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Dix-huit sur vingt pour l’Education nationale : le DASEN Vincent AUBERT maîtrise la situation sanitaire…
décembre 01, 2020On ne peut évidemment pas le deviner sous son masque de protection mais le directeur des services départementaux de l’Education nationale de l’Yonne a le sourire. Normal : plusieurs motifs de satisfaction viennent étayer les aspects positifs de son bilan régulier qu’il présente à la presse. Peu d’élèves ont manqué les cours depuis le début de la seconde période de confinement. Seules quatre classes sont encore fermées à date…
AUXERRE : Le successeur d’Annie PARTOUCHE n’imaginait pas hériter d’un pareil dossier quelques mois après sa prise de fonction sur notre territoire. Comme cadeau de bienvenue au poste de directeur des services départementaux de l’Education nationale de l’Yonne, il y a eu mieux, il est vrai !
Quoi qu’il en soit, Vincent AUBERT veille scrupuleusement à ce que tout soit entrepris pour que les mesures barrière soient respectées le mieux du monde dans l’ensemble des établissements scolaires de sa zone d’influence.
La récente conférence de presse, tenue vendredi dernier aux côtés du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, a de nouveau rassuré quant à la maîtrise du sujet sécuritaire au sein de l’Education nationale.
La généralisation du port du masque et l’application du dispositif de circonstance en matière de protection répondent aux objectifs fixés par l’Etat. De l’avis de Vincent AUBERT, leur mise en œuvre est synonyme de réussite.
Deux commentaires de l’intéressé viennent confirmer ces propos : d’une part, peu d’élèves ont manqué l’école durant cette période de confinement seconde variante ; quant au nombre de classes fermées, il ne dépasse le chiffre de quatre à l’heure actuelle.
Malgré la pandémie, les enseignements se poursuivent…
Autant dire une broutille vu le nombre de classes qui peuvent accueillir les têtes blondes et les adolescents en besoin de scolarité dans l’Yonne.
Autre satisfecit pour le représentant de l’Education nationale : l’enseignement stricto sensu. Malgré la pandémie, la grande majorité des cours ont été assurés. Soit en présentiel, soit à distance en utilisant de vertueuses et efficientes configurations numériques.
Un son de cloche similaire pour qualifier ce qui s’est déroulé dans les lycées. Même si les procédés l’ont été différemment des écoles primaires et des collèges.
« Chaque établissement du secondaire a pu adopter son propre schéma, souligne Vincent AUBERT, les outils informatiques y ont été déployés avec un effort conséquent… ».
Quant aux relations avec les familles, elles ont été constantes et rassurantes pour ces dernières. Peu d’entre elles étaient finalement réfractaires au port du masque de leur progéniture à l’école. Le dialogue des équipes pédagogiques aura permis de résoudre un faible pourcentage de problématiques.
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L’esprit du grand large souffle sur le lycée Vauban, vivier de jeunes recrues pour la Marine nationale…
novembre 30, 2020Coquillages et crustacés. On connaît la célèbre ritournelle popularisée par le joli minois de Brigitte BARDOT au temps de sa splendeur langoureuse. On ne savait pas, en revanche, que parmi les élèves qui fréquentent les classes professionnelles préparant aux métiers de l’hôtellerie restauration certains pouvaient prétendre rejoindre la Marine nationale pour y faire carrière ! Une opportunité maritime qui s’appuie depuis quatre ans sur un partenariat…
AUXERRE : L’initiative est rarissime dans le landerneau régional. Mieux : elle est unique et tout à l’honneur du lycée des métiers de l’Yonne qui a su en poser les jalons initiaux.
Dans ce lieu de savoir-faire, permettant d’embrasser une carrière dans l’hôtellerie et la restauration, voire celui plus exotique de s’illustrer dans le monde des cocktails grâce à ces mentions spécifiques, espérer tôt ou tard rejoindre la Marine nationale n’est donc pas une ineptie en soi.
