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Un dieu. Un prodige. Un mythe…A lui seul, il sera au fil des deux décennies de carrière l’incarnation du football et du beau jeu dans toute sa splendeur et technicité, tels que les férus de cette discipline sportive, la plus populaire au monde, aiment la vivre à chaque rencontre disputée sur une pelouse. A 82 ans, le roi Pelé tire donc sa révérence, emmenant avec lui son aura légendaire et ses 1 283 buts que nul amateur de ce sport ne peut décemment ignorer. Respect envers cette figure iconique…

 

BILLET ; A croire qu’il ne voulait pas gâcher la fête du ballon rond, symbolisé par cette Coupe du monde au suivi planétaire. Son objet fétiche qui lui a apporté fortune et célébrité. Avec pudeur et humilité, celui que les spécialistes qualifiaient de plus grand footballeur de tous les temps s’en est donc allé, presque sur la pointe des pieds, entouré des siens dans une chambre d’hôpital, soigné pour une maladie incurable. Quelques jours après la victoire de l’Argentine, mettant un terme définitif à ce Mondial 2022. Rideau…

Lui qui se voulait encore rassurant auprès de ses admirateurs du monde entier se fendait d’un communiqué de presse aux intonations rassurantes sur son état de santé pour le moins déclinant en pleine Coupe du Monde disputée au Qatar.

C’est vrai, une légende ne meurt jamais, c’est bien connu.

 

 

Pourtant, les avis des médecins à son chevet ne prêtaient guère à l’optimisme ces dernières semaines. Mais, de là à imaginer que le triple champion du monde brésilien laisserait tout un peuple orphelin juste après Noël et avant la passation de pouvoir du nouveau président LULA le 01er janvier n’était guère concevable dans l’esprit de ces millions de Brésiliens, fidèles d’entre les fidèles avec celui qui leur ramena par trois fois la coupe Jules-Rimet à la maison.

A l’instar d’un Diego MARADONA du côté de Buenos-Aires, le pays des favelas et du carnaval vit donc un deuil de trois jours avant les funérailles de la star, tel qu’il a été décrété par la présidence de la République. Une situation impensable à vivre avec notre regard d’Européen et de Français de l’autre côté de l’Atlantique. Preuve qu’en Amérique du Sud, le football place ses idoles sur un piédestal faisant office parfois de religion.

Les plus anciens d’entre nous se souviennent encore des dribbles et des passements de jambes quasi célestes réalisés par ce personnage si sympathique au large sourire. De ses exploits avec des buts inscrits de nulle part au Mexique en 1970 comme de sa fin de carrière, auréolée d’un pont de dollars, dans le prestigieux club new yorkais du Cosmos en 1977.

Les plus jeunes de nos lecteurs, adeptes de football, auront sans doute entendu un jour prononcer ce nom mythique de Pelé sans savoir de quoi il en retournait précisément. Il était donc naturel de leur rafraîchir quelque peu la mémoire. C’est une page de l’histoire qui vient de se tourner. Un chapitre, que dis-je, un livre complet qui se termine avec le départ de Pelé qui va rejoindre la feuille de match de ces grands noms de la discipline aujourd’hui dans les nuages à l’instar d’un Johan CRUYFF, Diego MARADONA, Raymond KOPA ou Alfredo Di STEFANO. Pour y disputer, peut-être, une rencontre extraordinaire avec les anges ?

 

Thierry BRET

 

 


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Le 15 août 2021, le retour des talibans à Kaboul, deux décennies après l’intervention occidentale ayant provoqué leur chute, s’est mué en une onde de choc mondiale. Tout le monde a en mémoire ces milliers d’Afghans terrorisés, se ruant dans une tentative désespérée vers l’aéroport pour quitter le pays, prenant d’assaut des avions, s’y accrochant parfois au décollage, avant que leur corps ne s’écrase sur la piste… Ambassadeur de France en Afghanistan à l’époque, David MARTINON a clôturé le cycle des « Conversations d’automne » à l’Abbaye Saint-Germain pour faire le récit de ces deux semaines de chaos, devant un public conquis par le sujet et par l’orateur…

 

AUXERRE : C’est en mai 2007 que les Français découvrirent cet énarque de 36 ans, lors de sa nomination par le nouveau chef de l’Etat, Nicolas SARKOZY, au poste de porte-parole de l’Elysée, avant un parachutage raté un an plus tard à Neuilly-sur-Seine avec pour objectif la conquête de la mairie.

