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Voilà un consentement public qui aura été prononcé sans l’once d’une hésitation – comme il est de coutume dans le cas d’un hyménée ! – devant un parterre de cheffes et chefs d’entreprises tout ouïe pour mieux en apprécier le symbole ! La présidente nationale des Femmes du MEDEF et figure charismatique du premier syndicat patronal de France a dit oui pour convoler en « justes noces » en qualité de marraine avec l’antenne de l’Yonne…

 

AUXERRE : Pouvait-il en être autrement pour l’ex-championne de France du 400 mètres – le fameux tour de piste épreuve phare de l’athlétisme – devenue depuis ses brillantes prestations sportives l’une des figures marquantes et influenceuses du syndicalisme patronal français au sein du MEDEF et entrepreneuse elle-même ?

La sollicitation émise entre deux tables rondes, concoctées dans le cadre de la grande manifestation de rentrée du mouvement patronal autour de l’entrepreneuriat au féminin (« Elles ont osé ! ») par Florence POULAIN, fut-elle présentée comme une surprise par l’oratrice, supposait une réponse immédiate et directe !

A la question de l’adjointe de Claude VAUCOULOUX qui, dit en passant ne perdait pas une miette tout en se régalant de cet acte impromptu se jouant sur la scène de l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise (« Madame CARLAC’H, voulez-vous devenir la marraine officielle des Femmes du MEDEF de l’Yonne ? »), l’intéressée n’hésita guère avant de répondre tout de go, dans une formulation rappelant les cérémonies de mariage un samedi tantôt dans une église : « oui, je le veux ! ».

 

 

Une présidente des Femmes du MEDEF « so choc, so chic »…

 

Tout ceci prononcé avec humour et panache, ce qui sied parfaitement à l’ex-candidate à la présidence du MEDEF de France, qui aurait pu faire en cas d’élection en mars 2023 une présidente épatante à bien des égards, « so choc, so chic », dixit un Claude VAUCOULOUX toujours en verve olympique et maniant le verbe avec humour, lors de la phase liminaire de ce rendez-vous en présentant l’invitée du jour.

L’icône de l’engagement entrepreneurial au féminin hérite donc après avoir formulé ses vœux et donné son consentement au titre de marraine de cette antenne féminine du MEDEF de l’Yonne, une structure forte d’une quinzaine de membres qui a le vent en poupe depuis son démarrage où l’on retrouve quelques pointures de l’initiative économique locale (Evelyne CHAPUIS en tête !), d’une nouvelle mission avec notre département.

Un territoire où elle aime prêcher la bonne parole de l’attractivité et du rayonnement économiques puisque Dominique CARLAC’H en est déjà à son quatrième voyage en peu de temps à la rencontre des adhérentes et adhérents du mouvement patronal à Auxerre. Visiblement, comme le disait si bien la mère de Napoléon BONAPARTE : « pourvu que cela dure ! » : ce n’est donc pas fini !

 

Thierry BRET

 

 


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En marge de la conférence de presse consacrée à la rentrée des collégiens de l’Yonne ce mardi, le Conseil départemental qui possède les compétences légitimes sur le sujet explore la possibilité de créer, tôt ou tard, un campus éducatif dans la localité de Puisaye. Projet novateur pour notre territoire, celui-ci s’inspirerait de ce qui se pratique avec réussite dans l’Eure, où à Mesnil-en-Ouche, ce complexe offre un environnement propice aux études, tout en mutualisant les coûts…

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Et pourquoi pas la mutualisation ? Le plus souvent synonyme de rationalisation financière dans bien des cas. L’idée fait plus que son chemin du côté de la Puisaye, puisque les études liées à la création d’un nouveau concept expérimental en matière de concentration scolaire ont débuté. Une information qui a été donnée par le premier vice-président du Département, le maire de Pont-sur-Yonne, Grégory DORTE, lors de la conférence de presse, inhérente à la rentrée des collèges 2023.

