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Depuis le 13 mars, trois banques américaines ont coulé : la « Silicon Valley Bank », la « Silvergate Bank » et la « Signature Bank ». Ces faillites  ont  suscité l’inquiétude en Europe, notamment en France. Mais les banques de l’Hexagone sont-elles réellement en danger ? La déconfiture de la SVB représente aux Etats-Unis, la plus grande faillite bancaire depuis 2008 ! Après une semaine de dégringolade en bourse, la présidente de la Banque Centrale Européenne (BCE), Christine LAGARDE, a tenté rassurer les investisseurs et épargnants…

 

TRIBUNE : Il lui aura fallu trouver les mots justes : « Le secteur bancaire de la zone euro est résilient, avec de solides positions en capital et en liquidités, que nous pouvons allouer au système financier de la zone euro si nécessaire ». Ainsi s’est exprimée la patronne de la BCE, Christine LAGARDE, le 17 mars.

L’emballement a débuté le 13 mars en Californie, après la faillite de la banque américaine « SVB », et les images de centaines de clients venus retirer leur argent. La banque s’est trouvée dans l’impossibilité de trouver les liquidités nécessaires…De triste mémoire pour les nostalgiques.

Cette annonce est intervenue quelques jours après la liquidation de "Silvergate Bank", un établissement surtout présent dans les crypto monnaies. Cela a surpris les investisseurs et a ravivé les craintes sur la solidité de l'ensemble du secteur bancaire, notamment avec la rapide montée des taux d'intérêt qui fait baisser la valeur des obligations dans leurs portefeuilles. De quoi déclencher un mouvement de panique sur les marchés, où les quatre plus grandes banques américaines ont perdu 52 milliards de dollars en peu de jours.

 

Les spécialistes tentent de se rassurer… 

 

En quelques jours, le Crédit suisse et le fond américain « First Republic » ont dévissé à leur tour. Les deux banques, monuments de la finance helvétique, ont des profils très similaires. C'est une fusion emblématique pour le secteur bancaire européen : le géant helvète « UBS » va racheter son grand rival le Crédit suisse, en grande difficulté après s'être effondré en bourse la semaine passée (l’action est en berne !). L’inquiétude a gagné les marchés. Sur l’ensemble de la semaine, BNP (14,11 %), Crédit Agricole (9,23 %) et Société Générale (16,81 %) ont vu leurs actions plonger. Peut-on revivre la crise bancaire de 2008 ? Non, selon les spécialistes.

La faillite de la SVB est emblématique à plus d’un titre. D’abord, il est important de réaffirmer qu’une banque peut faire faillite et ce, quelle que soit sa taille. D’autre part, la SVB, après des investissements financiers désastreux, les clients de la banque ont quasiment tous demandé le retrait de leurs fonds déposés : c’est la base même de la banqueroute.

Une situation bien différente de 2008…

 

Les experts scrutent désormais un possible effet sur des plus grandes banques, nationales, et donc le fameux effet domino. « Le seul problème, c'est qu'on ne sait pas tout pour l'instant. Je pense qu'il faut être honnête, on ne sait pas quelles sont les ramifications de cette banque avec d'autres banques américaines. Si de grands établissements américains sont concernés, alors là, il y a effectivement un danger », souligne l'économiste Marc TOUATI. Ajoutons tout de même que les deux banques qui ont fait faillite aux Etats-Unis étaient la référence du Bitcoin…

En revanche, les observateurs sont unanimes : la situation est très différente de celle en 2008. Aujourd’hui, le cas de « Silicon Valley Bank » est circonscrit aux États-Unis et au seul secteur des nouvelles technologies. « La bourse réagit parce qu’elle comprend que c’est la fin de la bulle du numérique », explique l’économiste. « Mais il y a quand même une bonne nouvelle : nous ne sommes pas face à « LEHMAN Brothers » qui était la banque d’affaires du monde entier. Quasiment toutes les banques du monde y étaient liées… ajoute-t-il.

Les problèmes rencontrés par la banque « sont très spécifiques » et ne sont pas de nature « à affecter l'ensemble du secteur bancaire, encore moins les grandes banques », abonde Ken LEON, analyste pour le cabinet CFRA.