Un échec qui fit retourner David MARTINON au Quai d’Orsay, pour un poste de consul à Los Angeles, avant sa nomination en 2018 comme ambassadeur de France en Afghanistan. Si la fonction est l’une des mieux rémunérées de la République (l’on évoque le chiffre de 30 000 euros par mois), c’est aussi l’une des plus dangereuses, dans un pays gangréné par la corruption, la guerre et les attentats terroristes visant notamment les diplomates étrangers. Avec toutefois à l’époque, des espoirs de développement économique et une relative émancipation des femmes : « au début, j’ai vraiment cru que l’on pouvait continuer à bâtir la démocratie, aider à la construction d’un Etat de droit et à la création d’une société un peu plus développée techniquement… ».  

 

Des cartes politiques rebattues avec l’élection de Donald TRUMP…

 

L’élection de Donald TRUMP a rebattu les cartes, le nouveau locataire de la Maison Blanche ayant promis lors de sa campagne de mettre un terme aux « guerres sans fin de l’Amérique ». A peine l’accord pour un retrait des troupes américaines signé, David MARTINON avertissait ses autorités supérieures sur la nécessité d’envisager la fermeture de notre ambassade à Kaboul : « dès ce moment, je savais que c’était foutu et qu’après le départ du dernier soldat étranger, la victoire des talibans serait totale. J’ai eu quinze mois pour préparer tout ça, avec l’idée de quitter proprement Kaboul… ».

Notamment en évacuant vers la France, pour ceux qui le souhaitaient, les employés afghans de l’ambassade. Plus de 600 personnes purent ainsi en deux mois, quitter le pays. Un scénario peu suivi par les autres pays européens, qui mirent beaucoup plus de temps à envisager la politique du pire. Pas plus d’ailleurs, précise l’ancien ambassadeur, que nos ressortissants présents dans le pays : « l’avion prévu les ramener en France le 17 juillet, n’était rempli qu’à moitié. Les Français de l’étranger sont comme ça, avec un rapport à l’autorité souvent empreint de désinvolture. Liberté, liberté chérie… ».

Arrive le 15 août et ces jours paroxystiques qui suivirent : « nous étions très préparés, mais ce n’est pas parce que vous l’êtes que vous êtes prêts ! Une crise est toujours marquée par l’imprévu… ».

 

 

Une exfiltration en hélicoptère à la « Top gun » !

 

L’heure pour David MARTINON, après 33 mois de présence en Afghanistan, de se muer en chef de guerre avec pour objectif de ramener sain et sauf « à la maison », tout le personnel de l’ambassade est devenue une évidence. Au fil des minutes, les évènements s’accélèrent et se bousculent en permanence. Sans réelle résistance de la part de soldats afghans désabusés, les talibans sont aux portes de Kaboul. L’ancien « Sarko-boy » a le pressentiment qu’il faut faire vite, une façon de raisonner qu’il tient explique-t-il de ses années d’apprentissage auprès de son ancien mentor : « il a toujours eu une sorte de sens du timing et dans ces moments-là, c’est fondamental. Moi je sentais que les choses allaient s’accélérer et j’ai donc donné instruction à l’équipe de se préparer à partir très vite le lendemain pour aller dans la zone verte sécurisée… ».

A peine le temps de brûler les derniers dossiers et détruire à la masse ce qu’il reste de matériels électroniques et les rotations vers l’aéroport s’enchaînent, dans un chaos indescriptible. Le moment aussi de prendre des décisions ayant valeur de vie ou de mort, comme d’autoriser l’ouverture du portail de l’ambassade pour éviter que la foule qui s’y pressait ne se fasse écraser par les véhicules des talibans. Surnommé par certains « l’ambassadeur courage », David MARTINON a dû aussi essuyer à postériori quelques critiques, notamment pour s’être mis en scène sur les réseaux sociaux, se filmant dans l’hélicoptère qui l’exfiltrait de Kaboul, façon Tom CRUISE dans « Top gun ». Il n’empêche qu’il a « fait le job » et à Saint-Germain, c’est tout ce que les personnes présentes souhaitaient retenir de lui.
La nuit est tombée. Le froid de décembre pique les joues, il est temps de rentrer. L’hiver va bientôt s’inscrire au calendrier, ne reste qu’à rêver au printemps prochain. A Kaboul, l’hiver sera long, si long, trop long, sans espoir de jours meilleurs…

