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« Quand je dis que je suis conseiller en gestion du patrimoine, la première réaction de mon interlocuteur est la suivante : « tu fais de la défiscalisation ? ». Sûrement pas ! Je préfère que mes clients investissent par rapport à des besoins et qu’ils utilisent les avantages fiscaux qui correspondent à leurs besoins…».
PUBLI REDACTIONNEL : En effet, la fiscalité ne s’achète pas. Acquérir un produit seulement pour son avantage fiscal et non pas pour la valeur qu’il apporte ou l’utilité qu’il produit ne permet pas d’optimiser son investissement.
Si par exemple, après avoir fait le point sur votre retraite, vous sentez le besoin de vous fabriquer un complément de revenu, vous avez la possibilité de répondre à ce besoin à travers le PERIN (Plan d’Epargne Retraite Individuel) tout en bénéficiant d’avantage fiscal : la cerise sur le gâteau.
Il est également possible de se fabriquer un complément de revenu à travers l’acquisition d’un bien immobilier tout en récupérant la TVA (gain de 20 % de l’investissement) et/ou en bénéficiant de l’amortissement de votre bien sur environ trente ans, c’est-à-dire qu’un bien de 300 000 euros permettrait de déduire 10 000 euros par an des revenus immobiliers pendant environ trois décennies.
De plus, vous pouvez également bénéficier d’avantages fiscaux si vous souhaitez améliorer votre habitat ou donner du confort à votre famille (femme de ménage, etc.).
L’avantage fiscal s’utilise donc comme un levier afin d’atteindre des objectifs, et de répondre à des besoins pour votre vie d’aujourd’hui et de demain.
Moralité : la fiscalité ne s’achète pas, mais elle s’utilise !
Julie GENEST
CABINET J3G PATRIMOINE
13 rue de l'Horloge
89000 AUXERRE
Tel : 03 86 94 10 11
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Patrick GENDRAUD en leader charismatique d’une majorité départementale qui se prend à rêver d’un carton plein ?
mai 22, 2021Et si la majorité départementale actuelle réalisait son meilleur score au soir du 27 juin ? Ce serait certes du jamais vu, dans le landerneau icaunais. Même si le territoire est solidement ancré à droite et au centre droit depuis des lustres. Toutefois avec le bénéfice de 36 élus qui l’ont soutenu durant la mandature qui s’achève sur les 42 composants l’exécutif départemental, Patrick GENDRAUD dispose d’un confortable matelas de sécurité, pouvant l’emmener vers sa réélection au sommet du perchoir. Mais, cela ne reste que de la pure théorie !
AUXERRE : L’adage le précise à sa juste valeur : « il ne faut jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». Pourtant à bien y regarder de près même en soupesant le tout, l’effet naturel de la prime au sortant pourrait avoir, s’il était encore appliqué en ces temps troublés du « dégagisme », bien des conséquences heureuses pour l’actuelle majorité départementale.
Celle composée de représentants de la droite, du centre droit et des indépendants –mais avec une inclinaison préférentielle dans la balance tout de même ! – qui sont rassemblés sous la bannière de « Unis pour l’Yonne », au service de la candidature sur la plus haute marche du podium électif de Patrick GENDRAUD.
Il y a quelques jours, c’était donc branle-bas de combat à Migennes, fief de l’un des leurs, le conseiller sortant et édile de la ville François BOUCHER, pour accueillir cette équipe renouvelée à 30 % à la conquête du Graal suprême : celui de l’exécutif départemental.
D’entrée de jeu, et au-delà des sourires qui s’affichaient de circonstance sur les visages radieux des binômes en séance photo officielle, ceux qui partent en ordre de marche pour tenter de se qualifier au second tour de ces échéances départementales (20 et 27 juin), un mot d’ordre était lâché par l’ancien maire de Chablis, lors de son explication de texte face aux journalistes, « unité » !
Alors, fi des querelles de quartier qui peuvent parfois exister y compris entre élus du même bord ou des ego surdimensionnés qu’il est nécessaire de contenir dans sa poche, rien ne doit transpirer désormais dans cette volonté unioniste devant impérativement placée sur orbite céleste le vaisseau amiral de l’Yonne : celui que pilote la majorité départementale.
Trois cantons sans soutien de la majorité départementale…
Au plan comptable, l’équation se révèle très simple même pour un mathématicien en herbe. Quatre-vingt binômes soit 160 candidats vont se disputer les 42 sièges à pourvoir permettant d’assurer la gouvernance de cet hémicycle dont les prérogatives ont été rognées avec la loi Notre et qui aura bien du mal à pencher autrement qu’à droite et au centre droit in fine.
