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Terre d’accueil pour des délégations étrangères, le département de l’Yonne, à l’occasion des Jeux Olympiques ? Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, l’a réaffirmé de but en blanc, mardi soir, à l’occasion de la grande soirée évènementielle, se déroulant dans les locaux du CIFA de l’Yonne. L’équipe féminine de rugby à sept du Canada investira donc notre territoire l’été prochain, grâce à la complicité des dirigeants du Rugby Club Auxerrois…

 

AUXERRE : Une salve d’applaudissements retentit dans le gymnase. C’est tout un symbole que ce bâtiment si particulier au cœur du CIFA soit choisi pour la circonstance par les organisateurs de la grande soirée évènementielle, orchestrée autour des Jeux olympiques et de leurs déclinaisons départementales.

Logique que le public se manifeste bruyamment : Patrick GENDRAUD vient de lâcher l’un des scoops de la soirée, avec la réception à l’été prochain – dès le 12 juillet semblerait-il – de l’équipe féminine de rugby à sept du Canada, une formation pouvant prétendre à l’obtention de la plus belle des médailles lors des prochains Jeux de Paris.

« On a posé notre candidature, précise l’ancien maire de Chablis, on y croyait, on espérait même obtenir quelque chose, eh bien, ce soir, je vous le confirme, nous accueillerons ces jeunes championnes du rugby à sept ! ».

Une information qui sera corroborée quelques minutes plus tard par le président du RCA, David PARIZOT, invité sur l’estrade en compagnie de son successeur, Kieran LAURIN. Sauf que ce dernier ne se rendra pas sur scène, retenu par des obligations professionnelles.

 

Tout le club du RCA est impliqué dans l’aventure…

 

Un dirigeant du Rugby Club Auxerrois, très satisfait de ce verdict, positif pour la promotion du rugby à sept. Une discipline qui verra l’équipe de France participer à ce tournoi olympique, côté garçons, avec un groupe auréolé de la présence d’un certain…Antoine DUPONT qui a fait l’impasse sur le Tournoi des VI Nations cette année !

« Il y a un an, nous avons eu les premières discussions, témoigne David PARIZOT, l’Yonne était site de réception mais une question se posait : que fait-on ? ».

 

 

Ne croyant pas au hasard – il a bien raison le patron de l’enseigne OXO 89, chacun sait que cela n’existe pas ! -, David PARIZOT provoqua les choses. Se rapprochant de Philippe LALA, directeur du Projet Yonne 2024 au sein du Département, le président du RCA s’implique à titre personnel pour déceler la moindre opportunité profitable à l’Yonne.

Tout le club auxerrois est de facto impliqué dans l’aventure. Un épilogue qui prendra son terme le 12 juillet, au lendemain du passage de la flamme olympique dans l’Yonne.

 

 

Tout faire pour que la fête sportive soit totale à Auxerre !

 

« Jusqu’au 23 juillet, ajoute David PARIZOT, les filles de l’équipe du Canada seront accueillies à Auxerre. Nous, on va vivre une expérience différente avec cette immersion en terre de l’Yonne. Il nous fallait un lieu qui puisse accueillir une équipe sportive dans sa globalité (le RCA et sa structure). Au-delà du sportif, il nous fallait le vecteur médical. Indispensable pour recevoir des sportifs de haut niveau. On leur a démontré ce qu’il est possible de faire grâce à notre protocole médical. Enfin, il y a l’accueil et le vivre au quotidien à une heure et demie de Paris en étant au vert ! ».

Une petite délégation d’outre-Atlantique est déjà venue en 2023 visiter les infrastructures auxerroises. « On a joué la carte de la proximité » confie David PARIZOT.

Souhait du président du RCA : que la réception de l’équipe canadienne résonne parmi les communautés de ce pays vivant en France mais aussi auprès des habitants de l’Yonne.

« Il nous faudra toute une communication autour de cet évènement, souligne le dirigeant du club auxerrois, sachant que nous allons nous calquer à leur planning… ».

Le Département a soutenu l’initiative. Mais, également la Ville d’Auxerre qui travaille déjà sur la mise à disposition des terrains. Pour que la fête sportive soit totale !

 

Thierry BRET

 


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Faites vos jeux, Mesdames, Messieurs ! Rien ne va plus ! La France ressemble de plus en plus à une sordide table de roulette défraîchie, dans un casino respirant l’encaustique où l’atmosphère surannée commence à sentir le souffre et la scoumoune en guise de martingale.

