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L’émergence fulgurante du Bitcoin, véritable arlésienne pour la pérennité de nos systèmes économiques ?
janvier 16, 2021Impossible de parler des crypto-monnaies sans évoquer leur point de départ. Tout commence en 2008 d’un certain Satoshi NAKAMOTO, dont l’identité réelle reste encore inconnue, tant et si bien que l’on ne sait pas s’il s’agit d’une personne ou d’une corporation entière. Toujours est-il que ce bon Satoshi nous a gratifié d’un document scientifique et technique de dix pages, intitulé « Bitcoin: a peer-to-peer electronic cash system”. Une lecture complexe s’il en est pour celles et ceux qui ne sont pas véritablement versés dans les pratiques numériques. Mais qui présente et décrit le principe de fonctionnement de la blockchain.
TRIBUNE : « Blockchain » : c’est un gros mot qui n’en est pas vraiment un ! Car, c’est sur ce fameux processus que l’on entend désormais à toutes les sauces, que se base un grand nombre de crypto-monnaies actuelles. L’idée est de pouvoir servir des applications décentralisées.
C’est-à-dire des applications ne dépendant pas d’un tiers qui régira des opérations et autres transactions (par exemple, une application qui gérera le stockage de fichiers, des courses automobiles, des transactions financières, etc.). C’est en quelque sorte un nouveau modèle pour créer, financer et opérer des services de softwares mais décentralisés – un mot très important dans le concept des crypto-monnaies.
Les concepteurs et gestionnaires de ces fichiers seront récompensés par de la monnaie virtuelle comme un Bitcoin. Les crypto-monnaies préservent ce que les autres monnaies ne peuvent pas offrir : le contrôle, la centralisation…
Par l’absence de règles et d’autorité reconnues, elles font entrer ainsi l’anarchie dans la finance et les moyens de paiement ! On a même vu un footballeur demander à être payer en Bitcoin…
Si les crypto-monnaies relativement classiques mettent l’accent sur la décentralisation ainsi qu’une résistance absolue à la censure, certaines ajoutent une couche supplémentaire au mélange déjà bien complexe : l’anonymisation. Pour un modèle basé sur la blockchain classique, l’identité des deux parties qui prennent part à une transaction n’est pas inconnue. Elle est simplement cachée derrière les différentes clés qui servent à faire la transaction. La brèche est grandement ouverte aux cartels qui veulent blanchir l’argent de la drogue, aux organisations terroristes qui achètent des armes et aux fraudeurs fiscaux !
La confiance absolue dans ses nouveaux systèmes est de rigueur : du risque à l’état pur !
Le Bitcoin : la démocratisation de la spéculation…
La crypto-monnaie la plus connue, c’est également celle qui est née avec l’invention de la blockchain. Le Bitcoin est donc décentralisé, sans l’intervention d’un organe tiers, avec l’historique de toutes les transactions passées, recensées dans la blockchain. Il fait énormément parler de lui pour sa progression continue et son actuelle valeur, en face du dollar. À l’heure où l’on écrit ces quelques lignes, un seul Bitcoin représente près de 40 000 dollars américains, ce qui n’est pas rien quand on sait qu’à l’origine, il tutoyait à peine les cent dollars.
Si le Bitcoin ne sert pas vraiment aux transactions en France (contrairement à d’autres pays aux systèmes financiers défaillants), rien que le posséder est l’utiliser en quelque sorte. Le Bitcoin a une valeur parce qu’il demande des ressources pour le générer. La démocratisation du Bitcoin entraîne des usages, des pratiques, et peut-être son émergence comme une monnaie à part entière.
Le tout étant, comme pour l’or en son temps ou le dollar actuellement, de pouvoir créer la confiance. Cette dernière est le point de départ de la reconnaissance de la valeur dans un système monétaire, mais aussi de son utilisation dans les opérations courantes. D’où une certaine forme de spéculation à la base. La démocratisation de la spéculation, elle, peut largement provenir de l’engouement persistant autour des cryptos, quitte à ne pas avoir la moindre idée du domaine et de spéculer sur la simple base d’une valeur attribuée à un moment « t ». Elle fluctue, et peut éventuellement donner une plus-value à l’arrivée, en revendant ses actifs.
A l’heure où nous publions ces lignes, la crypto-monnaie continue son envolée historique et vient de prendre 10 000 dollars en cinq jours. Le prix du Bitcoin a dépassé 40 000 dollars jeudi dernier pour la première fois de son histoire, profitant de l’optimisme des marchés lié à la certification de l’élection de Joe BIDEN aux États-Unis, et poursuivant sa spectaculaire envolée des dernières semaines. La principale crypto-monnaie, en hausse de 6,52 % sur la séance, après être montée peu avant à environ 40 380 dollars, sur un marché extrêmement volatile depuis deux mois.
