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C’est devant un parterre de près de 500 personnes que s’est déroulée à AUXERREXPO la première édition des « Trophées de l’agriculture » de l’Yonne. Une manifestation à l’initiative du groupe de presse Centre France, en partenariat avec les acteurs traditionnels de l’agriculture que sont le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne, GROUPAMA Paris Val-de-Loire, Cerfrance BFC, la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, ainsi que la Région Bourgogne Franche-Comté, le Conseil départemental 89, GRDF et GLHD. Au cours de la soirée, sept prix ont été décernés, mettant en lumière ce qui s’apparente déjà à l’agriculture de demain.

 

AUXERRE : Toutes proportions gardées bien sûr, il y avait comme un air de cérémonie des Césars jeudi dernier à AUXERREXPO. Eleveurs, producteurs, viticulteurs : ils étaient au total dix-huit à concourir, sélectionnés pour leur engagement, que ce soit en matière d’innovation ou d’engagement durable. Autant d’aventures humaines mises pour la première fois en lumière, avec le sentiment que, comme devait le souligner au cours de la soirée, le vice-président du Conseil régional et maire de Joigny, Nicolas SORET : « l’on se demande pourquoi elle n’a jamais eu lieu bien avant… ».  Premier trophée de la soirée dans la catégorie « Création de valeurs », pour Laure SONVEAU qui, sur la ferme familiale de Saint-Privé, s’est lancée avec succès dans la production de plantes aromatiques et médicinales.

 

 

Un éleveur de race Angus plébiscité par le jury…

 

Alors qu’un agriculteur icaunais sur cinq a aujourd’hui plus de soixante ans, le renouvellement des générations revêt une importance toute particulière. C’est à ce titre que dans la catégorie « Installation et transmission », a été distingué parmi ses pairs, Denis CARCAUD de la Ferme de la Métairie, à Quarré-les-Tombes. Installé dans le Morvan depuis seulement deux ans, ce Vosgien d’origine s’est lancé dans l’élevage bovin, privilégiant la race Angus, jusque-là peu répandue dans la région, plus connue pour ses bœufs charolais.

Un trophée qui lui a été remis par Thierry BIERNE, président de la caisse de l’Yonne du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne. Pour la troisième récompense de la soirée, dédiée au « Développement durable », c’est des mains et sous la parole de Jacques BLANCHOT, directeur d'établissements de Groupama Paris-Val-de-Loire dans l'Yonne et la Seine-et-Marne, « mutuelle agricole fondée par des agriculteurs il y a plus de 120 ans », que les THOMAS Père et Fils, Xavier et Maxime, se sont vus remettre le précieux trophée. Distingués pour l’unité de méthanisation « à taille humaine », construite sur leur ferme de la Pommeraie à Treigny.

 

 

Etre sous le charme des entrepreneurs audacieux et créatifs…

 

 

Il y a longtemps que la Chambre d’Agriculture de l’Yonne a fait de l’innovation son ADN et c’est à ce titre que son président, Arnaud DELESTRE, a remis au vainqueur de cette catégorie son trophée, rappelant qu’en la matière, « la traque à l’innovation démarre souvent dans la cour de ferme pour résoudre une problématique, notre rôle étant de le faire témoigner ensuite devant d’autres agriculteurs… ».

Qui a dit que cosmétique ne rimait pas avec agriculture ? Certainement pas Thibault Van de CAPPELLE et Mikaël PECHERY, deux producteurs céréaliers du Vézelien, qui sous l’enseigne « BEAUCHARME Cosmétique », proposent toute une gamme d’huiles essentielles et végétales conçues à partir d’un assolement peu ordinaire : lavande, menthe, camomille, chanvre, le tout en production biologique. A l’heure de remettre le prix de la catégorie « Dynamique du territoire », Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental reconnaissait « être sous le charme de ces jeunes chefs d’entreprise qui, avec leur audace, leur créativité, leur esprit d’innovation, ont cette envie de réaliser leur rêve et quand on est à la tête d’un département comme celui de l’Yonne, on ne peut que s’en réjouir… ». Un trophée attribué à Matthieu et Sophie WOILLEZ, viticulteurs à Tharoiseau, qui n’ont eu de cesse depuis leur arrivée dans le Vézelien, il y a une douzaine d’année, que de développer l’œnotourisme.

