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On le connaissait chanteur engagé, il se proclame artiste confiné, et il le prouve ! L’incorrigible et talentueux barde de Puisaye, défenseur de la chanson à texte au potentiel intellectuel certain, livrera en avant-première ce dimanche après-midi un extrait de sa nouvelle création, « De Tulle à Auxerre, des bords de la Corrèze aux rives de l’Yonne » par vision numérique. A déguster sans modération et avec gourmandise depuis le fauteuil de son salon devant l’âtre de la cheminée…

ETAIS-LA-SAUVIN : Deux horaires sont prévus en cette journée dominicale du 29 mars pour la diffusion du premier concert numérique et confiné, unique en son genre, proposé par le charismatique auteur-compositeur et interprète de l’Yonne. La première séance sera visible dès 16 heures. La seconde, plus tardive puisque programmée à 23 heures, satisfera les noctambules.

Dans les conditions du direct (Gérard-André nous a appris par le passé qu’il ne trichait jamais avec la technique), l’artiste s’exprimera, guitare à la main, s’appuyant sur un répertoire enrichi d’une vingtaine de morceaux, rétros ou plus actuels.

Les sources de ces chansons à la sensibilité à fleur de peau seront soit d’inspiration purement personnelle soit issues de ce riche vivier de créatifs de  l’Yonne qu’il a mis en musique à l’instar de la poétesse Marie NOEL, du conteur paysan Roland FORGEARD ou de Claudine GUERIN-MANDON.

Pour profiter du spectacle, gratuit il va de soi depuis son domicile, rien de plus simple. Andrée, la muse artistique qui partage son quotidien, et Gérard-André ont conçu une émission, baptisée « CVO » (Closerie Vidéo Ouverte) qui est opérationnelle tous les jours par le biais du multimédia.

L’idée est de préserver pendant la période de confinement une interaction artistique avec les férus de culture qu’ils soient assidus à la programmation habituelle du théâtre champêtre d’Etais-la-Sauvin, ou pas.

Ainsi, à raison de deux rendez-vous journaliers (17 h et 23 h), une émission musicale, poétique, chantante et onirique est ainsi relayée. Inauguré le 21 mars dernier, le concept « CVO » déclinait ses deux premières réalisations en direct : elles avaient fédéré plus d’une centaine de participants.

Initialement diffusé sur la page Facebook de l’artiste,   https://www.facebook.com/gerardandre.gerardandre, le canal « CVO » l’est désormais sur le site de La Closerie : http ://www.lacloserie-spectacles.fr/.

La magie de la technologie est rendue possible grâce aux compétences et à la générosité de Christine MOREL-FERRER qui a élaboré le site du complexe théâtral.

 

Pour plus d’informations sur la programmation : 09.75.62.81.41. ou sur le référent mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

 


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Les forces de la gendarmerie nationale ont déployé une quinzaine de leurs hommes en matinée de ce samedi 28 mars à Toucy pour y effectuer une opération de contrôle, appuyée par la vision aérienne. Un drone a survolé la ville de Puisaye afin de s’assurer du respect des mesures de confinement…

TOUCY : Ambiance feutrée dans les rues de la localité de Puisaye, ce samedi matin. Pas âme qui vive ou presque autour de la grande place et de ses rues adjacentes où, en temps normal, artisans et commerçants animent bruyamment le quartier en vendant leurs produits à l’occasion du traditionnel marché.

Comme chaque jour, depuis la proclamation officielle du président de la République le 17 mars dernier, les habitants de Toucy restent chez eux afin d’y respecter les mesures de confinement.

Pourtant, une poignée d’hommes, une quinzaine de représentants de la gendarmerie nationale, étaient déployés ce samedi dans le cœur de ville. Sous un joli soleil printanier, les militaires mobilisés sur le terrain veillaient à l’application des règles strictes de ce confinement nécessaire à la limitation de la propagation du coronavirus.

A l’instar de leurs autres collègues, plus de 150 hommes, qui évoluent tous les jours sur les routes, dans les villages et villes de notre département.

Commandant de groupement de la gendarmerie de l’Yonne, le colonel Rénald BOISMOREAU était lui aussi aux avant-postes de cette opération où fut utilisée pour la première fois dans l’Yonne la vision aérienne, à l’aide d’un drone. L’appareil permettait d’assurer le contrôle systématique des véhicules et passants à travers l’agglomération depuis les airs.

« Enfreindre la règle coûte 135 euros, rappelle l’officier de gendarmerie, or, si la plupart des habitants voient plutôt d’un bon œil ce type d’action, qui vise à protéger le collectif, ceux qui ne disposent pas d’attestation ou qui ne peuvent pas justifier de leur sortie apparaissent plutôt amers… ».

D’autant qu’avec l’amorce du retour d’un chaleureux soleil, la tentation pourrait être grande de baguenauder innocemment dans les rues agréables de la cité.

 

 

 

Mais, le colonel BOISMOREAU le précise : « l’objectif de notre présence est de rappeler que les règles de confinement s’appliquent tous les jours de la semaine, y compris (et peut-être même surtout) le week-end… ».