« Un seuil important de prix a été atteint et le Bitcoin, décentralisé et non dépendant des banques centrales, a fait ses preuves en tant qu’actif », estime Naem ASLAM, analyste d’Ava Trade.
« Maintenant tout le monde connaît le Bitcoin et tout le monde en veut un bout… ajoute-t-il, sachant que les particuliers peuvent en acheter une portion. Il précise cependant que « ce sont les investisseurs institutionnels qui mènent la danse de cette envolée ». Les « investisseurs institutionnels », encore appelés « les zinzins » par les spécialistes, sont les banques, assurances, sociétés financières, SICAV… C'est-à-dire un niveau de risques et de volatilité importants au niveau du particulier.
Une évolution foudroyante imputable aux résultats des élections américaines…
Le prix du Bitcoin a battu record sur record fin 2020. Poussant de nombreux observateurs à conseiller la prudence aux investisseurs individuels face à une envolée qui pourrait faire craindre une bulle avec une correction à la clé.
« Les investisseurs continuent à monter dans le train des crypto-monnaies qui semble gagner de plus en plus d’intérêt, maintenant que l’économie américaine est bien partie pour bénéficier d’un plan de relance budgétaire de l’administration BIDEN lors de ses cent premiers jours », remarque Edward MOYA, analyste d’OANDA. Il remarque que les systèmes de courtage à haute fréquence pourraient déclencher des prises de bénéfices si la tendance haussière perd de son souffle autour du seuil de 41 500 dollars. Même si bon nombre d’analystes s’attendent à ce que la dynamique se poursuive jusqu’au seuil de 50 000 dollars, avant ce que beaucoup estiment être une inévitable correction. Autre précisions : le nombre total de Bitcoins est fixé dès l’origine à 21 millions.
Attention à la retombée qui va faire très mal !
Même si certains analystes pensent que la tendance haussière peut encore progresser (pour qui roulent-ils donc ?), il risque d’y avoir « des pleurs et des grincements de dents » lors de l’inévitable chute brutale !
« Ça commence à être inquiétant, c’est plus du tout le marché d’il y a quelques semaines, la correction est inéluctable », renchérit un analyste européen qui souhaite garder l’anonymat. Encore un « zinzin » !
Pour plusieurs acteurs du marché, le Bitcoin représente une forme d’or numérique, un moyen de se prémunir de l’inflation qui pourrait être créée par les mesures monétaires ultra-accommodantes adoptées par de nombreuses banques centrales, dont la fameuse réserve fédérale américaine (FED) en tête.
Les analystes de JPMORGAN estiment que le Bitcoin pourrait atteindre 146 000 dollars, à condition que sa volatilité s’apaise pour attirer des investisseurs qui préfèrent pour l’instant l’or, plus stable.
Justement, dire qu’on peut se prémunir de l’inflation grâce au Bitcoin, c’est un non-sens ! Face à un euro devenu pléthorique, injecté à tout va par la BCE, nous devrions avoir une inflation forte ! Où est passée cette nouvelle arlésienne ? Ni dans l’alimentaire ou les biens de consommation.
Alors dans les bulles immobilières, sur les marchés financiers et autres bourses, mais progressivement sur l’or et les métaux rares comme le lithium ! Et…les cryptomonnaies dont le Bitcoin…
Pour certains, le Bitcoin s’inscrit dans une véritable révolution capable de faire chuter nos pays et de faire évoluer les paradigmes du système monétaire et financier actuels !
La spéculation sur le Bitcoin ? Amateurs et petits porteurs s’abstenir !
Jean-Paul ALLOU
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Hors Cadre trouve la parade au couvre-feu : quand l’art s’expose dans les encadrements de fenêtres à Auxerre !
janvier 16, 2021L’association culturelle dirigée par l’inventive Nathalie AMIOT poursuit son cycle de projections de court-métrages dans le cadre du programme « Des lumières dans la nuit » débuté la semaine dernière. Jusqu’au 23 janvier, les promeneurs matinaux et autres rares noctambules pourront admirer les vidéos d’Annelise RAGNO diffusées sur la façade de la galerie d’art auxerroise de la rue Joubert.
AUXERRE : Deux œuvres filmées de la diplômée de l’Ecole nationale supérieure d’art de Dijon Annelise RAGNO seront présentées dès ce 16 janvier et ce pour une période de sept jours dans les encadrements de fenêtres de la galerie d’art auxerroise. Celle-ci fait renaître la culture dans un climat conjoncturel hostile malgré les rigueurs du couvre-feu.
