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Des pertes très lourdes sont à craindre pour la filière : les ravages du gel anéantissent le travail des agriculteurs
avril 09, 2021C’est un scénario catastrophe tel que l’on ne l’avait pas vu depuis plus de deux décennies en Bourgogne Franche-Comté. Les efforts des professionnels de la filière, viticulteurs et arboriculteurs mobilisés sur le terrain pour tenter de juguler les effets nocifs des fortes gelées de ces dernières nuits, auront été vains. Les premiers constats laissent craindre le pire. Des pertes très lourdes, pouvant atteindre de 80 à 100 % de certaines récoltes…
AUXERRE : Les espoirs de récoltes fructueuses auront donc été anéantis en l’espace de quelques nuits blanches dans tous les sens du terme lors de cette maudite semaine d’après Pâques.
Il aura suffi de plusieurs épisodes de gelées successives en l’espace de 48 heures pour détruire le fruit du travail de toute une année. Victimes principales de ce fléau naturel dont ils se seraient passés volontiers : les viticulteurs et les producteurs de fruits. Celles et ceux qui cultivent des cerises en particulier.
Les braseros et tous les moyens du bord utilisés pour réchauffer l’atmosphère près des plantations n’auront donc pas inversé les nuisances de ce sursaut hivernal.
Les observations liminaires ne laissent planer aucun doute quant au résultat. Les pertes sont très lourdes. Autour de 80 à 100 % selon les parcelles. Un coup de massue venu du ciel, tombé sur la tête des agriculteurs comme au temps de nos ancêtres gaulois. Mais, là s’arrête la plaisanterie.
Le préfet sur place pour constater les dégâts…
Peu de fruits auront pu résister à ce froid glacial à vous ronger les os. Le Chablisien n’a pas été épargné dans les vignobles. Il en est de même dans le Coulangeois où les fruits à savourer se compteront sur les doigts d’une main cette année. Un luxe, c’est sûr, tant la rareté des produits est déjà évidente.
Pas la peine d’ergoter quant aux conséquences économiques : elles sont catastrophiques pour les acteurs de la filière.
Vendredi après-midi, à l’invitation de la FDSEA (Fédération départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles) de l’Yonne, le préfet Henri PREVOST et plusieurs élus du territoire ont constaté à leur guise l’étendue des dégâts lors de la visite de deux exploitations fortement impactées par ces sinistres.
Le domaine BARAT sera le premier de ces points de rencontre à Milly. Avant que le cortège préfectoral ne découvre les aspects du désastre dans l’exploitation d’arboriculture de l’EARL ALBENA à Jussy.
D’autres gelées en perspective dès la semaine prochaine…
En fleurs, après un sérieux coup de chaleur il y a quelques jours, les cerisiers ont été très touchés par le gel.
« C’est une véritable catastrophe économique pour notre profession… devait commenter sur la toile Alain DURUZ, arboriculteur à Jussy ». Il en publié plusieurs clichés qui témoignent de cette dure réalité.
Toutefois, il est encore prématuré pour estimer l’ampleur des dégâts sur les autres productions fruitières. La présidence de la FDSEA, incarnée par Damien BRAYOTEL, ne se fait guère d’illusion en livrant ses premiers commentaires : « Elles devraient être très basses, également… ».
Mais, le pire se positionne devant nous. A en croire les météorologues, leurs prévisions ne prêtent pas à l’enthousiasme pour la semaine prochaine. Les gelées annoncées pourraient être encore plus importantes que celles vécues au lendemain de la période pascale.
Le nord de l’Yonne a souffert, lui aussi. En priorité, les betteraves où plusieurs parcelles ont été entièrement détruites. Engendrant de légitimes interrogations sur les nouveaux semis et le manque de graines disponibles.
Quant aux autres productions céréalières, elles requièrent une extrême vigilance de la part des agriculteurs qui ne sont pas à l’abri d’une mauvaise surprise.
