurs automobiles, qui sont obligés d’arrêter la production de leurs usines, au moins partiellement, depuis quelques semaines. Les constructeurs manquent en effet de semi-conducteurs, et plus particulièrement de microcontrôleurs, qui sont devenus indispensables dans les voitures modernes.
Par exemple, 38 unités sont nécessaires à bord d’un gros SUV Audi, que ce soit pour le moteur, l’ABS, les airbags, ou encore l’aide au stationnement. Alors que la production des usines est programmée à flux tendus, on estime ainsi que la pénurie pourrait retarder la production de 672 000 voitures au premier semestre, dont 250 000 en Chine. Tandis que le prix des pièces devrait augmenter.
AutoForecast Solutions estime de son côté que cela pourrait impacter la production de 964 000 véhicules sur toute l’année 2021. Cette situation risque encore d’aggraver la perte historique de 8 milliards d’euros pour Renault. Pour l’ex-groupe PSA aujourd’hui appelé STELLANTIS, après un mariage de raison avec Fiat, Peugeot a vu au cours de 2020, ses ventes s’effondrer dans le monde. La marque est passée du 4ème rang mondial au 6èmrang. La situation des marques françaises reste précaire.
2021, la bonne année pour Peugeot ?
Dans ses prévisions pour l'année 2021, le cabinet IHS Markit abonde dans ce sens, tablant sur un volume de quelque 325 000 immatriculations pour Peugeot, contre 321 400 pour Renault (sur un marché français légèrement supérieur à 1,8 million de voitures neuves). En conséquence, dans son plan stratégique appelé « Renaulution », Renault prévoit 15 000 suppressions de postes dans le monde, dont 2 500 en France : de quoi faire remonter le cours de bourse !
Les salariés du groupe STELLANTIS restent dans l’expectative pour le futur. Si des coupes franches et sombres se dessinent pour les intérimaires, la direction se veut rassurante quant à l’avenir. Les 430 millions d’intéressement versés ont de quoi donner du baume au cœur aux salariés.
Où sont fabriquées les voitures françaises ?
Renault, Peugeot, Citroën sont les trois fabricants tricolores emblématiques. Tous ont plusieurs usines en France, mais encore plus à l'étranger. Chine, Espagne, Russie, Turquie, Roumanie ou Slovénie… elles quadrillent le globe. Pourquoi ? Essentiellement pour aller là où la main d'œuvre est à bas coût et les cotisations sociales plus faibles que dans l'Hexagone.
Résultat, aujourd'hui l'essentiel des voitures des marques tricolores est construit et assemblé hors de nos frontières. Et quand les autos sont emménagées en métropole, les différentes pièces sont souvent importées des autres pays où les constructeurs sont implantés.
En plus des conséquences sur l’emploi en France, le plus nuisible de la sous- traitance et de la construction de voitures à l’étranger est contenu dans le transfert technologique.
Pas de construction de batteries dans l'Hexagone ?
Si le diesel résiste bien l’électrique et les hybrides ont le vent en poupe. Progressivement cette situation modifie le paysage de la construction automobile et nous rend encore plus dépendant des autres pays.
Le cœur du véhicule électrique est la batterie de lithium. Notre dépendance est totale vis-à-vis des producteurs de batteries.
Parmi les principaux fabricants mondiaux, citons le chinois Contemporary Amperex Technology (CATL), le japonais Panasonic ou encore le sud-coréen LG-Chem.
Le géant américain TESLA a lui implanté sa "Gigafactory", une énorme fabrique de batteries au lithium, au Nevada (Etats-Unis).
La Chine abrite les deux tiers des capacités de production du globe. Assurant un quart de l'offre planétaire, le mastodonte chinois CATL est numéro un, devant le japonais Panasonic, un autre chinois, BYD, et le sud-coréen LG-Chem. Cette domination est logique : la Chine représente la moitié des ventes mondiales de véhicules électriques et Pékin impose aux constructeurs l'usage de composants locaux.
Par ailleurs, les chinois Tianqi et Ganfeng contrôlent un tiers de l'offre mondiale de lithium via leurs investissements dans les mines australiennes et chiliennes. Pour l’Europe et la France, c’est un retard difficile à combler. Dans ces conditions, le boycott du coton chinois ne va tenir longtemps !
Les marques automobiles françaises refusent d’investir dans la fabrication de batteries. Elles estiment que c’est aux « futurs » fabricants de batteries de le faire ! Une stratégie somme toute suicidaire qui méritera tôt ou tard une intervention de l’Etat ou de l’Europe.
