Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Rachid KACI explique les vertus du plan « 1 jeune 1 solution » : le sous-préfet de Sens sur la ligne de front pour l'emploi !
avril 06, 2021Le représentant de l'Etat à Sens Rachid KACI était sur le pont dès le début de la matinée ce mardi 06 avril. Il prenait part à une séance de travail sur les fondements du dispositif destiné aux demandeurs d’emploi de moins de trente ans. « 1 jeune 1 solution » favorise l’accès de cette frange de la population à l’emploi et à la formation.
SENS: Priorité à l’insertion des jeunes dans la vie active malgré un contexte qui est en indélicatesse avec l’emploi. L’Etat ne cesse de le marteler à grand renfort de communication depuis plusieurs semaines. Il a déployé un certain nombre de dispositifs depuis le début de la crise sanitaire en ce sens.
Le plan « 1 jeune 1 solution » est précisément l’un de ces atouts stratégiques qui favorise la mobilisation en faveur des contrats aidés.
Mardi matin, le représentant de l’Etat sur le Sénonais Rachid KACI devait en rappeler les vertus cardinales qui selon les dernières statistiques rencontrent un réel succès en France.
Soit plus d’un million d’embauches observés depuis son lancement à l’été 2020 et 500 000 contrats d’apprentissage qui ont été validés en l’espace de quelques mois. Des chiffres pertinents auxquels il faut ajouter 600 000 entrées dans un parcours d’accompagnement pour celles et ceux qui connaissent les pires des difficultés à pouvoir s’insérer.
Face à une dizaine de jeunes gens, âgés de 19 à 29 ans, d’un employeur et de son salarié en reconversion professionnelle qui apporta son ressenti, Rachid KACI s’est voulu très pédagogue et attentif aux réactions inhérentes à cet exercice testimonial concocté avec l’aide de Pôle Emploi.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Stratégie : Dominique BERIOT invite les managers à clarifier les demandes faites aux collaborateurs…
avril 04, 2021Riche d’une expérience de dirigeant et de DRH d’entreprises de plus de 1 500 personnes, Dominique BERIOT est une référence de l’approche systémique en France. Ses conférences données dans les plus grandes écoles ainsi que ses ouvrages préfacés, notamment par Michel CROZIER ou Joël de ROSNAY, sont des incontournables pour le manager d’aujourd’hui. On ne peut que recommander son « Guide systémique du manager d’équipe » paru en 2018 aux éditions Eyrolles.
TRIBUNE : Aujourd’hui, il nous parle d’une tâche quotidienne pour un manager : celle d’émettre une demande à un collaborateur. Souvent formulée de manière approximative, la demande constitue un enjeu au sein d’un management qui mérite d’être amélioré. Dominique BERIOT nous explique l’importance de cadrer ses demandes pour gagner en efficacité.
Dominique, selon vous, la plupart des managers ont une grande marge de progression sur une des tâches qu’ils réalisent le plus fréquemment...
En effet, tout au long de ma carrière, j’ai été frappé par une chose. J’ai remarqué que lorsqu’un manager formule une demande à un collaborateur, celle-ci cristallise souvent une incompréhension entre les deux parties, et provoque de la déception à l’arrivée. J’ai pu observer cela malgré une implication pleine et sincère de la part du collaborateur comme du manager et j’en ai déduit que c’est la formulation de la demande elle-même qui pose problème. La situation inverse se produit également : un manager reçoit une demande et pense y répondre correctement mais le demandeur, finalement, est déçu par la réponse apportée.
Comment expliquez-vous cet invariant qui fait perdre en efficacité ?
Ce qui provoque cette incompréhension est assez simple à comprendre, il s’agit avant tout d’un manque de clarté dans la demande. C’est-à-dire que l’objectif réel n’est pas assez ou pas du tout explicite : il est présent dans la tête de celui qui émet la demande mais ne parvient pas jusqu’à celui qui la reçoit. Il se situe à un niveau supérieur, tacite.