Les embruns maritimes ont beau souffler loin des rivages icaunais, les jeunes « moussaillons » esthètes des arts de la table et des métiers de bouche du sérail bourguignon peuvent s’ils le désirent, après une phase préparatoire prise en charge financièrement par la Marine nationale, intégrer ce corps d’armée pour y exercer leur profession.
Car, c’est bien connu : dans les forces militaires, il y a pléthore d’opportunités pour s’insérer dans la vie active !
Initiée à l’origine en 2016, la convention de partenariat qui lie le lycée des métiers Vauban à la Marine nationale vient d’être prorogée de trois années supplémentaires. Selon la sage décision, prise par la directrice de l’établissement pédagogique, Capucine VIGEL, enthousiaste par ce projet.
L’expérience si elle demeure unique n’en est pas moins passionnante tant au plan intellectuel (la découverte des us et coutumes à bord d’un bateau, le rituel pour dresser la table du pacha – le commandant de bord –) qu’au plan des perspectives d’emplois offertes in fine.
De jeunes mousses avides d’en savoir plus sur les us et coutumes militaires…
A l’issue de leur diplôme, les apprenants peuvent bénéficier d’un contrat déclinable pendant un an, avant de s’embarquer sur un bateau pour y vivre une aventure inoubliable.
Début octobre, vingt-quatre de ces élèves, répartis en petits groupes, ont pris connaissance des potentialités de carrière existantes dans ce corps militaire. Le second volet de cette séquence découverte a eu lieu ce lundi 30 novembre.
Mais, malheureusement, sans la présence du premier-maître, Mme GUILLAUMAIN, cheffe de cuisine, qui fut refoulée le matin même par la gendarmerie nationale alors qu’elle sortait de la capitale par l’autoroute et qui s’est vue délivrée une amende conséquente malgré l’attestation en poche faisant foi de la nécessité de son déplacement professionnel dans l’Yonne !
Toutefois, cela n’empêcha nullement les deux intervenants militaires (le capitaine de frégate commandant Sylvain LE HOUSSEL et le premier-maître Sylvain OLIVIER) de délivrer leurs connaissances aux jeunes « mousses » avides d’en apprendre davantage sur les subtilités de la marine et de ses codes gastronomiques.
D’ores et déjà, et le rendez-vous est biffé dans les agendas des intéressés, quatre enseignants de Vauban dont les professeurs de cuisine Frédéric BENUCCI et Jérôme DE MEYERE iront s’immerger au cœur de la base navale de Cherbourg en octobre 2021. Ils y accompagneront une demi-douzaine de jeunes gens volontaires pour appréhender l’esprit du grand large. Et respirer l’air pur de ces embruns salvateurs…
Thierry BRET
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Le droit aux libertés trouve toujours ses ardents défenseurs : l’Assemblée Populaire d’Auxerre ne faillit pas
novembre 28, 2020Evocateur, le nom de code identifiant la manifestation de la semaine dernière résumait à lui seul l’importance de l’engagement : « itinérance mémorielle en hommage à nos libertés ». Malgré le confinement et l’état d’urgence sanitaire, mais bel et bien dans le respect des gestes barrières et du port du masque, près de cent cinquante soutiens à l’APA répondirent présents en faveur des droits les plus élémentaires d’une démocratie : la liberté…
AUXERRE : Certes, l’itinéraire initial, une boucle de 2,8 kilomètres à parcourir dans l’hyper centre de la capitale de l’Yonne, aura été quelque peu raboté à la dernière minute ou presque. De neuf centres mètres, précisément, sur ordre de la préfecture. Une décision prise en ce sens, eu égard au contexte sanitaire du moment.
Mais, in fine, de manifestation en plein centre-ville, là où sont implantés les commerces de proximité servant de cause originelle à ce rendez-vous revendicatif populaire, il n’y aura pas !
