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L’Agence France Presse (AFP) a été la première à l’avoir annoncé à la suite du conseil des ministres de ce mercredi 23 octobre : l’Etat va gratifier une dizaine de départements d’une sérieuse aide financière à leur accès au très haut débit. Soit une manne globale de 242 millions d’euros que se partageront entre autres des territoires tels que la Dordogne, l’Orne, la Somme ou le Gard. Réjouissons-nous : la Bourgogne, hormis la Saône-et-Loire, est plutôt bien lotie par cette prise de décision judicieuse de notre gouvernance…

PARIS : La bonne nouvelle, celle à laquelle on ne croyait plus depuis fort longtemps, est enfin tombée sur le fil numérique de l’AFP il y a quelques heures seulement. L’Agence France Presse a ainsi relayé dans son suivi informatif journalier qu’une dizaine de départements allaient bénéficier de 242 millions d’euros versés par l’Etat afin d’accélérer le développement de leur réseau très haut débit sur leurs territoires.

A la lecture de la liste des heureux récipiendaires de cette enveloppe y figurent en bonne position la Côte d’Or, la Nièvre et l’Yonne. La Saône-et-Loire, quatrième département de la Bourgogne, n’apparaît pas.

Les autres départements concernés par la décision gouvernementale sont la Dordogne, le Gard, l’Hérault, la Mayenne, l’Orne, la Somme et le Tarn-et-Garonne.

 

 

 

Dans le communiqué de presse émanant des services du Premier ministre, il est précisé que celui-ci a signé un ensemble de dix décisions de financement de l’Etat en faveur de réseaux d’initiative publique portés par des collectivités. Le montant global de ce dispositif s’élève donc à 242 millions d’euros. Précisions que les dix départements touchés par cette mesure accueillent près de 4,7 millions de nos concitoyens.

« Plus de quatre millions de locaux ont été rendus raccordables à la fibre optique au cours de ces douze derniers mois, a encore précisé le service de presse de Matignon, portant ainsi à 21,6 millions le nombre total de foyers éligibles à une offre de Très haut débit ».

Le chef du gouvernement Edouard PHILIPPE s’est engagé à ce que la totalité de la France soit couverte en haut débit au terme de 2020 et en très haut débit deux ans plus tard.

 


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Intervention remarquée lors du dîner de gala, proposé par le réseau Entreprendre à Auxerre en milieu de semaine dernière. Celle d’un jeune dirigeant de société, Maxime VIAUT, dont le projet CERES (Centrale d’énergie renouvelable écologique et solidaire) prend forme à Germigny avec les bases d’une première unité. Expert de la méthanisation de déchets organiques depuis une quinzaine d’années, cet ingénieur agronome entend bien apporter sa pierre à l’édifice de la transition énergétique dans le microcosme icaunais. Avant de conquérir l’Hexagone. Explications…

AUXERRE : Fruit d’une réflexion parfaitement mûrie il y a deux ans à peine, le projet CERES arrive à mi-parcours de sa conceptualisation définitive aux dires de son instigateur, Maxime VIAUT.  

Alors que son usine de méthanisation est en phase de construction à quelques kilomètres de Saint-Florentin, le porteur de projet a précisé devant un parterre d’une quarantaine d’entrepreneurs réunis par le réseau Entreprendre que le bio-méthane y sera injecté dès le début de 2020.

L’objectif de la SAS est de promouvoir très largement cette énergie propre, issue de la transformation des cultures agricoles, dans le but de baisser l’empreinte écologique totale.

Soutenue depuis 2006 par l’Etat, la filière enregistre un bel essor depuis plusieurs années. En l’espace de quinze ans, ce sont plus de cinq cents centrales de méthanisation qui ont ainsi éclos à travers l’Hexagone.

Toutefois, les chiffres sont à relativiser car ils demeurent encore faibles et très éloignés de la réalité que connaissent depuis longtemps nos voisins allemands. Ils ont déjà installé plus de dix mille centrales de méthanisation !

Mais, qu’importe ! Le souhait de Maxime VIAUT est précisément de pouvoir développer autant que se peut des structures analogues à CERES dans la majeure partie de l’Hexagone, Yonne et Bourgogne Franche-Comté comprises.

 

 

Un projet bénéficiant de précieux auxiliaires…

 

Le jeune entrepreneur ne s’aventure à la légère sur ce chemin. Le projet a été créé en lien avec plusieurs partenaires issus de l’agriculture locale. Cette alliance favorisera la production du biogaz qui sera ensuite injecté dans le réseau de GRDF.