 

 

Une affaire familiale chez les ABRY, après Gilles, place aux filles Océane et Mallorie !

 

Une belle histoire que celle du « Silo Rouge », du nom de ce magasin créé en 2018 par neuf producteurs et agriculteurs de l’Avallonnais, où aujourd’hui, sont proposés à la vente des produits du terroir en provenance de près d’une centaine de producteurs locaux. Une belle image collective récompensée à juste titre par le trophée de la catégorie « Réussir ensemble ». Un prix remis par Jean-Marc FABIUS, cofondateur et directeur général de GLHD et Thierry GAY, directeur territorial régional Bourgogne Franche-Comté de GRDF.

Déjà en lice dans la catégorie « Création de valeurs », Océane et Mallorie ABRY ont remporté le « Coup de cœur du public », appelé à voter par téléphone et par texto, pour départager les candidats. Une belle récompense pour ces deux sœurs qui continuent aujourd’hui à Leugny à faire perdurer l’histoire familiale, dans une activité de bovins viande de race limousine, d’ovins viande et lait après s’être lancées dans la fabrication de fromages. Dignes héritières de leur père, Gilles ABRY, éleveur et précurseur en matière de vente directe de viande, qui fut aussi, est-il nécessaire de le rappeler, président de la Chambre d‘agriculture de l’Yonne.

Et c’est tout naturellement par un cocktail que s’est conclue cette première remise des Trophées de l’Agriculture. Un moment particulièrement attendu, à en juger par le résultat du vote auprès du public sur le motif de la présence à cette soirée. Près d’une personne sur trois plébiscitant ce moment de convivialité pour expliquer sa venue. Un cocktail où étaient proposés nombre de produits du terroir, ceci expliquant sans doute cela… !  

 

Dominique BERNERD

 

 


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Le compte est bon pour Joigny et son édile, Nicolas SORET ! L’élu socialiste, président de la Communauté de communes et numéro trois au sein de l’organigramme de l’exécutif régional, a pu se féliciter de l’opportunité et remercier le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires Christophe BECHU, en visite dans le Sénonais vendredi, pour la précieuse aide financière apportée au projet de rénovation de l’école Saint-Exupéry, un bâtiment très énergivore…

 

SENS : Cocorico ! Parmi les cent cinquante premiers lauréats de l’Hexagone dont les noms sont dévoilés ce lundi par le ministère – ils profiteront de ce nouveau dispositif d’aides aux collectivités territoriales voulu par le gouvernement depuis août 2022, le « Fonds vert » -, un seul a été recensé en terre de l’Yonne. Sur les près de six mille dossiers, retenus de manière officielle à date (5 982 précisément), seule la ville de Joigny sur notre département – pour le moment ! – a pu répondre à tous les critères de sélection afin d’être dotée des précieux subsides financiers, lui permettant d’accomplir des travaux de réfection nécessaires selon les principes respectueux du développement durable.

Assistant aux premières loges à la venue du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires lors de son immersion à l’assemblée générale de l’AMF 89, Nicolas SORET a pu remercier en direct Christophe BECHU dès qu’il a pu avoir le micro en main.

 

 

Réduire la consommation énergétique de l’école Saint-Exupéry…

 

Avec élégance et courtoisie, le maire de Joigny a adressé ses remerciements au représentant du gouvernement : il est vrai que recevoir parmi les premiers prétendants nationaux éligibles à ce fonds spécifique la coquette somme de 500 000  euros est loin d’être négligeable en soi ; d’autant que cette subvention fort utile sera la bienvenue pour restreindre la consommation énergétique de l’école Saint-Exupéry, devant faire l’objet de travaux de réfection.

