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Y avait-il vraiment des écologistes dans la salle ? C’est la question que l’on pouvait se poser au terme de la brillante conférence donnée à Auxerre par l’éditorialiste économique de LCI, Pascal PERRI, qui répondant par l’affirmative à l’invitation de l’UIMM, du MEDEF et de la Fédération Française du Bâtiment 89, a brossé un portrait peu flatteur de ce courant de pensée politique, s’inspirant des bonnes feuilles de son dernier opus, « Le Péril Vert ». Face aux patrons de l’Yonne, le chroniqueur de RMC n’a pas fait dans la dentelle, en démontant point par point le programme de décroissance et de déconstruction voulu par le mouvement vert…

 

AUXERRE : Ils ont été habillés de la tête au pied et pour les quatre saisons à venir les représentants idéologiques de l’écologie hexagonale ! Mieux que la source d’inspiration de Vivaldi et bien moins coûteux que s’ils avaient été revêtus par les couturiers stylisés du Grand Paris !

On le savait féru de bons mots et non-inféodé à la pratique de la langue de bois, lors de ses multiples interventions médiatiques audiovisuelles et radios au quotidien, Pascal PERRI n’a donc pas usurpé son talent de narrateur pédagogue lors d’une conférence de belle facture donnée face aux représentants patronaux de l’UIMM, du MEDEF et de la FFB 89.

Une conférence que le maître de cérémonie, Claude VAUCOULOUX, en sa qualité de délégué général de l’UIMM et du MEDEF dans l’Yonne, avait su peaufiner aux petits oignons depuis plusieurs mois comme il en a l’habitude au moment des traditionnels vœux.

L’éditorialiste économique n’était donc que l’antépénultième invité de poids à participer à ce rendez-vous auxerrois qui lance en règle générale l’année des milieux d’affaires de l’Yonne après la sempiternelle trêve des confiseurs. Après Luc FERRY, Yves THREARD, Philippe DESSERTINE ou encore Christophe BARBIER –entre autres car Claude VAUCOULOUX ne manque jamais de ressources nouvelles pour étayer la manifestation parmi son réseau -, c’était au tour de Pascal PERRI, figure matinale de LCI et de RMC de venir tâter le public entrepreneurial de l’Yonne, présent en nombre pour assister à cette causerie passionnante et « détonante » à plus d’un titre !

 

Un exposé servi à la sauce truculente, humoristique, mais aussi sérieuse…

 

L’intitulé du carton d’invitation ne portait en préambule à aucune source d’ambiguïté possible : « Le monde a-t-il besoin des écologistes ? ». Vu du prisme des syndicats patronaux organisateurs de l’évènement, il était évident que la réponse figurait presque dans l’énoncé de la question ! Un non, net, catégorique et sans atermoiement pour le conférencier d’un soir qui devait réaffirmer avec force son désir d’écologie – là, il s’est mis la salle dans la poche, avec évidence – mais sans les écologistes politiques dont il ne tressera guère de lauriers positifs in fine.

Durant une cinquantaine de minutes, se référant parfois à sa feuille de route posée face à lui sur le pupitre de la tribune, Pascal PERRI déroulera ses multiples arguments, les étayant d’exemples précis et d’analyses concrètes.

Entre truculence, humour, ironie, sérieux, conviction, le journaliste exposera son plan de réflexion détaillé en mettant en lumière les aberrations et les paradoxes de cette écologie à la française, items qu’il a par ailleurs approfondis tout au long de son dernier ouvrage, « Le Péril Vert » paru aux éditions de l’Archipel. Un opus que l’homme de presse dédicacera après coup pendant le cocktail avant de s’en retourner à bord du dernier train vers la capitale.

« Si le monde a besoin sans conteste d’écologie, soulignera-t-il, il a aussi besoin des sciences, des technologies, de la recherche et de l’innovation, le tout au service d’une politique environnementale éducative et non punitive qui soit socialement acceptable et soucieuse de la pérennité des entreprises… ».

Bref, être capable de concilier la préservation de la nature et la sauvegarde des droits humains s’inscrit parmi les grandes priorités pour l’homme de lettres.