Les effets du gel sur les colzas, les prairies temporaires, les pois ou l’orge brassicole ne se constatent pas de manière immédiate. Il leur faut croiser les doigts et prier pour que le ciel les épargne de ses caprices…
Thierry BRET
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La mutation vers la mobilité hydrogène se concrétise en BFC : la SNCF commande à ALSTOM ses premiers trains
avril 08, 2021C’est fait ! L’industriel ALSTOM a bel et bien reçu le bordereau de ladite commande émanant de SNCF Voyageurs ce mercredi 07 avril. Une transaction qui a été réalisée pour le compte des quatre grandes régions concernées par ce projet dont la Bourgogne Franche-Comté. Soit un total de douze machines bi-mode électrique et hydrogène. Trois d’entre elles seront affectées à notre territoire. Leurs coûts ? 52 millions d’euros…
DIJON (Côte d’Or) : Les douze premiers trains alimentés en énergie électrique et à hydrogène, auxquels il faut ajouter deux rames optionnelles, ont été achetés pour la coquette somme de 190 millions d’euros à ALSTOM ce mercredi 07 avril par SNCF Voyageurs.
Ils l’ont été pour le compte de quatre régions de l’Hexagone. Elles seront les premières à expérimenter ce mode de locomotion novateur sur leur territoire.
Il s’agit de l’Auvergne-Rhône-Alpes, du Grand-Est et de l’Occitanie sans omettre évidement la Bourgogne Franche-Comté.
Cette dernière contrée déploiera trois de ces trains, issus de la gamme Coradia Polyvalent H2, sur ses lignes. Ils circuleront en effet entre Auxerre et Laroche-Migennes. Ils intègreront le premier écosystème régional en France à inclure le train. Un site qui sera basé à Auxerre.
Pour mémoire, la Région Bourgogne Franche-Comté via sa présidente Marie-Guite DUFAY a soutenu l’initiative dès le début. Ce qui correspond à une nouvelle étape dans le déploiement de l’hydrogène en faveur de solutions de mobilité bas carbone.
La mutation vers la mobilité hydrogène a commencé dans la région…
« Source d'énergie et solution de stockage, l'hydrogène, et notamment l'hydrogène vert, est un moyen non seulement de lutter contre les effets du réchauffement climatique, mais aussi de dynamiser l'emploi, l'attractivité et la croissance de notre région, devait-elle déclarer à l’annonce de cet achat. Pionnière dans cette technologie stratégique, la région a su fédérer les talents et les compétences de la Bourgogne et de la Franche-Comté dans sa mutation vers l'hydrogène… ».
Composé de quatre voitures, ce train newlook, long de 72 mètres, peut accueillir 218 places assises. Il offre des performances et un confort similaires à la plus classique version bi-mode électrique et diesel.
Cette commande de trains à hydrogène est la résultante de deux années d'efforts conjoints des différents acteurs du projet. Le train Coradia Polyvalent répond aux exigences de la diversité du réseau ferroviaire français.
Il dispose d'une autonomie pouvant aller jusqu'à 600 kilomètres sur des tronçons de voies non électrifiées.
Les bogies sont réalisés au Creusot, les moteurs dans le Doubs…
Près de 400 trains Coradia Polyvalent bi-mode électrique-thermique et tout électrique ont été commandés par les régions françaises depuis 2011.
Leur développement assure plus de 2 000 emplois en France pour ALSTOM et ses fournisseurs.
Six des quinze sites industriels implantés en France sont impliqués dans le projet : Reichshoffen (Bas-Rhin) pour la conception et l'assemblage, Ornans (Doubs) pour les moteurs, Le Creusot (Saône-et-Loire) pour les bogies, Tarbes (Hautes-Pyrénées) pour les chaînes de traction et le développement de la propulsion à hydrogène, Villeurbanne (Rhône) pour l'électronique embarquée et Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) pour la conception.