Rappelons que le « Fonds vert » est effectif depuis le mois de janvier. Il est doté de deux milliards d’euros de crédits pour 2023, une somme gérée territorialement par les préfets, ayant pour vocation d’accélérer la transition écologique des territoires et de leurs collectivités. Neuf mesures concernent le département de l’Yonne : la rénovation énergétique des bâtiments publics, le renforcement du tri à la source des bio-déchets, la rénovation des parcs d'éclairage public, la prévention des inondations, la prévention des incendies de forêt, la renaturation des villes, la promotion de la biodiversité, l'encouragement du covoiturage et le recyclage des friches.

 

Thierry BRET

 

 


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Qu’on les appelle paysans, agriculteurs ou agri managers (version ENA), nos amis du monde rural, quasiment pas ou peu représentés au Parlement, permettent toujours à la France de manger et de vivre ! Ils ont payé le plus lourd tribut durant la guerre de 14-18. On leur a demandé de nous nourrir dès la fin du conflit : pari tenu, malgré les millions de morts. Les épouses et les enfants ont pallié le manque de main-d’œuvre. On l’aurait donc déjà oublié ?

 

TRIBUNE : En 1940, ils accueillent souvent les petits Parisiens en malnutrition. En 1945, on leur demande de nous donner à manger : bravo, mission brillamment remplie ! Aujourd’hui, la nouvelle donne est simple : « Monsieur le paysan, il faut produire sans polluer ».

Dès le départ, le monde agricole a mis en garde les pouvoirs publics : qui va payer la note, face aux surcoûts induits par ce nouveau mode de culture ?  A ce jour, aucune réponse n’est parvenue et nos gouvernants pensent encore que le marché peut se réguler tout seul, libéralisme oblige. Et, que les consommateurs iront de plus en plus vers la qualité nutritionnelle offerte par le bio ! Mauvais calculs !

Les agriculteurs subissent aujourd’hui les contraintes de Bruxelles en matière de culture et se plient volontiers à des normes, parfois sans fondement technique, mais qui doivent, en théorie, préserver la nature. Notons au passage que de nombreux pays, l’Espagne en tête, ne respectent pas les directives européennes. Cela ne nous empêche pas d’importer des produits hors normes…

Pour la « norme bio », nous imposons des règles supplémentaires, des contraintes sanitaires que les autres pays ne pratiquent pas ! Le résultat est simple : des surcoûts qui nous rendent peu compétitifs et permettent, notamment à l’Espagne, d’exporter en France des fruits et des légumes labellisés « bio ». Parmi les autres contraintes, citons pêle-mêle, avant de cultiver du bio, il faut laisser la terre au repos deux ou trois ans ; s’assurer du droit à exploiter la terre ; contracter des assurances contre des risques spécifiques à ce type d’activité (aléas climatiques, incendie, tempêtes, dégâts sur les serres…) mais attention aux coûts !

En outre, de nombreuses règles doivent être respectées pour produire les fruits et légumes. L’agriculture biologique est encadrée à l’échelle européenne. La législation évolue fréquemment, il est donc nécessaire de s’informer régulièrement. Ainsi, la Fédération Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB) diffuse toutes les informations nécessaires au sujet de la réglementation.

 

Mais pourquoi le bio coûte-t-il si cher aux consommateurs ?

 

Il s’agit d'un mode de production qui nécessite plus de main d'œuvre et présente des rendements plus faibles. Le coût des intrants (engrais spécifiques, pesticides compatibles avec la culture bio…) est élevé. La labellisation bio est payante. Le contrôle annuel réalisé par « Ecocert », principal organisme certificateur en bio pour obtenir le label « AB » coûte en moyenne 0,5 % du prix d'un produit fini ; ce qui peut représenter une charge trop élevée pour bon nombre de producteurs. Les intrants représentent 15 à 30 % des charges. Ce sont surtout les achats de semences et plants qui sont élevés en LPC bio, de 1 500 à 2 900€/ha selon les cultures. Il y a peu de marges de manœuvre pour réduire ces coûts. Le coût élevé des semences et des plants implique un besoin en trésorerie important pour les systèmes légumiers. Ce besoin doit être anticipé dans les plans prévisionnels de trésorerie. Quant au coût du parc matériel (tracteurs, carburants, outillages, entretien,…), il dépend de la nature des cultures : compter entre 1 500 et 3 000 euros l’hectare. Des coûts en constante augmentation.