L’idée est séduisante. Le concept s’y prête bien. Il suffit pour les lève-tôt d’Auxerre (tranche horaire de 7 à 8 heures 30) mais devant aussi respecter impérativement les nouvelles contraintes du couvre-feu (visibilité entre 17 et 18 heures) de flâner quelques instants devant la galerie d’art au 49 de la rue Joubert pour en apprécier le résultat.
Première des deux vidéos à être soumise à la sagacité curieuse du public, « Inlassablement ». L’œuvre représente un homme âgé qui court dans un cadre champêtre. Son buste passant du côté droit au côté gauche de l’écran permettant de se mouvoir d’une fenêtre à l’autre. Une course vers l’infini dont on ne semble jamais atteindre les limites.
La seconde fiction montre des chutes d’arbres au sein d’une forêt. Par intermittence, des troncs traversent l’écran avant de tomber alors que des feuillages et des branches s’agitent avec frénésie. La vidéo se nomme sobrement « Lever les yeux/forêt », elle date de 2017.
Des visions artistiques agréables qui peuvent nous rendre espoir : la créativité n’est pas morte avec ce satané virus. Hors Cadre, en accueillant ces artistes à l’imagination fertile, en demeure le bienveillant porte-étendard.
Thierry BRET
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Un mythe va renaître de ses cendres chez RENAULT : la R 5 dans une version futuriste et 100 % électrique
janvier 14, 2021C’est l’information surprenante de la semaine. Elle émane du microcosme automobile. Le constructeur français aux losanges va ressusciter l’un de ses emblématiques modèles qui a su séduire des millions de consommateurs dans les années 70 : la R 5 ! Mais attention : que les puristes et autres collectionneurs dudit véhicule se rassurent ! Ils peuvent dormir sur les deux oreilles : la renaissance de ce modèle culte sera singulièrement marquée sous le sceau de la modernité et de la fée électricité !
PARIS : La nouvelle est tombée il y a vingt-quatre heures. Elle a eu tôt fait de se répandre comme une trainée de poudre en France ! En interpellant les aficionados de la fameuse voiture qui eut son heure de gloire dans les années de prospérité. Les années 70 !
Devenue un mythe, la R 5 va donc renaître de ses cendres. L’annonce de ce retour en flamme a été faite par le président-directeur-général de RENAULT, Luca DE MEO lors d’une intervention à la presse ce 14 janvier.
La présentation d’un prototype imaginé par le designer Gilles VIDAL offre un aperçu de la future ligne de ce véhicule plus moderne que jamais.
Toutefois, sans renier l’âme de ses racines profondes, la nouvelle R 5 aura une toute autre vocation que de faire ressurgir le lointain passé de la nostalgie aux yeux des consommateurs : celle de démocratiser les modèles électriques à travers l’Europe.
Des clins d’œil au modèle originel comme base de référence…
Arborant une couleur vive et flashy, ce spécimen initial encore sous l’approche du prototype veut incarner la citadine compacte de demain, pleine de charme et de modernisme.
Certes, les grandes lignes de sa référence légendaire sont conservées pour l’inspiration. Mais, là s’arrête la comparaison.
La touche de modernisme inféodée à notre époque est visible dans les finitions et les matériaux choisis issus de l’univers de l’électronique, du mobilier et du sport.
Cependant, des clins d’œil à la R 5 originelle s’observent au niveau de la grille latérale, des roues et du logo placé à l’arrière.
D’autres éléments sources de cette inspiration envers la référence mythique cachent des fonctions modernes : la prise d’air du capot occulte la trappe de recharge électrique, les feux arrière intègrent des déflecteurs aérodynamiques tandis que les phares antibrouillard intégrés dans le pare-chocs sont devenus des feux de jour disposant de LED.
La présence d’un drapeau tricolore accentue cet aspect « French touch » qui ne devrait pas manquer de séduire les acheteurs à l’international, férus de ce modèle.
Malgré ces fantaisies créatives, la R 5 est reconnaissable de suite dès sa première vision. Même si le résultat de l’ensemble lorgne résolument du côté d’un design contemporain, voire futuriste.
La R 5 new-look devrait être produite dans l’Hexagone. Peut-être dans le nord de la France. Cette voiture 100 % électrique devrait se positionner favorablement pour tous les ménages au plan marketing, avec un prix accessible à tous.
Ce qui est le souhait de Luca DE MEO. Les premières tendances tarifaires indiquent que ce modèle ne devrait pas excéder vingt mille euros à l’achat…
Thierry BRET
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La solidarité à la cause des restaurateurs gagne Joigny : « Place aux Restos » les accueille au marché sous halle…
janvier 13, 2021Alors que la quatrième édition de ce rendez-vous solidaire envers les professionnels de la restauration se déclinera vendredi 15 janvier avec l’ensemble des commerçants du marché de l’Arquebuse à Auxerre, la Ville de Joigny apporte son soutien à la formule l’accueillant en ses murs. Le dispositif fonctionnel depuis le 09 janvier devrait se prolonger jusqu’à la réouverture des restaurants.
