Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Le Sénonais reprend goût à la vie avec la relance du sport et de la culture mais selon des conditions particulières
mai 21, 2021La punition a été levée pour les bars et restaurants. Les terrasses entendent de nouveaux rires et confidences. C’est au tour du sport et de la culture de retrouver un nouveau souffle. La ville de Sens a présenté un calendrier plutôt encourageant, avec une reprise d’activités dès la fin mai, doucement mais sûrement…
SENS: Des renforcements de protocoles sanitaires aux rétropédalages, la girouette gouvernementale aura bien donné le tournis aux collectivités ainsi qu’aux acteurs de la culture et du sport. Du fil à retordre, tous en ont à vau l’eau depuis près d’un an et demi avec, parfois, des règles inapplicables.
Malgré des incohérences récurrentes, l’optimisme reste en lice dans l’esprit des élus. « Le 30 juin, c’est l’idéal, on oublie tout !» s’est exclamée Véronique FRANTZ, adjointe chargée de la culture et de la mise en valeur du patrimoine.
La municipalité l’a annoncé cette semaine : le territoire va enfin pouvoir sortir de l’ornière. Cette date marquera un quasi retour à la normalité, pour le plus grand plaisir des millions d’adeptes de la « vie d’avant ». Toutes les jauges seront levées. Les infrastructures culturelles et sportives pourront pleinement accueillir visiteurs et spectateurs.
En attendant, élus et organisateurs devront composer avec les restrictions encore en vigueur, dont certaines subiront encore un petit lifting favorisant le remue-méninge.
Le festival Culturissimo ouvre le bal dès le 26 mai…
La ville inaugurera cette nouvelle ère le 26 mai avec le festival « Culturissimo » dédié aux lycéens. Un évènement organisé par le centre E. Leclerc. L’opération se poursuivra le 10 juin pour le grand public, avec une jauge de 65 %, par groupes de 10 personnes.
« Sens sera la première ville à lancer le festival des établissements Leclerc » précise aussi l’adjointe.
Le timing a laissé peu de temps à la municipalité qui a privilégié un programme plutôt local. « C’était la façon la plus évidente pour nous de redémarrer » admet Véronique FRANTZ. Une façon, néanmoins, de fêter ce retour à la vie en toute intimité, notamment avec l’association « Reed & Blues » qui propose deux concerts les 28 mai et 11 juin.
Les lieux de spectacle rouvriront le 9 juin. Le théâtre municipal aura une capacité d’accueil de 133 personnes dans un premier temps. Les musées de Sens inaugureront une nouvelle exposition temporaire dans la salle Napoléon le 29 mai. Les visiteurs pourront contempler le masque funéraire et le bicorne de l’empereur, d’abord par groupes de trois personnes.
Du côté de l’enseignement, l'école du cirque rouvre ses portes, mais uniquement pour les mineurs, ainsi que le Conservatoire. L’espace Saviniens sera accessible aux jours habituels mais avec des horaires adaptés en fonction du couvre-feu.
Depuis le 19 mai, le centre nautique Toinot est ouvert au public uniquement sur le bassin extérieur avec réservation selon jours et créneaux prédéfinis. La jauge s’élève à cent personnes par créneau. La piscine Tournesol accueille, quant à elle, uniquement les scolaires. Rien n’est encore établi pour le mois de juin.
De l’optimiste mais toujours plus d’absurdités ! Les nageurs devront porter leur masque jusqu’au bassin, « sauf sous la douche » se sentent obligées de préciser certaines communes.
C’est la dernière note d’humour du gouvernement, vrai boute-en-train depuis le début de la crise sanitaire. Les élus se demandent comment les usagers vont pouvoir concrètement gérer cette règle un peu particulière.
Floriane BOIVIN
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Novatrices grâce à un événementiel conçu sous la forme de plateaux conférences digitalisés, les Journées mondiales de l’Autisme (01 et 02 avril dernier) de l’EPNAK IME des Isles d’Auxerre ont connu un franc succès auprès des professionnels de santé et de l’entraide. Une réussite à laquelle s’est associé le KIWANIS Auxerre. Le club-service a fait montre de générosité. Un don conséquent en soutien à cette initiative l’atteste…
AUXERRE : « Servir les enfants du monde » : tel est le credo de l’un des plus anciens clubs service à exercer encore sur la planète au bénéfice d’autrui. En particulier les enfants atteints de pathologies lourdes, de handicaps sévères ou victimes malheureuses et collatérales de crises à géométrie variable qui frappent les adultes.
A l’échelle de l’Hexagone, le mouvement associatif fédère « des personnes ordinaires pour réaliser des opérations extraordinaires » en vue de récolter chaque année la bagatelle de plus de deux millions d’euros. Subsides redistribués ensuite à des œuvres sociales, pour rendre leur sourire à ces chères têtes blondes.