70 % des conseillers sortants issus de la majorité actuelle repartent à l’assaut d’un nouveau mandat. Quand on sait que nos concitoyens sont réfractaires au changement et à ses impacts parfois imprévisibles, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour envisager la suite.
Serein, peu avare en détails, prenant le temps de l’analyse et de l’explicatif, Patrick GENDRAUD évoque donc les caractéristiques essentielles de cette liste qui lui est foncièrement acquise.
Ici, pas de logique partisane et politicienne entre représentants des Républicains et l’UDI qui la constituent, ces candidats sont « des élus de terrain, de proximité, qui travaillent pour servir les intérêts de leur territoire et de leurs habitants avant toute autre chose… ».
Une curiosité fait tilt toutefois dans les esprits avisés des représentants de la presse : le soutien de la majorité départementale aux candidats de 18 cantons sur 21. Cas d’école intéressant : le ticket Pascal HENRIAT et Delphine BILLON (Auxerre 4) n’est en fait soutenu que par le président en exercice de la vénérable assemblée mais pas par le collectif majoritaire ! En outre, deux autres cantons ne reçoivent pas la bénédiction de la majorité, ceux de Joigny et de Vincelles.
Le credo de la liste est le suivant : un bilan, des ambitions. L’exécutif considère qu’au terme de la mandature écoulée, il n’a pas à rougir de ce qui a été entrepris, bien au contraire !
Dans les faits, la dette s’est réduit considérablement ce qui a permis de dégager un excédent de cinquante millions d’euros. D’où la sérénité dans l’appréciation de ces données de la part de l’élu de l’Yonne.
« Les investissements étaient au rendez-vous durant le mandat effectué : cent millions d’euros accordés à la réfection des réseaux routiers, 66 millions dédiés au SDIS (Service départemental d’incendie et de secours), 210 millions priorisés vers le dossier de l’éducation ou encore 44 millions d’euros pour soutenir les milieux associatifs et les communes… ».
Le numérique, la mère des batailles pour rendre attractif le territoire…
Mais, invariablement, le cheval de bataille, la mère de tous les combats que mène Patrick GENDRAUD depuis sa prise de fonction tout en haut de l’échelle institutionnelle, c’est la lutte contre la fracture numérique.
Celle qui prive encore, du fait de zones blanches et de lenteurs techniques habituelles, des secteurs de notre territoire des bienfaits de la digitalisation.
« En 2023, l’Yonne sera raccordé à la fibre optique. Son déploiement est fondamental pour l’attractivité de notre territoire qui en a besoin dans l’approche sanitaire et médicale, le télétravail avec l’essor des visioconférences. Grâce à une DSP (délégation de service public) accordée fin 2019 à une société privée, le département a gagné sept ans dans l’accession à la fibre optique. Ce n’est pas rien ! Puisque j’évoque le volet santé, nous souhaitons installer des médecins dans l’Yonne en mettant en place dès le mois prochain une expérimentation à l’identique de celle vécue en Saône-et-Loire où le salariat est la primauté pour se densifier en praticiens.
Du côté de la voirie, nous allons renforcer nos compétences régaliennes en prévoyant un budget de 130 millions d’euros sur six ans qui sera engagé après le scrutin ».
Non soucieux du temps qui file, Patrick GENDRAUD aborda ensuite sa vision personnelle qu’il a de l’environnement. Via la nécessaire valorisation des produits du terroir et des circuits courts, devant permettre de sustenter les 14 000 collégiens qui désirent manger autre chose, c’est-à-dire du frais, du local et du goûteux !
Le président s’épanchera aussi sur le maintien des services à la population avec ce fameux moyen mobile, auréolé d’un label France Service, un bus qui offre des fonctions de guichet unique dans les secteurs les plus reculés. « Nous allons développer le principe du « aller vers », résume-t-il.
Le volet du RSA lui tient également à cœur. Même s’il déplore que l’aide de l’Etat (28 millions d’euros annuels sur les soixante requis) demeure insuffisante. L’Yonne est le premier département rural de l’Hexagone à porter, avec le concours de Pôle Emploi, le SPI, soit le Service public de l’insertion par l’emploi afin de favoriser le retour des personnes inactives sur le marché du travail.
Les collèges, du domaine d’appétence de l’institution, sont également concernés par la baisse des dépenses de la consommation énergétique. Une maîtrise supplémentaire de 12 % fait figure de priorité dans le cadre d’un nouveau mandat.
Enfin, Patrick GENDRAUD ne pouvait conclure ce tour d’horizon exhaustif des grands dossiers devant constituer le programme de « Unis pour l’Yonne » sans évoquer le tourisme et ses enjeux, surtout après la crise.