De fait, depuis la crise financière de 2008/2009 et la faillite de la banque américaine « LEHMAN Brothers », les banques doivent donner des gages renforcés de solidité à leurs régulateurs nationaux et européens. Elles doivent par exemple, justifier d'un niveau minimal de capital plus important destiné à éponger les éventuelles pertes.

 

 

Les garanties de l’Etat aux personnes physiques et aux comptes professionnels…

 

Les autorités américaines ont rapidement annoncé que les clients ne seraient pas lésés. Rappelons au passage que pour les banques françaises, l’Etat apporte des garanties spécifiques aux clients « personnes physiques » : 100 000 euros par personnes et par banque. Même garantie pour les comptes des commerçants, artisans et professions libérales. Pour les sommes exceptionnelles déposées : la vente d’un bien immobilier, la donation, l’héritage… la limite d’indemnisation de 100 000 euros est relevée de 500 000 euros pendant trois mois. Les dommages corporels sont couverts sans limites de montant. 

La faillite de SVB pourrait aussi avoir des répercussions sur l'écosystème des startups et des VC (Venture Capital) en France. De nombreuses startups françaises ont des liens étroits avec la « Silicon Valley ». Certaines d'entre elles ont peut-être des comptes chez « SVB ». Celle-ci se targuait d'avoir pour clients « près de la moitié » des entreprises technologiques et des sciences du vivant, financées par des investisseurs américains. La mise en liquidation ordonnée de la banque va leur permettre de récupérer jusqu'à 250 000 dollars par client, soit le maximum garanti par la FDIC. Mais, selon le rapport annuel de « SVB », la partie des dépôts non assurée se montait à environ 96 % du total des 173 milliards de dollars confiés à l'établissement.

 

 

Quelles précautions prendre ?

 

Tout d’abord, pour les plus fortunés, si vous avez plus de 100 000 euros sur un compte bancaire, ouvrez autant de comptes, dans des établissements différents, par fraction de 100 000. Faut-il vendre ses actions ? C'est même, bien généralement la pire chose à faire, puisque vous raterez très probablement le rebond.

Prenons un exemple : vous avez acheté 10 actions au cours de 80 euros  – le cours passe à 30 : perte potentielle évaluée à 800 – 300 = 500 euros. Prudent, vous n’avez pas vendu mais acheté 10 titres à 30 (rachat à la baisse). Le rebond permet au titre de remonter à 65. Vous revendez 20 actions à 65 euros, soit 1 300 euros. Gain : achat de 10 titres à 80 et 10 titres à 30, le total déboursé est de 800+300 = 1 100 euros. La vente permet d’encaisser 1 300 euros, donc un bénéfice de 200 euros – à comparer à la perte de 500 euros si vous aviez tout vendu dès la chute des titres…

Lorsque la bourse perd 20, 30 ou 40 %, il est généralement trop tard pour vendre ses titres. Pour mieux anticiper, la meilleure solution est de bien diversifier ses placements et de se montrer patient. La diversification boursière, c’est de répartir les titres sur des secteurs différents en évitant pour l’instant les banques (ne pas vendre et attendre le rebond) et les startups.

En conclusion, aujourd’hui pas de panique mais de la prudence dans l’orientation des placements et diversifier les placements boursiers !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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D’Allemagne, de Belgique, de Suisse, d’Italie mais aussi de Grande-Bretagne : les experts de l’affûtage et de la rectification n’ont pas hésité à venir des quatre coins de l’Europe, ce week-end, afin de prendre part au traditionnel rendez-vous biennal du Syndicat des Affûteurs Français d’Outils Tranchants (SNAFOT). Un évènement industriel de très belle facture, accueillie à Auxerre…

 

AUXERRE : « Ce fut un très beau salon ! ». Quelques mots suffirent pour le directeur du parc des expositions géré par Centre France Evènements, filiale du groupe de presse régional, Sébastien FUENTES pour résumer ce qui fut un week-end constructif et convivial pour les spécialistes européens de l’affûtage et de la rectification.

Des industriels en provenance de plusieurs pays du Vieux Continent qui se retrouvent à raison d’un rendez-vous organisé tous les deux ans par l’organisme fédérateur dédié à cette filière : le SNAFOT, le Syndicat national des Affûteurs Français d’Outils Tranchants.