Thierry BRET
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CJD et JCE scellent les bases d’un partenariat constructif : le trait d'union entre dirigeants et futurs leaders citoyens…
avril 07, 2021Sur le papier, l’hyménée n’en est que trop séduisante entre ces deux mouvements associatifs, acteurs à part entière de la vie économique. D’un côté, le CJD (Centre des Jeunes Dirigeants) fait figure d’incontournable des relations publiques et formatives en sa qualité de plus ancienne structure patronale de France. Quant à la Jeune Chambre Economique, elle n’est plus à présenter tant son rayonnement dans le paysage sociétal est grand…
AUXERRE : Finalement, il aura fallu attendre 2021 pour voir ces deux-là convoler en justes noces ! D’autant que les liens ténus entre les deux associations ne datent pas d’hier. Ni au plan local. Encore moins parmi les strates nationales où ces deux partenaires de l’évidence ont su tisser des liens étroits depuis bon nombre d’années.
Ces noces départementales s’officialisent sous la forme d’un partenariat au lendemain du week-end pascal. C’est tout un symbole pour les adeptes de la croyance en la résurrection : elles n’en sont que plus savoureuses.
Les passerelles reliant l’univers pédagogique et formatif du Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) aux vertus applicatives déclinées par les membres de la Jeune Chambre Economique sautent aux yeux !
De toute évidence, tôt ou tard, les deux structures devaient se rapprocher et convenir d’appliquer leurs idées novatrices et stratégiques en les formalisant au détour d’un partenariat. Tout en conservant leur indépendance d’esprit et d’action, il va de soi !
Précurseurs de l’initiative en Bourgogne Franche-Comté, la JCE Auxerre et le CJD 89 ont décidé de concrétiser ce désir de rapprochement en ce début de semaine.
Comment ? En l’identifiant sur la base de deux évènementiels. Ce sont des séances plénières, proposées par le prisme de l’outil numérique. Elles servent de trame idéale à ces échanges de bons procédés entre les adhérents des deux réseaux.
Une équivalence dans les thèmes choisis pour deux soirées en webinaire…
Le premier de ce double rendez-vous s’est tenu mardi en début de soirée. Conçu par la section icaunaise du CJD, il se traduira par une conférence consacrée à une thématique actuelle : « la négociation sans rapport de force ».
Un item dont l’orateur Alain FAUCHEUX, formateur et consultant free-lance, en explicitera les arcanes.
Le deuxième évènement aura lieu ce jeudi 08 avril. Toujours sous la forme d’un webinaire. Un match retour conçu cette fois-ci par la Jeune Chambre Economique. Là aussi, le sujet mérite pleinement intérêt : « la résolution de conflits en milieu professionnel par la médiation ». Tout un programme en vérité qui verra une double intervention. Celle de la directrice des ressources humaines, Véronique KOWECKA ainsi que la prise de parole du médiateur Christian BATANY.
La similitude entre les deux items exposés dans la même semaine est forcément troublante. Preuve qu’entre les adhérents de la JCE et ceux du CJD, cela ne peut que « matcher » !
De quoi donner des outils de pilotage fiables aux dirigeants d’entreprise du CJD et aux futurs citoyens de la JCE. Un travail de complémentarité entre les deux réseaux qui partagent des valeurs communes…
Thierry BRET
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Les disparités économiques se renforcent entre les sexes avec la crise : l’autre violence faite aux femmes…
avril 06, 2021La Journée nationale contre le sexisme s’est tenue sur Zoom en cette année 2021. Elle aura vu la participation de nombreuses femmes, représentant toute la richesse des mouvements féminins en France. Quant au thème initial retenu, il évoquait « l’argent et les violences économiques subies par les femmes… ». Un phénomène très peu connu mais ô combien en phase avec l’actualité…
TRIBUNE : Depuis un an, la crise sanitaire et économique a aggravé les inégalités femmes/hommes, en France, comme dans le monde entier. Concernant les violences domestiques, toutes les données disponibles montrent une forte augmentation en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique.
En France, on constate 30 % d’appels supplémentaires sur les numéros de téléphone dédiés aux violences physiques.
Le chemin est long et difficile. Et si, dans l’Hexagone, des mesures ont été prises sur le plan social, l’accent reste à mettre en œuvre pour les violences économiques que subissent au quotidien les femmes.