Certains analystes affirment que, en plus d'être coûteux pour le producteur, le bio ne fournira jamais les rendements nécessaires pour nourrir une population mondiale grandissante. Seuls, les apports d'engrais de synthèse et de pesticides, ainsi que l'utilisation de semences « OGM », le pourraient. En France, plus du tiers des produits « bio » sont donc importés.

 

 

Qui s’installe pour produire du bio en France ?

 

De nombreux agriculteurs ont renoncé à la culture bio. Après toutes les études techniques qu’ils ont réalisées, ils savent parfaitement de quoi ils parlent. La conclusion fut sans appel : trop coûteux pour offrir des prix acceptables au plus grand nombre de consommateurs. La période inflationniste que nous connaissons leur donne mille fois raison.

La majorité des nouveaux installés se lance dans le cadre d’une reconversion professionnelle. Il s’agit de cadres ou de cadres supérieurs qui aspirent à une vie meilleure à la campagne. Ils n’ont aucune expérience et ne voient la campagne que par le prisme du tourisme et des vacances. Ils chassent les subventions et engouffrent souvent leurs économies.

C’est sans doute louable mais ils oublient que l’enfer est pavé de bonnes intentions. Les seuls qui tirent encore un peu leur épingle du jeu sont les vignerons. Le vin bio se fait peu à peu une place dans le monde viticole. On ne s’improvise pas viticulteur : pour la plupart, il s’agit du même métier qui s’adapte à de nouvelles techniques de fabrication. Ils ont le plus souvent, une histoire et des racines familiales dans le domaine du vin. Pour les autres, les diplômes pour cultiver du bio ne sont pas obligatoires, même s’il existe des formations.

 

 

Ne jamais oublier tous ce que font les agriculteurs pour nourrir l’humanité !

 

Les agriculteurs ont toujours su s’adapter, improviser et l’emporter. C’est l’apanage des grands professionnels. Les conditions économiques d’aujourd’hui ne laissent pas de temps aux « non-professionnels » pour qu’ils s’adaptent aux nouvelles donnes !

Nous verrons dans la deuxième partie de cette tribune pourquoi le bio va si mal. La bonne nouvelle dans tout ça : la visite de notre ministre de la Justice, Eric DUPONT-MORETTI au récent salon de l’Agriculture. Il a pris la défense des coqs de basse-cour, affirmant haut et fort qu’ils ont le droit de chanter, même si certains veulent instruire des procès pour leur interdire le « cocorico » national. Pour certains, il aurait confondu la claque amicale sur le « cul des vaches » au salon avec le « bras d’honneur » à l’Assemblée Nationale !

Lorsque les chrétiens disent leur bénédicité, j’ose espérer qu’ils associent les paysans dans leur prière : « bénissez ce repas et tous ceux qui l’ont préparé », il faudra ajouter « et toutes celles et ceux qui cultivent la terre ! ».

Mesdames, Messieurs les paysans, chapeau bas pour tout, pour tout ce que vous avez fait pour nous, pour tout ce que vous faites, et en toute confiance, pour tout ce que vous ferez à l’avenir…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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« Quoi de plus beau et de plus noble que de faire quelque chose pour quelqu’un d’autre... ». Une maxime bien aisée que le Rotary Club d’Auxerre sait mettre en application dans son quotidien au bénéfice de structures associatives évoluant dans le secteur de la santé. Ou, comme dans l’exemple qui suit, dans le cadre de soutiens individuels. Telles les jeunes pépites du CIFA de l’Yonne, encouragées à poursuivre sur le chemin de l’excellence…

 

AUXERRE : Ils sont cinq. Cinq à devoir bénéficier de la coquette somme de cinq cents euros. Un ersatz de bourse promotionnelle permettant de saluer le travail manuel et ses valeurs. Cinq cents euros : ce n’est pas rien. Quand on est encore apprenti en continuelle évolution pédagogique au centre de formation auxerrois. Un coup de pouce précieux où la reconnaissance n’a d’égal que le talent mis en exergue.