Prenons l’exemple d’un entretien pour illustrer le mécanisme. Un manager reçoit trois collaborateurs qui lui font part de leur envie d’évoluer professionnellement. Apparemment, les trois demandes sont similaires du point de vue du manager. En fait, pour chacun des collaborateurs, l’objectif diffère. Le premier espère se sortir d’une situation de conflit et moins subir de stress. Le deuxième escompte un revenu plus important pour satisfaire des besoins familiaux, et le dernier souhaite accéder à plus de responsabilités pour faire avancer sa carrière.
Derrière chaque demande, il y a un objectif propre difficilement décelable dès lors qu’il n’est pas clairement exprimé. Dans le cas où les motivations réelles ne sont pas comprises par le manager, il risque de mal répondre aux attentes des collaborateurs, générant frustrations, incompréhensions. Il y a une perte d’énergie et d’efficacité significative pour tout le monde.
Il est donc essentiel d’expliciter l’objectif de niveau supérieur ?
Oui, et pour plusieurs raisons. D’abord, pour vérifier qu’il y a bien une cohérence entre la demande et l’attente réelle. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’un autre objectif se cache au niveau supérieur. Ensuite, pour permettre à son interlocuteur de se saisir pleinement de la demande et avoir ainsi plus de chance de la voir aboutir, car il aura tendance à rejeter la demande s’il n’en comprend pas totalement le sens.
Par ailleurs, en formulant une demande claire, on agit comme libérateur d’énergie. L’autre peut mieux s’impliquer et être plus autonome s’il comprend tous les enjeux. Il y a donc plus de chance qu’il apporte une réponse adéquate. Un cadre clair favorise les actions pertinentes. Pour reprendre l’exemple cité plus haut, le manager pourra travailler avec le premier collaborateur sur un accompagnement à la gestion de conflit et envisager une évolution de la rémunération pour le second, plutôt que l’inverse.
Enfin, celui chargé de traiter la demande disposera d’arguments réels pour la faire valoir. Il sera mieux armé pour conduire le changement, notamment face à des acteurs opposés au projet. C’est toujours plus convaincant d’argumenter que de simplement rétorquer “qu’on m’a demandé de le faire” !
Pourquoi les demandes ne sont-elles pas toujours traitées ainsi ?
Parce que ce n’est pas si facile à réaliser. L’écoute n’est pas toujours au rendez-vous, ou alors des situations particulières peuvent faire obstacle à la clarté. Dans un environnement international par exemple, certains facteurs peuvent brouiller la communication.
Surtout, un manager peut avoir tendance à se projeter, à imaginer l’objectif qui se cache au niveau supérieur et se faire une idée fausse. C’est l’erreur la plus courante et il faut y être particulièrement attentif. A l’inverse, votre manager n’est pas forcément habitué à ce que vous lui demandiez d’expliquer et de justifier sa demande réelle. Mais vous lui rendez un grand service si vous le faites.
Quels conseils pouvez-vous donner à celles et ceux qui n’ont pas encore lu votre guide pour réussir cet exercice et détecter l’objectif de niveau supérieur à réaliser ?
La tendance naturelle, lorsque l’on formule une demande, est d’en expliquer les raisons et d’indiquer à l’autre la marche à suivre. Il faut parvenir à sortir de ce schéma très directif, expliquer plutôt le sens de la démarche et laisser à l’autre la liberté d’agir. Il faut orienter ses explications sur le but de la démarche plutôt que sur ses raisons.
Et dans le cas où l’on reçoit une demande, l’objectif est d’en saisir les enjeux réels.
Après des recherches, nous avons détecté que la meilleure question à poser est, en fonction du contexte : Pour obtenir quoi ? Pour aboutir à quoi ? Pour parvenir à quoi ?
L’idée est de passer du « pourquoi », qui induit la causalité, au « pour quoi », « vers quoi » afin de mettre l’interlocuteur face à sa demande. En agissant ainsi vous précisez les cibles, vous permettez la clarification des objectifs et vous permettez à l’interlocuteur comme à vous-même de mener les actions pertinentes.