A l’instar de celui d’Auxerre, les clubs français à l’estampille du fameux « K » (Kiwanis dans la linguistique amérindienne signifie « nous construisons ») ne comptent pas leurs heures de bénévolat sur le terrain. Près de 160 000 d’entre elles auront été nécessaires pour œuvrer en faveur de cette cause juste et noble, la plus belle en somme, que l’on nomme la solidarité !
Une enveloppe qui couvrira les frais logistiques des Journées de l’autisme…
C’est pourquoi l’EPNAK IME des Isles n’a éprouvé aucune difficulté à convaincre son partenaire de longue date à se mobiliser une nouvelle fois pour soutenir les Journées mondiales de l'Autisme et leurs déclinaisons en virtuel, une animation réalisée début avril.
L’institution a reçu une obole de 3 500 euros qui a été remis officiellement par trois des membres du club auxerrois en présence de la direction de l’établissement, Cécile THALEN, directrice de l’EPNAK Auxerre et Vincent THOMAS, directeur territorial de l’EPNAK. Un fac-similé de chèque à brandir que ces derniers ont apprécié !
Ainsi, Jean-François FINANCE, président du club d’Auxerre et Alain DERIAZ, directeur de la communication, se sont chargés de remettre au nom de leurs membres le précieux don ; sous le regard appréciateur de l’un des leurs, Claude GUILLEMOT, lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, c’est-à-dire président de région.
L’enveloppe couvrira une partie des dépenses avancées par l’EPNAK dans le cadre de l’organisation de l’évènementiel du début avril.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
La filière CRC va faire sa pub sur les chaînes de télévision : des spots promotionnels à savourer comme du bon pain !
mai 18, 2021Une fois n’est pas coutume dit l’adage. Mais, l’univers agricole sera placé sur le devant de la scène médiatique en juin prochain. Grâce à des spots publicitaires qui inonderont les canaux cathodiques des chaînes du groupe France Télévision. Objectif : vanter l’une des filières ayant le vent en poupe en France, la CRC pour « Culture Raisonnée Contrôlée ». Précisément celle que promeuvent les coopératives 110 Bourgogne et YNOVAE sur notre territoire…
PARIS : La campagne s’invite à la ville. Plus exactement, la vision bucolique de champs ensemencés de cultures imprégnera de ces images les esprits curieux des téléspectateurs. Les yeux rivés sur les écrans de leurs téléviseurs, ceux-ci découvriront tout au long du mois de juin une série de clips projetant sous le feu des projecteurs la filière CRC et ses bienfaits !
De quoi ravir les dirigeants des deux importantes coopératives de notre contrée, à savoir 110 Bourgogne et YNOVAE, qui encouragent au développement de ladite filière. Eux-mêmes étant de judicieux ambassadeurs de ce concept de valorisation.
Récemment, les responsables de 110 Bourgogne ont obtenu de précieux subsides de l’Etat dans le cadre de l’appel à projet France Relance. Afin de restructurer les filières agricoles et agroalimentaires au centre de bon nombre de préoccupations gouvernementales.
Concrètement, nous l’avions expliqué par le biais d’un article paru dans nos colonnes, l’entité 110 Bourgogne lançait un programme de travaux visant à réhabiliter quatorze silos à grains répartis sur la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne.
Au-delà du réaménagement pragmatique de ces silos se grève également la volonté de mieux rétribuer les productions des adhérents de la structure. Considérant que la filière CRC représente l’une des voix d’excellence dans sa démarche qualité, la coopérative 110 Bourgogne, à l’instar de trente-quatre autres entités similaires et plus de 3 000 agriculteurs, est devenue l’un des promoteurs de cette branche qui ne demande qu’à croître.
Gageons qu’après la diffusion de ces courts métrages, la filière CRC (elle a de beaux jours devant elle) sera mieux reconnue et identifiable par le grand public. Une filière qui produit 550 000 tonnes annuelles et représente 10 % des blés français destinés à l’alimentation humaine…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Notre-Dame de Paris va retrouver sa flamboyance sur les toits : les chênes de Groupama y pourvoiront…
mai 17, 2021La reconstruction de la charpente de la cathédrale Notre-Dame de Paris ne se fera pas seule. En effet, Groupama Immobilier gère différentes forêts issues de son important patrimoine foncier. Des chênes y sont marqués avant d’y être prélevés. Objectifs : ces arbres serviront à redonner sa flamboyance à l’édifice et à sa flèche imaginée par Viollet-le-Duc…
PARIS : La flèche symbolique de la cathédrale Notre-Dame de Paris est l’œuvre d’Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC, célèbre architecte du XIXe siècle. A l’initial, elle fut démontée à cause de son mauvais état entre 1792 et 1797. Un concours avait été lancé en 1842 pour sa restauration.
