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« 1 jeune, 1 solution » : un plan pour ne perdre aucun jeune en chemin sur la route de l’emploi…
avril 15, 2021Décliné à l’échelle nationale, le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé à l’été 2020 par le gouvernement, sous forme d’une enveloppe de plus de 9 milliards d’euros. L’objectif est d’accompagner et faciliter l’entrée dans la vie professionnelle de chaque jeune demandeur d’emploi. Lundi, le préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, s’est rendu dans les locaux auxerrois de Pôle Emploi pour échanger sur le dispositif aux côtés des équipes de l’agence, au premier rang desquels, Yves HUTIN, directeur territorial Yonne-Nièvre et Séverine DUTREIX, directrice de l’antenne auxerroise.
AUXERRE : L’on a coutume de dire que « l’avenir appartient à la jeunesse… ». Encore faut-il lui donner les clés pour en ouvrir les portes ! Les répercussions de la crise née de la COVID-19 sur le marché du travail sont nombreuses, fragilisant d’autant les moins de 25 ans en quête bien souvent, d’un premier emploi.
En 2020, l’on aura ainsi comptabilisé 1,6 million de « NEET » (les invisibles), triste acronyme pour désigner tous ces jeunes qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation. C’est à leur intention qu’a été initiée, dans le cadre du plan de relance national de 100 milliards d’euros, l’opération « 1 jeune 1 solution » ciblant les moins de 26 ans (ou moins de 31 ans si reconnus travailleur handicapés).
L’objectif gouvernemental de ne laisser personne sur le bord du chemin se veut ambitieux et mobilise pour cela tous les leviers disponibles. Développant notamment l’accès aux emplois aidés, tant pour le secteur marchand par le biais de dispositifs comme les « Emplois francs » ou les « Contrats Initiative Emploi » (CIE), que le secteur non-marchand avec les contrats « Parcours Emploi Compétences » (PEC).
Un plan pour accélérer et réaliser des projets de manière opportune…
Une association d’aide à la personne, un établissement bancaire, un EHPAD, un centre d’affaires, un restaurant… Plusieurs employeurs étaient présents ce 12 avril en réponse à l’invitation de Pôle Emploi pour participer à un job dating et recruter de futurs collaborateurs avec l’aide du dispositif national mis en place.
Ce dont s’est félicité le préfet de l’Yonne Henri PREVOST : « Ce label « 1 jeune 1 solution » a le mérite d’être très clair et très parlant. L’idée est vraiment à chaque fois, d’ajuster la proposition par rapport à chaque parcours, mais aussi à la réalité du terrain et des besoins de l’entreprise… Ce plan est évidemment une opportunité pour un territoire comme celui de l’Yonne, pour accélérer et réaliser des projets ou investissements qui sans lui, auraient peut-être mis des années pour pouvoir se faire. L’on sait bien que monde de l’économie et de l’entreprise est fait de coups du sort, d’évènements extérieurs pénalisants et qu’en fait tout l’art de l’entrepreneur est d’arriver à exploiter ces situations et en retourner les difficultés… ».
Le représentant de l’Etat est bien décidé à faire de cette mobilisation autour de l’emploi un axe de travail majeur pour les mois à venir.
En savoir plus :
Tout renseignement supplémentaire sur : www.1jeune1solution.gouv.fr
Dominique BERNERD
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COVID oblige, c’est par visioconférence que l’agence Yonne Tourisme a tenu son assemblée générale vendredi 09 avril. L’occasion pour sa présidente Anne JERUSALEM, sa directrice Bénédicte NASTORG-LARROUTURE et toute l’équipe de présenter à une quarantaine d’acteurs du tourisme icaunais le bilan de l’année 2020 et les actions initiées pour 2021. Dans un contexte pandémique lourd et anxiogène, l’Yonne possède de nombreux atouts en adéquation avec les nouvelles attentes de la clientèle touristique. L’instance départementale s’est fixée pour défi de le faire savoir au plus grand nombre…
AUXERRE: Au plan national, l’impact de la COVID-19 sur le tourisme se chiffre en milliards d’euros, le secteur ayant perdu entre 70 et 80 % de son chiffre d’affaires l’an passé en raison de l’épidémie.