Créer un campus éducatif dans l’agglomération de Puisaye n’a rien d’un poisson d’avril ! D’autant que le concept existe déjà et que les services du Conseil départemental de l’Yonne s’y sont penchés en l’examinant de près, dans la commune de Mesnil-en-Ouche, située dans le département de l’Eure, en Normandie.

De l’aveu même de Grégory DORTE – peut-être l’a-t-il découvert de visu lors d’un déplacement ? – cette infrastructure fonctionne très bien. De quoi s’agit-il précisément ? Du regroupement sur un même lieu (le même bâtiment aussi après qu’il ait subi des modifications usuelles) d’une école maternelle, élémentaire, primaire et…collège ! Du quatre en un, en vérité !

 

Un concept élaboré en « bonne intelligence »

 

Accueillant environ 260 élèves dont une trentaine d’internes (on peut y adosser effectivement un internat), le nouveau campus de la localité normande fait déjà office de référence dans le landerneau pédagogique hexagonal. Un projet qui a vu le jour il y a peu, ayant reçu la bénédiction urbi et orbi du Conseil départemental de l’Eure, de l’Académie de Normandie et de la commune d’accueil.

Autant dire que les mêmes ingrédients pourraient se décliner à l’avenir dans l’Yonne, si le bilan des études en cours se révélait positif à la conceptualisation du projet.

Elaboré en « bonne intelligence », la réalisation si elle voyait le jour nécessiterait une enveloppe budgétaire d’environ 8 à 10 millions d’euros pour construire et aménager ce complexe dans la localité de Puisaye. Une déclinaison qui pourrait ensuite s’exporter vers d’autres sites pédagogiques de la ruralité, à l’instar d’Ancy-le-Franc.

Ambitieux, le projet repose sur la réussite scolaire des élèves : le leitmotiv de la gouvernance départementale, assumée par son président Patrick GENDRAUD.

En filigrane, regrouper sur un seul et unique complexe pédagogique les jeunes apprenants serait également favorable à la maîtrise des coûts et à la réduction des dépenses. Le nerf de la guerre de toute institution par les temps qui courent !

Une piste qui n’est donc pas à négliger au Conseil départemental…

 

Thierry BRET

 


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Acronyme vedette de la visite ministérielle du jour au sein de l’Unité d’Enseignement en Elémentaire Autisme (UEEA) de Laborde à Auxerre, sous l’égide de l’EPNAK : le terme « AESH » ! Il se traduit par la formulation suivante : « accompagnant d’élèves en situation de handicap ». Un terme que les syndicats de l’Education nationale connaissent bien puisque nourricier de leurs revendications sociales. Un sigle que les familles concernées par le handicap vénèrent puisque porteur de solutions judicieuses pour leurs enfants scolarisés. Un mot qu’Aurore BERGE n’aura pas occulté de ses échanges car 6 500 de ces AESH sont en voie de recrutement…

 

AUXERRE : On peut dire que l’intervention inopinée de l’un des vice-présidents du Conseil départemental, en l’occurrence Christophe BONNEFOND, aura fait tilt au beau milieu des échanges nourris lors de la visite ce lundi après-midi de la ministre en charge des Solidarités et des Familles, Aurore BERGE à Laborde !

Effectuant sa toute première rentrée scolaire depuis qu’elle occupe ce portefeuille ministériel suite à sa nomination le 20 juillet dernier, l’ancienne présidente du groupe LREM à l’Assemblée nationale a su saisir l’opportunité qui lui était offerte pour évoquer dans le détail la politique d’éducation inclusive dont le gouvernement se veut le métronome. Via, notamment, le rôle et le poids des « AESH » dans cet environnement pédagogique si particulier.

Alors qu’il s’inquiétait de la précarité et de l’absence de professionnalisation de ces postes, pourtant si cruciaux pour accompagner les élèves en situation de handicap, l’élu de l’Yonne aura donc mis le doigt sur l’un des sujets brûlants de l’actualité inhérente à l’Education nationale de ces derniers jours – outre, évidemment, la rentrée des classes en ce 04 septembre ! –, soit  l’annonce faite il y a quelques jours (c’était le 28 août) par le nouveau ministre Gabriel ATTAL d’une série de mesures devant faciliter l’éducation inclusive, à savoir la volonté de recruter 6 500 AESH en 2023.