Les joueurs – en l’occurrence les citoyens lambda que nous sommes tous – ou du moins presque tous ! – y déposent leurs plaques (leur argent, leur espérance, leurs envies, leurs illusions, leur travail…) sur le tapis vert de la vie avant que la boule blanche ou noire, selon les cas, lancée par le gouvernement ou la technocratie européenne, tourne inexorablement avant de s’arrêter sur la case. Gagnante ? Pas si sûr dans la loterie de l’existence actuelle ! Car, on le sait tous, la loterie de la vie, elle est vraiment pipée, injuste et pas égalitaire !

 

La loterie de la vie ? A tous les coups, on perd !

 

Tiens, je suis tombé sur l’emplacement de l’agriculture avec son lot de revendications à outrance, soutenues par plus de 80 % des Français. Une corporation qui se paupérise à l’extrême et dont les revenus moyens, bien en deçà des mille euros mensuels, donneraient de l’urticaire à qui veut l’entendre !

Tiens, voici celle de l’Education nationale qui n’est pas mal non plus, côté stabilité et réjouissance, avec ses enseignants et ses parents d’élèves en colère qui ne cessent de manifester pour des jours meilleurs, une vraie reconnaissance de certains de leurs métiers et des postes supplémentaires à créer pour combler les manques stratosphériques existants à toutes les étapes de la filière.

Tiens, voilà celle des élus territoriaux qui souffrent de leur ruralité et qui en ont ras-le-bol de voir partir leurs habitants, faute de services de l’Etat dignes de cette appellation, d’hôpitaux qui fonctionnent, de réseaux téléphoniques qui ne soient pas défectueux en permanence et de classes qui ferment…En y perdant leur attractivité !

Tiens, il y aussi celle de ses boîtes qui s’écroulent les unes après les autres, de ces artisans et commerçants, de ces indépendants qui vidés de leur substantifique moelle de professionnels perfectionnistes  – leur clientèle et leur savoir-faire – ne trouvent même plus la force d’ouvrir leurs boutiques et se prennent à rêver de retraite. Normal, il n’y a plus personne qui souhaite venir bosser dans leurs entreprises…Ni chez les jeunes, encore moins chez les vieux !

 

 

 

Où est le système qui viendra sauver l’Humanité ?

 

Ah oui ? Sauf que la retraite, ce n’est pas pour tout de suite, désormais : et qu’il faudra bien s’armer de patience jusqu’à 64 ans révolu et trimer comme un beau diable, en serrant les poings et les dents tout en acceptant son stress, les brimades de supérieurs parfois névrosés car soumis à trop de pression et l’arthrose afin d’effectuer dignement les ultimes trimestres (ou semestres) qui mènent tout droit vers la liberté ! De celle dont on parle avec un grand « L » !

Si, évidemment, les lourdeurs, rigueurs et autres absurdités administratives, sans souplesse aucune qui gèrent ce pays et ceux de l’Union européenne, ne viennent pas entre-temps vous clouer aux piloris avec des taxes, des pénalités et des charges à n’en plus finir qui conduisent certaines et certains – plus de 600 personne l’année dernière dans le seul milieu agricole, on aimerait bien avoir les chiffres de toutes les professions en France – à se munir d’une corde pour mieux trouver la poutre idéale à leur salut…Circuler, il n’y a plus rien à voir, cela fera cinq lignes dans la rubrique des faits divers !

Mais, alors d’où viendra-t-il ce salut salvateur à l’homme moderne, dépassé par des évènements que nul ne maîtrise véritablement ? Du retour du Messie sur Terre ? Peu probable !

De l’accueil des Jeux Olympiques de Paris, dont les mirifiques louanges nous sont vendues à grandes doses de messages mirobolants tous les quatre matins parmi toutes les mondanités institutionnelles et entrepreneuriales de France et de Navarre, alors que le pays n’est sans doute pas prêt au niveau logistique et sécuritaire à recevoir un tel évènement ?

Du premier implant digitalisé que l’une des entités technologiques d’Elon MUSK – un docteur « Follamour » incontrôlable et dangereux qui se prend pour Dieu le père en modifiant la génétique de l’homme et en envoyant des pseudos fusées dans l’espace – en posant ladite puce électronique dans un cerveau humain afin de le rendre plus intelligent ou…plus asservi à sa folie ?! Pour ne pas dire plus…

A la multiplicité de ces réseaux « associaux » qui ne véhiculent que haine et voyeurisme, qui ne provoquent que colère et jalousie en attisant les rancœurs et l’égocentrisme parmi ses suiveurs ?