 

 

« L’écologie en France n’est pas une secte, la porte d’entrée est toujours fermée ! »...

 

Lors de son préambule, Pascal PERRI retracera longuement l’historique de l’écologie politique en Europe (Allemagne) avant d’aborder la France. Lâchant de bonnes formules qui feront mouche plus d’une fois parmi un public totalement réceptif : « le principe de précaution, c’est devenu un principe de castration ! » ; évoquant ensuite les parcours atypiques de Brice LALONDE, Antoine WAECHTER, Yves COCHET, Dominique VOYNET ou encore Daniel COHN-BENDIT (« Il parle mieux des marchés économiques que moi » plaisantait-il) mais en oubliant le précurseur René DUMONT et ses 0,4 % obtenus aux présidentielles de 1974.

« L’écologie en France, c’est le contraire d’une secte, argumente le journaliste très à l’aise ; la porte d’entrée est toujours fermée ! ».

Puis de rajouter, « Les Verts ne sont ni prosélytes ni œcuméniques, c’est un parti de missionnaires qui accueillent dix mille membres en France et qui souhaitent convertir la société à leur idéal de la dictature du prolétariat… ».

Des propos qui décoiffent et qui engendrent un tonnerre d’applaudissements dans la salle qui n’a pas besoin d’applaudimètre forcé pour montrer sa satisfaction.

Un peu plus loin, Pascal PERRI en rajoute une nouvelle couche : « Nous avons à faire à une gauche anti humaniste, l’homme est forcément déraisonnable et coupable de tout ce qui l’entoure… ».

Avant de citer la dernière petite phrase de Marine TONDELIER, la nouvelle responsable d’Europe Ecologie Les Verts (EELV) : « Nous revendiquons une France sans milliardaire… ».

Face au patronat de l’Yonne, Pascal PERRI ne pouvait immanquablement pas éviter le sujet du travail. Sujet ô combien préoccupant pour les entrepreneurs qui peinent à recruter et se privent de marchés pouvant gonfler leurs carnets de commandes.  

« Les écologistes mènent une offensive idéologique contre le travail et ses valeurs, expliqua l’orateur, le travail ne doit pas être une contrainte avec les 35 heures, le télétravail, etc. Question que l’on est en droit de se poser : les Français sont-ils devenus paresseux ? ».

Lors de sa conclusion, le conférencier insista sur la confiance que l’on doit accorder à l’homme, afin de sortir de ses peurs. « Nous avons besoin d’écologie dans le monde qui est le nôtre aujourd’hui, mais pas des écologistes ! ».

Faute de temps, il n’y eut pas la place au terme de la conférence pour prendre quelques questions parmi l’assistance – dommage, on y aurait peut-être entendu de la contradiction pour animer le débat ! - ; le journaliste et son public se retrouvant ensuite pour une séance de dédicaces organisée dans le grand hall de la Maison de l’Entreprise, plein comme un œuf.

Et comme le suggéra, non sans humour Claude VAUCOULOUX pour conclure respectueux de la tradition accueillante de la Bourgogne, « après avoir parlé des Verts, il est temps de lever les nôtres ! ». Dont acte.

 

Thierry BRET

 

 


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On ne l’attendait pas sur un tel registre. Mais, pourquoi pas, après tout ! Surtout quand on est si attaché à l’ancrage territorial et à la volonté farouche d’accompagner toutes les bonnes âmes sur le chemin de la réussite ! L’ouvrage « Neuf Talents » est donc le premier opus, publié aux éditions « Débats Publics », qui soit signé de la plume de…Jean-Paul JULIA. Tout bonnement, le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain. Un livre testimonial riche en émotion qui en appelle d’autres puisqu’il se veut être le reflet des réussites humaines des neuf territoires qui sont inféodés à l’influence de l’établissement bancaire régional…

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : Vise-t-il à terme un quelconque prix honorifique distribué annuellement par des instances littéraires ou culturelles reconnues ? Serait-ce un nouveau challenge en matière de communication, encouragé par la responsable de la fonction Lucile DUPONT, afin de porter haut les couleurs de l’entreprise sur un axe décalé qui lui était jusque-là hermétique ?