JOIGNY: « Place aux Restos » fait désormais des émules dans l’Yonne. Après Auxerre d’où est partie la pertinente initiative en décembre dernier sur notre département, c’est au tour de l’agglomération du Centre Yonne de soutenir les restaurateurs en les accueillant sur le marché sous halle.
La première de ces opérations qui vont se réitérer jusqu’à la réouverture des établissements culinaires a eu lieu ce samedi 09 janvier. Les professionnels se sont vus remettre par les services de la ville des stands afin de pouvoir présenter des recettes à emporter. Selon les principes édictés par cette manifestation qui se déploie petit à petit dans l’Hexagone depuis quelques semaines.
Menée par le Groupement national des Indépendants de l’Hôtellerie et de la Restauration (GNI-HCR), METRO France (grossiste alimentaire pour les professionnels), l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie) et de la CGAD (Confédération générale de l’Alimentation en détail), l’action s’inscrit dorénavant avec une certaine constance parmi les calendriers consuméristes de notre territoire.
Elle favorise la reprise des activités des restaurateurs dont les établissements demeurent condamnés à la fermeture depuis des mois du fait de la présence du coronavirus.
Tendre la main à une profession qui paye un lourd tribut économique…
Président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET a donc décidé de soutenir cette initiative dans le prolongement de sa politique en faveur du commerce de proximité.
Il a accueilli samedi le premier des restaurants qui prenait part à ce nouveau rendez-vous le « Rive Gauche » où exerce le chef Jérôme JOUBERT. D’autres professionnels ont déjà fait part de leur intérêt afin de participer à l’opération lors des prochains marchés du mercredi et du samedi.
Instigateur de l’opération dans l’Yonne, Philippe BULANT, directeur de METRO Auxerre, a également initié des contacts avec les élus de Sens. Il attend désormais leurs réponses avant de pouvoir positionner « Place aux Restos » dans la ville la plus septentrionale du territoire.
Tendant la main aux restaurateurs, Nicolas SORET rappelle que « la ville doit apporter son aide à une profession qui paye très cher les conséquences de la pandémie… ».
Thierry BRET
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Investir dans l’éolien : EDF Renouvelables en offre l'opportunité pour la construction du parc du Télégraphe
janvier 11, 2021Ouverte depuis le 05 janvier, la campagne de financement participatif destinée à la construction du parc éolien du Télégraphe, près de Vermenton, est une opportunité d’investissement novatrice pour la population locale et celle des départements limitrophes. D’un montant global de 200 000 euros, cette collecte verra ses fonds affectés en partie à l’aménagement de ce parc de quatre éoliennes d’une capacité totale de 14,4 W…
VERMENTON : La mise en service de ce nouveau site est programmée pour le mois d’avril prochain bien que ses travaux initiaux aient débuté en janvier 2020. Sa production correspondra à la consommation électrique annuelle moyenne d’environ 14 500 personnes. Soit près de 95 % de la population vivant au sein de la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs.
Grâce à cette contribution participative originale, EDF Renouvelables, leader de la production d’électricité éolienne et solaire dans le monde, sollicite l’intérêt d’investisseurs locaux qui veulent miser leurs propres deniers dans ce projet énergétique favorable à la relance économique durable.
Une initiative qui apparaît intéressante dans laquelle les citoyens deviennent réellement des acteurs à part entière de la transition écologique et de son accès en zone rurale.
Fixée pour un montant maximal de 200 000 euros, la collecte s’effectue par l’intermédiaire du site www.lendosphere.com/telegraphe, et est réservée uniquement aux habitants de l’Yonne et de ses voisins (Aube, Côte d’Or, Loiret, Nièvre et Seine-et-Marne).
Cette plateforme est la première en France à s’être positionnée sur des projets à l’estampille développement durable. Inaugurée en décembre 2014, elle a déjà collecté plus de 80 millions d’euros investis par des particuliers sur 230 projets d’énergie renouvelable.
Responsable régionale en Bourgogne Franche-Comté d’EDF Renouvelables, Jennifer MENAGE rappelle que « le financement participatif permettra aux riverains de ces parcs éoliens de s’impliquer dans le développement local des énergies renouvelables tout en bénéficiant de revenus financiers issus du projet… ».
Celles et ceux qui souhaitent placer leur bas de laine dans la construction de ce parc éolien peuvent le faire jusqu’au 15 février inclus. A vos portefeuilles !
Thierry BRET
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