D’ailleurs, en cas d’actes récidivistes, la sanction serait alourdie, pouvant être portée à 1 500 euros et se transformer derechef en délit, en cas de nouvelle réitération.

Pourtant, quelques-uns n’ont pas encore compris de l’enjeu de la situation, selon le colonel de la gendarmerie.

« Pour endiguer le virus, il faut rester chez soi : c’est une règle de base pour  soi, pour les membres de sa famille et pour tous les autres… ».

Soucieux de faire respecter les gestes barrières, les gendarmes appliquent donc des procédures strictes qui limitent tout contact. Si l’heure n’est plus à la pédagogie, l’écoute et la qualité des relations humaines demeurent cependant très perceptibles dans leurs démarches…

 

 


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Parmi les professionnels du secteur automobile qui sont encore autorisés à poursuivre leurs activités malgré la pandémie de coronavirus, citons les centres de contrôle technique. Contribuant à optimiser la sécurité sur nos routes de manière très favorable, ces entreprises accueillent de la clientèle en respectant les consignes de protection. Cependant, une tolérance est prévue sur les délais pour réaliser ces opérations…

PARIS : L’information émane du ministère de la Transition écologique et solidaire, dirigée par Elisabeth BORNE, et du secrétaire d’Etat chargé des Transports, Jean-Marie DJEBBARI.     

Les centres de contrôle technique demeurent opérationnels dans l’Hexagone malgré la période de confinement. Assimilés aux activités d’entretien et de réparations des véhicules automobiles (poids lourds et bus également), ils ont reçu les autorisations d’usage pour continuer de recevoir la clientèle. Dans le respect des mesures sanitaires en vigueur.

Toutefois, des délais ont été accordés pour réaliser lesdits contrôles afin de concilier les enjeux de sécurité et les besoins de circulation pour assurer la continuité des services et de la vie économique.

Ainsi, une tolérance de trois mois est possible pour le contrôle technique des véhicules légers. Ce dispositif s’applique également aux délais prévus par la règlementation dans le cadre des contre-visites de ces mêmes véhicules.

 

 

 

 

Quant aux poids lourds et aux véhicules de transport en commun, le contrôle technique continue, compte tenu des enjeux de sécurité. Mais, là aussi, les ministères ad hoc ont adopté un profil de souplesse, accordant des délais supplémentaires de quinze jours afin de  pouvoir réaliser les opérations auprès des centres officiels.

Rappelons que bon nombre de véhicules doivent circuler dans les prochaines semaines sur les routes de France. A commencer par ceux qui vont assurer l’approvisionnement des denrées alimentaires, la livraison des gaz médicaux indispensables au bon fonctionnement des respirateurs artificiels, la livraison de carburants, mais aussi le transport en commun de personnes ou des particuliers qui doivent se rendre sur leur lieu de travail.

L’ensemble des centres de contrôle technique ouverts en France pour les poids lourds et les bus sont également recensés sur le site de BISON FUTE.

 

 

 

 


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On y verrait presque comme en plein jour ! Depuis la semaine dernière, la localité septentrionale de l’Yonne a officialisé son éclairage public flambant neuf. Il possède la particularité d’être fonctionnel grâce à des luminaires LED connectés. Adieu l’ancien éclairage qui était devenu trop vétuste. Et vive le nouveau matériel, obtenu avec le soutien financier et l’aide technique du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne…

CHAMPIGNY : Les villageois ne peuvent que se satisfaire du nouvel éclairage public qui fonctionne à merveille et ce, depuis quelque temps. La localité du nord de l’Yonne a rénové l’ensemble de son parc public, considéré comme obsolète, en optant pour des luminaires LED connectés.

Ce sont 380 luminaires qui ont été ainsi installés avec le précieux concours du SDEY, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne.

Son président, Jean-Noël LOURY, a pu procéder la semaine dernière à l’inauguration officielle de cette amélioration indéniable pour la visibilité des habitants de la commune, dont le maire n’est autre que Michel GUILLON-COTTARD.

Côté travaux, l’investissement s’élève à 280 000 euros TTC dont 145 000 euros à la charge de la collectivité. Un budget, certes, conséquent qui est cependant vite compensé par les économies réalisées sur ce poste capital dans la vie quotidienne locale.

 

 

Jean-Noël LOURY aura énoncé quelques bonnes vérités lors de la phase inaugurale de cette installation, notamment sur la faible consommation des leds (50 % de moins qu’une ampoule traditionnelle).

Le SDEY prend à sa charge l’entretien et l’assistance de ces luminaires modernes durant une période de cinq années ; ce qui n’est pour déplaire aux élus qui souscrivent sans rechigner à la rénovation de leur éclairage.

Dans l’Yonne, près de 80 localités disposent d’un éclairage public à base de leds dont quarante-deux sont opérationnels via un système connecté qui permet d’assurer une gestion affinée et précise du besoin de lumière.