Toujours est-il que le premier ouvrage, consacré aux expériences talentueuses de la vie humaine en Bourgogne Franche-Comté et dans les Pays de l'Ain, est bel et bien paru depuis peu aux éditions « Débats Publics » ; un opuscule agrémenté de très jolis visuels et de belle qualité papier que le lecteur lambda peut acquérir pour la modique somme de 18 euros dans toutes les bonnes librairies et les plateformes dédiées.

Encore mieux au plan de la distribution : on peut le retrouver dans l’une des nombreuses vitrines commerciales que compte le réseau bancaire qui en est à l’origine aux quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté et sur ce territoire qui est venu se greffer un peu plus tard dans son escarcelle, les Pays de l’Ain.

Un premier volet qui en appelle d’autres, on l’aura compris puisque les talents et leurs déclinaisons exemplaires au quotidien ne se limitent pas à ce seul ouvrage.

 

Des tranches de vie passionnantes à découvrir…

 

D’ores et déjà, le second épisode de cette nouvelle aventure épistolaire dans laquelle plonge la tête la première la Banque Populaire du terroir est en phase de préparation, avec la recherche de la nouvelle sélection de portraits. Des femmes et des hommes, représentatifs de leur domaine institutionnel, économique, culturel, sportif et ayant des choses à raconter car détenteurs d’un parcours de vie hors norme.

L’auteur de ces tranches de vie successives et passionnantes n’est autre que…Jean-Paul JULIA. On le connaissait brillant dans le management et la gestion de l’établissement régional dont il assure la direction depuis sa prise de fonction en 2022 et dont le PNB (Produit Net Bancaire) a progressé de 6,1 % en l’espace d’un an ; le voici qui nous surprend un peu plus en cent quarante pages rédigées avec une plume finement ciselée dans ses descriptifs précis des acteurs de la vie locale.  

 

 

Que l’on soit à la tête d’une société volaillère ou pépiniériste, qu’il s’agisse de porteurs de projets ou de figures représentatives de la culture bourguignonne, tous obtiennent le même traitement de texte dans le travail rédactionnel de celui qui a œuvré plusieurs années au sein de la BRED Banque Populaire en qualité de responsable de la vie associative et des entreprises.

 

Une belle leçon d’espérance et de vivacité intellectuelle…

 

Mention spéciale pour les deux parcours de vie que sont ceux de Dominique PITOISET, directeur général et artistique de l’Opéra de Dijon ou de l’hyper combative et charismatique championne paralympique de judo, Sandrine MARTINET.

In fine, au fil des pages de cet ouvrage, on y découvre des personnages humbles, charmants, qui par le fruit de leur travail (voire de leur courage), leur engagement et leur pugnacité révèlent cette incroyable énergie de celles et ceux qui façonnent notre territoire de leurs belles empreintes. Une belle leçon d’optimisme, antidote à prescrire en cette période de marasme.

Une manière écrite et mémorielle de mettre en avant les réussites de toutes sortes au profit de l’attractivité d’un territoire où un établissement bancaire contribue à leur concrétisation par son soutien.

Bref, ce livre est utile, à bien des égards, pour enfin éradiquer de nos pensées la mauvaise image du banquier qui ne prête jamais, en somme ?

 

 

En savoir plus :

« Neuf Talents » ouvrage de Jean-Paul JULIA

Publié aux éditions « Débats Publics »

Avec le soutien de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain

140 pages

Prix de vente : 18 euros.

 

Thierry BRET

 

 


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Qui pourrait le croire, en vérité ? Les vœux prononcés par Olivier TRICON, président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME) auraient donc été les derniers à être rendus publics ?! A la baguette du mouvement patronal, fédérant TPE et PME de notre territoire depuis…très longtemps (!), le sémillant viticulteur de Chablis passera donc le relais – cette fois-ci, c’est bien décidé ! – à un successeur lors de la future assemblée générale prévue au printemps prochain.