La politique d’aménagement de véloroutes mais aussi un réel travail de partenariat conduit avec les EPCI confortera la vision globale que le candidat à la présidence du Conseil départemental à la date du 01er juillet prochain souhaite imprimer à ce territoire, cher à ses yeux, puissant dans son cœur.
Thierry BRET
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Le recyclage des matières plastiques est sa spécialité : RECYTHERM reçoit 281 124 euros d’aides de l’Etat
mai 21, 2021Comprendre les enjeux et perspectives d’une belle PME positionnée dans le traitement des matières plastiques, tel était le sens de la visite préfectorale concoctée ce 18 mai au sein de la société RECYTHERM. Henri PREVOST, préfet de l’Yonne, a pris soin de questionner ses hôtes sur toutes les subtilités techniques qui ont amené la structure icaunaise à être bénéficiaire des subsides accordés dans le cadre du plan France Relance…
BRIENON-SUR-ARMANCON : Contexte sociétal oblige, le représentant de l’Etat a fait du soutien économique l’une de ses priorités régaliennes, multipliant les visites sur des sites industriels qui lui étaient jusqu’alors inconnus. Une immersion passionnante dont il ne se lasse pas, de semaine en semaine, annonciatrice de nouvelles positives pour les entrepreneurs qui ont le privilège de l’accueillir.
En effet, quand Henri PREVOST se déplace au sein de ces unités de production, c’est dans la plupart des cas, du moins depuis plusieurs mois, pour évoquer le soutien du gouvernement qui s’est pleinement mobilisé en apportant une réponse immédiate et forte avec la mise en œuvre du plan de relance. Un plan synonyme de distribution d’enveloppes financières.
Donner une seconde vie au plastique recyclé…
En se rendant au sein de la société RECYTHERM, spécialiste du recyclage de matières plastiques par broyage, le haut fonctionnaire n’a pas dérogé à la règle. Non seulement, il a remis aux dirigeants de l’entité le fameux trophée de plexiglas symbolisant le dispositif France Relance. Mais, en outre, il s’est félicité que l’entreprise icaunaise ait pu bénéficier d’une coquette somme de 281 124 euros, des fonds destinés au développement des actions de recyclage de ces matières plastiques envahissantes.
Analysé, qualifié dans le laboratoire du site, le plastique sera transporté après sa collecte et son traitement par broyage vers l’unité d’extrusion où il deviendra une nouvelle matière première sous forme de feuilles et de plaques destinés à la production de pièces thermoformées.
Lors de sa visite, Henri PREVOST a par ailleurs rappelé que « dans le cadre de ce plan de relance exceptionnel, le soutien à l’investissement et à la modernisation dans l’Yonne concernait huit entreprises industrielles ayant bénéficié de près de quatre millions d’euros d’aides leur permettant de réaliser 15 millions d’euros d’investissement ».
Parmi ces huit structures se trouve RECYTHERM qui pourra ainsi poursuivre ses projets de développement.
Thierry BRET
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Le Sénonais reprend goût à la vie avec la relance du sport et de la culture mais selon des conditions particulières
mai 21, 2021La punition a été levée pour les bars et restaurants. Les terrasses entendent de nouveaux rires et confidences. C’est au tour du sport et de la culture de retrouver un nouveau souffle. La ville de Sens a présenté un calendrier plutôt encourageant, avec une reprise d’activités dès la fin mai, doucement mais sûrement…
SENS: Des renforcements de protocoles sanitaires aux rétropédalages, la girouette gouvernementale aura bien donné le tournis aux collectivités ainsi qu’aux acteurs de la culture et du sport. Du fil à retordre, tous en ont à vau l’eau depuis près d’un an et demi avec, parfois, des règles inapplicables.
Malgré des incohérences récurrentes, l’optimisme reste en lice dans l’esprit des élus. « Le 30 juin, c’est l’idéal, on oublie tout !» s’est exclamée Véronique FRANTZ, adjointe chargée de la culture et de la mise en valeur du patrimoine.
La municipalité l’a annoncé cette semaine : le territoire va enfin pouvoir sortir de l’ornière. Cette date marquera un quasi retour à la normalité, pour le plus grand plaisir des millions d’adeptes de la « vie d’avant ». Toutes les jauges seront levées. Les infrastructures culturelles et sportives pourront pleinement accueillir visiteurs et spectateurs.
En attendant, élus et organisateurs devront composer avec les restrictions encore en vigueur, dont certaines subiront encore un petit lifting favorisant le remue-méninge.
Le festival Culturissimo ouvre le bal dès le 26 mai…
La ville inaugurera cette nouvelle ère le 26 mai avec le festival « Culturissimo » dédié aux lycéens. Un évènement organisé par le centre E. Leclerc. L’opération se poursuivra le 10 juin pour le grand public, avec une jauge de 65 %, par groupes de 10 personnes.