Son rapprochement avec la Chambre de Commerce et d’Industrie, mais aussi les pouvoirs publics et surtout le réseau Entreprendre lui aura donné des ailes. Cornaqué par l’un des stratèges de cette structure, l’expérimenté Alain BOUNON, le dirigeant de la SAS a pu faire une formation de cédant repreneur d’affaires profitables pour parfaire ses connaissances en matière de gestion.

Au passage, il aura pu glaner auprès d’une douzaine de chefs d’entreprise, membres du réseau bourguignon, de précieux renseignements lui permettant de garder le cap et de conserver toute l’humilité requise pour mener à terme la feuille de route.

Sa rencontre avec Christophe CHARBONNIER, patron de la société de transport PICQ ET CHARBONNIER, aura été déterminante à plus d’un titre.

Ce dernier est déjà très investi dans l’approche de la transition énergétique des poids lourds, de la mobilité et de la sauvegarde de l’environnement. Avec son appui (Christophe est associé au projet), Maxime VIAUT a espoir de développer à brève échéance une filière de biocarburant spécifique pour alimenter les camions.

D’autres soutiens, et de taille, sont déjà dans les starting-blocks : TOTAL, ENGIE, AIR LIQUIDE, GRDF/GRT.

Pour produire ce gaz, CERES mobilise environ 700 hectares de terrain et, nous l’avons dit, une vingtaine d’agriculteurs, inféodés au concept. Séduits, ils ne pouvaient que répondre par l’affirmative devant l’ingéniosité de ce programme, similaire au commerce équitable, et réalisé en circuit-court. Cette opportunité heureuse représente à leur échelle de pouvoir valoriser leurs terres à faibles rendements. Tous les ingrédients sont donc réunis pour couronner de succès ce concept CERES qui devrait faire parler de lui dans les mois à venir…

 

 

 


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Plus de 400 techniciens spécialisés dans l’art et l’exercice de la mécanique de haute précision sont activement recherchés par la marque allemande pour grossir ses effectifs au niveau national. Pour y parvenir, le constructeur de Munich a développé depuis dix-huit mois un astucieux concept, baptisé « Sourcing Techniciens ». En y intégrant divers leviers d’actions. En tout premier lieu, via son réseau de concessionnaires, la prédominance d’un ancrage utile qui s’est renforcée auprès des lycées professionnels et des CFA.

PARIS : Créé il y a un an et demi, le dispositif « Sourcing Techniciens » commence enfin à porter ses fruits au sein du groupe BMW/MINI France. Afin d’enrayer le phénomène de récurrence observé depuis plusieurs années en matière de recrutement, le constructeur d’Outre-Rhin n’a pas hésité à faire preuve de pragmatisme pour résoudre une problématique gênante qui pénalisait son réseau de distributeurs.

De nombreuses actions font florès à travers l’Hexagone pour accroître les relations pérennes avec des lycées professionnels et des centres de formation liés au développement de l’apprentissage.

Une étude diligentée par la société automobile a permis d’aboutir à un constat plutôt surprenant, qui explique la frilosité des jeunes générations à tenter l’aventure professionnelle dans le groupe. 

Une grande majorité des apprenants français bénéficient de formation technique sur des véhicules de marques nationales. Or, beaucoup d’entre eux hésitent à découvrir ce qui se cache sous le capot d’un X 3 ou d’une Série 7, faute de connaissances.

De là à dire que les produits conçus par BMW et MINI effraient nos jeunes gens, on en serait pas loin si l’on écoute les représentants du pôle BMW France Formation, de passage la semaine dernière à Auxerre à l’occasion de la remise de deux véhicules par le groupe PANEL aux deux établissements pédagogiques de l’Yonne retenus pour profiter de ce double don !

 

 

 

L’Yonne, un département bien pourvu en dotation…

 

Mais, au-delà de ce curieux constat, il s’avère que cette crainte de l’inconnu s’observe également sur d’autres marques, issues du même terreau international.

Pour remédier à cela, et permettre aux futurs techniciens et mécaniciens diplômés de l’Hexagone de se sentir davantage à l’aise avec des modèles présentant des technologies avancées à leur bord, BMW France va offrir vingt-cinq véhicules de leur choix, à l’état neuf, dans le cadre de ce programme novateur.

Si l’initiative semble judicieuse, un seul bémol est à constater : il n’y aura que vingt-cinq automobiles offertes à autant d’établissements en France. Il en faudrait naturellement beaucoup plus. Mais, les dirigeants de BMW France réfléchissent déjà à poursuivre la démarche.