L’Application
Dès maintenant : mettez-vous en situation ! Un directeur fait savoir à son chef de service qu’un collaborateur devrait se comporter autrement. Vous êtes le chef de service, comment recevez-vous cette remarque ? La demande est floue, imaginez les questions que vous devez vous poser pour la clarifier.
De quel comportement s’agit-il ? En lui demandant un changement de comportement, vous souhaitez obtenir quoi de sa part ? Tentez d’identifier l’objectif réel de cette remarque qui vous est adressée.
Cette semaine, sur cinq demandes que vous recevez ou formulez, astreignez-vous, à en traiter au moins une selon la méthode exposée le type de questionnement proposé. Augmentez le recours à cette méthode les semaines suivantes.
D’ici un an, intégrez complètement cette recherche systématique de l’objectif de niveau supérieur à la demande, ainsi serez-vous en mesure d’améliorer le traitement ou l’émission de demandes et pourrez-vous en constater un gain d’efficacité !
Si vous souhaitez aller plus loin et apprendre à exprimer ou traiter globalement une demande, vous trouverez des réponses dans l’ouvrage de Dominique BERIOT ; il vous accompagnera de manière claire et opérationnelle.
Entretien réalisé par Philippe CARPENTIER
Blog 16h44
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le dispositif est-il vraiment vertueux ? Deux jeunes signent une convention dans le cadre du plan « 1 jeune 1 solution »
mars 30, 2021Deux jeunes femmes ont scellé une collaboration de plusieurs mois avec l’EHPAD Notre-Dame de la Providence. Elles ont signé une convention dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution ». L’Etat présente ce dispositif comme une bouée de sauvetage exceptionnelle pendant la crise sanitaire. Mais permet-il réellement de lutter contre le chômage des jeunes ?
SENS : Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par les pouvoirs publics en juillet 2020. Il vient en aide aux jeunes impactés par la crise sanitaire. Son terme est initialement programmé pour janvier 2021. Il avait ensuite été prolongé jusqu’au 31 mars.
A Sens, la Mission Locale annonce que depuis le début de l’année, 35 jeunes ont bénéficié de ces contrats aidés, d’une durée de 9 mois, renouvelables jusqu’à 24 mois. Dans l’Yonne, en 2020, plus de 3 600 jeunes ont profité des avantages de ce plan dont 1 559 d’entre eux au sein du Parcours d’Accompagnement Contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie (PACEA).
A quoi sert ce nouveau plan gouvernemental ?
En théorie, ce type de plan permet aux jeunes de se former, de combler des lacunes en termes de qualifications nécessaires pour trouver plus facilement un emploi.
Mais pour les deux jeunes sénonaises, Assia et Coline, toutes deux âgées de 20 ans, il s’agit davantage d’une passerelle.
Assia rêve de devenir infirmière depuis trois ans mais elle compte parmi les victimes de Parcoursup. Elle souhaitait donc enrichir son dossier par une expérience concrète avant de candidater de nouveau pour une école.
Coline, quant à elle, a abandonné ses études en économie et gestion pour se consacrer à une cause plus proche de l’humain. Elle souhaitait « être utile à la cause de la COVID ». Ce dispositif constitue également un bon tremplin pour sa réorientation vers le secteur médico-social dans lequel elle aimerait finalement faire carrière.
Entre l’alternance, les contrats traditionnels et les divers contrats aidés, les entreprises disposent aujourd’hui d’un choix plutôt riche de contrats à la carte. Une aubaine également en termes de main d’œuvre à moindre coût, surtout à l’heure où l’économie est au ralentie en raison des mesures restrictives liées à l’épidémie de SRAS CoV-2.
Dario RIGOLLET, directeur de l’EHPAD considère que « surtout en ce moment de crise COVID, ce sont des emplois utiles. Sinon au niveau financier, même si l’Etat nous aide énormément, c’est bien d’avoir aussi de l’aide de ce côté-là, au niveau des emplois ».