David MARTINON se veut lucide : « pour faire simple, il n’y a pas de bonnes nouvelles arrivées de Kaboul ces quinze derniers mois. Les talibans modérés, ça n’existe pas ! »

 

Dominique BERNERD

 

 


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C’est presque de la science-fiction. Celle qui nous immerge vraiment au cœur du XXIème siècle ! Oui, mais sous le prisme de l’univers industriel et de ses applicatifs qui utilisent à bon escient la technologie de haute facture dans le cadre de ses programmes. Patron de la société NEED ROBOTICS, l’excellent Ned CEKIC – un précurseur à la tête bien remplie dans le domaine de la robotique industrielle ancré sur le territoire de l’Yonne – a eu la géniale idée d’accueillir il y a peu le « FANUC CRX Tour ». Une découverte exceptionnelle des opportunités offertes par les robots collaboratifs !

 

SENS : Ils se définissent par leurs concepteurs comme une clé de compétitivité hors norme, les robots collaboratifs. En pleine croissance en termes de potentialités, leur développement suscite désormais moult intérêts du côté des industriels qui n’hésitent plus à succomber aux charmes de ces « sirènes » des temps modernes afin d’en équiper leurs unités de production ! Productivité, sécurité et fiabilité garanties !

Plusieurs chefs d’entreprise de l’Yonne, mais aussi des départements limitrophes, ont eu l’heureuse surprise d’en découvrir le moindre détail fonctionnel lors de la réception du « FANUC CRX Tour » dans l’ex-capitale des Sénons.

Une sorte de vitrine démonstrative bien ficelée par les créateurs de ces inventives machines, accueillie chez l’un des brillants entrepreneurs de sa génération dans le landerneau icaunais, Ned CEKIC.

Un as des as en la matière, passionné de cobotique, de robots industriels, qui a porté sur les fonts baptismaux de la création en janvier 2020, la structure professionnelle au patronyme totalement décalé dans notre 

département rural : « NEED ROBOTICS » !

 

 

Des usages multiples dans les entreprises en toute sécurité…

 

Lors de cette journée résolument technique, réservée tout de même à un public averti (!), les experts de FANUC et de NEED ROBOTICS ont pu tout à loisir partager leurs expériences et disserter en examinant de plus près les appareils technologiques les bonnes pratiques à mettre en œuvre pour une intégration optimale de cette gamme de nouveautés, sorties sur le marché en 2020.

Introduite pour la première fois en France, lors du Salon des fournisseurs de l’industrie agro-alimentaire de Rennes en 2020, cette nouvelle génération de robots collaboratifs est déjà connue dans le monde entier. Ses premiers prototypes avaient été en effet dévoilés lors du Salon international de la robotique de Tokyo en décembre 2019, avant d’être ensuite dispatchés parmi les différentes filiales européennes du groupe japonais qui en assure la fabrication.

Découvrir quelques spécimens de ces robots au profil étonnant qui se déclinent en diverses variantes offrant des charges utiles différentes à Sens méritait amplement le détour, plongeant ainsi les visiteurs béotiens ou adeptes de leurs usages dans l’univers de l’industrie du futur où l’intelligence artificielle joue donc les premiers rôles !

Précisons que ces robots collaboratifs portent très bien leur nom ! Ils peuvent être employés en toute sécurité par l’humain dans le cadre de tâches multiples, notamment le chargement et déchargement de machines, le secteur de l’emballage, la palettisation, le ponçage, le soudage, etc. Elle n’est pas belle la vie ?!