« Sens sera la première ville à lancer le festival des établissements Leclerc » précise aussi l’adjointe.
Le timing a laissé peu de temps à la municipalité qui a privilégié un programme plutôt local. « C’était la façon la plus évidente pour nous de redémarrer » admet Véronique FRANTZ. Une façon, néanmoins, de fêter ce retour à la vie en toute intimité, notamment avec l’association « Reed & Blues » qui propose deux concerts les 28 mai et 11 juin.
Les lieux de spectacle rouvriront le 9 juin. Le théâtre municipal aura une capacité d’accueil de 133 personnes dans un premier temps. Les musées de Sens inaugureront une nouvelle exposition temporaire dans la salle Napoléon le 29 mai. Les visiteurs pourront contempler le masque funéraire et le bicorne de l’empereur, d’abord par groupes de trois personnes.
Du côté de l’enseignement, l'école du cirque rouvre ses portes, mais uniquement pour les mineurs, ainsi que le Conservatoire. L’espace Saviniens sera accessible aux jours habituels mais avec des horaires adaptés en fonction du couvre-feu.
Depuis le 19 mai, le centre nautique Toinot est ouvert au public uniquement sur le bassin extérieur avec réservation selon jours et créneaux prédéfinis. La jauge s’élève à cent personnes par créneau. La piscine Tournesol accueille, quant à elle, uniquement les scolaires. Rien n’est encore établi pour le mois de juin.
De l’optimiste mais toujours plus d’absurdités ! Les nageurs devront porter leur masque jusqu’au bassin, « sauf sous la douche » se sentent obligées de préciser certaines communes.
C’est la dernière note d’humour du gouvernement, vrai boute-en-train depuis le début de la crise sanitaire. Les élus se demandent comment les usagers vont pouvoir concrètement gérer cette règle un peu particulière.
Floriane BOIVIN
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Novatrices grâce à un événementiel conçu sous la forme de plateaux conférences digitalisés, les Journées mondiales de l’Autisme (01 et 02 avril dernier) de l’EPNAK IME des Isles d’Auxerre ont connu un franc succès auprès des professionnels de santé et de l’entraide. Une réussite à laquelle s’est associé le KIWANIS Auxerre. Le club-service a fait montre de générosité. Un don conséquent en soutien à cette initiative l’atteste…
AUXERRE : « Servir les enfants du monde » : tel est le credo de l’un des plus anciens clubs service à exercer encore sur la planète au bénéfice d’autrui. En particulier les enfants atteints de pathologies lourdes, de handicaps sévères ou victimes malheureuses et collatérales de crises à géométrie variable qui frappent les adultes.
A l’échelle de l’Hexagone, le mouvement associatif fédère « des personnes ordinaires pour réaliser des opérations extraordinaires » en vue de récolter chaque année la bagatelle de plus de deux millions d’euros. Subsides redistribués ensuite à des œuvres sociales, pour rendre leur sourire à ces chères têtes blondes.
A l’instar de celui d’Auxerre, les clubs français à l’estampille du fameux « K » (Kiwanis dans la linguistique amérindienne signifie « nous construisons ») ne comptent pas leurs heures de bénévolat sur le terrain. Près de 160 000 d’entre elles auront été nécessaires pour œuvrer en faveur de cette cause juste et noble, la plus belle en somme, que l’on nomme la solidarité !
Une enveloppe qui couvrira les frais logistiques des Journées de l’autisme…
C’est pourquoi l’EPNAK IME des Isles n’a éprouvé aucune difficulté à convaincre son partenaire de longue date à se mobiliser une nouvelle fois pour soutenir les Journées mondiales de l'Autisme et leurs déclinaisons en virtuel, une animation réalisée début avril.
L’institution a reçu une obole de 3 500 euros qui a été remis officiellement par trois des membres du club auxerrois en présence de la direction de l’établissement, Cécile THALEN, directrice de l’EPNAK Auxerre et Vincent THOMAS, directeur territorial de l’EPNAK. Un fac-similé de chèque à brandir que ces derniers ont apprécié !
Ainsi, Jean-François FINANCE, président du club d’Auxerre et Alain DERIAZ, directeur de la communication, se sont chargés de remettre au nom de leurs membres le précieux don ; sous le regard appréciateur de l’un des leurs, Claude GUILLEMOT, lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, c’est-à-dire président de région.
L’enveloppe couvrira une partie des dépenses avancées par l’EPNAK dans le cadre de l’organisation de l’évènementiel du début avril.
Thierry BRET
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