 

AUXERRE : Il aura donc profité de la séance des vœux traditionnelle, concoctée en partenariat avec la Fédération française du Bâtiment – la structure prêtait également son amphithéâtre rempli aux trois quarts – pour formuler ses souhaits à ses adhérents et au milieu patronal, le président de la CPME de l’Yonne, Olivier TRICON.

Calme, détendu, serein, toujours à l’aise au pupitre d’une tribune, le sourire aux lèvres, l’entrepreneur de Chablis a livré un exercice oratoire de bonne facture et sans fausse note, remplissant ses devoirs de responsable d’un mouvement patronal important, éprouvé par une conjoncture économique en dents de scie.

Il a eu le privilège de fermer le ban après de multiples orateurs – tour à tour se succéderont sur la scène le président du Tribunal de Commerce d’Auxerre Pascal BAILLY ou encore Didier MICHEL, président de la FFB Yonne – avec sa verve habituelle, ponctuée d’informations précises, d’analyses du contexte sociétal et de bons mots afin de renvoyer dans leurs cordes, celles et ceux qui ne croient plus aux valeurs du travail et qui empêchent les entreprises de tourner dans le bon sens de la marche comme les aiguilles d’une montre.

« Nous avons appris à naviguer dans le brouillard. Sans aucune visibilité et dans une incertitude totale. La valeur travail, à laquelle nous sommes tous très attachés doit être défendue… ».

 

 

Limiter le statut de l’autoentrepreneur dans le temps…

 

 

Comment, devrait-on l’interroger ? Réponse sans ambages de l’intéressé : « grâce aux grands chantiers qui sont en cours au niveau gouvernemental, avec notamment l’indispensable réforme des retraites et la future loi Climat et Résilience… ».

Il aime l’offensive, Olivier TRICON. Ne pratiquant pas la langue de bois, le garçon dit ce qu’il pense tout haut sans se cacher derrière son petit doigt. Son credo depuis qu’il occupe la fonction suprême en pilotant la CPME de l’Yonne est clair : défendre les intérêts de ces TPE/PME qui souffrent au quotidien de l’inflation galopante, de la spéculation abusive, des hausses incompressibles des matières premières, de la flambée des coûts énergétiques, des charges, de la problématique empirique du recrutement, etc.

Jetant un œil de temps à autre sur ses feuilles qui lui servaient d’antisèches, le patron de la CPME déroula son exposé dans un silence de plomb.   

« C’est vrai 2022 aura été une année particulière, rappelle-t-il, mais, malgré les pénuries des matières premières et l’inflation, les carnets de commandes se sont bien remplis en général ; les chefs d’entreprises sont formatés pour s’adapter aux situations les plus délicates et franchir les obstacles… ».

 

 

Mettant en exergue la multitude de supports de communication dont bénéficie le mouvement patronal, Olivier TRICON s’est dit « mobilisé par les actions de la CPME ». Qu’elles soient nationales ou émanant d’autres strates.

Force de proposition auprès des parlementaires, la CPME – elle salue les efforts du gouvernement au niveau de ses instances hexagonales – veut faire évoluer le statut des autoentrepreneurs afin de le limiter dans le temps. Un cheval de bataille de longue date pour la confédération.

Idem à propos de la modernisation du « Small business act » qui consiste à faire travailler des entreprises du territoire à travers la commande publique en prenant en compte, entre autres, l’apprentissage parmi les critères de notation et de sélection.

 

 

Renoncer à la prise de marchés à cause du recrutement…

 

Puis, se projetant vers 2023 – année délicate à cause de l’inflation galopante -, Olivier TRICON lâchera le mot de « récession », un terme qui semble encore tabou dans bon nombre de sphères économistes.

« Tous les chefs d’entreprises sont impactés par la hausse des prix de leurs fournisseurs, par la hausse des salaires qui impactent nos prix de revient de plus de 10 %, et bien plus encore dans certains secteurs d’activités. Il est vital que les TPE/PME qui constatent une baisse de leur marge doivent pouvoir augmenter leurs prix de ventes… ».