Aux partis politiques, enfin, tous en ordre de marche, parés à livrer la mère des batailles à l’assaut du palais élyséen en…2027 ? Déjà, que les Européennes ne passionnent pas les foules ! C’est dire !

 

D’une roulette à l’autre, il n’y a qu’un pas pour certaines filières…

 

Cet inventaire à la Prévert pourrait noircir des centaines de pages, c’est évident. Tant il existe des fractures qui ressemblent à des failles sismiques, voire abyssales, dans notre société, notre pays, notre monde. Sociale, numérique, financière, intellectuelle, sectorielle, géographique, culturelle et cultuelle, pour sûr !

On naît tous égaux, dit-on, à l’image, soi-disant, de notre créateur. Sauf que dans la France, l’Europe, le monde du XXIème siècle, l’égalité est une valeur qui n’a plus lieu d’être, au vu de cet individualisme galopant et cet incivisme exacerbé qui nous conduisent tous à notre perte.

De même, les deux autres mentions qui sont frappées sur les frontons de nos mairies, liberté et fraternité. Belles paroles démocratiques que celles-là qui ploient sous le joug des régimes autoritaires, ne cessant d’étendre leur influence sur le globe.

Le problème, c’est que ce petit jeu-là, celui de la roulette où politiques et technocrates font tourner sans cesse à leur manière et en leur faveur la boule blanche ou noire de notre vie, selon leur bon vouloir et sans concertation aucune avec les citoyens, commence à peser lourdement sur les existences et le moral de ces hommes de bonne volonté, qui possèdent encore une once de discernement dans les neurones.

Peut-être que ces derniers n’auront alors plus qu’un seul choix, un jour, pour faire face à toutes ces décisions imposées méthodiquement par le haut. Celui de jouer avec une toute autre roulette, nettement plus funeste et irréversible quant à l’issue, russe de surcroît…Faites vos jeux, rien ne va plus…

 

Thierry BRET

 


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A l’instar du célèbre éditorialiste de « BFM TV », il ne se départit jamais de sa fameuse écharpe d’un rouge flamboyant, le président départemental de la Société des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne, Marc LABARDE ! Un signe de référence, peut-être, qui traduit le dynamisme et l’enthousiasme du personnage. Surtout lorsqu’il intervient en qualité de maître de cérémonie du 38ème Concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » lors de la  remise des prix, survenue sous les voûtes séculaires de l’abbaye Saint-Germain à Auxerre…

 

AUXERRE: Il explique les règles du jeu, le Monsieur Loyal, d’un soir. Pragmatique, clair et concis dans ses propos. Logique, en somme, pour l’ancien MOF (Meilleur ouvrier de France) en conseil en solutions énergétiques. Marc LABARDE jubile vis-à-vis de la qualité de cette soirée, accueillie devant un parterre bien rempli de parents, tuteurs et apprentis, qui d’ici peu vivront avec le cœur battant la chamade le déroulé de cette cérémonie, bien huilée. Une trente-huitième édition, dans le département de l’Yonne. Mais, seulement la seconde qui a les honneurs de la fameuse abbaye Saint-Germain, devenue le carrefour idoine de  bon nombre d’évènements culturels et intellectuels, désormais.

Dans l’assistance, on repère des visages connus. Le patron du CFA Bâtiment Gérald JAFFRE, le tourbillonnant Maxime LAUZET en charge de la communication au sein du CIFA de l’Yonne qui ne cesse de faire des allers retours entre la scène pour y recevoir des prix – ceux des apprentis qui n’ont pu se déplacer à la cérémonie – et la salle. Lilian GARCIA, directeur du centre de formation icaunais, n’est pas loin, non plus. Il y a aussi la gracile Hélène DECULTOT, en charge de la gestion du CFA La Brosse. La présence de lauréats dans la catégorie professionnelle des palefreniers soigneurs en surprendra plus d’un dans la salle, à commencer par la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT. Chez les élus, Emmanuelle MIREDIN, pour la Ville et l’Agglo de l’Auxerrois et Isabelle JOAQUINA, conseillère départementale, seront invitées à gravir les quelques marches les menant sur l’estrade afin d’y distribuer médailles et diplômes. Même le président-maire auxerrois, Crescent MARAULT y sera de sa partition officielle, passant un long moment à féliciter et à distinguer les jeunes apprentis, tout auréolés de leurs succès. Côté média, et toujours à l’affût de la moindre information lui permettant d’étayer son futur papier, notre confrère de « L’Yonne Républicaine » Jean-Luc TABOUREAU s’en donne à cœur de joie à la collecte des témoignages de jeunes gens, accompagnés pour la plupart de leurs familles.