Jean-Paul ALLOU
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Les talents n’ont pas de genre : Elisabeth MORENO lance un appel à projets en faveur de l’entrepreneuriat au féminin
avril 23, 2021Au-delà de la découverte d’entreprise par une représentante de l’Etat (la société industrielle FIMM portée par la valeureuse et battante Julia CATTIN), le scoop figurait aussi parmi les invités de ce rendez-vous que la ministre déléguée auprès du Premier ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO a consacré ce jeudi au territoire de l’Yonne. C’est à Joigny, en effet, qu’elle a lancé au terme de cette visite son appel à projets national en faveur de l’entrepreneuriat au féminin !
JOIGNY: Nicolas SORET devait en plaisanter quelques minutes avant que la prise de parole de la représentante du gouvernement soit immortalisée face aux caméras et autres appareils photographiques : « On se souviendra longtemps que cet appel à projets a été prononcé dans la ville de Joigny ! ».
Du pain béni promotionnel pour la localité de prédilection du président de la Communauté de communes du Jovinien et édile de l’agglomération !
Ce dernier avait accueilli un peu plus tôt dans l’après-midi de ce jeudi 22 avril la ministre en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Elisabeth MORENO sur le parvis de la société FIMM.
La flamboyante PME du groupe MANUVIT s’est spécialisée dans la conception et fabrication de solutions de manutention. La structure est dirigée depuis quelques années par une femme au tempérament dynamique, reconnue et appréciée parmi la sphère institutionnelle et économique de l’Yonne, la PDG du groupe Julia CATTIN.
De l’entrepreneuriat à l’inspiration féminine, il en sera grandement question lors de l’intervention médiatique d’Elisabeth MORENO. Sur le papier, soit la note explicative adressée vingt-quatre heures auparavant aux rédactions, il avait bel et bien été mentionné que la représentante du gouvernement effectuerait une annonce importante en faveur de l’entrepreneuriat des femmes.
Créer une saine émulation des talents dans l’Hexagone…
Impatients d’en savoir davantage sur cette déclaration, les journalistes rongeaient leur frein en attendant d’écouter les propos de la ministre, qui fut elle-même une entrepreneuse chevronnée agissant dans le secteur du bâtiment et du numérique.
Au terme de son immersion dans le monde industriel tel qui est préconisé par FIMM (la conception de diables et de chariots servant à la manutention), l’ancienne présidente de HEWLETT PACKARD Afrique se prêta volontiers à l’exercice du micro tendu, un jargon propre aux relations presse lui permettant de répondre aux inévitables interrogations des médias.
Dire que les représentantes de la gent féminine sont capables de diriger des entreprises, y compris dans des filières dites masculinisées, semble être une évidence pour la ministre. « Les talents n’ont pas de genre ! », précisa-t-elle tout de go dans ses propos liminaires.
La défenseuse de l’Egalité entre les femmes et les hommes a voulu frapper fort en ce 22 avril qui ne sera plus dorénavant considéré comme une journée ordinaire telle que l’avait prédit Nicolas SORET.
En lançant un appel à projets en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes dans l’entrepreneuriat, le successeur de Marlène SCHIAPPA entend bien créer une saine émulation parmi toutes celles qui désirent assumer les rênes du pouvoir, en dirigeant une entreprise. A l’instar de Julia CATTIN, maintes fois plébiscitée par la ministre.
Que vise plus précisément cet appel à projets ?
D’une part, l’autonomie économique des femmes. Via des actions de soutien à l’entrepreneuriat et aux outils qui favorisent la sensibilisation à cette prise d’initiative. Celle-ci pouvant se traduire par la création ou la reprise d’une entreprise.
« Les femmes doivent émanciper le paysage économique, lâchera Elisabeth MORENO au cours de cette interview.
Il est vrai que les freins au développement de cet entrepreneuriat à la griffe féminine demeurent encore trop nombreux dans l’Hexagone.
D’autre part, le volet de l’insertion professionnelle de ce public représente une indispensable nécessité. A promouvoir coûte que coûte du fait de cette période de crise.
En dernier lieu de cet argumentaire spécifique se situe la promotion de la mixité dans certains secteurs identifiés comme insuffisamment mixtes à l’image des métiers de l’environnement, du numérique, du bâtiment ou de l’aéronautique. Seuls 15,5 % des travailleurs appartiennent à une famille professionnelle mixte. On constate qu’il reste un long travail à effectuer pour faire bouger les lignes, voire les mentalités.
Une enveloppe de 500 000 euros débloquée par l’Etat
Ouvert aux personnes morales à but non lucratif (associations, partenaires sociaux, fondations, établissements publics…), l’appel à projet dévoilé en avant-première par Elisabeth MORENO s’applique à l’instant « t ». Pour une durée de quatre semaines, jusqu’au 22 mai. Il a nécessité le déblocage d’une enveloppe budgétaire de 500 000 euros.
En savoir plus :
A consulter la référence suivante : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/appel-a-projet-2021-egalite-economique-entre-les-femmes-et-les-hommes
Thierry BRET
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