Le cortège se sera rabattu sur un tout autre périmètre, celui des boulevards périphériques de la ville. Moins pourvus en échoppes artisanales et en commerces indépendants, mais offrant davantage d’espaces à la déambulation de manifestants.
Qu’à cela ne tienne ! Sur un parcours qui ne s’y prêtait guère puisque un peu trop excentré de leur objectif initial, les organisateurs de l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) auront réussi leur pari de faire converger près de cent cinquante personnes désireuses de se mobiliser contre le cruel manque de liberté.
Utilisant les réseaux sociaux pour faire circuler l’appel à protester en amont, l’APA avait labellisé cette première manifestation déclinée à son estampille sous le sceau de « Gilets Jaunes ». Un clin d’œil ostentatoire au deuxième anniversaire du fameux mouvement populaire qui a rapidement fait tache d’huile dans l’Hexagone à l’automne 2018.
Des lieux d’arrêt très ciblés pour véhiculer les messages…
Le cortège démarra face au cinéma CGR dont les portes sont closes depuis plusieurs semaines. Un geste symbolique pointé comme un index dénonciateur en direction d’un lieu culturel ayant eu à subir la fermeture durant la période de confinement.
Le deuxième arrêt fut réservé à la première Maison du Peuple, près du passage Surrugue, un bâtiment emblématique chargé d’histoire érigé en 1903. Toute une époque !
Les banderoles se déroulèrent bon train durant la déambulation. On pouvait y lire les slogans suivants : « Etat d’urgence = libertés en danger » ou encore « Confinement, couvre-feu, état d’urgence : et nos libertés ? ».
Puis, ce fut au tour du Musée d’histoire naturelle (autre site culturel inactif depuis plusieurs semaines) de faire stopper la progression du cortège. Les restaurants ne furent pas oubliés avec un message déployé devant l’un d’eux, évoquant la mort d’un commerce essentiel à notre lien social…
Le gilet jaune symbole fort de l’union des colères…
Point névralgique de toutes manifestations qui se respectent, le Rond-Point de Paris accueillit les prises de paroles libres de celles et ceux qui souhaitaient s’exprimer en de pareilles circonstances, microphone en main.
Ce fut le cas d’une journaliste, adhérente au SNJ (Syndicat national des journalistes) qui parla notamment du grave recul de la liberté d’information dans notre pays. Une ultime étape avant la dislocation du cortège, place de l’Arquebuse.
De l’avis des organisateurs, tous se disent très satisfaits de cette opération revendicative. La première en période de confinement.
« Nous avons été touchés par de nombreuses personnes présentes et de leurs remerciements pour avoir organisé cette manifestation. Plusieurs sont venus nous dire que cela les remobilisait au milieu du confinement en leur montrant qu’il nous reste encore quelques maigres libertés d’action. Au-delà la réussite du nombre avec cette mobilisation (145 personnes selon les forces de l’ordre), c’est la diversité des profils des personnes qui nous réchauffe le cœur… ».
En filigrane, on l’aura bien compris pour l’APA, aujourd’hui comme hier, le gilet jaune demeure le symbole fort de l’union des colères.
Des colères qui pourraient bien se manifester de nouveau dans la rue si le contexte sanitaire actuel devait persister un peu trop longtemps…
Thierry BRET
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2 500 emplois affectés à une plateforme de e-commerce de 150 000 m2 : Sens croise les doigts pour obtenir le projet
novembre 27, 2020Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Même si celle-ci arbore une fourrure de la plus belle des textures. Mais à l’annonce du concept entrepreneurial qui pourrait tomber dans l’escarcelle du Grand-Sénonais à l’horizon 2022, il y a des raisons d’espérer. Si l’appel à projets lui revient favorablement, c’est la plateforme logistique d’un grand groupe européen positionné dans le e-commerce qui s’implanterait alors à Sens. Créant au passage la bagatelle de plusieurs milliers d’emplois…
SENS : Non, il ne s’agit pas du géant américain, AMAZON qui a déjà choisi Chalon-sur-Saône comme point d’ancrage en Bourgogne Franche-Comté ! Mais, ce serait tout comme, si d’aventure le projet venait à se concrétiser d’ici les prochaines semaines.