 

 

Mais, de quoi s’agit-il exactement lorsque l’on parle de concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » ?

Représentant onze métiers différents, recevant la bagatelle de 46 breloques et diplômes officiels au cours d’une cérémonie sans temps mort et pas trop longue, jeunes filles et jeunes garçons – il y aura même des adultes – incarnent la transmission des savoirs et la valorisation des métiers manuels. Des lauréats quand ils touchent l’or du Graal national sont considérés comme le vivier naturel des futurs MOF, ces Meilleurs Ouvriers de France, au devenir professionnel assuré. Précisons que pour cette trente-huitième édition, plus de 6 500 dossiers de candidatures, au  niveau de l’Hexagone, avaient été déposés !

Du petit lait pour un Marc LABARDE, qui excelle dans la mission qu’il s’est confiée.

« Pour la première fois, cette année, nous sommes fiers d’avoir organisé et fédéré les établissements, les centres de formations, formateurs maître d’apprentissage, employeurs et parents afin de faire concourir cent jeunes dans 46 métiers » expliquera-t-il en guise d’amuse-bouche.

L’appel des candidats se fit en respectant les us et coutumes de l’animation, avec solennité, par métier et par ordre alphabétique. Des moments ponctués par la prise de vue photographique, afin d’immortaliser ces instants de pur bonheur pour les lauréats.

 

 

 

Les résultats (départemental et régional)

BEZOUT

Remi

2023

Couverture bâtiment Bronze

BONIN

CLARA

2023

Palefrenier or et argent

BORDEAU

Shana

2023

Coiffure Femme argent

CONSTANT

SUZANNE

2023

Palefrenier soigneur or et argent

DE MONGE DE FRANEAU

NATHAN

2023

Installateur thermique or et or

DELHAYE

Clea

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie bronze

DOS SANTOS RIBEIRO

Mathys

2023

Jardins et espaces verts bronze

FAUVERNIER

Antoine

2023

Zinguerie or et argent

FERNANDES FERREIRA

ESTELLA

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie argent

FOURNIER

Felicia

2023

Employé de vente or et or

GOULET

ALEXIS

2023

Jardins et espaces verts bronze

GRILLOT

ORNELLA

2023

Palefrenier soigneur argent

HERAULT

ENZO

2023

Couverture bâtiment bronze

HERAULT

Camille

2023

Coiffure Femme bronze

JAVORCEK

LORENZO

2023

Installateur thermique or et argent

KAPP

ROMAIN

2023

Jardins et espaces verts or et or

KIRCHGESSNER-DUPIN

Oceane

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie bronze

LAFOSSE

Lelio

2023

Couverture bâtiment 

MAES

Lisa

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie bronze

MECA

Isalina

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie bronze

MICOREK

Nathan

2023

Maçonnerie or et argent

MIROFF

Elisa

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie argent et argent 

MORENO

VICTORIEN

2023

Jardins et espaces verts argent et argent 

NICOLAI

Romain

2023

Boulanger argent

PERROT

Maxence

2023

Boulanger or et or

QUAAK

LEIA

2023

Palefrenier soigneur or et argent

ROGER

Lenny

2023

Jardins et espaces verts or et argent

SALIN

Chloe

2023

Coiffure Femme argent et argent

SCHNEIDER

Kellyne

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie bronze

SKABSKI

Lena

2023

Esthétique, Cosmétique, parfumerie bronze

TOURNEAU

Théo

2023

Couverture bâtiment argent

TRECHE

Maël

2023

Restaurant : Art de la table et du service argent

VIEL

Nathan

2023

Boulanger bronze

LUBOUE

Camille

2023

Palefrenier soigneur argent

Bollea

Molie

2023

Palefrenier soigneur argent

Thierry BRET

 


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Il a une pêche d’enfer, Paul FONTAINE. Sans mauvais de jeu de mots, ses ressources dans lesquelles il puise toute cette énergie si communicative – son moteur ! – ne sont pas prêtes de se tarir ! Qui l’aurait cru, pourtant ? Conférencier et coach professionnel, atteint de la mucoviscidose – la même pathologie qui a emporté jadis le surdoué de la chanson Grégory LEMARCHAL -, ce Jurassien au petit accent méridional vient d’être retenu parmi les onze mille privilégiés qui porteront la flamme olympique à l’été 2024. Sa visite au groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle aura redonné du tonus à des étudiants qui parfois en ont grandement besoin !

