Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Le droit aux libertés trouve toujours ses ardents défenseurs : l’Assemblée Populaire d’Auxerre ne faillit pas
novembre 28, 2020Evocateur, le nom de code identifiant la manifestation de la semaine dernière résumait à lui seul l’importance de l’engagement : « itinérance mémorielle en hommage à nos libertés ». Malgré le confinement et l’état d’urgence sanitaire, mais bel et bien dans le respect des gestes barrières et du port du masque, près de cent cinquante soutiens à l’APA répondirent présents en faveur des droits les plus élémentaires d’une démocratie : la liberté…
AUXERRE : Certes, l’itinéraire initial, une boucle de 2,8 kilomètres à parcourir dans l’hyper centre de la capitale de l’Yonne, aura été quelque peu raboté à la dernière minute ou presque. De neuf centres mètres, précisément, sur ordre de la préfecture. Une décision prise en ce sens, eu égard au contexte sanitaire du moment.
Mais, in fine, de manifestation en plein centre-ville, là où sont implantés les commerces de proximité servant de cause originelle à ce rendez-vous revendicatif populaire, il n’y aura pas !
Le cortège se sera rabattu sur un tout autre périmètre, celui des boulevards périphériques de la ville. Moins pourvus en échoppes artisanales et en commerces indépendants, mais offrant davantage d’espaces à la déambulation de manifestants.
Qu’à cela ne tienne ! Sur un parcours qui ne s’y prêtait guère puisque un peu trop excentré de leur objectif initial, les organisateurs de l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) auront réussi leur pari de faire converger près de cent cinquante personnes désireuses de se mobiliser contre le cruel manque de liberté.
Utilisant les réseaux sociaux pour faire circuler l’appel à protester en amont, l’APA avait labellisé cette première manifestation déclinée à son estampille sous le sceau de « Gilets Jaunes ». Un clin d’œil ostentatoire au deuxième anniversaire du fameux mouvement populaire qui a rapidement fait tache d’huile dans l’Hexagone à l’automne 2018.
Des lieux d’arrêt très ciblés pour véhiculer les messages…
Le cortège démarra face au cinéma CGR dont les portes sont closes depuis plusieurs semaines. Un geste symbolique pointé comme un index dénonciateur en direction d’un lieu culturel ayant eu à subir la fermeture durant la période de confinement.
Le deuxième arrêt fut réservé à la première Maison du Peuple, près du passage Surrugue, un bâtiment emblématique chargé d’histoire érigé en 1903. Toute une époque !
Les banderoles se déroulèrent bon train durant la déambulation. On pouvait y lire les slogans suivants : « Etat d’urgence = libertés en danger » ou encore « Confinement, couvre-feu, état d’urgence : et nos libertés ? ».
Puis, ce fut au tour du Musée d’histoire naturelle (autre site culturel inactif depuis plusieurs semaines) de faire stopper la progression du cortège. Les restaurants ne furent pas oubliés avec un message déployé devant l’un d’eux, évoquant la mort d’un commerce essentiel à notre lien social…
Le gilet jaune symbole fort de l’union des colères…
Point névralgique de toutes manifestations qui se respectent, le Rond-Point de Paris accueillit les prises de paroles libres de celles et ceux qui souhaitaient s’exprimer en de pareilles circonstances, microphone en main.
Ce fut le cas d’une journaliste, adhérente au SNJ (Syndicat national des journalistes) qui parla notamment du grave recul de la liberté d’information dans notre pays. Une ultime étape avant la dislocation du cortège, place de l’Arquebuse.
De l’avis des organisateurs, tous se disent très satisfaits de cette opération revendicative. La première en période de confinement.
« Nous avons été touchés par de nombreuses personnes présentes et de leurs remerciements pour avoir organisé cette manifestation. Plusieurs sont venus nous dire que cela les remobilisait au milieu du confinement en leur montrant qu’il nous reste encore quelques maigres libertés d’action. Au-delà la réussite du nombre avec cette mobilisation (145 personnes selon les forces de l’ordre), c’est la diversité des profils des personnes qui nous réchauffe le cœur… ».
En filigrane, on l’aura bien compris pour l’APA, aujourd’hui comme hier, le gilet jaune demeure le symbole fort de l’union des colères.