Les perspectives induites seraient très alléchantes pour le bassin d’emploi du Sénonais. Et par effet gigogne, à l’ensemble des strates économiques de ce territoire, avec en priorité les artisans et les sociétés de service.
L’édification de cette future base logistique – la plus importante dans l’Hexagone pour ce commanditaire européen spécialiste du e-commerce dont l’identité n’a pas été relevée pour l’heure pour cause de confidentialité par le porteur de projet, la société PANHARD– apporterait une embellie durable et circonstanciée à la cause de l’emploi sur le secteur septentrional de l’Yonne.
Un projet qui ne date pas d’hier comme devait le préciser lors d’une conférence de presse permettant de faire toute la lumière sur ce dossier, l’édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, Marie-Louise FORT.
Cela fait deux ans déjà que les fonts baptismaux de ce dossier très attendu par le sérail local ont été posés sur la table des tractations. La Ville de Sens n’avait pas, jusqu’alors souhaité l’évoquer, à l’instar de tant d’autres projets en gestation, parce que sa politique de communication s’articule seulement autour de programmes ayant une chance d’aboutir in fine.
Une entrée en matière explicative très véhémente de l’élue de l’Yonne qui a voulu remettre les pendules à l’heure après avoir été accusée lors du conseil municipal du lundi 23 novembre par son opposition verte de ne pas dire toute la vérité sur ce dossier.
Une motte de beurre dans l’assiette d’épinards du Sénonais…
De quoi s’agit-il précisément ? Un major européen de la « supply chain » et de la logistique dans le e-commerce – visiblement originaire d’Outre-Rhin par simple déduction – a lancé un appel d’offres national portant sur la recherche d’une zone d’aménagement en vue de l’installation de son futur centre logistique dans l’Hexagone. Et plus particulièrement sur l’axe Paris/Lyon.
Une quarantaine de sites ont fait acte de candidature dès l’annonce de ce projet qui remonte à vingt-deux mois.
Spécialiste de l’immobilier industriel dont celui de l’implantation de bases de logistique en France, le groupe PANHARD (rien à voir avec feu la célèbre enseigne automobile) est entré dans la danse.
En prenant fait et cause pour imposer le territoire de Sens dans les négociations !
Si à date, rien n’est encore fait quant à l’attribution définitive de cette implantation, il ne resterait plus, aux dires de Jean-Louis LAZUECH, directeur général du développement logistique de la société, que deux à trois sites figurant encore sur les rangs. Dont celui qui intéresse le bassin d’emploi du Sénonais ! Une énorme motte de beurre dans une assiette d’épinards pour le développement économique du territoire !
Un chantier titanesque avec 150 000 mètres carrés de bâtiment !
Dans les faits, le projet est proprement colossal. La plateforme s’étalerait sur 150 000 mètres carrés de superficie dont 50 000 mètres carrés en étage. Ce qui en ferait de facto l’une des plus importantes bases logistique de l’Hexagone !
Son coût reviendrait à 300 millions d’euros, financés pour moitié par le porteur du projet lui-même.
L’investissement humain atteindrait des proportions très conséquentes pour le microcosme local : avec une jauge estimative fixée à près de deux mille cinq cents emplois dont 50 % établis en contrat à durée indéterminée.
Parmi les profils essentiels de ces postes, citons celui des caristes dont la future société aurait grandement besoin pour rendre opérationnel l’ensemble. Les cadres et personnels administratifs seraient accueillis dans douze mille mètres carrés de bureaux.
Sur les trente hectares occupés pour le développement de ce projet, une dizaine serait consacrée à l’aménagement de plan d’eau (deux hectares), de la préservation du biotope, de la plantation de quelques neuf cents arbres et végétaux, de la pose de ruchers.