Néanmoins, cocorico, l’Yonne est plutôt bien pourvue avec le lycée Louis Davier de Joigny et le CIFA à Auxerre, deux récipiendaires de cet acte altruiste et généreux. Leurs responsables ont reçu la semaine dernière leur précieuse dotation et en feront bon usage dans leurs ateliers respectifs.

 

 


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Un chèque de 50 000 euros dans la besace. Et surtout une campagne de communication à la clé, prise en charge à 100 % par le groupe EDF afin de vanter les mérites de la start-up auxerroise dans son cœur de cible : le domaine du bien-être connecté, du travail 4.0 et des territoires durables. Voilà l’excellente nouvelle qui est tombée au soir du 16 octobre à Paris pour Isabelle GALLET-COTY, lorsque cette dernière, présidente de l’entité, s’est vue offrir l’une des distinctions de la 6ème édition des Prix EDF PULSE 2019 devant le numéro un de l’énergéticien mondial. Elle n’est pas belle la vie ?

PARIS : On le savait déjà depuis quelques semaines, l’entreprise de l’Yonne avait obtenu un premier sésame : le droit de participer à la sélection officielle de ce challenge national annuel. Rejoignant ainsi la douzaine de finalistes qui pouvaient prétendre remporter l’édition 2019 dans la catégorie « Territoires durables » d’un défi porté par EDF.

Plus de 330 candidatures avaient été enregistrées de par l’Hexagone pour concourir dans l’une des trois épreuves existantes. Objectif avoué de l’initiative soutenue par l’acteur majeur de la transition énergétique : la mise en lumière des start-up françaises, voire européennes, qui favorisent à grand renfort d’innovations le développement de nouveaux usages électriques.

Il aura fallu quelques semaines d’évaluation pour que des comités d’expert de l’innovation internes et externes au groupe EDF examinent un par un et avec beaucoup de minutie les dossiers des douze start-up retenues pour disputer la phase finale.

Informée de sa sélection, l’équipe de SAUREA croisa les doigts pour recevoir le maximum de suffrages de la part du grand public, sollicité par les réseaux sociaux, et devant se prononcer sur la pertinence de ce projet.

En cas de vote positif, le jeu en valait vraiment la chandelle puisque chacun des lauréats se voyait gratifier d’une campagne de communication réalisée dans les règles de l’art par des professionnels. Une dotation financière alléchante apportait du beurre dans les épinards. En l’occurrence 50 000 euros pour le coup de cœur (comparable à un sérieux coup de pouce) impulsé par le public !

 

 

 

Une cérémonie présidée par le numéro un du groupe EDF…

 

Le 16 octobre, entourée des siens et de son époux, Gilles, qui est aussi l’une des têtes pensantes de la structure entrepreneuriale en sa qualité de directeur technique, Isabelle GALLET-COTY, PDG de la structure icaunaise, gravissait les marches menant à l’immense scène pour y recevoir son prix. Sous les applaudissements nourris de l’état-major du groupe EDF et de son président-directeur général, Jean-Bernard LEVY.

Particulièrement adapté aux sites isolés et aux climats sévères, le moteur imaginé par le père de Gilles, Alain, et multi-breveté depuis présente des caractéristiques ultra résistantes à son utilisation.

L’appareil a eu aussi son moment de gloire lors des récentes Rencontres industrielles régionales de Bourgogne Franche-Comté (RIDY) lors de la visite à Auxerre de la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY. Suscitant un vif intérêt de l’élue régionale dont on connaît l’appétence pour tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Quant au défi relevé par SAUREA, il est de fiabiliser les installations solaires motorisées dans les zones à fort ensoleillement grâce à ce moteur auto-commuté qui convertit directement l’énergie solaire en énergie mécanique.

Dans l’absolu, l’énergie développée est équivalente à celle d’une femme qui actionne une pompe manuelle. Le moteur assure une pérennité d’usage dans les pays défavorisés, en site isolé car sans maintenance pendant une durée de vingt ans. Fiable et durable, ce processus peu coûteux (environ 3 000 euros) présente, on l’aura compris, un impact environnemental faible.

Depuis le mois de juin, SAUREA commercialise ce produit, qualifié de révolutionnaire auprès d’ONG et de fondations qui développement des zones de captage des eaux au cœur de l’Afrique. Toutefois, d’autres emplois sont d’ores et déjà envisagés à partir de ce concept technologique très poussé : les systèmes de ventilation, d’arrosage, d’humidification,…

 

 

Bénéficiant des largesses financières d’investisseurs (une coquette enveloppe de 300 000 euros obtenue en 2018), SAUREA devrait procéder à une nouvelle levée de capitaux dès la saison prochaine. Toujours pour accroître ses perspectives de développement.