 

Thierry BRET

 

 


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Il se frotte les mains avec une exquise jubilation, Magloire SIOPATHIS ! Comment pourrait-il en être autrement puisque l’arrivée d’un nouvel investisseur sur sa commune contribuera inéluctablement à conforter l’essor économique de celle-ci ! Introduit depuis peu sur le marché continental, en Belgique et désormais dans l’Hexagone, le promoteur immobilier américain « TRAMMELL CROW COMPANY » entend bien faire fructifier son business du côté de l’Yonne. Près de onze hectares de parcelles viennent de lui être vendues sur la zone d’AuxR_Parc. Objectif : y accueillir des entreprises positionnées sur la distribution, l’industrie et la logistique.

APPOIGNY : Nom de code : TCC. Un acronyme, connu et reconnu dans le monde entier, sous le vocable angliciste suivant, « TRAMMELL CROW COMPANY ». Fondée en 1948 – un bail dans le monde des affaires et de la promotion immobilière internationale ! -, l’entité américaine possède à son actif une sérieuse carte de visite que nul ne peut ignorer lorsqu’elle se présente à soi !

Qu’on en juge ! Cette filiale de « CRBE Group » – un mastodonte de l’immobilier et du foncier dont le siège est localisé à Dallas – a acquis depuis ses lointaines origines la « bagatelle » de 2 900 bâtiments évalués à 75 milliards de dollars US et plus de 665 millions de mètres carrés, destinés à recevoir des acteurs de l’économie.

Ceux qui proposent aux quatre coins du globe ou presque des activités dans la distribution, la logistique et l’industrie mais aussi dans la santé, les sciences de la vie, voire des projets de bureaux. Employant à date plus de sept cents collaborateurs, la structure a le vent en poupe. Près de 20 milliards de dollars de projets sont en phase de réalisation !

 

Un investissement de 5,9 millions d’euros TTC bénéfique à l’Auxerrois…

 

Au vu des chiffres énoncés, débourser la somme de 5,9 millions d’euros TTC, soit l’acquisition de près de onze hectares de parcelles (10,9 ha avec exactitude) sur le sol d’Appoigny ne représente in fine que bien peu de choses pour cette structure désireuse de poursuivre son expansion européenne.

La filiale de « CRBE Group » a décidé de confier la direction de ses activités en France et en Belgique à Jean-Marc BLANC, qui travaillera en harmonie avec Ian WORBOYS, directeur général et responsable de la logistique européenne.

C’est ce même personnage, clé de voûte de l’entreprise venue d’Outre-Atlantique, qui était présent, ce lundi 05 décembre en terre icaunaise, pour déposer son paraphe symbolique au bas du document officiel contracté avec la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois.

Aux côtés du président-maire Crescent MARAULT mais aussi de Magloire SIOPATHIS, conseiller départemental et maire d’Appoigny et de Nordine BOUCHROU, adjoint à l’urbanisme de la Ville d’Auxerre, le dirigeant américain s’est donc réjoui de signer les trois promesses de vente, équivalentes à environ 109 000 mètres carrés de terrain cédés.

 

 

Des bâtiments bénéficiant de la certification internationale BREEAM…

 

Dans l’absolu, les trois bâtiments – un total de 45 000 mètres carrés - qui s’élèveront de terre devraient accueillir plusieurs entreprises dans les mois à venir. Equipés de panneaux solaires, ils répondront aux normes qualitatives de la certification internationale, BREEAM (Building Research Establishment Assessment Method).

Un standard britannique qui permet d’évaluer les performances environnementales des édifices et leur limitation de Co2. Des critères vertueux afin de protéger la qualité de vie des riverains. 

Une incontestable plus-value pour Magloire SIOPATHIS qui ne peut que se frotter les mains avec ce nouvel acteur de l’économie s’installant dans cette zone d’activité qui compte désormais sept parcelles de terrain vendues.