Bref, un concept résolument vert et écologique qui, pour couronner le tout, se verrait aussi doter de panneaux photovoltaïques sur la toiture de l’édifice. Ceux-ci d’une puissance de cinq MgW pourraient répondre aux besoins en énergie électrique de mille deux cents foyers.
Les abords du site logistique seraient également repensés. Avec à la clé, des accès menant vers la rocade de contournement de Sens. Il s’agirait de rendre plus fluide la circulation des poids lourds, évalués de 400 à 500 véhicules par jour dans ce périmètre.
S’il était retenu, le chantier de construction de cette plateforme de très belle envergure nécessiterait près de vingt-quatre mois de labeur. Auxquels il faudrait ajouter de six à huit mois supplémentaires pour l’agencement du lieu. Quant au recrutement des futurs salariés, il incomberait aux services de Pôle Emploi.
Marie-Louise FORT, tout comme son adjointe en charge de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique Clarisse QUENTIN, se disent confiantes. « Notre dossier est bon, nos arguments aussi… ».
Il n’y a plus qu’à croiser les doigts et patienter jusqu’en 2021 pour que cette nouvelle année vienne égayer de ses lumières (et de l’acceptation de ce dossier) le paysage sociétal sénonais…
Thierry BRET
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NUCLEAR VALLEY propose ses 4èmes Rendez-vous : du pur b to b au service de la planète…
novembre 25, 2020Le mot d’ordre servant de fil d’Ariane à cet événementiel décliné en numérique est simple. Sans circonvolution inutile. Il s’agit de construire coûte que coûte la relance économique sans carbone applicable dans les régions de l’Hexagone. C’est la trame éthique prioritaire qui est abordée durant quatre jours d’ateliers et de conférences dispensées jusqu’au 27 novembre…
CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’événement se décline sur quatre jours jusqu’au 27 novembre. Malheureusement, de manière virtuelle. Qu’importe, cela ne nuira nullement à la qualité des débats qui y sont proposés autour d’une thématique pertinente, à la pointe de l’actualité. « Comment construire une relance économique sans carbone sur notre territoire ? ».
Un vaste débat de fond, certes, qui devrait trouver son lot de réponses adéquates lors d’échanges et d’ateliers qui se veulent clairs et engagés au niveau des organisateurs.
En l’occurrence, les responsables de NUCLEAR VALLEY, l’unique pôle de compétitivité de la filière nucléaire civil en France, accueilli dans la capitale de la Saône-et-Loire.
Parmi les participants à cette animation digitale d’envergure, citons chez les incontournables donneurs d’ordre de cette filière : FRAMATOME, EDF Bourgogne Franche-Comté, ORANO et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives).
Une centaine de responsables achats, projets et techniques des donneurs d’ordre et de grandes entreprises de la filière nucléaire se sont également inscrits à cette animation.
Une initiative encouragée par l’Etat et les régions dont BFC…
En outre, de nombreux experts couvrant l’ensemble des domaines du cycle du combustible, de l’extraction au démantèlement, en passant par la recherche, la construction, l’exploitation, la maintenance et la formation suivent avec grand intérêt ces échanges digitalisés.
Dans ce contexte de crise sanitaire et de crise économique, NUCLEAR VALLEY dirigé par Jean-François DEBOST mobilise avec cet événementiel tous les moyens pour dynamiser et lancer des pistes de réflexion favorables à la filière.
En valorisant des préconisations innovantes et durables pour bâtir une relance économique sans carbone, nécessaire à la sauvegarde de la planète. Une relance qui par extension ne peut se concevoir autrement que par le biais de l’innovation, l’emploi et la formation. D’où les nombreux ateliers déclinables lors de cet évènement avec la présence des nombreux donneurs d’ordre de ce secteur d’activité. Soutenue par l’Etat et les régions Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône Alpes, l’initiative démontre ainsi tout le potentiel de la filière nucléaire, une industrie d’avenir et porteuse d’emplois…
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