Des colères qui pourraient bien se manifester de nouveau dans la rue si le contexte sanitaire actuel devait persister un peu trop longtemps…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
2 500 emplois affectés à une plateforme de e-commerce de 150 000 m2 : Sens croise les doigts pour obtenir le projet
novembre 27, 2020Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Même si celle-ci arbore une fourrure de la plus belle des textures. Mais à l’annonce du concept entrepreneurial qui pourrait tomber dans l’escarcelle du Grand-Sénonais à l’horizon 2022, il y a des raisons d’espérer. Si l’appel à projets lui revient favorablement, c’est la plateforme logistique d’un grand groupe européen positionné dans le e-commerce qui s’implanterait alors à Sens. Créant au passage la bagatelle de plusieurs milliers d’emplois…
SENS : Non, il ne s’agit pas du géant américain, AMAZON qui a déjà choisi Chalon-sur-Saône comme point d’ancrage en Bourgogne Franche-Comté ! Mais, ce serait tout comme, si d’aventure le projet venait à se concrétiser d’ici les prochaines semaines.
Les perspectives induites seraient très alléchantes pour le bassin d’emploi du Sénonais. Et par effet gigogne, à l’ensemble des strates économiques de ce territoire, avec en priorité les artisans et les sociétés de service.
L’édification de cette future base logistique – la plus importante dans l’Hexagone pour ce commanditaire européen spécialiste du e-commerce dont l’identité n’a pas été relevée pour l’heure pour cause de confidentialité par le porteur de projet, la société PANHARD– apporterait une embellie durable et circonstanciée à la cause de l’emploi sur le secteur septentrional de l’Yonne.
Un projet qui ne date pas d’hier comme devait le préciser lors d’une conférence de presse permettant de faire toute la lumière sur ce dossier, l’édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, Marie-Louise FORT.
Cela fait deux ans déjà que les fonts baptismaux de ce dossier très attendu par le sérail local ont été posés sur la table des tractations. La Ville de Sens n’avait pas, jusqu’alors souhaité l’évoquer, à l’instar de tant d’autres projets en gestation, parce que sa politique de communication s’articule seulement autour de programmes ayant une chance d’aboutir in fine.
Une entrée en matière explicative très véhémente de l’élue de l’Yonne qui a voulu remettre les pendules à l’heure après avoir été accusée lors du conseil municipal du lundi 23 novembre par son opposition verte de ne pas dire toute la vérité sur ce dossier.
Une motte de beurre dans l’assiette d’épinards du Sénonais…
De quoi s’agit-il précisément ? Un major européen de la « supply chain » et de la logistique dans le e-commerce – visiblement originaire d’Outre-Rhin par simple déduction – a lancé un appel d’offres national portant sur la recherche d’une zone d’aménagement en vue de l’installation de son futur centre logistique dans l’Hexagone. Et plus particulièrement sur l’axe Paris/Lyon.
Une quarantaine de sites ont fait acte de candidature dès l’annonce de ce projet qui remonte à vingt-deux mois.
Spécialiste de l’immobilier industriel dont celui de l’implantation de bases de logistique en France, le groupe PANHARD (rien à voir avec feu la célèbre enseigne automobile) est entré dans la danse.
En prenant fait et cause pour imposer le territoire de Sens dans les négociations !
Si à date, rien n’est encore fait quant à l’attribution définitive de cette implantation, il ne resterait plus, aux dires de Jean-Louis LAZUECH, directeur général du développement logistique de la société, que deux à trois sites figurant encore sur les rangs. Dont celui qui intéresse le bassin d’emploi du Sénonais ! Une énorme motte de beurre dans une assiette d’épinards pour le développement économique du territoire !
Un chantier titanesque avec 150 000 mètres carrés de bâtiment !
Dans les faits, le projet est proprement colossal. La plateforme s’étalerait sur 150 000 mètres carrés de superficie dont 50 000 mètres carrés en étage. Ce qui en ferait de facto l’une des plus importantes bases logistique de l’Hexagone !
Son coût reviendrait à 300 millions d’euros, financés pour moitié par le porteur du projet lui-même.
L’investissement humain atteindrait des proportions très conséquentes pour le microcosme local : avec une jauge estimative fixée à près de deux mille cinq cents emplois dont 50 % établis en contrat à durée indéterminée.
Parmi les profils essentiels de ces postes, citons celui des caristes dont la future société aurait grandement besoin pour rendre opérationnel l’ensemble. Les cadres et personnels administratifs seraient accueillis dans douze mille mètres carrés de bureaux.
Sur les trente hectares occupés pour le développement de ce projet, une dizaine serait consacrée à l’aménagement de plan d’eau (deux hectares), de la préservation du biotope, de la plantation de quelques neuf cents arbres et végétaux, de la pose de ruchers.
Bref, un concept résolument vert et écologique qui, pour couronner le tout, se verrait aussi doter de panneaux photovoltaïques sur la toiture de l’édifice. Ceux-ci d’une puissance de cinq MgW pourraient répondre aux besoins en énergie électrique de mille deux cents foyers.
