Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est dans une zone de chalandise très dynamique et prometteuse, en périphérie de Lyon, que la filiale française du groupe d’Outre-Rhin a choisi d’ouvrir son nouveau point de vente. Inaugurée officiellement le 24 avril, la structure complète l’offre globale du spécialiste de la vente de produits chimiques, de fixation, d’outillage et de consommables techniques, leader de la distribution multicanale.

VAULX-EN-VELIN (Rhône) : Le projet aura été de longue haleine. Dans sa phase d’élaboration et de positionnement. Devant l’accélération croissante des attentes de sa clientèle et au développement de la digitalisation dans les relations commerciales, l’ingénierie de BERNER France a capitaliser sur son expérience, vieille d’un demi-siècle, pour évoluer à travers ce nouveau concept de magasin.

Implantée dans l’Yonne depuis 1969, la déclinaison hexagonale du groupe allemand s’est forgée au fil du temps une solide réputation auprès des professionnels de la mobilité, de la construction et de la maintenance industrielle. C’est-à-dire son cœur de cible.

Aujourd’hui, BERNER France pèse 238 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise recense 1 500 collaborateurs dont mille commerciaux qui font fructifier un portefeuille de plus de 100 000 clients.

Ouvrir une structure de la sorte dans le département du Rhône répondait à un besoin stratégique. Comme le précise Didier GOGUELIN, directeur général de la filiale française.

« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie « omnicanal », c’est-à-dire du vendeur terrain à l’e-commerce qui vise à nous rapprocher de notre clientèle. Nous cherchons tous à améliorer l’expérience client. Nos clients sont aujourd’hui en contact constant avec notre marque, que ce soit via notre centre de relations client, notre commercial terrain, l’appli web, le site marchand ou nos supports imprimés tel que le catalogue. Le point de vente doit fonctionner de la même manière et c’est pourquoi nous voulions créer un parcours client simple, homogène et familier. En entrant dans le magasin, le client fait le lien avec la marque, ses produits et services grâce à la cohérence entre tous les points de contact ».

Un concept résolument ouvert vers l’humain

Attaché à la dimension humaine, la vitrine commerciale lyonnaise a été pensée dans cet état d’esprit. L’espace de vente en libre-service s’étend sur 300 mètres carrés et créé une ambiance plus accessible et plus proche. Pour permettre au visiteur de se repérer simplement dans le magasin, les gondoles centrales ne dépassent pas 1,50 mètre. Quant à la signalétique, elle est colorée et épurée. Cela contribue à donner une image structurée du magasin. Tout a été imaginé pour faciliter la compréhension de l’offre qui est proposée par univers produits.

Le point de vente dispose de salles de réunion. Elles faciliteront le lien avec la force de vente itinérante régionale, qui en profitera pour organiser des réunions d’équipes, des journées techniques ou des séances de formation sur site. Comme le précise Christian LEJET, directeur commercial Construction, « Le but d’ouvrir un magasin est d’une part de renforcer notre image de marque et notre ancrage local et d’autre part d’affirmer notre proximité avec nos clients et prospects… ».

milieu articles

Dans le point de vente, sis 15 rue Jacques Tati à Vaulx-en-Velin, quatre collaborateurs dont le responsable accueillent les clients, uniquement professionnels. Ces derniers évoluent dans les différents univers en libre-service et peuvent s’adresser à tout moment aux conseillers du magasin pour bénéficier de leur expertise produits ou leur demander des informations sur les services proposés exclusivement en boutique. In-situ, les salariés peuvent réaliser des devis et ouvrir de nouveaux comptes en toute autonomie pour plus de réactivité et de gain de temps. Les commandes spéciales se gèrent avec le savoir-faire du siège à Saint-Julien-du-Sault.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Présenté par les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, l’amendement déposé dans le cadre de l’examen de la loi d’orientation des mobilités propose de confier aux acteurs de terrain, en particulier le préfet de département et le président du Conseil départemental, le soin de décider, au cas par cas, de la vitesse autorisée sur le réseau routier, dans la limite de 90 km/h. Le texte est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Mettra-t-il enfin un terme à ce long feuilleton qui n’en finit pas de durer ?