Ce dernier avait été remporté en 1844 par Jean-Baptiste LASSUS et Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC. Jean-Baptiste LASSUS décéda en 1857. Il ne participera pas de fait à la restauration de la fameuse flèche. Constituée de 500 tonnes de bois, 250 tonnes de plomb, cette structure de 96 mètres de haut a vu le jour en 1859 grâce à l’imaginaire et aux croquis d’Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC.
Or, à la suite du terrible incendie du 15 avril 2019, la charpente et la flèche ont été détruites. Un réel choc pour beaucoup de citoyens français qui a suscité des réactions nationales mais aussi internationales. La cathédrale de Notre-Dame de Paris est avant tout l’emblème de la ville tant au niveau architectural que culturel avec le roman éponyme de Victor HUGO. Reconnue universellement, ce sont environ 13 millions de visiteurs qui la découvrent chaque année.
En juillet 2020, la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT avait déclaré aux médias que la reconstruction de la flèche se ferait à l’identique.
Groupama Immobilier aidera à restaurer ce symbole de l’art gothique…
La Société Forestière Groupama, entité gérée par Groupama Immobilier, a marqué différents chênes qui proviennent de ses forêts de l’Eure. A la suite de ces marquages, les arbres seront prélevés en guise de dons pour contribuer à la reconstruction de la flèche partie en fumée.
Au total, sept chênes âgés de 160 à 180 ans élevés en forêt de Conches (27) ont été choisis en compagnie du président de la Fédération Groupama de l’Eure Dominique AUBIN ainsi que du directeur général de Groupama Immobilier Eric DONNET, venus avec deux des trois architectes en charge de la reconstruction de l’édifice gothique.
L’idée de Groupama n’est pas nouvelle. L’assureur mutualiste s’était engagé à faire ces dons dès le lendemain de l’incendie.
Ce projet est devenu collectif. En effet, il est aussi porté par l’interprofession France Bois Forêt qui est présente pour coordonner les prélèvements des chênes que ce soit dans les forêts privées ou celles publiques qui occupent le sol français.
Jordane DESCHAMPS
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’épreuve des bilans débute pour Marie-Guite DUFAY (PS) : « C’est la vérité qui doit l’emporter aux régionales ! »
mai 17, 2021Elle l’aime ce territoire de l’Yonne, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté ! Et ses colistiers de la liste « Notre Région par cœur » le lui rendent bien ! Tous lui accordent leur entière confiance pour la voir renouveler son bail à la tête de l’institution qu’elle gouverne avec une main ferme contenue dans un gant de velours depuis six ans. Une photo de famille où l’on retrouve des visages connus du sérail politique. A l’instar de Nicolas SORET en chef de file, d’Isabelle POIFOL ou du sortant Gilles DEMERSSEMAN…
AVALLON : Satisfaite de se retrouver en un si beau cadre un tantinet bucolique et patrimonial, la présidente de l’exécutif régional ? Visiblement, oui ! Elle n’était d’ailleurs pas la seule à partager cet avis, lors de la présentation officielle de la liste « Notre Région par cœur » qui pourrait peut-être, si les suffrages lui reviennent favorables, la conforter durablement dans son rôle suprême : celui de « patronne » réélue de la vénérable institution.
La candidate socialiste, originaire de Franche-Comté, ne s’est nullement sentie étrangère dans le territoire le plus septentrional de sa contrée de prédilection. Elle y a retrouvé des figures connues et reconnues qui suivent avec passion ses combats depuis tant d’années. Des silhouettes familières qui la poussent à reprendre le leadership des forces de gauche (PS, PC, PRG et société civile) pour une seconde mandature consécutive.
Fustiger la folle course des alliances trompeuses…
C’est dans ce positionnement fédéraliste que s’est présentée celle qui fait nourrir de grands espoirs à toute une frange de citoyens qui se reconnaissent en ses valeurs, fondées sur l’humanisme et l’écoute. Même si la lutte sera âpre au bout de compte, sachant qu’aucune élection n’est jamais gagnée d’avance…
Fédéralisme, c’est l’un des mots clé de cette réunion de campagne. Peut-être l’une des rares qui sera organisée avec la présence d’un public d’aficionados en quantité restreinte car il semblerait que ces échéances électorales proposées dans un contexte sanitaire exceptionnel se fassent sans débats. Hormis, sans doute, ceux conçus sur les réseaux sociaux. Mais, est-ce vraiment la tasse de thé en matière de communication de Marie-Guite DUFAY ?
Fustigeant la folle course aux alliances de ses adversaires (allusion à peine voilée à la liste des Républicains et à son chef de file Gilles PLATRET qui a conclu des accords avec Debout la France et un mouvement écologiste), la présidente de l’exécutif a rappelé l’identité idéologique propre à la liste qu’elle conduit : une liste de gauche, point barre !