Les abords du site logistique seraient également repensés. Avec à la clé, des accès menant vers la rocade de contournement de Sens. Il s’agirait de rendre plus fluide la circulation des poids lourds, évalués de 400 à 500 véhicules par jour dans ce périmètre.
S’il était retenu, le chantier de construction de cette plateforme de très belle envergure nécessiterait près de vingt-quatre mois de labeur. Auxquels il faudrait ajouter de six à huit mois supplémentaires pour l’agencement du lieu. Quant au recrutement des futurs salariés, il incomberait aux services de Pôle Emploi.
Marie-Louise FORT, tout comme son adjointe en charge de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique Clarisse QUENTIN, se disent confiantes. « Notre dossier est bon, nos arguments aussi… ».
Il n’y a plus qu’à croiser les doigts et patienter jusqu’en 2021 pour que cette nouvelle année vienne égayer de ses lumières (et de l’acceptation de ce dossier) le paysage sociétal sénonais…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
NUCLEAR VALLEY propose ses 4èmes Rendez-vous : du pur b to b au service de la planète…
novembre 25, 2020Le mot d’ordre servant de fil d’Ariane à cet événementiel décliné en numérique est simple. Sans circonvolution inutile. Il s’agit de construire coûte que coûte la relance économique sans carbone applicable dans les régions de l’Hexagone. C’est la trame éthique prioritaire qui est abordée durant quatre jours d’ateliers et de conférences dispensées jusqu’au 27 novembre…
CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’événement se décline sur quatre jours jusqu’au 27 novembre. Malheureusement, de manière virtuelle. Qu’importe, cela ne nuira nullement à la qualité des débats qui y sont proposés autour d’une thématique pertinente, à la pointe de l’actualité. « Comment construire une relance économique sans carbone sur notre territoire ? ».
Un vaste débat de fond, certes, qui devrait trouver son lot de réponses adéquates lors d’échanges et d’ateliers qui se veulent clairs et engagés au niveau des organisateurs.
En l’occurrence, les responsables de NUCLEAR VALLEY, l’unique pôle de compétitivité de la filière nucléaire civil en France, accueilli dans la capitale de la Saône-et-Loire.
Parmi les participants à cette animation digitale d’envergure, citons chez les incontournables donneurs d’ordre de cette filière : FRAMATOME, EDF Bourgogne Franche-Comté, ORANO et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives).
Une centaine de responsables achats, projets et techniques des donneurs d’ordre et de grandes entreprises de la filière nucléaire se sont également inscrits à cette animation.
Une initiative encouragée par l’Etat et les régions dont BFC…
En outre, de nombreux experts couvrant l’ensemble des domaines du cycle du combustible, de l’extraction au démantèlement, en passant par la recherche, la construction, l’exploitation, la maintenance et la formation suivent avec grand intérêt ces échanges digitalisés.
Dans ce contexte de crise sanitaire et de crise économique, NUCLEAR VALLEY dirigé par Jean-François DEBOST mobilise avec cet événementiel tous les moyens pour dynamiser et lancer des pistes de réflexion favorables à la filière.
En valorisant des préconisations innovantes et durables pour bâtir une relance économique sans carbone, nécessaire à la sauvegarde de la planète. Une relance qui par extension ne peut se concevoir autrement que par le biais de l’innovation, l’emploi et la formation. D’où les nombreux ateliers déclinables lors de cet évènement avec la présence des nombreux donneurs d’ordre de ce secteur d’activité. Soutenue par l’Etat et les régions Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône Alpes, l’initiative démontre ainsi tout le potentiel de la filière nucléaire, une industrie d’avenir et porteuse d’emplois…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Gros cube et cœur d’ange : les bikers d’UNITED RIDERS cherchent un local pour soutenir les exclus de la vie
novembre 24, 2020Dans le jargon de l’entraide, on appelle cela une maraude. Un terme dont la sémantique usuelle se rapporte d’ordinaire au monde de la nuit et aux taxis à la recherche de clients noctambules. Dans le cas présent, les « clients » de l’antenne icaunaise de ce groupe de « bikers » altruistes et généreux se composent des laissés pour compte de l’existence. Celles et ceux qui subissent au quotidien les affres cruelles d’une société dont ils sont exclus…
AUXERRE : La prochaine opération se déroulera ce mercredi 25 novembre à la tombée de la nuit. Place Surrugue, à partir de 18h30. Une maraude. Un moment privilégié pour celles et ceux qui font encore preuve d’empathie et d’altruisme en ce bas monde envers les autres. Celles et ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur corps et surtout dans leur âme.