PARIS : Depuis le 01er juillet 2018, date à laquelle le gouvernement a décidé l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le réseau routier secondaire, il ne se passe pas un jour où le flou artistique qui règne en maître absolu autour de ce dossier, ne ressurgisse à la surface médiatique et ne soit comparable à un véritable casse-tête chinois pour l’exécutif.

Il est vrai que prendre la décision de réduire de dix kilomètres par heure ladite vitesse, soit de 90 à 80, ne pouvait engendrer une cote de sympathie naturelle à ce projet quelque peu alambiqué. Et pour le moins inattendu…

Même si celui-ci était défendu bec et ongles dès le début par le Premier ministre. Instigateur du concept, Edouard PHILIPPE avait déjà utilisé les forceps pour « vendre » l’idée au président de la République, guère convaincu par la pertinence de cette suggestion forcément impopulaire.

La mobilisation sociale de la mi-novembre n’aura pas manqué de cibler ouvertement cette baisse généralisé de la vitesse sur les routes françaises et de l’inscrire parmi le lot des revendications privilégiées.

Avec en toile de fond, un argument tangible se rapportant aux habitants des territoires ruraux : leur pénalisation assurée puisque ne disposant pas d’alternative possible pour se déplacer autrement dans leur vie de tous les jours.

Faciliter l’arbitrage par le préfet et le président d’un conseil départemental…

Or, les choses évoluent, semble-t-il, autour de ce texte législatif. Ce lundi 29 avril, lors de la séance de l’Assemblée nationale où les parlementaires examinaient le projet de loi d’orientation des mobilités, les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, sont donc montés au créneau : ils ont présenté l’amendement numéro 305.

L’exposé du texte, signé en tandem par les élus de l’Yonne, demande une justification formelle et chiffrée de cette mesure perturbante pour les automobilistes.

« Si la diminution du nombre de victimes d’accidents de la route est un objectif essentiel de toute politique de sécurité routière, il reste toutefois à démontrer que cette mesure contraignante et applicable à un réseau routier de 400 000 kilomètres ait pu y contribuer…écrivent de concert les députés icaunais.

S’en suivent deux alinéas. Le premier concerne le rôle du président du Département. Ce dernier, par arrêté motivé, fixerait la vitesse maximale autorisée pour les routes départementales, celles qui ne possèdent pas de séparateur central et hors agglomération, dans la limite de 90 km/h.

Le deuxième définit l’intervention du représentant de l’Etat dans le département. Ainsi, le préfet pourrait, en concertation directe avec le président du Conseil départemental, fixer la vitesse maximale autorisée pour les routes nationales et selon les conditions similaires au précédent alinéa. Une manière intelligente de gérer au cas par cas et selon les typologies de ces routes du réseau secondaire la mise en application de la loi. L’amendement est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Beaucoup croisent aujourd’hui les doigts pour que cet additif soit au final retenu par le Parlement…et applicable sur les routes de France.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A l’aune d’un nouveau processus organisationnel, la chambre consulaire qui préside à la destinée des entreprises de la filière artisanale dévoilera son nouveau visage au 01er janvier 2020. Le principe de la régionalisation Bourgogne Franche-Comté ayant été depuis longtemps validé par toutes les instances en présence. Favorable à la mutualisation des services et savoir-faire afin de renforcer l’action de l’organisme sur son territoire, le président de la section icaunaise de la Chambre de Métiers Jean-François LEMAITRE est un fervent défenseur de cette ligne stratégique. Elle ne peut être que profitable aux artisans de l’Yonne. Quand le cœur et la raison sont en étroite symbiose dans le sens du progrès…

SENS : Le président de la vénérable institution consulaire de notre territoire sait se faire rare en matière de communication. Notamment dans cet exercice toujours complexe et intransigeant, celui de l’interview directe en vis-à-vis avec un représentant de la caste médiatique.