 

AUXERRE : La musique est assourdissante. Elle ne manque pas de punch ! L’idéal pour prendre une grande respiration, se rasséréner avant de pratiquer quelques exercices respiratoires et méditatifs fort utiles pour mieux se vider l’esprit. Face à l’orateur qui n’a pas encore prononcé la moindre parole, les étudiants du BTS Commerce international du groupe lassalien Saint-Joseph, accompagnés de leurs enseignants et de leur responsable, Céline MARTI, semblent jouer le jeu sans trop ergoter. Sauf, peut-être parmi les derniers rangs…Un peu rigolard et limite tapageur.

Nonobstant, le calme revient très vite dans la salle où se déroule la conférence. Un visuel de Paul FONTAINE en mode sportif de l’extrême crève l’écran.

Casque fixé sur la tête, le quadragénaire – il ne fait vraiment pas ses quarante ans ce jeune homme ! – regarde la ligne d’horizon de ses yeux sombres. Originaire du Jura, l’intervenant du jour n’est pas un personnage ordinaire. Lui qui se définit comme un coach de vie – et Dieu sait qu’elle lui a bien fait endurer sa présence sur Terre – multiplie les exploits, entre la pratique de sports de l’extrême et de paris fous (ascensions du Mont-Blanc, du Kilimandjaro, la traversée des Alpes, marathons à répétition…) et les cycles de conférences qu’il distille aux quatre coins de l’Hexagone.

 

La mucoviscidose ? On en meurt en France

 

Soit auprès du milieu professionnel, toujours féru de cette résilience dans l’effort et de l’aptitude à l’endurance. Comme auprès des plus jeunes, lycéens et BTS, qui peuvent profiter de ses grandes leçons de sagesse et de vérité. Le civisme, en plus !

Né avec la mucoviscidose, Paul FONTAINE vit avec. En essayant de s’y accommoder le plus possible. Une pathologie où tout le monde ne possède pas les mêmes chances face à ses effets dévastateurs.

« On en meurt jeune, aussi, dit-il avec le timbre de la voix un peu voilé. Sept mille personnes sont atteintes en France à l’heure actuelle… ».

Toutefois, loin de sombrer dans le pathos et le misérabilisme, le trépidant quadra possédait il y a peu encore 55 % de capacité respiratoire. Suffisant pour vivre pleinement son existence ?

« Cette maladie est une chance, assène-t-il au jeune public un peu médusé par cet aveu saisissant, c’est une opportunité extraordinaire, un vrai catalyseur de vie qui me mène vers le bonheur… ».

 

70 % de capacité respiratoire grâce à une trithérapie américaine

 

Mieux que la méthode Coué, tous les psychologues et autres psychanalystes réunis, le système FONTAINE coule comme de l’eau de roche si limpide, si fraîche à satiété !

Le garçon souhaite vivre sans limite, multipliant les challenges sportifs, dans un esprit bienveillant, où sagesse s’accorde avec bonté et amour. Beaucoup devraient s’en inspirer. Surtout dans le camp des valides et des nantis !

Pourtant, aérosols, séances de kiné, soins digestifs se multiplient chaque jour à cause des sécrétions du corps, ce mucus envahissant et perturbateur plus épais chaque jour.

« Le sport me permet de cracher, de tousser et de nettoyer mes poumons ! ». Et voilà, la recette ! Tellement, simple.

 

 

Jusqu’à 26 ans, vivant dans le déni, il sort de sa colère par le biais de l’écriture. Sur le dépassement de soi. Dans un journal. Il lui fallait se mettre en action et être acteur de sa santé.

Inspiré par Philippe CROIZON et Arnaud CHASSERY – le parrain du groupe scolaire Saint-Joseph natif de Joigny -, Paul raconte son histoire, sans pudeur. Parlant du sport, la plus vertueuse des disciplines, participant quatre fois au Marathon de Paris.