Le gouvernement offre une aide d’un montant pouvant s’élever jusqu’à 4 000 euros aux employeurs qui embauchent un jeune de moins de 26 ans. A noter que les entreprises accueillant un alternant (en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) de moins de 18 ans reçoivent 5000 euros et 8 000 euros si celui-ci a plus de 18 ans.
Le directeur admet aussi que l’établissement embauche « continuellement » des jeunes stagiaires en temps normal, apprentis ou sous contrats aidés, qui ne restent pas la plupart du temps, « peut-être parce qu’à ce moment-là on n’avait pas de poste en CDI… » justifie-t-il. Les entrepreneurs ont effectivement la possibilité d’opter pour des contrats aidés depuis de nombreuses années.
L’aide aux jeunes sans qualification : une stratégie politique récurrente
Et pour cause, l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi, et plus particulièrement la paupérisation de la jeunesse française, n’est pas uniquement le fait de cette crise sanitaire.
Depuis plus de quarante ans, le chômage des moins de 26 ans est en constante augmentation, de 20,8 % en 2018 (contre 8,5 % pour les 25-49 ans). En 1975, ce taux n’était que de 6,9 %.
Les gouvernements successifs déploient régulièrement des plans massifs de sauvetages pour endiguer un taux de chômage et faciliter l’accès à l’emploi pour les moins de 15-24 ans pas ou peu qualifiés.
Cette cause est devenue l’un des slogans favoris de la classe politique, avec en vedette le CIE (Contrat Initiative Emploi) créé en 1995. On parle aujourd’hui du CUI-CIE pour le secteur marchand, qui fait d’ailleurs son grand retour, du CUI-CAE, qui s'adresse au secteur non marchand (transformés en PEC-Parcours Emploi Compétence), et du CIE-JEUNES dédié aux moins de 26 ans.
Ce dispositif fait l’objet d’une profonde réforme depuis ses débuts mais le principe est toujours resté le même : une aide financière à l’embauche pour les entreprises et la promesse d’un avenir aux chômeurs longue durée. Et bien que l’on constate son déclin depuis le début des années 2000 (de 600 000 contrats aidés en 2005 à 200 000 aujourd’hui), son utilisation demeure privilégiée. En 2016, 28,1 % des emplois occupés par les jeunes de moins de 26 ans étaient des contrats aidés.
Quelle est l’efficacité réelle du contrat aidé ?
Alors que ces mesures sont souvent critiquées depuis l’instauration des « Travaux d’utilité collective » (TUC) par Laurent FABIUS en 1987, l’Etat continue de les mettre en place. Cela signifie-t-il qu’elles répondent finalement aux objectifs fixés : soutenir l’emploi et favoriser l’insertion professionnelle ?
Dans un rapport de 2011, la Cour des Comptes signifiait que l’objectif était surtout « de lutter contre le chômage en période de basse conjoncture. Les contrats aidés, du secteur non marchand en particulier, permettent en effet de retirer temporairement des effectifs non négligeables des listes de demandeurs d’emploi ».
Une enquête de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) réalisée en 2017 confirme cette tendance.
« A court terme, les contrats aidés, particulièrement ceux du secteur non marchand, permettent de soutenir efficacement l’emploi. À plus long terme, en revanche, les effets sur l’insertion professionnelle sont mitigés » en fonction du secteur et de la conjoncture économique.
Parmi les personnes ayant réalisé un contrat unique d’insertion dans le secteur marchand (CUI-CIE), 72 % déclaraient être en emploi six mois après et 25 % s’étaient réinscrit à Pôle Emploi.
Concernant ceux qui ont effectué ce même contrat dans le secteur non marchand (CUI-CAE), seulement 49 % étaient encore en poste dans le même délai et 43 % avaient réintégré les statistiques du chômage.
« La part de ceux qui s’orientent vers une formation ou sortent vers l’inactivité est inférieure à 5 % ».
Floriane BOIVIN
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Une Master class lui est consacrée à Vauban : l’agneau se dévoile façon puzzle aux élèves cuisiniers !
mars 29, 2021A l’instar de la fameuse formule s’appliquant à la viande porcine, tout serait-il bon à consommer également dans l’agneau ? C’est en toile de fond le fil rouge qui a prévalu lors de cette séance concoctée au lycée des Métiers ce lundi 29 mars. Afin d’en découvrir chaque morceau et ses modes de cuisson…
AUXERRE : Dépecer une carcasse d’un agneau représente tout un programme de dextérité et de minutie à réaliser. Comme l’a démontré l’exercice d’un professeur de l’établissement, retraité de surcroît, sachant manier avec parfaite maîtrise la scie et le couteau.
Les élèves du groupe scolaire VAUBAN se sont familiarisés avec les techniques de la découpe de la pièce carnée. Comme phase liminaire à cette « Master Class » spéciale, on ne pouvait trouver meilleure entrée en la matière !
Quelques jours avant la fête pascale, il semblait judicieux pour le professeur de cuisine François HENNARD de mettre l’agneau au goût de cette session.
En connaître les différents morceaux les plus usités dans les recettes tout en les visualisant dans la carcasse de l’animal était l’un des objectifs de cette animation.
E
Un autre volet thématique a permis aux futures pousses de la cuisine de découvrir les différences existantes entre des agneaux issus du Label Rouge (les deux pièces travaillées ce lundi matin offertes par Philippe BULANT, directeur de METRO Auxerre, correspondaient à cette qualité de viande) et les autres catégories plus inférieures. Entre deux séances, on aborda aussi la notion des prix et la traçabilité lors de ces échanges instructifs.
L’après-midi fut réservé à la conception des recettes et leurs modes de cuisson. Celles préparées par le chef du Rive Gauche Jérôme JOUBERT. Il en présenta plusieurs à une dizaine d’élèves qui les réalisèrent avant de les restituer et les soumettre à l’appréciation gustative des professionnels fréquentant les travées du magasin METRO à Auxerre. Une manière agréable de joindre la boucle en mettant l’eau à la bouche à qui voulait goûter !
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le télétravail soulève bon nombre de questions : GROUPAMA Yonne est sollicité pour y répondre !
mars 27, 2021Comment est appréhendé le télétravail dans les entreprises de notre territoire ? Alors que le chef du gouvernement ne cesse de marteler, conférences de presse à l’appui, que ce dispositif doit être mis en place à tout prix dans les sociétés qui le peuvent afin de lutter contre la propagation de l’épidémie, le préfet de l’Yonne se rendra au siège de GROUPAMA Yonne mardi pour y recueillir des témoignages…
AUXERRE : Près de 40 % des entreprises de l’Hexagone sont encore réfractaires à l’idée de développer des activités en télétravail malgré le contexte sanitaire ambiant.
Les explications tiennent en quelques lignes : manque de confiance envers les collaborateurs, problématiques au niveau de la logistique ou peu encore peu de motivation à chambouler l’organisation de l’entreprise. Pire, certains dirigeants ne se sentent pas concernés par ce dispositif.
Pourtant, les messages répétitifs de l’Etat se veulent explicites : dès lors que les activités le permettent, la mise en place du télétravail doit être réalisée par les entreprises. Objectif : freiner la circulation de la COVID-19 dans la sphère entrepreneuriale.
Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’Unité départementale de la Direction régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS), le préfet de l’Yonne Henri PREVOST fera le point sur les diverses questions qui peuvent résulter de cette application : à savoir les droits et les devoirs des employeurs et des salariés, les risques encourus ou sur un tout autre registre, mais aussi sur les aides financières existantes.
Le représentant de l’Etat se rendra au siège icaunais de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire pour interroger son binôme de dirigeants : Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses départementales de l’Yonne et le directeur de l’établissement, Jacques BLANCHOT.
Tous deux apporteront leurs témoignages sur la manière dont est appliquée et vécue le télétravail au sein du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99