Pourtant, à sa demande, l’entrepreneur qui défend la pérennité de la filière artisanale a souhaité cet entretien. Car, il a des choses à faire valoir au plan de l’information. En outre, notre interlocuteur ne pratique pas l’art de l’esquive dans les argumentaires qu’il désire développer.

Balayant tour à tour l’actualité riche et éclectique de la corporation, il rappelle en guise de préambule quelques bonnes vérités, toujours agréables à entendre dans la bouche d’un leader institutionnel.

« La Chambre des Métiers et de l’Artisanat n’est pas mon entreprise…Mon rôle est simplement d’insuffler une ligne politique à l’ensemble. Mais, pas de l’exécuter ! ».

Lâchée tout de go, l’affirmation mérite de replacer les choses dans son contexte. Jean-François LEMAITRE s’efface bien volontiers au profit de collaborateurs dont ils vouent les compétences et les mérites. Celles et ceux qui travaillent au quotidien à la bonne fonctionnalité d’une structure qui fédère des centaines d’entreprises et des milliers d’emplois.

« Je préfère être plus en avant auprès de mes équipes professionnelles, ajoute-t-il, rappelant qu’il est lui-même un artisan entrepreneur encore en activité, au sein de la Chambre, ce sont les collaborateurs qui sont en relation directe avec les artisans et qui dirigent les différentes strates décisionnelles de cette entité… ».

Pas de prétentions à la présidence régionale…

Alors, que se profile à horizon 2020 un scrutin très important, celui qui désignera le nouveau président de l’institution régionale, après le regroupement des chambres de Bourgogne et de Franche-Comté, l’entrepreneur du Sénonais aurait-il néanmoins quelques velléités pour occuper ce fauteuil ?

La réponse ne se fait pas attendre. Nette et précise ! « Je n’ambitionne aucune prétention à vouloir exercer le pouvoir à la présidence régionale ! ».

Saluant le travail de l’actuel président de la Bourgogne, Emmanuel POYEN, Jean-François LEMAITRE confirme son soutien à sa probable candidature. « Nous nous entendons parfaitement bien, je le soutiendrai lors de ce vote régional… ».

Sachant que le président de l’exécutif bourguignon devrait être sans doute opposé à son homologue franc-comtois, Michel CHAMOUTON.

Elu jusqu’en 2021, le président Icaunais possède une conception juste et ordonnée de l’exercice de son mandat. « Qui d’autre qu’un artisan actif peut représenter au mieux les intérêts d’un professionnel ? s’interroge-t-il songeur ».

L’homme possède un sens profond des valeurs humanistes. Elles irradient son regard bleu azur. Faisant montre d’œcuménisme dans la manière dont il appréhende la gestion de la chambre consulaire.

« Vingt-cinq élus et dix suppléants travaillent en parfaite osmose à la destinée de cette chambre. Tous sont associés aux décisions stratégiques importantes, en prenant part activement aux commissions. Même les personnes issues de listes opposantes. Nous sommes tous au service de l’artisanat parce qu’il représente une institution à laquelle nous croyons… ».

Conserver une part de proximité importante…

Aujourd’hui, l’organigramme de la nouvelle instance régionale s’esquisse petit à petit. Eléments concrets déjà quasi certains : différentes directions régionales seront accueillies à Dijon, Dole et Besançon.

« Mais, concède Jean-François LEMAITRE, nous devrions y voir plus clair dès le début du mois d’octobre… ».

Toutefois, la puissance territoriale, au niveau de la strate départementale, ne sera pas remise en cause à l’issue de ces bouleversements majeurs. Ainsi, il sera conservé une certaine aura en termes d’influence et de fonctionnalité au département grâce à un représentant (directeur), appuyé par deux chefs de service. Une articulation logique, selon le président Icaunais, pour ne pas se couper des entreprises, en quête constante de proximité.