Celui de Margaux CONNET, de Léa ROUGIER, du côté des demoiselles mais aussi de Nathan VIEL, de Timothée CHEVAL et de Paul CHAMEROY pour les garçons. Des jeunes gens à la tête bien faite, à la dextérité accomplie. Tous engagés à différents concours où ils ont su faire montre d’intelligence, de maîtrise, de bienveillance, de générosité, de génie créatif.

Cinq jeunes émérites, primés et récompensés même dans les sphères nationales (n’est-ce pas Léa avec le titre de MAF (meilleure apprentie de France) dans la catégorie des arts de la table et du service ?). Cinq jeunes issus des filières restauration et métiers de bouche que le Rotary Club d’Auxerre se devait d’auréoler de cette distinction monétaire.

 

 

Il n’en fallait pas davantage pour que Jean-Christophe GEIGER et Thierry BISSERON, porte-voix du club service local, interviennent, s’érigeant en ambassadeurs de la bienveillance et de l’humanisme. Un geste très important alors que le repli sur soi gangrène notre société, royaume d’un individualisme indécent.

Un geste qui aura été également très apprécié du nouveau directeur du CIFA de l’Yonne, Lilian GARCIA, de Xavier HERVY, en charge de la formation des métiers de bouche et de Maxime LAUZET, le « monsieur » communication de l’établissement pédagogique icaunais.

 

Thierry BRET

 

 


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On s’en doute, l’ouvrage ne sera jamais un best-seller ! Ni l’un des titres au sommet des ventes des classements qui sont publiés de manière hebdomadaire dans les colonnes littéraires de « L’Express » ! Nonobstant, ce guide pratique à usage professionnel à destination des entrepreneurs et décideurs économiques, soucieux de se lancer dans une démarche de progrès durable et responsable, pourrait bien occuper, en revanche, la meilleure des places sur leur table de chevet, à défaut sur leur bureau !

 

AUXERRE : Des nouvelles de l’ancien directeur de la communication du Conseil départemental de l’Yonne, Fabrice JOBARD ! Cofondateur de « FJ-SLA Consultants », connaissant les rouages des milieux institutionnels comme le fond de sa poche, le garçon promène sa silhouette d’homme d’affaires dynamique entre Neuilly-sur-Seine où il possède désormais ses bureaux professionnels, aux côtés de deux autres associés, et l’Yonne orientale où il a choisi d’y poser ses attaches personnelles et familiales.

Ce diplômé de Sciences Po Grenoble et titulaire du MBA de l’Institut d’administration des entreprises de Paris demeure un personnage très actif. On le savait auteur de plusieurs ouvrages de référence dont le « Guide des usages, du protocole et des relations publiques », publié aux éditions « Territorial » ; le voici qui revient à nos bons souvenirs avec son dernier opus, un précis consacré au SMI, le système de management intégré.

 

Une préface rédigée par un pro de la communication, Franck LOUVRIER…

 

Intitulé « Engager une démarche de progrès durable et responsable » - dans la collection « Les Essentiels » de la même maison d’édition « Territorial » -, ce livre d’une centaine de pages permet de dévoiler une méthodologie efficace pour mettre en place une démarche de progrès, devant par la suite être certifiée.

L’expert en communication qu’est devenu au fil de l’eau Fabrice JOBARD s’est appuyé sur les connaissances de l’autre experte de cet écrit conçu à quatre mains, son associée Sophie LEROY, spécialiste en organisation des entreprises et de la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), cofondatrice du cabinet parisien.

Ces deux esthètes à la réussite de projets qualité, environnementaux et responsables pour des entreprises privées et des collectivités territoriales délivrent à travers ce document les ficelles pour bien anticiper et réussir sa démarche.

On notera la préface de Franck LOUVRIER, vice-président de la Région des Pays de Loire et maire de La Baule, lui-même pédagogue en communication, qui salue l’initiative épistolaire de ce tandem, « un guide qui permet de penser plus loin… ».

 

En savoir plus :

 

« Engager une démarche de progrès durable et responsable »

Aux éditions Territorial, collection « Les Essentiels ».

De Fabrice JOBARD et Sophie LEROY.

Prix livre à 49 euros

Prix e-book à 39 euros.

106 pages.

 

Thierry BRET

 


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