Le volet recrutement – le casse-tête chinois du moment pour tous les patrons – s’invitera aussi à la tribune de la FFB.

« C’est une situation inédite pour les employeurs, concède Olivier TRICON, beaucoup d’entrepreneurs cherchent à recruter et tous rencontrent des difficultés qui les oblige à renoncer à prendre des marchés… ».

Intensifier les moyens de contrôles pour juguler les fraudes à l’arrêt de travail est pointé de l’index par un Olivier TRICON, décidément très dynamique à la tribune. Enchaînant avec la transition écologique, ce dernier estime qu’il est urgent de planifier un cap fiscal progressif à horizon vingt ans afin que les chefs d’entreprises puissent investir dans les alternatives les plus pertinentes.

Toutefois, Olivier TRICON ne manque pas de saluer les aides fournies par l’Etat sur le prix de l’énergie.

« La transition écologique représente une véritable opportunité pour les TPE/PME, devait-il ajouter, elles peuvent se différencier par leur agilité à condition que les mesures mises en place soient incitatives et non pas coercitives… ».

Un tacle en direction des écologistes, indubitablement ! Enfin, le chef de file des petites et moyennes entreprises du territoire fera allusion au droit de grève qui ne doit pas pour autant bloquer l’économie du pays.

« Il est temps de créer un vrai dialogue social tel qu’il existe dans les entreprises patrimoniales et indépendantes afin de retrouver l’unité dont nous avons besoin… ».

Côté évènementiel, la CPME de l’Yonne se distinguera cette année en soutenant le trophée golfique « Prestige & Patrimoine », porté par Gilles GENEST le 23juin prochain au Domaine de Roncemay, où Pierre MARTINET, figure hexagonale bien connue dans le milieu de la réception et de la restauration viendra parler de sa « success story » lors d’une conférence ouverte aux milieux entrepreneuriaux qui promet d’être épique au vu de la truculence du personnage, « le traiteur intraitable » !

Le président de la CPME départementale devait conclure sa prise de parole en honorant le travail effectué par sa collaboratrice, la secrétaire générale Emmanuelle MIREDIN pour son investissement au quotidien, sa vivacité d’esprit et son dynamisme inné. Une Emmanuelle MIREDIN – toute en beauté en dévoilant sa nouvelle chevelure à la lionne - qui avait au préalable ouvert la soirée, en compagnie de son alter ego de la FFB 89, Christian DUCHET.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est l’image du jour dans l’Yonne ! Des collégiens des classes de 5ème – ils seront près d’une centaine d’élèves à la fin de la journée à découvrir cet univers si particulier du codage -, issues de l’établissement des Champs-Plaisants à Sens ont pu se livrer à une extraordinaire expérience. Celle-ci déclinée par le Conseil départemental et ORANGE. Participer à l’opération « Super Codeurs », aux vertus à la fois ludique mais surtout didactique. Une animation devant se réitérer au même endroit le 27 avril…

 

SENS : Les yeux pétillent de malice. Les sourires s’affichent sur les visages radieux des élèves trop contents d’être là ! Heureux de mieux assimiler aux côtés de leur coach les arcanes de la robotique – certes, encore basique !-, thème du jour abordé enfin durant leurs cours. Et dire que la technologie va disparaître des programmes officiels de l’Education nationale (sic) !

Voilà une animation insolite qui n’a pu que séduire les « potaches » fréquentant les salles de classe du collège des Champs-Plaisants. Ils la doivent au volontarisme partenarial existant entre le Conseil départemental, l’établissement du cru et…ORANGE. Une entreprise ô combien diversifiée dans son large panel d’activités qu’elle décline au quotidien et que l’on ne présente plus.

Non seulement la structure amène la fibre optique jusqu’au fin fond de la ruralité de l’Yonne (et d’ailleurs !) depuis pas mal d’années en lui assurant son essor et son modernisme, mais en sus, elle éduque, initie, informe, renseigne et contribue à ce que chacune et chacun, jeune ou vieux, rural ou urbain, particulier ou professionnel, puisse maîtriser ainsi à la perfection l’outil numérique qui révolutionne notre vie depuis une vingtaine d’années.

 

 

Une campagne de sensibilisation devant faire florès sur tout le territoire…

 

Pour y parvenir, le groupe déploie une palette de possibilités diverses et variées, mais toutes complémentaires les unes des autres, s’appuyant sur les bonnes volontés humaines en interne et un sacré maillage de passionnés. Résultat : les programmes de prévention s’accélèrent dans les régions de France et de Navarre, à l’instar de ce qui se déroule en Bourgogne, à la grande satisfaction des bénéficiaires en bout de course. C’est-à-dire, nous tous !

« SuperCodeurs », nom de baptême de cette antépénultième action visant à clarifier les choses par le petit bout de la lorgnette pédagogique, a donc trouvé grâce et écho auprès du Conseil départemental qui en assure le relais dans les collèges du territoire, l’un de ses domaines privilégiés de compétences.

D’ailleurs, que l’on ne s’y méprenne pas : si Orange a bien posé ce jour les jalons de cette intervention ludique et constructive à Sens où la totalité des élèves des classes de 5ème prendront part à ces sessions en compagnie de la trentaine de formateurs ad hoc avec une deuxième séance le 27 avril, les collèges implantés en zone rurale devraient être concernés eux aussi à l’avenir par cette démarche de sensibilisation tous azimuts. Des intentions qui ont été confirmées par le premier vice-président de l’exécutif départemental, Grégory DORTE, venu en proche voisin depuis Pont-sur-Yonne assister à cette grande première, et Véronique MORLIGHEM, déléguée générale du groupe ORANGE pour le territoire bourguignon.

 

Thierry BRET

 

 


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2022 a ouvert le chemin d’une inflation galopante. Les perspectives sont plutôt sombres ! La valse des étiquettes est hélas au programme cette année. Qui mène la baguette de ce concert, dramatique pour beaucoup ? Face à une augmentation record des prix, il est temps de trouver les meilleurs plans pour obtenir les meilleures conditions d’achat. Comme pour la célèbre danse, le tango, le bon plan devient une improvisation permanente, en s’adaptant aux offres et en recherchant les meilleures propositions présentes dans l’instant. Identique au tango, la recherche du bon plan commence souvent au salon : sur son ordinateur, grâce à son moteur de recherche préféré…

 

TRIBUNE : Les produits alimentaires sont largement concernés par l’inflation. Qu’il s’agisse de la viande ou du pain, la chasse aux promotions est ouverte toute l’année. Au-delà des offres promotionnelles de nos enseignes préférées, de bonnes nouvelles arrivent en 2023 : l’ouverture de nouveaux magasins dans le cadre de nouvelles enseignes. Notons au passage le lancement de  « TOUTJUST », avec 7 500 produits proposés de 5 % à 10 % moins chers. C’est une marque indépendante française qui  a été créée récemment par un ancien directeur d’hypermarché.

Mais, il y aussi « POTAGER CITY », filiale de CARREFOUR, qui assure la promotion du bio et « ATACADAO », filiale du même groupe, qui propose des entrepôts avec des denrées présentées à des prix inférieurs de 10 % à 15 % moins chers qu’ailleurs. Ce réseau s’adresse aux particuliers comme aux professionnels. On peut acheter par palettes entières, et le prix varie selon les quantités achetées.

Dans ces nouveaux cadres, les circuits courts sont privilégiés ainsi que les productions locales. L’implantation de ces magasins sera progressive mais débutera dès le mois de mars 2023.

N’oublions pas non plus, que même sur son balcon on peut récolter : des tomates cerise, des plantes aromatiques, des fraises…

Dans le cadre de promotions de viandes, réaliser un plat, comme du bœuf bourguignon, de la rouelle de porc et autres blancs de poulet est facile. Il ne faut pas hésiter à concocter des plats pour six à huit personnes. En effet, on peut congeler le surplus, et surtout, la cuisson de ces plats, qui peut dépasser les deux heures, permet de réaliser des économies d’énergie.

 

 

 

Bien négocier en sa faveur les offres de services…

 

 

Les contrats d’assurances incendie sont à vérifier. Attention, si dans le descriptif de la maison, fourni à l’assureur, il n’y a pas de cheminée, en cas d’installation d’un poêle. Il est obligatoire de le déclarer à l’assureur aux fins de signer un avenant. Une augmentation des cotisations en découle. C’est l’occasion de revoir le niveau des couvertures. A titre d’exemple : passer de 50 000 euros à 30 000 euros de couverture pour le mobilier, a permis de diminuer la cotisation globale, malgré la cotisation ajoutée et due à l’installation d’un poêle.

Pour les banques, la bonne nouvelle c’est que le taux d’usure va être calculé tous les mois. En conséquence, les banquiers vont plus facilement prêter. La mauvaise nouvelle, c’est qu’ils vont pouvoir s’adapter, en permanence, à une hausse des taux inéluctable.

Il semble important de réaliser son acquisition immobilière afin de s’engager uniquement sur des taux fixes. Pour les investisseurs en immobilier, un conseil : il faut toujours réaliser le montage financier avec un crédit (70 % d’apport personnel et 30 % de crédit, par exemple). Calculer l’échéance du crédit afin qu’elle soit équivalente au loyer encaissé. Retenons, que pour les crédits, l’assurance décès-invalidité est négociable et même ailleurs que chez la banque prêteuse.

Pour les placements immobiliers, en tête du podium de la rentabilité, se trouve la location courte durée, ainsi que sa variante, la location saisonnière. On peut aussi privilégier les résidences pour étudiants.

 

 

Il existe pléthore de bons plans pour acheter moins cher !

 

Pour les mutuelles d’assurance, il est important de comparer ce qui est comparable : pointer les niveaux de couvertures, point par point et non en se focalisant uniquement sur les cotisations. En ce qui concerne les cabinets dentaires associatifs, restons vigilants face aux dérives de certains, fermés pour raison sanitaire : ils ne sont pas soumis aux contrôles habituels des cabinets médicaux !

Quant aux voitures d’occasion, elles ont augmenté de 34 % en un an. Si on n’est pas impatient, les concessionnaires proposent des voitures neuves à prix cassé : voir sur Internet les meilleurs plans. En ce qui concerne l’électroménager, il faut d’abord aller sur les comparateurs de prix et déterminer ainsi les marques et les distributeurs les moins chers.

On peut trouver du mobilier à bas prix dans le réseau des dépôts « Emmaüs ». Certains cites propose de réaliser des achats groupés : le « team buying » qui consiste à faire des achats groupés via dealissime.com ou entreacheteurs.fr. 

Pour les vêtements, les « vides greniers » ont le vent en poupe. On peut ainsi trouver, des chemises et des pulls à un ou deux euros, en très bon état et parfois jamais portés.

Trouver un bon plan pour acheter moins cher, c’est aussi l’occasion d’échanges en famille, entre voisins…C’est surtout l’occasion de vivre une plus grande solidarité. Solidaire de nos anciens, isolés et qui ont des difficultés à se repérer sur Internet.

Nous l’avons vécu dans notre histoire, les difficultés ont souvent permis de s’engager sur le partage et l’entraide. Les exemples se multiplient : de jeunes couples proposent d’apporter les courses à des anciens en échange de la garde d’enfants, des échanges de participation concernant des travaux en tout genre (bricolage, jardinage…), des étudiants qui proposent des cours de soutien à des enfants, etc.

Si certains parlent de l’apparition d’un nouveau cycle économique, la crise que nous traversons, fait l’objet de l’émergence d’un monde plus solidaire, plus fraternel, plus humain tout simplement.

L'humanisme affirme la valeur, la dignité et l'autonomie des individus et le droit de chaque être humain à la plus grande liberté possible. Les humanistes ont le devoir de se soucier de l'humanité entière incluant les futures générations. C’est à la portée de chacun.

« Un humanisme bien ordonné ne commence pas, par soi-même, mais place le monde avant la vie, la vie avant l'homme, le respect des autres êtres avant l'amour-propre. » Claude LEVI-STRAUSS.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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