Quant à TTC, elle lorgne désormais sur d’autres destinations européennes pour y optimiser ses activités immobilières dont l’Espagne, la Grande-Bretagne, la République tchèque, l’Allemagne et la Pologne…

 

Thierry BRET

 

 


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Nom de code de l’association : « ALOPIAS ». Rien à voir, en vérité, avec le nom latiniste et scientifique de cette variété de requin-marteau qui navigue en eaux troubles parmi les profondeurs de toutes les mers du globe ! Non, « ALOPIAS » - les 1 600 élèves fréquentant les différents établissements du groupe scolaire de Saint-Joseph-la-Salle à Auxerre auront eu tout le loisir de l’apprendre durant leur parcours pédestre – n’est autre que la structure caritative fondée par le sportif de l’extrême, Arnaud CHASSERY, aimant relever des défis au nom de la solidarité…

 

AUXERRE : Belle initiative que celle-là ! Judicieuse, à plus d’un titre puisque combinant exercice physique – un cross qui aura été concocté sur un parcours faisant le tour du complexe scolaire – et altruisme. Des plus petits aux plus grands, des plus inaptes à la course à pied aux plus véloces, férus de records et d’endurance, toutes et tous se sont essayés avec plus ou moins de bonheur et de souffle à cette discipline qu’est la course à pied pour honorer l’ambitieux projet, porté par l’association icaunaise en 2023, soit le raid « Handi’Cap Amazonie », plus que prometteur sur le papier.

Et pour donner le départ de ces différentes vagues de coureurs devant atteindre leurs objectifs, la présence d’Arnaud CHASSERY, aventurier émérite et conférencier hors pair que l’on ne présente plus dans le sérail de l’expédition planétaire. On se souvient de ses traversées de la Manche avec le polyhandicapé Philippe CROIZON ou de ses autres pérégrinations pour rejoindre les cinq continents d’un isthme à un autre.

 

 

Un exercice grandeur nature de logistique pour les BTS Management Opérationnel de Sécurité…

 

L’œil goguenard, l’accessibilité facile en sus, le sportif de Joigny aura participé avec bienveillance à cette implication massive de ces jeunes élèves et de certains de leurs enseignants – si, si !- dans ce projet, bien organisé au bénéfice de l’association caritative.

Une opération à double entrée, au final. Au-delà de l’encouragement de toute cette jeunesse bouillonnante dès le départ de la course – elle le sera un peu moins pour certains de ces sportifs en herbe après le tour complet du circuit où l’on se contentera parfois de marcher à son rythme et de discourir plutôt que de transpirer ! -, un autre aspect attendait les étudiants de la section BTS Management Opérationnel de la Sécurité. Ils avaient en effet la lourde tâche d’organiser toute la logistique sécuritaire propre à cette animation. Un exercice pratico-pratique et grandeur nature, vécu en phase concrète durant la journée, sous l’œil avisé de la responsable de l’enseignement supérieur de l’établissement, Céline MARTI.

 

 

Saint-Joseph : le premier maillon de cette chaîne de solidarité…

 

Quant à Arnaud CHASSERY, très satisfait de la tournure de l’évènement, il s’est dit respectueux de cette initiative se voulant initiatrice à la sensibilisation au handicap auprès des élèves et étudiants du groupe scolaire auxerrois, depuis les classes de sixième jusqu’aux niveaux bac + 2.

L’aventurier devait rappeler le rôle essentiel de « ce premier maillon de la chaîne de solidarité » qu’est devenu le groupe scolaire privé dans le cadre du projet qui emmènera le sportif et ses équipiers en Guyane à la mi-août 2023 avec « Handi’Cap Amazonie ».

Parmi les soutiens de cette aventure à sensation, il y aura le GIGN. D’ailleurs, Arnaud CHASSERY arborait un t-shirt à l’estampille de la célèbre force d’interposition de la gendarmerie nationale.

D’autant que l’Académie Philippe CROIZON – ce dernier est aussi associé à ce concept guyanais avec des jeunes nageurs en situation de handicap – a noué des liens très étroits avec le GIGN. L’idée sera d’immerger ces jeunes gens en Guyane pour y réaliser une grande traversée de la contrée, entre les îles du Salut où se trouvent les vestiges du bagne de Cayenne et Kourou, connue pour accueillir la base de l’aérospatiale européenne.

Un projet soutenu financièrement par les élèves de Saint-Joseph qui ont vendu des tickets et des dossards au profit de cette future épreuve en immersion dans la forêt équatorienne. « Osez vivre ses rêves » était un peu le credo de la manifestation. Au vu du succès rencontré autour de ce projet, il est sûr que ce seront des rêves à vivre tout éveillés qui attendent les participants à ce raid sur le continent sud-américain à l’été 2023…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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