 

Davantage de formations, revoir les statuts de la fonction

 

C’est au nom de l’équité pédagogique que cette décision a été entérinée par le ministère de l’Education nationale, et la volonté de renforcer le modèle de l’éducation inclusive, tel que l’a fixé la sixième Conférence nationale du handicap (CNH) le 26 avril dernier.

Or, à date, 136 000 personnes sont déjà répertoriées parmi cette catégorie, celle des accompagnants d’élèves en situation de handicap en France. L’apport de ces 6 500 postes supplémentaires est un signe de progrès pour Aurore BERGE qui aura pu commenter cette décision gouvernementale, face micros et caméras, en conférence de presse.

« Il nous faut continuer en ce sens, déclara-t-elle, avec plus de formations puisque c’est une demande très forte de la part des enseignantsil existe aujourd’hui 25 heures de formation qui leur sont destinées pour appréhender l’accueil et la prise en charge de ces enfants - ; certains enseignants n’ont quant à eux jamais eu de formation, il faut remédier à cela… ».

 

 

 

Naturellement, l’amélioration de ce statut et sa rémunération intègrent les priorités gouvernementales, comme devait l’ajouter la ministre.

« Il faut qu’il y ait plus de femmes à l’avenir qui décident de s’engager dans ces métiers qui ne doivent pas se limiter aux seules classes maternelles et élémentaires. Il faut aussi apporter des solutions qui soient adaptables aux collèges et aux lycées…On doit à ces enfants la poursuite évidente de leur scolarité. Leur réussite est aussi notre réussite… ».

 

Un bonus destiné aux collectivités qui développeraient le périscolaire

 

Autre problématique cruciale, la grille des salaires. Selon les cas, ceux-ci oscillent entre 800 et 1 100 euros nets par mois. Autrement dit, une paille qui n’autorise pas à l’épanouissement personnel. Pourtant, les AESH représentent en nombre le deuxième métier de l’Education nationale en France !

Réponse d’Aurore BERGE : « il faut que ces contrats deviennent des temps plein ! C’est cela la première porte d’entrée pour améliorer le système. La problématique est la suivante : on a souvent des contrats qui sont sur des temps très courts, ce n’est pas suffisamment rémunérateur. Ils peuvent être établis de 15 à 17 heures. Parfois de vingt heures ! Si la personne n’est pas en temps plein, forcément les salaires ne suivent pas… ».

Solution évoquée : la mise en place d’un bonus destiné aux collectivités sur les activités du périscolaire. Où les besoins d’encadrement des enfants sont très importants.

« L’Etat va d’ailleurs aider les collectivités en injectant davantage d’argent pour celles qui vont accueillir ces enfants… ».

Un nouveau levier pour recruter de nouvelles AESH qui pourraient être ainsi salariées des collectivités tout en poursuivant leurs missions auprès des écoles. Le tout se muant en contrat en durée indéterminé.

Toujours est-il qu’une hausse de salaire a été également dévoilée par le nouveau ministre de l’Education nationale, le 28 août dernier, à savoir une augmentation prévue de 10 à 13 % par rapport à l’année antérieure. Un coup de pouce, certes positif. Mais, ce n’est pas encore suffisant au vu de l’importance de ces métiers qui permettent de garantir une scolarisation de qualité pour tous les élèves de la maternelle au lycée. Au nom de l’égalité des chances pour tous !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est un cérémonial qui nous revient chaque année à pareille époque comme les feuilles mortes se décrochant des arbres, annonciatrices de l’automne. Sauf que dans le cas présent, la chaleur déjà lourde en ce milieu de matinée était au rendez-vous ! L’édile d’Auxerre et président de la Communauté de l’Auxerrois a effectué sa traditionnelle tournée des établissements scolaires. Histoire de réaffirmer que ce sont bel et bien 45 millions d’euros qui auront été investis au terme du mandat pour la rénovation de ces infrastructures…