Sur le plan de la vie privée, 20 % d’entre elles qui appellent le 3919 parlent de contrôle de l’argent du foyer par le conjoint violent, et 55 % des femmes victimes sont salariées.
L’autonomie financière est déterminante pour l’égalité dans le couple. Les outils économiques actuels, pensés par des hommes pour une société dirigée par des hommes, ne permettent pas d’intégrer l’égalité. Beaucoup de réformes restent donc à faire, pour favoriser l’émancipation économique des femmes, notamment sur le plan des aides sociales, voire du système fiscal…
Des disparités dans les aides financières au détriment des femmes…
Le « violent économètre » recense les risques économiques aux différents âges de la vie d’une femme. Dès dix ans, c’est un outil de prise de conscience pour les femmes et pour tous les parents.
« Pouvoir décider, par un choix éclairé, afin d’être actrice de son autonomie financière et économique, garantit la liberté » selon Corinne HIRSCH, Vice-Présidente du Laboratoire de l’Egalité, membre du club Femmes Ici et Ailleurs.
Sur le plan professionnel, l’accès aux financements reste difficile pour les femmes. On constate deux fois plus de rejets de demandes de prêts bancaires venant d’entrepreneures au féminin. Les réponses positives le sont pour des montants sensiblement moins importants que les prêts accordés aux hommes.
Quelques chiffres dans le domaine de la création de musiques actuelles : 17 % de femmes auteures, compositeures à la SACEM, 14 % de femmes directrices de labels de musique, 20 % des demandes de financements de projets présentés par des femmes (et dans lesquels on trouve 80 % d’hommes !).
« La solution aujourd’hui, c’est, comme je l’ai fait, de monter son propre label, avec, dans mon cas, 99 % de femmes. Cela permet de rééquilibrer la tendance, sans violences sexistes » témoigne Katel, artiste, productrice et Interprète
Il existe fort heureusement des pistes : des bonus d’aides à la production d’albums présentant une parité femmes/hommes, des programmes de mentorat au féminin. Sachant enfin qu’au niveau de l’éducation et de la formation, 55 % des filles sont dans les conservatoires de musique, pour seulement 5,4 % de femmes instrumentistes !
Sur 87 familles de métiers, 13 sont considérées comme mixtes…
C’est le cas pour les métiers du secteur de la Tech, où le niveau de sexisme est particulièrement élevé. Cela est décourageant pour beaucoup de jeunes filles d’étudier dans ces filières. En France, il n’y a que 25 % de femmes diplômées alors que ce pourcentage est en diminution ces dernières années, contrairement à l’Europe où la progression est de 23 %.
Dans les premières années de l’exercice de la fonction, beaucoup de femmes diplômées quittent les entreprises du secteur pour se réorienter.
C’est une prise de conscience qui se pose que cette non-mixité dans ces entreprises. Comme l’exemple des logiciels de reconnaissance faciale, fiables à 99 % pour reconnaître les hommes contre 35 % de taux d’erreurs pour reconnaître les femmes … Cela demande à être suivi d’actions concrètes.
Là aussi, il existe des pistes : le classement des formations scientifiques et techniques selon la proportion de femmes diplômées. 15 % seulement des directeurs d’écoles d’ingénieurs sont des femmes, un score à améliorer notamment avec la loi Sauvadet et la loi Copé-Zimmerman. L’émergence de réseaux de femmes se fait jour dans les entreprises et pour les TPE/PME dans les territoires.
Les médias et la culture ne sont pas en reste avec les disparités. Un exemple flagrant concerne la « disparition » des femmes de 50 ans et plus à l’écran… alors que 52 % de la population féminine majeure est cinquantenaire, voire plus !
Dans les fictions, en 2016 sur l’ensemble des films, seuls 6 % des rôles concernent des actrices de 50 ans et plus. Les rôles de pouvoir sont incarnés par des hommes de 50 ans et plus, à l’âge où les femmes sont, elles aussi, à l’âge de leur puissance et de leur maturité.
L’argent public doit être un moyen de promouvoir l’égalité...