 

 


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L’industrie 4.0, à base de haute technologie, se présente comme l’un des atouts majeurs de la nouvelle ère industrielle qui se présente à nous. Un irréductible passionné de robotique collaborative, et de surcroît jeune entrepreneur de son état, Ned CEKIC relève le défi dans le nord de l’Yonne depuis le 01er janvier. Proposant à l’aide de sa structure l’usage de la cobotique et l’application de ses vertus aux industriels qui ont besoin d’améliorer leur processus de fabrication…

COURTOIS-SUR-YONNE : A 46 ans, Ned CEKIC présente un profil professionnel hautement qualifié. Ingénieur en robotique et en informatique industrielle, le néo-entrepreneur maîtrise son sujet sur le bout des ongles.

Logique, il a bénéficié en amont d’une longue expertise de plus de deux décennies parmi des poids lourds incontestables de l’entrepreneuriat à la française : les groupes ALSTOM et SAINT-GOBAIN !

Aujourd’hui, seul, il endosse la vêture d’un dirigeant de société, une SAS, au format et à la cible parfaitement bien étudiés. Pas étonnant que l’association INITIACTIVE 89 ait flashé sur son projet, minutieusement élaboré, et approuvé par l’intermédiaire de l’un de ses conseillers, Julien LACOMBE.

Associer l’emploi qui n’a rien de futuriste de la robotique à la vision créative des entrepreneurs industriels afin que ces derniers améliorent leur mode opératoire de fabrication ne pouvait passer inaperçu dans le sérail icaunais. Le dossier se distinguait nécessairement des autres, posés sur le coin d’un bureau !

 

 

 

 

INITIACTIVE 89 s’est engouffré tout de go dans la brèche. Mais, la structure associative départementale ayant pour vocation d’accompagner les porteurs de projets via l’obtention de prêts d’honneur n’est pas la seule.

Portée sur les fonts baptismaux au premier janvier dernier, NEED ROBOTICS ambitionne de devenir très vite, et sur un plan hexagonal, une entreprise novatrice et performante. Contributrice de solutions mûrement réfléchies auprès d’industriels qui souhaiteraient éviter que leurs opérateurs ne multiplient les tâches répétitives et pénibles, ou ne portent des charges trop lourdes, synonymes de TMS (les fameux troubles musculaires du squelette).

 

 

De multiples débouchés pour asseoir sa suprématie technologique…

 

Le CETIM (Centre technique des industries mécaniques) s’intéresse de très près à cet entrepreneur à l’esprit vif qui espère une ramification rapide de son activité dans un rayonnement de deux cents kilomètres autour de sa base arrière et qui le restera : le Sénonais.

Paraphé le 08 janvier dernier, un premier contrat d’ingénierie lie la jeune start-up de l’Yonne au puissant groupe SAINT-GOBAIN WEBER. Ned CEKIC ne pouvait pas mieux démarrer sa nouvelle carrière d’entrepreneur avec autant de sérénité.

Mais, le garçon entrevoit d’autres possibilités collaboratives du même aloi avec le concept de cobotique dont il assure la promotion. Les secteurs de la santé, de la médecine, de la viticulture, de l’industrie mécanique représentent autant de filières potentielles où les débouchés offrent une sérieuse opportunité de s’affirmer.

Sachant que le coût de cellules robotisées est amortissable assez rapidement pour les PME qui opteraient dans l’achat de ces solutions pratiques (entre 80 et 100 000 euros).

 

 

Conceptualisé à partir d’une imprimante 3D, avec l’aide de partenaires (UR, YASK), l’appareil robotisé intègre après quelques mois de fabrication le site industriel de l’acquéreur afin de pallier aux manques, le plus souvent de personnel.

Une demi-douzaine d’emplois pourrait être créée d’ici cinq ans par le président de la SAS. Les profils sont déjà connus : commerciaux, automaticiens, projeteurs dessinateurs techniques, service après-vente…

 

  

Levées de fonds et partenariat utile avec les étudiants…

 

Stratégiquement, NEED ROBOTICS s’appuiera dans le cadre de son développement sur la présence d’un « tech-center » (un local de deux cents mètres carrés sera nécessaire pour accueillir les techniciens) qu’il suffira ensuite de positionner au bon endroit. Sans doute en Côte d’Or, voire en Saône-et-Loire afin de répondre aux exigences sectorielles imputables à la région Bourgogne Franche-Comté.

Quatre agences compléteraient ce maillage tactique en parallèle. Elles seraient implantées dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Aube et l’Yonne, qui conserverait le siège social de la société.

Précisons qu’une première levée de fonds aura permis à l’entrepreneur de bénéficier de précieux subsides (40 000 euros) de la part du réseau Entreprendre Bourgogne et d’INITIACTIVE 89. La BPI et la Région ont également été sollicités.

Désireux aussi de transmettre son savoir aux plus jeunes des générations, Ned CEKIC s’est rapproché de l’IUT licence professionnelle robotique et industrie de Reims avec lequel il a développé une convention de partenariat.

Côté performance, il espère atteindre les deux millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2025. Il ne serait pas surprenant qu’à cette date il dépasse aisément les objectifs fixés…

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89…

 

 

 


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