 

AUXERRE : « Mieux apprendre, mieux se restaurer, mieux se divertir ». Dans la bouche du maire d’Auxerre, Crescent MARAULT, grand amateur de l’Ovalie, la formule résonnerait presque comme un credo olympique ! C’est pourtant celle qui se rapporte le mieux, selon lui, aux travaux de rénovation mis en exergue depuis le début de son mandat visant à donner une nécessaire cure de jouvence à des bâtiments parfois vétustes et décrépis de l’agglomération. Des écoles, des crèches, des édifices accueillant les activités du périscolaire.

« Dans le plan de mandat initial, explique-t-il pédagogue, il était prévu d’investir 42 millions d’euros à ces travaux… »

 Aujourd’hui, du fait de l’inflation – entre-temps la crise de la COVID et les impacts de la guerre en Ukraine sur les économies mondiales tant énergétiques qu’au niveau des matières premières -, il aura fallu changer le braquet à la vitesse supérieure en injectant trois millions d’euros supplémentaires afin de pouvoir répondre au cahier des charges liminaire. 45 millions d’euros étalés ainsi sur une décennie pour rendre acceptable, en l’améliorant, le parc éducatif local.

 

 

L’attractivité de la ville se décline aussi par la rénovation de ses écoles

 

Interrogé, Crescent MARAULT est optimiste : « en fin de mandat, toutes les écoles que compte Auxerre, les crèches et les équipements du périscolaire auront été refaits. Cela intègre notre stratégie d’attractivité de la ville… ».

Pour lui, cela ne se résume pas aux seules réfections des routes et voiries, des zones d’activités, des complexes sportifs – à ce titre la piste d’athlétisme auxerroise se refait une jeunesse ! – ou aux logements. Les écoles, crèches et lieux où sont accueillies les activités du périscolaire prennent une dimension tout aussi favorable dans cette amélioration devant séduire de nouveaux investisseurs et habitants.

 

 

Au cours de cette tournée des écoles, courant sur la matinée de ce lundi de rentrée scolaire, Crescent MARAULT, accompagné de Jean-Baptiste LEPETZ, directeur académique, Stéphane DUGUET, inspecteur de l’Education nationale, Isabel ROUMIEUX et Nicolas BRIOLLAND, tous deux inspecteurs académiques, prit soin de visiter cinq établissements, aux côtés de son directeur de cabinet, Yves LASMARTRES, de plusieurs responsables de services – le maire en profitera pour saluer la coordination de leur travail alors que les travaux se poursuivent sans que cela ne viennent perturber la reprise des cours – ou de quelques élus, dont Bruno MARMAGNE ou Dominique AVRILLAULT.

 

 

De la végétalisation des cours au changement de menuiserie

 

Si au groupe scolaire de la rue de Paris et de l’école maternelle Jean Zay, la végétalisation des cours aura été au centre des débats, ce sont les changements des huisseries et ceux apportés à l’aire de jeu de la maternelle qui auront accaparé les échanges au groupe scolaire des Piédalloues.

Le nouveau cloisonnement de la salle de motricité ainsi que le changement de direction de l’école Henri Matisse ont été évoqués par les visiteurs. Avant que ces derniers ne terminent cette succession de rencontres par l’ultime étape du jour, soit l’école Marie et Pierre Curie où le nouveau restaurant scolaire ainsi que la présentation de la nouvelle directrice des lieux furent à l’ordre du jour des échanges et perspectives…

   

Thierry BRET

 

 


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C’est l’heure du bilan pour la manifestation musicale accueillie, au début de l’été, au pied du château moyenâgeux. Un festival de belle facture, pas uniquement réservé aux esthètes des instruments à vent qui ont su se distinguer avec maestria au cours de longs solos à la nuit tombante devant le porche de l’édifice historique. Un rendez-vous qui, selon ses organisateurs, devrait se poursuivre en 2024 !