A raison de plusieurs rendez-vous mensuels, l’antenne icaunaise des « UNITED RIDERS » organise ce type d’actions salvatrices au contact des nécessiteux et autres défavorisés de la vie. Histoire de leur apporter un zeste de réconfort et de réchauffer leur terne quotidien…
Des opérations menées sur le terrain qui ne se cantonnent pas à la seule capitale de l’Yonne aujourd’hui. Tant les besoins sont gigantesques avec les conséquences funestes de la crise sanitaire. Tant cette précarité que beaucoup ne voulaient voir éclate aux yeux de tous au détour d’une rue, sur le banc d’un square ou à proximité d’un commerce.
Plus d’une vingtaine de structures officialisées en France…
Organisation non gouvernementale composée d’aficionados de grosses cylindrées, évoquant le monde des « bikers » et leur philosophie, l’association a pour vocation de travailler avec les missions humanitaires et l’ONU, pour venir en aide aux plus démunis sur le globe. Y compris dans l’Hexagone. Où, une vingtaine de structures se sont développées depuis une trentaine d’années sous la forme associative pour accomplir leur mission caritative.
Offrant des vêtements, des produits d’hygiène, des sous-vêtements, et même des croquettes pour les compagnons à quatre pattes de ces malheureux en totale déshérence, les bénévoles d’UNITED RIDERS multiplient à rythme soutenu ces maraudes porteuses d’une faible lueur d’espoir.
Or, le constat de ces humanistes si généreux a de plus en plus le goût de l’amertume. Les pauvres, les exclus de la société, les oubliés du microcosme économique, les invisibles de notre monde voient leurs rangs s’épaissir à vue d’œil à chacun de leurs passages. Hélas, ce ne sont pas les plans sociaux qui se profilent à l’horizon 2021 qui feront changer la donne…
La recherche d’un local pour entreposer les dons…
Au-delà du traditionnel appel aux dons et à la générosité de tous envers cette population qui ne cesse de s’accroître, il est indispensable aujourd’hui pour la structure associative de pouvoir se doter enfin d’un point de chute physique.
Un vrai local dans l’Yonne qui lui permettrait de stocker dans des conditions optimales le fruit de ces nombreuses distributions mensuelles. Des vêtements, du mobilier, et tout ce qui peut apporter un brin de lumière et un peu de vie à ces ombres de l’oubli qui rasent les murs. Il y a péril en la matière à résoudre cette équation tant l’urgence est devenue la priorité de ces « bikers » pétris de bonne volonté. Et pavés des intentions les plus louables…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
La magie de Noël pour retrouver le plaisir de vivre : Numéro 13 y pourvoit avec élégance…
novembre 23, 2020Noël et sa féérie, Noël et ses lumières. Malgré un contexte particulièrement trouble et chargé en cette période de crise sanitaire qui accroît la morosité ambiante en plombant le moral des Français, des commerçants pugnaces mènent le combat avec optimisme et détermination. Comme si de rien n’était en cette période si propice à la fête…
AUXERRE : Presque une semaine déjà que la vitrine du fleuriste « Numéro 13 » à Auxerre resplendit de ses lumières féériques pour nous redonner le goût de vivre, le besoin de consommer sans modération et surtout ce sentiment de vouloir exister comme avant !
Malgré ce satané virus, fléau invisible qui aura bouleversé notre existence jusque dans le moindre de nos pores en nous obligeant de rester chez soi et de vivre ce confinement aux incidences psychologiques fâcheuses.
Mais, Olivier LECLERC, le maître de ces lieux, artisan fleuriste de son état, nous montre la voie. Elle est royale avec la décoration de sa boutique qui est exceptionnelle. Lumineuse, évocatrice de la célèbre tradition avec ses sapins et épicéas élevés dans le Morvan : ils offrent de l’esthétisme pur aux regards ainsi que de l’onirisme absolu.
Ce ne sont que guirlandes illuminées, des boules brillantes et décoratives qui reflètent ces mêmes lumières, des objets et ustensiles qui égayent un univers de rêve où il fait bon vivre dans un esprit cocooning. Aux côtés de ces végétaux, le fil d’Ariane conducteur de ces créations.
Oui, Noël vit toujours en nous que l’on soit petits ou grands ; oui, il est revenu le temps où les commerces de proximité dit non-essentiels doivent rouvrir grandes leurs portes pour accueillir celles et ceux de ces acteurs consuméristes désireux de faire perdurer jusqu’à leur ultime souffle cette magie universelle de Noël.
C’est le retour à l’essentiel. Celui d’un mode de vie qui est le nôtre et dans lequel chacun peut s’épanouir. Le temps du respect des traditions, de cette trêve des confiseurs à partager dans le cocon familial ou avec des amis qui est revenu.
C’est ce que suggère et préconise les décorations de Noël du fleuriste Olivier LECLERC. Et dans les circonstances actuelles, on ne peut que lui donner raison et y souscrire sans renâcler…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99