Seul bémol pour l’élue bisontine, elle aurait voulu un rassemblement comprenant toutes les grandes composantes de la gauche, unissant socialistes, communistes, radicaux et…écologistes sous la même bannière.
Mais, rétifs, ces derniers ne se rallieront pas à son projet, préférant faire cavalier seul, du moins pour le premier tour de ces élections se déroulant en deux épisodes, les 20 et 27 juin.
« Les Verts désirent vivre leur radicalité, explique la présidente sortante. Puis, se voulant rassurante auprès de l’assistance, « mais les ponts ne sont pas coupés pour autant : je ne désespère pas trouver un accord de principe en vue du second tour… ».
Pourtant, se serait-elle fait un peu prier pour conduire la liste, Madame la présidente ? Ses propos surprennent les observateurs de la sphère médiatique qui assistent à sa prise de parole.
« Je n’avais pas envie d’y aller, souligne-t-elle, mais je me suis sentie une responsabilité au niveau des forces de gauche… ».
Qualifiant son bilan de réussi (« nous avons fait du bon travail » martèlera-t-elle à maintes reprises), Marie-Guite DUFAY évoqua la dure réalité de cette fusion entre ces deux régions voisines qu’étaient autrefois la Bourgogne et la Franche-Comté. Un contexte d’harmonisation difficile qui fut réalisé dans l’intérêt des habitants.
La Région n’a pas à rougir de ses engagements…
Réalisant une analyse introspective des six années de mandature écoulée, la présidente de l’exécutif passa en revue les aspects régaliens de l’organisme institutionnel. Avec ce seul credo : harmoniser davantage vers le haut !
Au-delà de la crise sociétale imprimée par les Gilets jaunes ou celle, plus dangereuse inhérente à la COVID, la Région a dû s’employer à trouver des parades efficientes mais nécessaires pour en juguler les effets désastreux sur la vie économique.
« On a utilisé différents leviers pour développer les programmes de formation, explique l’intéressée qui revendique cette agilité et cette réactivité dans l’action. Nous avons mis en place des filets de sécurité pour protéger tous les acteurs du tourisme et de l’évènementiel mais aussi les étudiants ».
L’élue régionale rappellera en aparté comment elle a pu négocier l’achat de masques protecteurs dès les prémices de la crise pour les besoins des départements sans omettre l’anecdotique mésaventure de Bâle et de son tarmac où lui furent réquisitionnés par l’Etat lesdits masques !
Parmi les autres arguments positifs évoqués : le doublement de la rémunération des stagiaires, la création du fameux ticket de mobilité pour les salariés résidant en campagne et devant se rendre en zone urbaine pour y travailler, les gestes envers les agriculteurs dont les récoltes furent anéanties par les vagues de chaleur successives.
Reste l’emploi, parmi ces principaux items. Là aussi, la Région sous l’ère DUFAY a su se doter de nouveaux jalons qui forcément seront confortés dans le programme que la liste « Notre Région par cœur » entend bien développer en cas de réélection. C’est le cas notamment de l’hydrogène, des biotechnologies, de la métallurgie, de la mécanique, de l’horlogerie, de l’agroalimentaire.
Toutefois, la présidente n’en dira pas plus sur la stratégie à venir. Se promettant de revenir dans les huit territoires départementaux afin d’expliquer la méthodologie lui permettant d’amplifier le travail aux côtés de sa nouvelle équipe.
Une liste où se retrouvent des personnalités emblématiques de la politique départementale, à commencer par le premier d’entre eux qui ouvrira le ban en accueillant l’élue régionale, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET.
A 40 ans, ce dernier portera l’étendard de la gauche aux côtés de quelques indissociables partisans de cette union sacrée, gage de victoire par le passé.
Ainsi, n’est-on pas surpris de retrouver Isabelle POIFOL, ancienne adjointe à la culture de la Ville d’Auxerre sous le mandat de Guy FEREZ en seconde position, le nouvel édile d’Avallon, Jamilah HABSAOUI qui entre de plain-pied dans ces joutes régionales en quatrième de liste, le communiste et syndicaliste Patrick BLIN ou le conseiller régional sortant Gilles DEMERSSEMAN qui aimerait poursuivre l’aventure aux côtés de sa présidente. Histoire de solidifier un peu plus les liens que Marie-Guite DUFAY entretient avec l’Yonne ?
La liste « Notre Région par cœur » :
1) Nicolas SORET
2) Isabelle POIFOL,
3) Patrick BLIN,
4) Jamilah HABSAOUI,
5) Gilles DEMERSSEMAN,
6) Nathalie LABOSSE,
7) Christophe BEN ALI,
8) Sylviane TOULON,
9) José DA SILVA,
10) Béatrix ZEPPA,
11) Dominique BOURREAU,
12) Véronique CARRERE,
13) Sylvain QUOIRIN,
14) Joëlle GUYARD.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99