Venons-en à la sphère publique, et à la distribution de l’argent public, d’une façon générale. Encore plus particulièrement en cette période de crise économique, et sur le concept de l’EGACONDITIONNALITE.
Il repose sur l’idée fondamentale que l’argent public n’est pas neutre, et qu’il doit être un moyen de promouvoir l’égalité.
Il s’agit de conditionner l’attribution de financements publics, ou d’autorisations administratives, au respect d’un certain nombre de principes égalitaires, soit en termes de parité, soit en termes d’égalité.
Brigitte GRESY, présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes, rappelle que « le HCE recommande d’appliquer ce principe depuis 2014, et qu’en raison de la crise sanitaire, des montants considérables d’argent public ont été alloués, sans avoir étudié l’impact différencié sur les hommes et les femmes de ces sommes allouées ».
Les périodes de crise ont souvent aussi permis de faire de grands progrès dans certains domaines.
Et si, c’était l’occasion aujourd’hui, d’agir concrètement, pour réduire les violences économiques faites aux femmes !
D’intégrer l’EGACONDITIONNALITE dans l’attribution des financements publics, y compris dans ceux attribuées par les instances locales, départementales, régionales ?
« Ne demandez pas aux femmes de s’adapter au monde … demandez au monde de s’adapter aux femmes » citait Gloria STEINEM. Alors, messieurs, à méditer !
Claire DOUTREMEPUICH
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Un bon « pitch » pour faire le buzz : Karim BOUCHROU (PFM) étrenne une pratique percutante de la communication orale
avril 06, 2021Loin d’être une évidence même si l’on possède des facilités à l’expression orale, la technique du « pitch » représente un sérieux raccourci pour expliquer dans un délai imparti (très court en général) les rudiments de son métier et les atouts de son entreprise. Le dirigeant de PACK SECURITE Karim BOUCHROU s’est essayé à l’exercice en dévoilant en moins de trois minutes la vocation de sa nouvelle structure PFM. Pas si simple !
AUXERRE : Il aura été le premier à ouvrir le bal de cette session spéciale le PDG de PACK SECURITE ! En demeurant le plus stoïque possible face aux caméras placées çà et là et aux endroits stratégiques par les équipes d’IDXPROD dans l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise.
D’ailleurs, elles n’auront manqué aucune des miettes de cet exercice d’éloquence à la sauce managériale ! Une première du genre à vivre à Auxerre !
Déclinaison minutieuse de la communication visuelle des temps modernes, le « pitch » offre l’opportunité à un dirigeant d’entreprise de pouvoir convaincre un interlocuteur de la pertinence de son projet.
Le tout servi dans un laps de temps record : soit de la singulière minute pour sa forme la plus édulcorée en matière de contenu aux cinq longues minutes de causerie qui se pratiquent selon l’envergure du projet.
L’enjeu est de savoir mettre en écoute son auditoire, tout en conservant le fil d’Ariane de sa trame linguistique, additionné d’un rythme gracieux et adapté à la locution qui rappelle instantanément votre griffe ! Rien que cela !
Bref : on ne s’improvise pas à la pratique du « pitch » comme cela à la légère sans un minimum de préparation.
Le patron de PACK SECURITE 89 aura eu le privilège d’être le premier de la petite liste de chefs d’entreprise invités la semaine dernière par le MEDEF de l’Yonne et l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) à essuyer les plâtres d’un exercice oratoire où finalement il ne s’en sera pas trop mal sorti.
D’autant que Karim BOUCHROU venait présenter la nouvelle structure qu’il a portée sur les fonts baptismaux à la fin de 2019, la société PMF (Pack Facility Management).
Cette entité évolue dans le secteur de l’organisation d’évènementiels de type salons, foires et congrès à l’échelle régionale, plus précisément dans l’activité « services aux entreprises ».
D’où l’intérêt un brin légitime de bien maîtriser son discours oral en choisissant les mots justes et les intonations qui l’accompagnent avant que ces fameux « pitch » ne circulent par capillarité en boucle sur les réseaux sociaux afin de créer le buzz.
Thierry BRET
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