« Ce n’est pas parce que nous aurons désormais une vision globale et opérationnelle au plan régional que nous allons nous éloigner de nos territoires, constate le président de l’Yonne, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat possède d’importantes missions de représentativité avec ses autres partenaires consulaires au sein de la CEA (Chambre Economique de l’Avallonnais), du CDT (Centre de Développement du Tonnerrois), des permanences régulières tenues avec la Chambre de Commerce et d’Industrie en Puisaye-Forterre. D’ailleurs, saviez-vous que depuis la régionalisation, nous avons procédé à la création de deux nouvelles antennes départementales, à Montbard (Côte d’Or) et à Mâcon (Saône-et-Loire)… ».

Certes, un effectif moindre exerce dorénavant ses activités au sein de la vénérable institution. De 130 collaborateurs, la chambre départementale est passée à un effectif de 120 personnes, soit un ratio de 7 % des individus en moins. Mais, cette légère baisse est la résultante de départs volontaires ou de mises à la retraite.

Rappelant qu’il n’y a eu aucune conséquence négative sur les offres de service et prestations déclinées aux artisans, Jean-François LEMAITRE précise qu’aucun licenciement n’a été prononcé.

Une régionalisation profitable à l’attractivité territoriale…

Enumérant une suite d’opérations positives dispensées en faveur de l’artisanat (création d’un CAPI, petits déjeuners au féminin, salon Fiers d’être apprentis…), le président observe avec réalisme que la dynamique dégagée par la chambre consulaire est bien palpable sur le terrain.

« Nos relations avec l’ensemble des communautés de communes sont excellentes : jamais nous n’avons autant travaillé en réseau avec les partenaires institutionnels de ce département ! ».

Paradoxalement, la contrainte budgétaire (une économie substantielle de 300 000 euros sur les dix millions d’euros déployés d’ordinaire au plan régional) n’a pas eu d’impact notoire sur les aides apportées aux entreprises. Même si à l’avenir, davantage de conseils tarifés seront déclinés auprès des entreprises.

Les projets, par ailleurs, ne manquent pas. Le développement d’une plateforme numérique, qualifiée d’importante, nécessitant beaucoup de labeur, s’achèvera au cours de l’été.

L’avenir de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat se joue au détour de diverses expérimentations. Comme celles mises en exergue dans le domaine de la formation ou de la communication.

« Grâce à la régionalisation, nous gagnons en force d’actions, explique Jean-François LEMAITRE, au plus près du terrain. Notre rôle, en définitive, est de nous situer aux côtés des communautés de communes et des collectivités afin de pouvoir optimiser le tissu artisanal de nos contrées. En créant des maillages favorables à l’emploi dans les cantons. Même si 50 % des structures artisanales ne possèdent pas encore de salariés… ».

Satisfait de ce bilan, tant au plan humain que sur les déclinaisons événementielles qui en découlent, le président LEMAITRE se veut être l’un des chantres de cette régionalisation réussie qui aura in fine permis à l’Yonne artisanale de devenir plus forte en mutualisant compétences et enveloppes budgétaires…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Personnage emblématique de la vie politique de notre territoire, l’Auxerrois qui fut le plus jeune conseiller municipal de la capitale de l’Yonne de 1989 à 1995, se lance un nouveau défi : celui de la bataille des Européennes. C’est toujours sous l’étiquette du Mouvement démocrate (MoDem) dont il est l’incontournable leader dans le département que l’adjoint au maire d’Auxerre a été investi sur la liste nationale, RENAISSANCE, pilotée par Nathalie LOISEAU…

AUXERRE : Agé de 58 ans, le cadre bancaire et supporter actif de l’AJ Auxerre ne désarme pas dans son engagement au service des citoyens. Cette fois-ci, le représentant charismatique du MoDem de l’Yonne s’intéresse aux échéances européennes, celles du 26 mai, lui qui a déjà participé à plusieurs joutes électorales depuis ses débuts dans le sérail politique en 1989.

Conseiller départemental de l’Yonne, Pascal HENRIAT a décidé, à la demande du MoDem, mais aussi de La République en Marche, d’Agir-la droite constructive et du Mouvement radical, de rejoindre la liste nationale des 79 prétendants au suffrage européen, fédérés sous le sigle RENAISSANCE.

L’entité est structurée sous le sceau du rassemblement de compétences et de l’engagement à l’action présidentielle. Le candidat Icaunais y figurera en 58ème position.