Une crise sans précédent qui perdure en ce printemps 2021, avec l’arrêt des voyages dans le monde et l’absence de visiteurs étrangers sur notre territoire. A l’échelle départementale, les conséquences ne sont pas anodines avec notamment, pour les prestataires icaunais visant la clientèle « groupes », un manque à gagner de 350 K€ de retombées financières en 2020.
Si la convalescence s’annonce longue, l’agence Yonne Tourisme veut profiter de l’opportunité et surfer sur le nouveau paradigme des Français privilégiant des vacances de proximité et un besoin d’authenticité, loin du tourisme de masse.
Une mosaïque diversifiée de paysages, de grands espaces verts, des hébergements indépendants offrant plus de garantie sanitaire, des activités de nature ouvertes à tous, des lieux de visite ou évènements de taille modeste accessibles au plus grand monde, circuits courts et achats de proximité…
Un département qui présente autant d’atouts : une bénédiction !
La liste des atouts du département en la matière est longue. Bénédicte NASTORG-LARROUTURE, directrice de Yonne Tourisme, s’en félicite : « L’on s’aperçoit qu’en intention de voyages pour 2021, les gens continuent à plébisciter tout ce qui est nature, authenticité, rencontres avec les habitants. Ils recherchent des séjours offrant sources de découverte et tourisme expérientiel. Un retour à l’essentiel, aux vraies valeurs, de plus en plus recherché par nos visiteurs et pour Yonne Tourisme, un département avec autant d’atouts, c’est vraiment une bénédiction ! ».
Un nouveau défi à relever toutefois pour l’agence et les acteurs de l’économie touristique icaunaise, avec la tendance qui se confirme en 2021, à des réservations « d’extrême dernière minute ». Il n’est plus rare désormais, que des clients se manifestent quelques heures avant d’arriver, ce qui n’est pas sans conséquence sur la gestion des hébergements ou des stocks. Cela réclame une souplesse accrue des professionnels.
En soutien à la filière touristique icaunaise, Yonne Tourisme a déployé depuis juin dernier un plan de relance ambitieux d’un montant de 340 K€. Il se traduit par une campagne de communication multiformes et multi-cibles, avec pour finalité de soutenir et amplifier l’attractivité du territoire.
Notamment en direction des départements limitrophes, des grandes villes voisines et de l’Ile-de-France. Selon une enquête menée par VVF Ingénierie, 79 % des vacanciers envisagent de rester en France pour leurs vacances en 2021. C’est tout le département de l’Yonne qui les attend de pied ferme !
Dominique BERNERD
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Un virage à 180 degrés doit être pris pour les stations-service : s’adapter au marché ou perdre 20 000 emplois…
avril 10, 2021Un SOS vient d’être lancé par le CNPA pour préserver la pérennité des stations-service en France ! Onze mille de ces structures répertoriées dans l’Hexagone doivent très rapidement répondre au contexte du moment : celui de l’essor des véhicules électriques et du déclin des ventes de carburants. En ajustant leur stratégie !
PARIS : Elles n’ont pas d’autres alternatives que de s’adapter à la réalité des enjeux environnementaux, les stations-service de France et de Navarre. Sous peine de mettre la clé sous le paillasson et de déposer le bilan pour celles et ceux de leurs gérants qui en assument la gestion.
Les onze mille stations-service françaises doivent faire face très rapidement à la constante progression des ventes des véhicules électriques qui induit la diminution radicale des ventes de carburants.
D’ici une quinzaine d’années, peut-être moins selon les spécialistes, la moitié de ces points vitaux de toute une économie (on pense volontiers aux zones rurales) auront disparu du paysage si elles ne s’acclimatent pas aux nouveaux enjeux de la société.
Dans le domaine de l’implantation de bornes de recharge électrique, la grande distribution et les réseaux d’autoroute semblent être prêts à relever le défi. En installant ces points d’alimentation nécessaires au développement des véhicules électriques.
Or, beaucoup de petites stations-service indépendantes ne se positionnent pas sur ce même créneau. Conséquence à cette configuration funeste : vingt mille emplois sont désormais dans la balance et pourraient être remis en question dans un avenir proche.
Au niveau syndical, le CNPA (Conseil national des professions de l’automobile) plaide en faveur d’un fonds de modernisation permettant d’accompagner les structures dans leur transition énergétique. Un fonds de solidarité sera également accessible à un grand nombre de ces structures, sous certaines conditions définies par l’Etat. Il faut agir très vite car il y a réellement péril en la demeure sur ce secteur d’activité qui ne fait pas les manchettes des médias...
Thierry BRET et Jean-Paul ALLOU
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80 % des collaborateurs exercent en télétravail : GROUPAMA répond aux contraintes de la COVID en gardant le cap
avril 07, 2021Il ne faut pas se fier à la première impression. Elle n’est pas nécessairement la meilleure des conseillères. La suite de bureaux traversés au pas de charge par la petite délégation qui en a visité le moindre de ses aspects ne signifie nullement que l’activité professionnelle y est absente ! C’est là toute la subtilité du télétravail quand il est réussi. D’ailleurs, chez l’assureur mutualiste régional, la productivité demeure excellente. Que l’on soit à domicile ou sur son lieu de travail !
AUXERRE: D’ordinaire, le siège social de la direction départementale de GROUPAMA Paris Val-de-Loire bruisse de mille sonorités. Ces signes de vie traduisent l’effervescence qui y règne.
Tapotements rapides de mains expertes sur les touches d’un clavier, réception d’appels téléphoniques sans discontinuer afin de résoudre les besoins des sociétaires, voix des occupants qui communiquent des informations : bref, c’est le rythme de croisière d’une entreprise d’assurance et de prévoyance dans son jus quotidien.
Quarante-sept personnes s’y affairent avec âpreté et se répartissent les différents espaces prévus à leur accueil.
Or, ce n’est pourtant pas la vision naturelle qu’aura aperçue le préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite des lieux.
Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’unité départementale de la DIRECCTE (Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités), le représentant de l’Etat se sera très vite rendu compte que cette enfilade d’espaces professionnels qu’il aura franchie en compagnie de ses hôtes demeurait vide de tout occupant.
Ou presque à de très rares exceptions. Logique, seuls neuf collaborateurs de l’entreprise mutualiste exercent encore leur activité en présentiel. Parce que leurs tâches ne sont pas transposables à leur domicile.
L’épine dans le pied du télétravail : l’isolement du personnel…
Curieux sentiment de solitude pour celles et ceux de ces collaborateurs qui avaient les yeux rivés devant les écrans de leurs ordinateurs au passage de la délégation préfectorale. Pour autant, interrogées par le haut fonctionnaire, ces personnes affichaient plutôt avec un sourire facile de l’enthousiasme à pouvoir exercer leur métier dans ces conditions si inhabituelles.
Mais, cet isolement est aussi vécu avec appréhension par une large frange des autres employés de la fameuse maison séculaire : celles et ceux qui restent à demeure. La vraie épine dans le pied de ce bel édifice qui se décline sous nos yeux et se nomme le télétravail.
Une activité qui est fortement encouragée depuis le retour du confinement de troisième génération par Henri PREVOST lui-même (à lire l’article consacré à ce sujet à paraître).
Conscient des aspects psychologiques que cette situation peu commune peut engendrer sur le moral de ses « troupes », le directeur d’établissement de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT (il est aussi lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale) a mis en place un système de rotation favorisant le retour avec parcimonie du personnel qui souhaite évacuer leur stress.
Ce n’est pas le seul outil dont il utilise les saines vertus. Les managers de la place s’appuient sur des plannings de présence en essayant de redonner un supplément d’âme dans ce lieu qui manque singulièrement de convivialité.
Exit la kyrielle d’opportunités où chacun des salariés pouvait allègrement célébrer une fête ou un anniversaire, partageant le gâteau et le verre d’un nectar de notre terroir !
Fini les accolades et les bises matinales entre collègues afin de se souhaiter la bienvenue : le monde du travail a perdu de sa superbe en termes de relations humaines. Même si quelques velléités de recréer une atmosphère chaleureuse réchauffent les âmes affectées par l’imprévisible.
A l’instar du corner café accueilli sur TEAMS et décliné à distance entre les collaborateurs.
Tous les indicateurs sont orientés vers le beau fixe…
Seul rayon de soleil dans cet univers un peu morne de tant d’absences physiques : les résultats du groupe. La productivité de l’entreprise n’a pas disparu, loin s’en faut. La qualité de service, non plus. Chacun y trouve son compte. Surtout les clients de la société assurantielle devant faire face aux problématiques, nées de sinistres automobiles.
Côté investissement, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas ergoté sur les moyens technologiques pour équiper son personnel afin qu’il puisse exercer ses tâches dans les configurations les plus optimales.
La direction régionale a consacré une enveloppe budgétaire de 800 000 euros à la dotation des 1 600 collaborateurs en matériel numérique adéquat : écrans, unités et webcams ! D’ailleurs, d’ici peu, de nouvelles webcams seront déployées sur le territoire.
Commentaire avisé de Jacques BLANCHOT à ce propos : « La pandémie nous a fait faire des efforts colossaux en un laps de temps record ! ».
Au mois d’octobre 2020, l’entité avait proposé à ses salariés un accord d’entreprise, reposant sur le volontariat, permettant de réguler au mieux le télétravail. Accord qui concerne le personnel en contrat à durée indéterminé (CDI), d’une ancienneté de plus de douze mois.
Cet accord a fait l’objet d’un avenant au contrat de travail des collaborateurs. Clin d’œil anecdotique mais révélateur de l’art d’anticiper les choses : GROUPAMA évoquait déjà la possibilité de mettre en place tôt ou tard le télétravail, et ce à partir de janvier 2020.
Cela se déroulait il y a dix-huit mois. Depuis, on connaît la suite…
Thierry BRET
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Un bon « pitch » pour faire le buzz : Karim BOUCHROU (PFM) étrenne une pratique percutante de la communication orale
avril 06, 2021Loin d’être une évidence même si l’on possède des facilités à l’expression orale, la technique du « pitch » représente un sérieux raccourci pour expliquer dans un délai imparti (très court en général) les rudiments de son métier et les atouts de son entreprise. Le dirigeant de PACK SECURITE Karim BOUCHROU s’est essayé à l’exercice en dévoilant en moins de trois minutes la vocation de sa nouvelle structure PFM. Pas si simple !
AUXERRE : Il aura été le premier à ouvrir le bal de cette session spéciale le PDG de PACK SECURITE ! En demeurant le plus stoïque possible face aux caméras placées çà et là et aux endroits stratégiques par les équipes d’IDXPROD dans l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise.
D’ailleurs, elles n’auront manqué aucune des miettes de cet exercice d’éloquence à la sauce managériale ! Une première du genre à vivre à Auxerre !
Déclinaison minutieuse de la communication visuelle des temps modernes, le « pitch » offre l’opportunité à un dirigeant d’entreprise de pouvoir convaincre un interlocuteur de la pertinence de son projet.
Le tout servi dans un laps de temps record : soit de la singulière minute pour sa forme la plus édulcorée en matière de contenu aux cinq longues minutes de causerie qui se pratiquent selon l’envergure du projet.
L’enjeu est de savoir mettre en écoute son auditoire, tout en conservant le fil d’Ariane de sa trame linguistique, additionné d’un rythme gracieux et adapté à la locution qui rappelle instantanément votre griffe ! Rien que cela !
Bref : on ne s’improvise pas à la pratique du « pitch » comme cela à la légère sans un minimum de préparation.
Le patron de PACK SECURITE 89 aura eu le privilège d’être le premier de la petite liste de chefs d’entreprise invités la semaine dernière par le MEDEF de l’Yonne et l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) à essuyer les plâtres d’un exercice oratoire où finalement il ne s’en sera pas trop mal sorti.
D’autant que Karim BOUCHROU venait présenter la nouvelle structure qu’il a portée sur les fonts baptismaux à la fin de 2019, la société PMF (Pack Facility Management).
Cette entité évolue dans le secteur de l’organisation d’évènementiels de type salons, foires et congrès à l’échelle régionale, plus précisément dans l’activité « services aux entreprises ».
D’où l’intérêt un brin légitime de bien maîtriser son discours oral en choisissant les mots justes et les intonations qui l’accompagnent avant que ces fameux « pitch » ne circulent par capillarité en boucle sur les réseaux sociaux afin de créer le buzz.
Thierry BRET
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