L’apport de ces cinquante mille euros supplémentaires est loin d’être négligeable. A l’instar de la campagne promotionnelle qui découle de ce Prix 2019. Quant à l’appui du groupe EDF, très intéressé par la démarche technologique dans laquelle s’est précipitée la start-up auxerroise, il est bien réel.

Surfant sur la vague du succès depuis trois ans, date de sa création, on devrait entendre parler de SAUREA à brève échéance…

 

 

 

 


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Produire de l’électricité propre et la convertir, c’est bien ! La stocker en se constituant d’appréciables réserves dans un souci d’anticipation consumériste, c’est mieux ! Voilà l’équation à plusieurs inconnues à laquelle s’attaque désormais le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) en vue d’optimiser le développement des énergies renouvelables auprès de ses partenaires naturels, soit les collectivités territoriales. Par déduction, le stockage de l’énergie s’inscrivait donc comme une thématique majeure, abordée lors des 9ème Assises, où témoignages et analyses d’experts agrémentèrent le flot de réflexions passionnantes…

MONETEAU : Précurseur dans bon nombre de domaines inhérents au développement des énergies renouvelables sur le territoire, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne s’est donc attelé lors de son colloque annuel à aborder une piste interrogative, fondamentale et nécessaire à la vulgarisation pragmatique de celles-ci, le stockage.

Partant du postulat qu’un fonctionnement optimal du réseau électrique dépendait de l’équilibre entre l’offre et la demande, l’organe institutionnel de l’Yonne préconise de prioriser des solutions de stockage. Afin de maintenir judicieusement ce fameux équilibre selon les besoins.

Si cela ne pose de problèmes en soi pour contenir dans une structure confinée les énergies gazeuses (méthane de synthèse, hydrogène), il n’en est pas de même pour l’électricité à proprement parlé, beaucoup plus complexe à conserver.

La diversité des sources d’énergies explique ce besoin d’optimisation du stockage. Comme devait l’indiquer le président du SDEY Jean-Noël LOURY dans ses propos liminaires : « nous sommes conscients que nous avons avec le vent, le soleil et la biomasse des outils de substitution qui à terme nous permettront de recouvrer notre indépendance énergétique localement. Mais, nous avons aussi conscience que notre devoir est d’agir pour pérenniser notre confort de vie tout en respectant les ressources naturelles mises à notre disposition… ».

 

Encourager et accompagner la mutation énergétique…

 

Le syndicat est à l’origine de la création d’une société d’économie mixte (SEM Yonne Energie) qui à ce jour prospecte et travaille sur des projets d’avenir permettant de créer d’autres ressources naturelles. Parmi lesquelles l’électricité par l’éolien ou le photovoltaïque, l’hydrogène par électrolyse, le méthane de synthèse, un processus développé avec le concours de trois partenaires (STORENGY, AREVA et ELECTROCHAE) sur une décharge gérée par COVED à Saint-Florentin.

Le thème du stockage occupa les congressistes une majeure partie de la matinée grâce à une table ronde où se succédaient les exégètes de la spécialité.  

 

 

 

Si la légitimité initiale du syndicat d’énergies de l’Yonne reposait sur la gestion des réseaux d’électrification (un chantier qui est loin d’être abandonné de surcroît comme le rappela le président de l’organisme), le SDEY a pris pour cible les enjeux fondamentaux de la transition énergétique dans sa globalité. Créant une multitude d’outils et actions pour favoriser cette profonde mutation. Ceci étant profitable aux collectivités territoriales dans leur stratégie d’adaptabilité et de changements.

 

Le SDEY au service des communes dans l’accomplissement de leurs travaux…

 

Quant à la première table ronde, elle fut programmée un peu plus tôt dans la matinée. Elle sera le reflet de témoignages plus terre à terre, avec l’énumération de ceux vécus par les élus du département qui présentaient leurs multiples actions en matière d’amélioration dans l’emploi des énergies renouvelables dans leurs communes.

Furent ainsi mises en exergue toutes les opérations favorisant la pratique de l’auto-partage, la pose de bornes de charge de véhicule électrique, la rénovation de l’éclairage public ou encore l’utilisation de la connectique dans la gestion de cette même typologie d’éclairage.

La présence des représentants du syndicat donnera l’opportunité à ces derniers de pouvoir expliquer comment les services de la vénérable institution jouaient un rôle de facilitateur qualifié dans la réalisation de ces travaux.

Bref : ce furent des Assises de belle facture par leurs débats riches et nourris, offrant des éclaircissements et des réponses aux élus pouvant encore s’interroger sur les actions à mener pour devenir de véritables acteurs de la transition énergétique.

 

 

 

 


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