Une liste ouverte à l’éclectisme…

Il ne sera d’ailleurs pas le seul à vouloir défendre les couleurs du landerneau nord-bourguignon sur cette liste pro-européenne puisque la conseillère départementale et membre du parti Agir-la droite constructive, Irène EULRIET, y est également présente.

Maire de La Ferté-Loupière, et docteur en sociologie, l’élue du canton de Charny qui avait failli créer la surprise lors de l’élection au perchoir départemental, obligeant un troisième tour de scrutin très serré face au président Patrick GENDRAUD, y occupe la 49ème place.

Les deux candidats de l’Yonne retrouveront sur la liste RENAISSANCE des personnalités politiques et de la société civile de premier plan, à l’instar de Pascal CANFIN, ancien directeur général de WWF France, de la navigatrice Catherine CHABAUD, l’ex-président des Jeunes Agriculteurs Jérémy DECERLE ou encore l’avocat Jean VEIL, fils de la regrettée Simone VEIL, européenne convaincue.

Rappelons que l’une des pierres angulaires de cette liste, la sénatrice et ancien édile de Strasbourg, Fabienne KELLER (Agir-la droite constructive), visitera deux journées durant les 03 et 04 mai l’Auxerrois, à l’invitation de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, élu régional et responsable départemental du mouvement Agir-la droite constructive.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le secrétaire général de la Fédération des entrepreneurs et artisans du bâtiment et des travaux publics de l’Yonne, Christian DUCHET, peaufine avec minutie la feuille de route de la prochaine assemblée générale statutaire de l’organisme. Organisée le vendredi 28 juin, la manifestation s’articulera autour de plusieurs temps forts dont on connaît déjà les axes essentiels de réflexion : les conséquences concrètes de l’opération « Cœur de Ville » lancée sur le territoire départemental et l’impact de la transition écologique sur les artisans.

AUXERRE : Plusieurs thèmes majeurs seront abordés lors de la prochaine assemblée générale de la FFB de l’Yonne. Le rendez-vous du vendredi 28 juin jouera ainsi la carte de la nouveauté en proposant une table ronde où seront conviés différents spécialistes de sujets préalablement choisis.

Travaillant avec sérieux à la configuration logistique et au contenu de cet évènement, le secrétaire général de la fédération des professionnels du bâtiment Christian DUCHET a confirmé que deux thématiques prioritaires avaient retenu son intérêt. Elles sont liées très étroitement à l’actualité.

Le premier, prétexte à une réflexion nourrie entre les intervenants et le public, concerne le lancement de l’opération de réhabilitation des centres urbains (Auxerre, Sens…), « Cœur de Ville ».

Le choix du conférencier aurait été tranché à 100 %. Président de l’Office Auxerrois de l’Habitat et élu de la Ville d’Auxerre, Jacques HOJLO serait l’interlocuteur idoine pour expliquer les tenants et aboutissants de ce vaste chantier visant à transformer les quartiers des centres villes.

milieu articles

Une explication de texte autour de la loi DENORMANDIE…

Le second invité de référence pouvant prendre part à cet exercice de communication new-look pour la FFB serait une invitée. En la personne de la Conseillère régionale de Bourgogne Franche-Comté, Frédérique COLAS. La jeune femme est en charge de la transition écologique et de l’environnement. Sa présence reste encore à confirmer selon les disponibilités offertes par son agenda…

Toutefois, et dans un souci évident d’élargir le débat, Christian DUCHET promet la venue d’autres experts, notamment la présence d’un architecte.

Sachez, en dernier lieu, qu’il sera aussi question d’éclairer les lumières des artisans du bâtiment et des travaux publics présents sur les possibilités offertes par la loi DENORMANDIE.

Entrée en vigueur au premier janvier 2019, celle-ci vient compléter le dispositif PINEL ancien déjà mis en place. Le texte s’applique à la rénovation des logements vétustes des cœurs de ville par le biais d’un programme de défiscalisation avantageux à destination des investisseurs.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil