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C’est dans la logique des choses ! La reprise structurelle du giratoire situé à l’intersection des RD 72 et 1060 au nord de GRON intègre les travaux de la déviation qui permettra in fine de contourner la ville de Sens. Programmés pour durer sept semaines à compter du 05 septembre si les conditions météorologiques l’autorisent, ces travaux sont assurés par l’entreprise RCM (Routes et Chantiers Modernes), sous l’égide du Département.

 

GRON : Forcément, les automobilistes fréquentant la zone devront s’armer d’un peu de patience. Mais, les coordinateurs de ce chantier qui démarre ce lundi 05 septembre au nord de la localité périphérique de Sens ont tout prévu pour éviter les désagréments.

La circulation des véhicules – on les estime à plus de mille unités par jour dont deux cents poids lourds – s’effectuera en alternance au niveau de ce chantier qui perdurera jusqu’au 24 octobre 2022. Toutefois, le service communication du Conseil départemental de l’Yonne qui a la responsabilité de cet ouvrage le précise : « lors de la réalisation de la couche de roulement, une déviation sera mise en place durant deux nuits… ».

Evidemment, il est encore prématuré d’en connaître les dates ; celles-ci devant être précisées ultérieurement par les autorités départementales.

 

 

 

Un chantier à plus de 493 000 euros assuré par l’entreprise RCM…

 

Assurés par l’entreprise régionale RCM (Routes et Chantiers Modernes), ces travaux s’échelonneront en plusieurs étapes. Notamment celles qui se rapporteront au défrichage et à l’arasement du dôme central du giratoire, la démolition de la chaussée ainsi que des îlots et des bordures, la mise en œuvre de la structure de la chaussée, la pose de nouveaux îlots, la mise en œuvre de la couche de roulement – étape qui nécessitera nous l’avons dit deux journées de coupure la nuit – et la pose de la signalisation. Le tout pour une enveloppe budgétaire de 493 262 euros TTC, précisément !

Bref, un giratoire qui va devenir très fonctionnel et plus sécure à l’avenir parce qu’il s’était très sérieusement dégradé ces dernières années du fait de la hausse constante de la fréquentation routière.

Il y a quelques jours, le maire de GRON Stéphane PERENNES, ceux de Collemiers et de Subligny ainsi que des membres des conseils municipaux accueillaient deux techniciens de l’institution départementale afin d’échanger sur la nature des futurs travaux. L’un des derniers maillons à réaliser avant la probable ouverture de ladite déviation d’ici décembre 2022 ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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Bon ! Soyons clairs et ne versons pas dans une forme de modestie aussi vaine que fausse ! La REF, soit la « Rencontre des Entrepreneurs de France » millésime 2022, aura une fois encore été l’évènement majeur de cette rentrée. Outre le succès « populaire » qu’elle aura rencontré avec plus de 10 000 participants sur les deux journées, elle aura vu se succéder aux différentes tribunes ouvertes sur les pelouses de l’hippodrome de Longchamp, une pléiade de personnalités de tous horizons, de tous bords et de tous pays !

 

TRIBUNE : Rien que du beau monde, garanti « authentique et sincère » - on n’est pas naïfs non plus ! - avec des chefs d’Etats, des chefs de gouvernements, des ministres (presque tous !), des parlementaires, des universitaires, des scientifiques, des philosophes, des sportifs, des gens qui ont des choses à dire et même d’autres parfois qui n’ont rien à dire du tout mais qui le disent quand même ! Bref, tous les ingrédients nécessaires à faire de ce rendez-vous un incontournable que beaucoup, disais-je, n’auront pas contourné ! Et moi le premier !

Vous me direz que j’y étais pour faire le job et qu’à ce titre je n’ai pas vraiment de mérite ! Pas tout à fait faux, en soi. Mais, permettez-moi tout de même de vous dire que, bien que j’y fut pour participer à la représentation de notre cher MEDEF Yonne, ce n’est pas pour autant que je me suis interdit d’ouvrir mes yeux et mes oreilles en grand et de demander à ma cervelle, un minimum d’effort de compréhension et d’analyse.

Car si le lieu est vraiment très agréable, que les gens ont bonne mine au retour des vacances et que tout ceci fleure bon l’envie de flâner de stand en stand à un rythme de sénateur, les échanges et débats sont d’un niveau exceptionnel et ils font du bien à l’intellect ! Allez, on plonge dans la REF 22 pour quelques morceaux choisis, avec pour commencer la séquence émotion !

 

 

Une ouverture de poids avec le discours de Volodymir ZELENSKI…

 

 

Avant même l’ouverture officielle par Geoffroy ROUX DE BEZIEUX, la première journée a vu apparaître sur les écrans géants, le Président de la République d’Ukraine, Volodymir ZELENSKY himself, en direct de Kiev !

Dès le début des réjouissances, c’était donc du très lourd ! Bien sûr, il n’aura pas manqué de rappeler combien la situation de son pays est dramatique et combien il en appelle aux démocraties de l’Occident et d’ailleurs, de lui venir en aide, voire d’œuvrer pour que cesse cette guerre d’un autre temps, aussi stupide qu’injuste.

Mais le message qu’il souhaitait avant tout faire passer aux patrons Français, c’est bien celui des perspectives d’une reconstruction de son pays, qui finira bien par arriver et dont il souhaite qu’ils soient des acteurs majeurs ! Et si jamais ses accents de sincérité ne suffisaient pas à les convaincre, il n’aura pas manqué l’occasion de rappeler que l’évaluation faite aujourd’hui du coût de cette reconstruction, atteint des niveaux astronomiques de l’ordre de 600 à 800 milliards de dollars !

 

 

De l’anxiogène, de la sobriété et du superfétatoire : bonjour, l’angoisse !

 

Et puis, il y eut le grand discours d’ouverture du Président du MEDEF. Lancé tous haut-parleurs hurlants sur les accords et les paroles de la chanson du groupe Téléphone «  Un autre monde », tout un symbole, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX s’est livré à l’exercice consistant à dresser le panorama quasi exhaustif d’une actualité pour le moins riche, tout autant que complexe et dramatique à bien des égards.

Et dans le domaine, il faut noter qu’il aura réussi le tour de force de ne jamais verser dans quelque forme de pessimisme, de défaitisme ou d’abattement que ce soit. Il y aurait pourtant eu de quoi, lorsque l’on songe que parmi les sujets abordés, on trouve pêle-mêle : la sobriété énergétique, la souveraineté énergétique et industrielle, la sobriété budgétaire (rien que du « sobre » !).

Mais aussi, la guerre en Ukraine, le coût de l’énergie, l’inflation, la situation économique de la France, la décarbonation (rien que de l’anxiogène !).

Sans oublier : assurance chômage, retraites et fiscalité, (rien que du qui fâche !). Et puis, comme s’il en fallait encore un peu : les superprofits, les jets privés et même le barbecue (rien que du symbole superfétatoire !).

Chapeau l’artiste ! De la belle ouvrage en somme et il faut bien le souligner, un talent certain d’orateur qui aura considérablement contrasté avec la performance, disons moins flamboyante, en tout cas sur la forme, de celle qu’il l’aura suivi à la tribune, je veux bien sûr parler d’Elisabeth BORNE, notre Première Ministre.

 

La sobriété des entreprises : de la menace ou de l’incitation ?

 

Alors évacuons tout de suite la question de la prouesse oratoire. Pour paraphraser une réplique célèbre, disons qu’elle n’a pas intérêt à tout miser dessus !

Mais, occupons-nous plutôt du fond, parce que là, on relève des sujets qui nous intéressent et nous touchent bigrement. Des sujets qu’elle aura abordés en prenant bien soin de ne pas uniquement caresser le patronat dans le sens du poil !

Car après avoir salué tout le monde, remercier aimablement le Président du MEDEF pour son invitation et rappelé le soutien indéfectible de la France envers l’Ukraine, elle n’aura pas mis longtemps à mettre sur la table la question ultrasensible de l’énergie et des perspectives de pénurie qui guettent notre pays.

Et là, soyons clairs, les entreprises ont intérêt à se mettre en coupe rangée, derrière le plan de sobriété énergétique préparé par le gouvernement, sinon gare à elles ! Et difficile de dire si tout ceci a été prononcé sur le ton de la menace, ou bien sur celui de l’incitation forte, le phrasé monocorde omniprésent permettant difficilement de trancher !

 

 

« En cas de coupures, les entreprises seraient les premières touchées ! »…

 

Frissons et émoi dans les gradins ! Les nuques se sont raidies et les poils se sont dressés sur les échines lorsque la maîtresse d’école a parlé !

Car certes, si elle a bien pris le soin de faire la démonstration avec force pédagogie des raisons multifactorielles qui pourraient nous amener à une situation de pénurie de gaz et d’électricité cet hiver, la phrase a claqué comme une porte dans un courant d’air : « si on devait arriver aux coupures, les entreprises seraient les premières touchées ! ».

Et puis, un peu plus tard, après avoir expliqué que les entreprises devaient faire le maximum d’économies : « il faut préférer les économies choisies plutôt que les coupures subies ! ».

Menace ou incitation forte, vous disais-je ? « That is the question » et chacun se fera son idée. Mais quoi qu’il en soit tout ceci nous interpelle. Alors bien sûr, Bruno LE MAIRE, dès le lendemain, aura tenu des propos beaucoup plus nuancés sur le sujet. Mais, nous le savons bien. Il n’y a pas de fumée sans feu et nous devons rester sur nos gardes. Prenons juste ici un peu de temps pour décortiquer tout ça.

 

 

Un recyclage évident avec les « ambassadeurs de la sobriété en entreprise »…

 

Tout d’abord, les chefs d’entreprises n’ont pas attendu Madame BORNE pour faire des économies ! Et oui, ils prendront toute leur part dans le plan de sobriété voulu par le Président de la République.

Reste encore à en connaître toutes les modalités et pour ça, il faudra sans doute attendre le 01er octobre. Tout bon patron qui se respecte regarde son compte d’exploitation et sait bien sur quels leviers il doit et peut agir lorsqu’il constate de la dérive budgétaire !

En matière de coût de l’énergie, nous avons atteint de tels niveaux au cours de ces derniers mois (et ce n’est pas fini, hélas !), que des mesures drastiques ont déjà été mises en place partout où c’était possible afin de réduire les consommations, faute de pouvoir jouer sur les prix.

Mais, il reste cependant bien évident que lorsque qu’il s’agit de faire fonctionner l’outil de production, il est rarement possible d’imaginer, du jour au lendemain, une situation alternative au gaz ou à l’électricité. Et ce n’est pas la création des « ambassadeurs de la sobriété en entreprise », forme de recyclage, des ambassadeurs COVID (et même si le recyclage, c’est dans l’air du temps !) qui changera fondamentalement la donne, aussi généreuse que soit l’idée.

Soyons lucides ! La Première Ministre l’a d’ailleurs rappelé : « nous avons besoin d’une transition énergétique radicale pour sortir des énergies fossiles ». Mais, une telle transformation, pour ne pas dire révolution, va demander des moyens considérables et une temporalité incompatible avec le court terme !

En outre, une récente analyse montre que pour faire aboutir la décarbonation de l’économie, nous aurons un besoin massif de capital. D’ici à 2030, les entreprises devront investir au bas mot 40 milliards d’euros par an pour réduire les émissions de CO2 de moitié. Cela représente 20 % d’investissements supplémentaires par an. C’est dire si nous avons besoin qu’elles soient performantes et profitables pour atteindre de tels niveaux.

Alors de grâce, Madame BORNE, ne commençons pas par leur couper les pattes en leur coupant le gaz et l’électricité !

 

Il faudra compter sur les entrepreneurs de France qui ne sont pas des parasites !

 

Il est cependant rassurant de constater que dans son esprit, «  radical » ne veut pas dire violent, subi ou décroissant, car dixit : « la décroissance n’est pas la solution. Elle attaquerait notre niveau de vie, elle mettrait en péril le financement de notre modèle social, elle braquerait nos concitoyens et nous empêcherait d’avancer ».

Et d’ajouter que : « la solution viendra d’une croissance nouvelle, réorientée, car la transition écologique est une opportunité qui permettra d’innover, de transformer les filières existantes, d’en créer des nouvelles, de renforcer notre souveraineté et de créer de nouveaux emplois ».

Alors là, nous disons chiche, Madame BORNE ! Et si quelqu’un en doute encore, tout ceci ne pourra se faire qu’avec les entrepreneurs de France qui ne sont pas, malgré les thèses de certains, que des parasites, n’est-ce pas ?!

Bien au contraire, ils sont la solution et ils détiennent, notamment par leur capacité d’innovation, leur prise de risque et leur engagement, les clés qui permettront au pays d’aller vers cette transition dont nous savons qu’elle est incontournable !

C’est aussi de cela dont on parle dans les allées de la REF ! Quiconque s’y est rendu l’aura constaté et en sera ressorti convaincu. Car le MEDEF est un formidable catalyseur qui sait comme personne donner l’élan nécessaire et mettre en ordre de marche les énergies et les bonnes volontés indispensables à une telle ambition.

Alors pour conclure, Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a indiqué qu’il regrettait que notre monde, en cette rentrée 2022, « ne soit pas au regard des circonstances, celui dont nous avions pu rêver en 1984 avec le groupe Téléphone ».

Et force est de constater que, si tous ignorent si c’est la fin de l’insouciance, les patrons n’ont jamais vraiment été insouciants. En tout cas, ils savent que ceci les oblige et ils ont bien conscience qu’ils devront apporter des réponses et trouver des solutions.

C’est aussi pour ça qu’ils étaient à la REF et c’est pour ça qu’ils y seront de nouveau en 2023 et au-delà ! Alors à l’année prochaine pour la REF 23 ! Et vive le MEDEF et vive les entrepreneurs de France !

 

Claude VAUCOULOUX

 

Délégué général du MEDEF de l’Yonne 

 


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Jusqu'au début du siècle, Saint-Florentin compta une table réputée, et même étoilée au Michelin. On venait de loin pour s'attabler à « La Grande Chaumière » où le chef BONVALOT et sa brigade régalaient leurs convives de soufflé de brochet au Chablis, de ris d'agneau au Soumaintrain et autres noisettes d'agneau en meurette. Oui mais ça, c'était avant !

 

SAINT-FLORENTIN : Retour en 2022, le long de l'Armance ! L'endroit fut longtemps fermé. Cette guinguette lui a redonné vie voici quelques années. Poussons-en la porte, et attablons-nous ! La salle est lumineuse. Elle domine le cours d'eau vaguement à sec en cette période estivale, ainsi qu'un verdoyant verger qui aurait bien besoin d'être fauché !

J'arrive laborieusement à me faire expliquer l'apéritif : va pour le punch planteur, rafraîchissant et assaisonné.

 

 

Le tarama truffé est remplacé par de l’avocat !

 

En entrée, je choisis cinq escargots de la ferme de Vosnon, le saumon fumé du « Borvo » et le tarama à la truffe. L'entrée arrive sans le pain, ni le vin, pourtant commandé. 

Une fois que tout est remis en ordre, je constate que le tarama truffé a été remplacé par de l'avocat ! Point de pic à escargot, je me débrouille donc avec le manche de ma petite cuillère pour extraire de la coquille le gastéropode ! Quant au saumon, il est quelconque : j'ai connu meilleur au  « Borvo » ! Là, on dirait un « machin » de premier prix, sorti tout droit de sa pochette en plastoc…

 

 

 

Un étonnant vin blanc du Bugey…

 

 

Le tarama arrive enfin, après l'avoir là aussi réclamé. Il sera d'ailleurs oublié aussi à la table voisine. L’entrée est décevante, indigne d'un menu à 35 euros. Heureusement, le pain est bon ainsi que le vin, un étonnant blanc du Bugey (domaine de la Ferme de Jeanne à Flaxieu dans l'Ain - très jolis périples que sont la vallée de l'Ain, les Monts du Bugey vers Seillonnaz puis Belley...).

A la table d’à côté, une dame narre amusée à ses amis le débarquement de matériel inhérent aux petits enfants désormais par le fait de jeunes parents semblant très vite débordés !

 

 

 

 

Le bœuf carotte à la bourguignonne : dans la plus pure des traditions…

 

La suite sera meilleure avec le bœuf carotte à la bourguignonne, lard et champignons, pâtes bio du coin « 89440 » (pourquoi ne pas avoir plutôt indiqué la commune ?!). La viande est bonne. La sauce nappe l’ensemble. Les champignons sont variés. Quant aux grosses carottes, elles sont coupées en sifflet et sont fondantes. Les délicieuses pâtes « 89440 » pourraient bien provenir de l'Isle-sur-Serein, après vérifications postales !

Bref, c’est un fort bon plat qui dénote : les cuisiniers connaissent donc leurs gammes. Dommage de ne pas l'avoir démontré dès l'entrée. Surtout, dans un restaurant qui s’affiche comme « bistronomique » !

 

 

 

 

C’est parfait pour le dessert !

 

 

Le dessert est classique et frais, avec un moelleux au chocolat. Il est accompagné d'une délicieuse tuile aux amandes. En traversant la D 905 pour retrouver ma moto, je suis tombé sur cette enseigne d'un autre temps, à la peinture largement défraîchie mais toujours là : « Hôtel de Bourgogne, bière Gangloff ».

Quant aux plaques « Bergers blancs » rouillées, y'a bien longtemps qu'elles n'ont pas vu un glaçon !

 


En savoir plus :

 

Les - : un service gentiment débordé (trois serveuses pour quinze couverts ce midi-là). Un minimum de formation semble nécessaire pour ces deux débutantes, car la gentillesse est là...Le menu n’est pas toujours très simple à comprendre.

Les + : le cadre est lumineux avec sa jolie vue vers l’extérieur.

 

 

Contact :

 

La Guinguette de l'Armance

17, rue du Faubourg du Pont

89600 Saint-Florentin

Téléphone : 09.82.38.26.46.

Première formule proposée à partir de 17 euros.


Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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L’enthousiasme de la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY à l’égard du concept ULTERIA n’est pas retombé d’un iota après sa visite en terre de l’Yonne en milieu de semaine dernière. Elle s’en est fait longuement écho lors de sa conférence de presse à Dijon, vendredi, où pourtant la thématique portait sur un tout autre sujet que le monde économique, la rentrée scolaire dans les lycées. A croire que la responsable de l’exécutif régional a été bluffée parce qu’elle a vu en découvrant le projet avant-gardiste de Saint-Bris-le-Vineux…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : « Cela fait du bien de voir cela ! ». La présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté ne tarit pas d’éloges sur ce qu’elle a découvert lors de sa venue il y a peu dans le département de l’Yonne. Une plongée passionnante dans le milieu de l’industrie à Saint-Bris-le-Vineux. Il s’agissait d’une visite dans les moindres détails de la société MOBIL WOOD, spécialiste de l’agencement de structures commerçantes en bois, et du concept ULTERIA qui comprend en outre la chèvrerie de Claire GENET et la future école Montessori, en compagnie de l’un des codirigeants de la structure, Alexis NOLLET.   

Une entité professionnelle atypique, ultra moderniste dans ses modes de fonctionnement, financement et management, qu’elle a par ailleurs qualifiée de « belle graine qui va germer », quelques jours plus tard lors de sa traditionnelle conférence de presse.

Celle-ci était consacrée en majeure partie à la reprise des activités scolaires des établissements du secondaire dont a en charge la Région. Devant les journalistes de la presse régionale, Marie-Guite DUFAY a livré ses impressions – excellentes - sur ce séjour icaunais, résolument orienté vers le développement économique et l’économie circulaire.

 

 

« Deux jeunes entrepreneurs ayant su anticiper le monde d’aujourd’hui… »…

 

Soucieuse de « toucher du doigt » les projets quasi révolutionnaires de cette structure anticipatrice dans le domaine de la transition écologique dont elle avait entendue maintes fois parler en amont de son déplacement, l’élue de Bourgogne Franche-Comté, accompagnée du préfet Pascal JAN et de Nicolas SORET, vice-président en charge de l’économie et des finances, a eu tout le loisir d’apprécier l’unité de production de MOBIL WOOD, vaisseau amiral de ce navire pour le moins original de l’océan « ULTERIA ».

Admirative au passage du parcours peu ordinaire et exemplaire de ses deux cogérants que sont Alexis NOLLET et Sébastien BECKER.

« Ce sont deux jeunes entrepreneurs qui sont en parfaite anticipation avec le monde d’aujourd’hui, a-t-elle confié lors de son préambule oratoire face à la presse, des jeunes gens qui se sont posés les bonnes questions en jetant leur dévolu sur la société MOBIL WOOD en la reprenant… ».

 

 

 

Une visite qui a su porter ses fruits…

 

Deux extra-terrestres égarés sur la planète Terre de l’entrepreneuriat, en quelque sorte, surtout quand le binôme de dirigeants a refusé la proposition mirobolante d’investisseurs américains prêts à débourser la coquette enveloppe financière de 5 millions d’euros pour acquérir leur outil de travail !

Epatée par la réaction peu académique des deux chefs d’entreprise de l’Yonne devant une telle offre, Marie-Guite DUFAY n’en est toujours pas revenue !

« Ils ont décidé de diversifier leurs activités sur le registre de la transition écologique et de mobiliser l’ensemble de leurs collaborateurs qui les ont suivi… poursuit la présidente de la Région se faisant l’ambassadrice de l’enseigne. Je pense qu’elles sont peu nombreuses les entreprises en Bourgogne Franche-Comté, voire en France à raisonner de la sorte … ».

ULTERIA représenterait-elle la vision palpable de l’entrepreneuriat de demain qui se construit dès aujourd’hui à partir de notre territoire ? Sans aucun doute ! En tout cas, cette découverte de l’autorité régionale aura porté ses fruits : la Région Bourgogne Franche-Comté s’engage désormais à suivre de près l’évolution des projets émanant de la structure icaunaise et surtout de les accompagner !

 

Thierry BRET

 

 


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Passagère d’une superbe voiture de collection, une Citroën Traction du plus bel effet visuel et au châssis magnifiquement entretenu, la dirigeante de la SAS BATRIUM RENOV s’est prise à rêver de « libérer » la capitale de l’Yonne, encore sous le joug des occupants d’Outre-Rhin, le temps d’un défilé de véhicules militaires, très apprécié des Auxerrois.  

 

AUXERRE: Elle arbore son plus joli sourire, l’ex-adjointe de la Ville d’Auxerre qui était jadis en charge de la Jeunesse et de la Formation. Cela se déroulait sous l’ère de Guy FEREZ !

Aujourd’hui, accueillie à bord d’une magnifique « Citroën Traction » rutilante comme un sou neuf, le symbole automobile par excellence des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), la cheffe d’entreprise auxerroise s’est muée le temps d’un défilé de véhicules militaires dans les rues du centre-ville d’Auxerre en une « libératrice » de la cité.

 

 

 

Réunis par des collectionneurs de l’Yonne, férus de ces engins motorisés qui ont été depuis très popularisés par de nombreux longs-métrages traitant du sujet, ces véhicules militaires datant de la Seconde Guerre mondiale ont parcouru plusieurs centaines de mètres sur les axes principaux du cœur de ville au terme de la soirée commémorative sous le regard ébahi des Auxerrois curieux.

Dans le premier véhicule, ouvrant le cortège, avait pris place une Sarah DEGLIAME-PELHATE toute heureuse de se retrouver là, à bord de l’automobile mythique du constructeur français. Une façon aussi pour elle de procéder au devoir de mémoire et de ne pas oublier celles et ceux qui ont combattu autrefois pour que souffle aujourd’hui le vent de la liberté…

 

Thierry BRET

 

 


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