Avec « Ensemble aux Sommets », il a gravi le Mont-Blanc en juin 2018 avec seulement 50 % de capacité respiratoire. Prouvant que l’on peut repousser ses limites jusqu’à son paroxysme.

« Une trithérapie américaine me permet désormais d’augmenter ma capacité respiratoire à 70 % ! ».

 

 

Partager l’amour autour de soi : la plus belle des vertus…

 

 

Parmi les messages : être vrai avec ses peurs, ses croyances et ses valeurs en travaillant sur soi. « Choisir l’amour, comme dans le « Petit Prince », en citant l’œuvre de Saint-Exupéry.

Créer des liens, partager des valeurs fortes en se reliant à l’autre, lui permet, tout en se mettant à nu, de se livrer pour mieux s’améliorer. Mais, est-ce que le monde économique est prêt à accueillir ces messages qui feraient penser au monde juvénile des « Bisounours » ?

« L’amour est difficile à cerner dans le monde actuel, souligne-t-il, l’amitié, c’est de l’amour et il nous faut la partager pour changer les choses… ».

Paul FONTAINE, chantre de l’Amour avec un grand A, y compris dans l’entreprise, à l’école et dans la société ?

En tout cas, les étudiants de Saint-Joseph n’ont pas été hermétiques aux propos de ce philosophe sportif et sympathique – il a toujours le sourire aux lèvres ! – après un premier atelier consacré aux valeurs, celles qui guident leur vie.

En avril, un temps d’échange sera alors proposé en connexion avec la nature et soi-même. Récemment, le conférencier a prêché la bonne parole sur l’amour et ses vertus chez PEPSI. Finalement, vivre de sa passion et accessoirement en vivre financièrement sont parfaitement compatibles pour cet enfant de l’Amour, comme le chantait si bien Enrico MACIAS…

 

Thierry BRET

 


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Faire avancer l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes tout en montrant que d’autres métiers sont possibles par l’exemple : c’est l’objectif de l’association régionale « Femmes Egalité Emploi » (FETE), au travers d’actions pérennes comme le Carrefour des Carrières au Féminin de l’Yonne, dont la 26ème édition s’est tenue avec succès à Appoigny. Les allées de l’Espace culturel n’ont pas désempli de la matinée. Il y avait parfois de « l’embouteillage au carrefour » devant certains stands. A l’image de celui de la gendarmerie nationale, toujours très prisé des jeunes en quête d’avenir professionnel…

 

APPOIGNY : Barmaid, opticienne, tractoriste, soudeuse, notaire, grutière, commissaire aux comptes… Le champ des possibles s’est élargi au fil des années et tous ces métiers sont désormais accessibles au public féminin. Autant d’exemples de réussite aussi, à travers les témoignages de la soixantaine de professionnelles, présentes à Appoigny, qui ont toutes pour dénominateur commun, la passion de ce qu’elles font au quotidien.

Si le travail en viticulture s’est beaucoup féminisé ces dernières années, notamment en ce qui concerne la taille de la vigne, qui compte près de 40 % de femmes dans ses effectifs, le métier de tractoriste l’est encore beaucoup moins. Mais la passion et la volonté aidant, Lydia a su s’affranchir des obstacles et travaille aujourd’hui en qualité de chef d’équipe sur un domaine du Chablisien. Obligée de lutter parfois pour s’imposer : « j’ai eu des personnes en intérim qui ne m’acceptaient pas parce que j’étais une femme estimant qu’en tant que telle, je n’avais pas à donner d’ordres ! ».

Si le métier reste physique, la technique a su faire évoluer les outils pour l’adapter au plus grand nombre. Lydia voit même dans le fait d’être une femme, un atout supplémentaire recherché par nombre de domaines viticoles : « peut-être sommes-nous plus minutieuses que certains hommes, moins « brut de décoffrage » ! (Rires).

 

 

Sexisme et machisme ne sont pas morts !

 

Si le notariat a longtemps été l’apanage de la gent masculine, il s’est fortement féminisé ces vingt dernières années, au point que 60 % des études icaunaises sont désormais tenues par une notaire. Un chiffre dont s’amuse celle qui débuta dans le métier il y a une dizaine d’années, mais à qui la déontologie interdit de préciser son nom, pour éviter toute forme de publicité : « il faudra peut-être un jour inventer un Carrefour des carrières au masculin, de sorte de faire revenir un peu plus d’hommes dans la profession… ». Elle aussi voit le fait d’être une femme comme un atout professionnel : « plus de rigueur, plus de mémoire, plus d’ordre… Il y a des hommes qui peuvent aussi en avoir, mais ce n’est pas la majorité de l’espèce ! ». (Rires).

Autre vocation, autre métier, celui de barmaid, jusque-là peu féminisé reconnaît dans un sourire Andréa dont la détermination lui a permis de s’imposer en dépit des préjugés : « il faut savoir se faire respecter face à cette forme de sexisme, pas forcément malveillant, mais que l’on ressent au quotidien, avec l’image de la petite minette derrière son bar… ».

Un stéréotype devenu un atout : « il est plus rassurant pour une femme dans un bar, de s’adresser à son homologue ». A ses côtés, Mélanie, entrée toute jeune dans l’univers de la cuisine, a dû elle aussi batailler pour trouver sa place : « c’était normal à l’époque pour une femme d’être dans sa cuisine à la maison, mais pas dans un restaurant ».

Avec la difficulté supplémentaire de commander à seulement 22 ans une brigade : « cela a été très dur au début, les collègues ne me prenaient pas au sérieux, avec ce double handicap d’être à la fois jeune et une femme. Il faut aussi supporter beaucoup de petites réflexions au quotidien. J’ai fait au total trois entreprises et de ce que j’ai pu voir, considère que le sexisme et le machisme ne sont pas morts… ».

 

 

La tactique féminine des gendarmes dans le recrutement !

 

S’il est un domaine où l’on ne s’attend pas forcément à rencontrer une femme, c’est bien celui des grues et engins de chantier ! Ancienne aide-soignante, Hatika CHEMLALI a dû, suite à un accident de travail, se reconvertir à l’âge de 42 ans. Fascinée depuis toujours par cet univers ô combien masculin, c’est tout naturellement qu’elle s’est dirigée vers le métier de grutière, où l’accueil, passée la première surprise, fut des meilleurs : « contrairement à ce que l’on pense, les hommes ne sont pas forcément des brutes. J’ai trouvé en arrivant, beaucoup de bienveillance, d’esprit d’équipe, que je n’avais jamais rencontrés du côté des femmes, dans le monde du soin et de la santé… ».

Un métier physique bien sûr, reconnaît-elle d’un sourire, mais sa détermination est sans faille et la passion aidant, elle pourrait bien faire des émules, à voir le nombre de visiteuses faisant une halte à son stand. Autre métier plébiscité, celui de gendarme, avec comme chaque année, un stand pris d’assaut tout au long de la matinée. Référente recrutement en poste à Joigny, la cheffe REVENU ne s’en étonne même plus : « depuis une dizaine d’années, le métier s’est énormément féminisé. A Joigny, nous sommes neuf femmes pour vingt gendarmes et avant, à Migennes, près du tiers des effectifs… ».

Il n’en a pas toujours été de même : « il est vrai qu’il y a treize ans, quand je suis arrivé dans le métier, c’était beaucoup plus compliqué, c’était la vieille époque, la vieille gendarmerie… ». (Rires).

Là encore, une vie professionnelle guidée par une passion apparue lorsqu’elle était encore une enfant : « à douze ans, je savais déjà vouloir devenir gendarme, mais surtout pas policière car je ne voulais pas travailler en ville, mais être plus en contact avec la population … ».

Un sens de l’humain qui n’est pas sans effet sur le quotidien : « même si c’est avant tout une question de personne et pas de sexe, le fait d’être une femme apporte auprès du public un côté un peu plus rassurant… ».


Chargée de mission et coordonnatrice de l’association FETE, Claire DUCHET a salué à l’heure des discours, les intervenantes présentes tout au long de la matinée : « grâce à votre parcours, à votre expérience, vous avez pu faire comprendre aux jeunes filles, aux femmes, que toutes les voies sont possibles, qu’il faut qu’elles s’ouvrent vers d’autres choix que ceux vers lesquels elles se dirigent massivement… ».

Un travail de longue haleine à mener le plus en amont possible ponctue la sénatrice Dominique VERIEN, présidente de la Délégation aux Droits des femmes « des actions sont menées en ce sens au sein des collèges mais il est parfois déjà trop tard, quand on sait que la rupture en maths entre filles et garçons commence à se dessiner entre le CP et le CE1… ».

 

Dominique BERNERD

 

 


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