Apparu en 1976, voilà près de cinquante ans, cet organisme se veut être rassembleur parmi cette caste spécifique de la vie industrielle, se présentant comme une association professionnelle désireuse de créer des liens et de partager des informations. Une structure qui se plaît à mettre en exergue la promotion de ses métiers, par le biais de ses différents centres de formation mais aussi cet évènement qui a posé ses jalons en terre de l’Yonne, trois jours durant.

 

 

 

 

Des retrouvailles après quatre ans de disette imputable à la COVID !

 

Ce salon, baptisé « AFF’ Tech », aura ainsi facilité les échanges entre ses participants tant les industriels que leurs fournisseurs et clients ; d’autant que ces derniers n’avaient pas eu l’occasion de se revoir depuis bientôt…quatre ans ! La COVID ayant eu raison de la précédente édition de 2021, programmée à Reims.

Cette fois-ci, il n’en fut rien. Aucune perturbation en vue durant ces trois journées de travail et de cordialité à AUXERREXPO, devenu le temps d’un week-end, la capitale européenne de ce secteur industriel, peu connu du grand public…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans le jargon usuel de la politique, on appellerait cela une « prise de guerre ». Une bonne pioche pour permettre de se faire connaître et de recueillir davantage d’audience autour de soi. En se ralliant à la jeune formation politique de Raphaël GLUCKSMANN et Aurore LALUCQ – « Place Publique » prône un changement radical de paradigme pour que justice sociale et justice écologique deviennent indissociables -, l’élu d’opposition à la mairie d’Auxerre et d’agglomération de l’Auxerrois prend ainsi ses distances avec les partis de gauche traditionnels qui, selon lui, « se perdent dans des logiques d’appareil »…

 

AUXERRE : C’est le nouveau coordinateur de ce mouvement politique citoyen apparu depuis peu dans l’Yonne, et qui entend construire un nouveau projet de société, qu’il l’affirme : « le ralliement de Rémi PROU-MELINE va nous permettre de porter la voix de « Place Publique » dans l’Auxerrois ».

Une adhésion sur le fond et sur la forme qui satisfait pleinement Mickael PAGNOUX. Le représentant de la jeune formation, portée sur les fonts baptismaux en 2018 par Raphaël GLUCKSMANN et Aurore LALUCQ, a fait savoir la « bonne nouvelle » par un communiqué adressé à la presse, ce jour.

Une information à double sens, en vérité. Primo, cela traduit la structuration progressive de ce parti qui rassemble de plus en plus d’adhérents au niveau hexagonal, avec l’optique des prochaines élections européennes en 2024, mais aussi sur le terrain de la proximité. Désormais, l’Yonne accueille l’une de ses antennes départementales.

 

Représenter une alternative sur la base d’une gauche responsable et capable…

 

Secundo, que « Place Publique » peut déjà rallier en son sein des personnalités influentes de la sphère politique locale. En témoigne cette intégration de Rémi PROU-MELINE que bon nombre d’Auxerrois connaissent bien pour sa verve pertinente, parfois teintée d’ironie, voire d’insolence à l’égard de la majorité en place.

Vu de Mickael PAGNOUX, ce ralliement est primordial. L’étudiant de 23 ans – il suit à l’heure actuelle un Master 2 d’affaires publiques à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne – connaît et apprécie l’engagement « inébranlable au nom de la probité et de la transparence » de l’élu auxerrois.

 

 

Soucieux de défendre la voie d’une Europe capable de se hisser à la hauteur de nombreux défis (la crise sociale qui ne cesse de s’aggraver, l’accélération du réchauffement climatique, la crise démocratique entachée par le passage en force avec le « 49.3 » de la réforme des retraites, la guerre aux frontières orientales du continent…), « Place Publique » et ses jeunes loups de la vie politique veulent proposer une alternative sur la base d’une gauche responsable, et capable d’élaborer un projet de société s’appuyant sur les transitions sociales et écologiques.

 

Jouer sa partition au sein de ce jeune mouvement politique citoyen…

 

Avec en toile de fond, c’est une évidence, les futures échéances électorales, celles des Européennes 2024.

Quant à Rémi PROU-MELINE, il souhaite jouer sa partition au sein de l’antenne icaunaise de « Place Publique », mouvement qu’il considère crédible et sérieux pour répondre aux attentes de la société.

« Là où les élus de gauche se perdent dans des logiques d’appareil, précise-t-il, l’action des élus de « Place Publique », notamment au parlement européen, démontre un vrai travail de fond afin de répondre aux grands enjeux de notre époque… ».

Un soutien de poids pour « Place Publique » avec l’arrivée de Rémi PROU-MELINE ? L’avenir nous le révèlera…

 

Thierry BRET

 


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Un an déjà, un an seulement… Après des mois de tension entre les deux pays, Ukraine et Russie, le monde sidéré assistait à l’envahissement de l’Ukraine par son voisin russe aux premières heures d’un 24 février gravé dans les mémoires. Premières images d’un « président courage » en treillis kaki dans la nuit de Kiev sous les bombes et du visage dur d’un autocrate enfermé dans son palais du Kremlin, annonçant le début d’une « opération militaire spéciale ». Premières frappes, premiers morts dans les rues, premiers massacres…

 

TRIBUNE : Et l’heure pour certaines figures de l’échiquier politique hexagonal à l’âme russophile, d’acheter en urgence une veste réversible pour tenter de faire oublier le passé et la complaisance manifestée jusqu’alors envers le « tovaritch » Vladimir !

Trois cent soixante-cinq jours après, alors que les combats font toujours rage et qu’une sortie de crise diplomatique apparaît de plus en plus improbable, l’on se dit que cette invasion de l’Ukraine était tout sauf une surprise. Point d’orgue d’une guerre déclenchée en 2014 avec l’annexion de la Crimée, et la mise sous tutelle de la région du Donbass, auxquelles la communauté internationale n’a pas réagi assez fermement, laissant toutes latitudes à Vladimir POUTINE pour parachever son œuvre mortifère. Boutcha, Marioupol, Kramatorsk, Kherson…, autant de villes martyres dont le nom résonne douloureusement, qui ne sont pas sans rappeler les crimes de guerre commis en Syrie par le maître du Kremlin, sept ans auparavant, en soutien au régime de son ami Bachar Al-ASSAD.

 

Une politique différentialiste de l’Etat entre réfugiés afghans et réfugiés ukrainiens…

 

Depuis le début du conflit, 115 000 Ukrainiens ont trouvé refuge en France, dont 630 pour le seul département de l’Yonne. Une population composée majoritairement de femmes et enfants, accueillis avec un aval populaire sans précédent, pas toujours couronné de succès au demeurant. On se souvient de ces familles prévues séjourner à Saint-Georges-sur-Baulche qui, moins d’une heure après leur arrivée, reprirent leur route, direction les Pays-Bas, au grand dam du collectif local d’aide aux réfugiés.

 

 

Un élan de solidarité nationale salutaire et réconfortant, qui résonne toutefois cruellement avec le traitement manifesté quelques mois plus tôt à l’égard des réfugiés Afghans fuyant les talibans après la chute de Kaboul. D’un côté, un dispositif d’aides sans précédents, de l’autre, un discours axé sur la « gestion des flux migratoires » et le « contrôle des frontières ». Une politique différentialiste de l’Etat révélatrice d’une règle bien connue du monde journalistique, appelée « loi de proximité » : moins la distance culturelle est importante, plus grande est l’empathie. Le fait de voir la guerre revenir à nos portes réveille les traumatismes de l’Histoire, nous conduisant à nous identifier chaque jour davantage au peuple Ukrainien.

 

 

Même l’expression « guerre nucléaire » n’est plus taboue…

 

Ce que Moscou imaginait être une guerre éclair ressemble plus au fil des semaines au siège de Verdun ou de Stalingrad et les bombardements restent quotidiens. Une guerre des positions dont le sinistre compteur totalise plus de 100 000 morts dans chacun des deux camps et à l’avenir incertain. Comment y mettre fin ? Les risques d’escalade sont-ils réels ? Se dirige-t-on vers une Troisième Guerre mondiale… ? Une équation à plusieurs inconnues dont personne n’a la clé et aujourd’hui, plus rien n’est tabou, même la formule de « guerre nucléaire » ! Qu’en sera-t-il dans un an, dans deux ans, dans cinq ans, si le conflit perdurait ? Le formidable élan de solidarité manifesté jusqu’alors vis-à-vis de l’Ukraine sera-t-il encore de mise ? Sommes-nous prêts longtemps encore à affronter une inflation annuelle à deux chiffres qui plombe le moral des Français et à voir le prix de l’énergie s’envoler chaque jour un peu plus… ?

On le dit « fou », « esseulé », « parano », « malade », mais comment dessiner, l’après-POUTINE ? Et surtout, par qui le remplacer, tant la liste des prétendants fait froid dans le dos, à commencer par le fondateur du groupe Wagner, Evgueny PRIGOJINE, auprès de qui, POUTINE fait office de « Bisounours » !

Faudra-t-il, pour déloger l’actuel président russe, aller « le buter jusque dans les chiottes », pour reprendre les mots qu’il utilisait à l’encontre des Tchétchènes en 2003 ? A peine plus de 1 500 kilomètres séparent Kiev de Dantzig (aujourd’hui Gdansk), ville polonaise rattachée symboliquement au début de la Seconde Guerre mondiale. C’est à la fois si loin et tellement près…

 

Dominique BERNERD

 

 


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C’est le fruit de cinq années d’âpres négociations. Cinq longues années qui furent passablement perturbées par l’omniprésence de la COVID ; ce qui devait entraîner son lot de retards intempestifs et parfois de légitimes frustrations. Mais, cette fois-ci, le dirigeant de la filiale asiatique de LOGI Yonne, Didier MERCEY, n’aura pas effectué le voyage en terre vietnamienne pour rien. La convention de partenariat a pu être enfin paraphée entre les signataires ce 15 février. Et concrétiser ainsi les futurs échanges estudiantins tels que le souhaitait l’entrepreneur du Sénonais…

 

DANANG (Vietnam) : Cette fois, la chose est entendue entre l’Université du Havre-Normandie et l’Institut polytechnique de Danang. La convention de partenariat unissant désormais ces deux entités a bel et bien été ratifiée par ses signataires à l’autre bout de la planète, aux antipodes du territoire de l’Yonne, alors que l’un des participants à cette cérémonie protocolaire inhabituelle n’était autre que Didier MERCEY, la figure de proue du Port de GRON et de la société exploitante locale, LOGI YONNE.

Il aura donc fallu cinq années de lentes négociations, perturbées par les soubresauts épidermiques d’une pandémie sanitaire internationale, la crise de la COVID 19, pour que le projet né de l’imaginaire fécond du chef d’entreprise de l’Yonne n’aboutisse concrètement. Un entrepreneur qui connaît particulièrement bien le Vietnam puisqu’il y a érigé sur le sens vertueux des affaires et avec le concours de son partenaire local, la société commissionnaire de transport ASIA TRANS, sa filiale locale, implantée à Danang, LOGI VIET France.

 

 

Un rôle d’ambassadeur privilégié de la Chambre de Commerce et d’Industrie à l’international…

 

L’adhésion de la structure au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie française présente au Vietnam a permis à Didier MERCEY de jouer le rôle d’ambassadeur privilégié de l’Hexagone au développement de l’économie et de ses dérivés, dont la formation et l’enseignement supérieur, dans le pays du Dragon.

S’appuyant, par ailleurs, sur des compétences intellectuelles vietnamiennes au sein de sa jeune filiale asiatique qui rayonne sur les pays du Sud-Est de ce continent, le patron de LOGI Yonne a toujours souhaité dans le cadre de ce partage de culture initier des ponts pédagogiques entre les deux pays, la France et le Vietnam où il réside désormais plusieurs mois de l’année en compagnie de son épouse et de ses enfants.

Un atout majeur pour ces jeunes diplômés qui peuvent ainsi maîtriser à la perfection les deux langues que sont l’anglais et le français, entre des séjours d’immersion d’un continent à l’autre.

Dans l’absolu, la convention de partenariat qui lie désormais l’Université du Havre-Normandie à l’Institut polytechnique de Danang favorisera les échanges de ces étudiants en soif de découverte pédagogique et d’aventures dans le domaine de logistique dans les prochaines semaines. Du pain bénit pour ces ingénieurs qui vont ainsi renforcer leurs connaissances intellectuelles. Avant de rejoindre, pourquoi pas, l’équipe de LOGI VIET France ou celle de LOGI Yonne ?

 

Thierry BRET

 

 


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