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Du 07 au 09 juillet dernier, le festival « Jazz à Druyes » s’est déroulé dans la petite bourgade si pittoresque, très prisée des touristes et visiteurs de la région – la commune n’est-elle pas devenue le quatrième village préféré des Français à la suite de sa participation à la fameuse émission éponyme de Stéphane BERN ! -, au pied du château ayant abrité jadis la comtesse Mahaut de Courtenay.

Un rendez-vous musical plutôt bien accueilli des mélomanes dont les organisateurs, Michèle et Didier GILBERTAS et Thomas GUERET en tête, ont tiré les enseignements au terme de cette troisième édition. Celle-ci se délocalisant dans la partie haute du village, sur l’imposant parvis qui fait face à la fameuse construction érigée au Moyen-Age. Un nouveau rendez-vous qui au terme de la représentation de quatre concerts répartis en trois jours s’est soldé par un beau succès. Les spectateurs ayant apprécié la qualité de jeu des artistes n’auront pas lésiné sur leurs applaudissements pour clore leurs prestations.

Mention très bien à l’harmoniciste Laurent MAUR, accompagné de sa formation. De l’avis des experts, la prestation aurait mérité une captation sonore de ce récital nocturne qui malheureusement n’a pu se réaliser car les organisateurs ne l’avaient pas forcément prévu dans leur budget initial. Une réflexion qui sans doute va être creusée par le trio se démenant à la logistique et la scénographie de cet évènementiel, reconduit à l’été 2024.

 

Plus de 500 spectateurs pour quatre concerts

 

Lucides sur cette question budgétaire, les organisateurs veulent satisfaire un public averti mais aussi de néophytes de plus en plus nombreux par rapport aux éditions de 2021 et 2022.

« Est-ce les effets de la programmation ? De la gratuité du festival ? De la communication élargie à l'Ecole de Musique de Danse et de Théâtre de Toucy ? En tout cas, la combinaison de l'ensemble a fait venir près de 500 spectateurs sur l'ensemble des spectacles (malgré une météo pas toujours clémente). Mais surtout des spectateurs ravis, qui entendent bien revenir l'an prochain... ».

Un argument optimal, poussant les organisateurs à poursuivre l’aventure la saison prochaine. D’autant que le succès du festival est également partagé par les musiciens. Ils apprécient particulièrement la qualité de l'organisation (une douzaine de bénévoles qui auront permis le bon déroulement de ce rendez-vous) et le cadre qui leur est offert pour exprimer leur talent.

 

 

Accueillir plus de spectateurs et de partenaires financiers en 2024

 

Reste l’aspect financier, toujours aussi délicat pour ce genre d’évènement qui part dans l’inconnu. Dans le cas présent, le succès financier, avec un équilibre dépenses / recettes s’est confirmé cette année. Explications des organisateurs : « Toutefois, cela ne permet pas de compenser le déficit 2022. Comme nous inscrivons ce festival dans la durée, il est important pour nous de construire un financement équilibré entre subvention / sponsor / public et légèrement positif pour permettre des investissements ultérieurs à nous rejoindre… ».

Puis de préciser, « l'analyse de notre bilan montre que nous avons besoin d'augmenter la part des spectateurs… ».

Et par ricochet les recettes induites par la consommation de boissons au bar, voire de mieux faire circuler le « chapeau » parmi le public permettant à chacun de distribuer à hauteur de ses disponibilités une obole généreuse afin de récompenser les prestations artistiques.

En sus, les organisateurs viennent de demander un complément de subventions pour l’exercice 2023. Soit un subside de 500 euros auprès du Conseil départemental de l’Yonne qui promeut un certain nombre d’évènements culturels sur le territoire. Une manière positive pour que l’organisation rentre bien dans ses frais et puisse ainsi faire perdurer un festival aux accents jazzy de plus en plus apprécié des touristes et riverains du château de Druyes. Une façon, aussi, d’encourager les bonnes initiatives et leurs auteurs…

 

Thierry BRET

 

 


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