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« Pour vous et pour le territoire, j’ai décidé d’être candidate à ma réélection : je vous le confirme ! ». L’auditoire, présent en nombre dans la salle des fêtes de Cerisiers, en aurait-il douté, ne fut-ce qu’un bref instant ?! A l’aise, au pupitre et micro en main, durant l’exposé de sa profession de foi, la députée sortante de la majorité présidentielle a retracé face à un public fidèle le film de sa vie, publique et personnelle, depuis sa naissance en 1967. « Nights in white satin » chantaient alors les Moody Blues !

 

CERISIERS : Pas une aile de mouche n’aurait pu s’entendre dans le silence presque monacal qui régnait parmi les travées, dès la prise de parole de l’oratrice. Une assistance se voulant policée. Très attentive au moindre des propos délivrés. Une salle qui était forcément toute acquise à la cause de l’intervenante.

Détendue, visiblement à l’aise à l’amorce de l’exercice, cette dernière a gagné en épaisseur. Faisant fi de sa timidité originelle dont elle a su se départir au fil de son mandat de parlementaire et de moult séances de travail au Palais Bourbon. Le sourire aux lèvres et la conviction des mots bien ancrés dans sa bouche, Michèle CROUZET parle. En déroulant son propos.

Elle se raconte, même. Elle remonte le temps depuis sa prime jeunesse, elle, la petite fille des seventies, née au moment du premier vol orbital de Soyouz et de l’avènement des BEATLES (« Sergent Pepper lonely hearts club band ») en 1967.

« C’est l’année où Georges POMPIDOU (ndlr : alors Premier ministre du général de GAULLE) surnommait Jacques CHIRAC, le « bulldozer » ! », plaisantera-t-elle.

Une source d’inspiration révélatrice pour cette fille d’agriculteurs qui a connu la vraie vie en exerçant un emploi ? En tant que gérante salariée, dans un premier temps, puis en rejoignant son époux – assis parmi les premiers rangs -, pour s’associer avec lui et gérer en commun leur entreprise.

 

Une investiture qui ne doit rien au hasard…

 

Il faudra attendre 2017 pour assister à la plongée de Michèle CROUZET dans le grand bain de la politique. Un apprentissage plutôt rude et impitoyable, selon elle, où rien ne lui aura été épargné !

Se présentant sous les couleurs de la majorité présidentielle, d’abord en qualité d’adhérente de La République en Marche, puis, après une légère bifurcation idéologique sous l’égide du MoDem, l’élue de Sens gagne la troisième circonscription de l’Yonne. Au nez et à la barbe de celles et ceux qui ne croyaient pas en elle. Une surprise électorale, à bien des égards, imputable au plus pur des hasards, commenteront ses nombreux détracteurs d’alors.

« Que nenni, rétorque la parlementaire à la tribune avec ce calme olympien qu’elle affiche en surface, déjà à cette époque, le Président de la République m’avait accordé sa confiance et investi à cette candidature. Cinq ans plus tard, Emmanuel MACRON me l’a renouvelée. Cela atteste que cette désignation n’est pas le fait du hasard. Il y en a autour de nous qui ne s’habitueront jamais au réel ni au changement ! ».

Et vlan, voilà une manière ampoulée de régler quelques comptes avec le microcosme politique du cru. Et de remettre aussi les points sur les « i » !

 

 

En combattante des valeurs présidentielles…

 

N’aimant ni les mensonges, ni les manipulations, Michèle CROUZET poursuit ensuite son long monologue, en se dévoilant davantage. Sans fioritures, fidèle à son caractère et à ses engagements, soulignera-t-elle avec force et vigueur. « Moi, je suis loyale et sincère ; je reste conforme à mes valeurs… ». 

Vient le moment où elle évoque sa rencontre faite de feeling avec une personnalité de terrain, de la France du terroir, qui allait changer son orientation politique : François BAYROU.

« Nous nous sommes liés d’une confiance et d’une amitié sans faille, précise-t-elle en parlant du maire de Pau, président du MoDem, mouvement qu’elle a depuis rejoint.

Se félicitant d’intervenir au sein d’une majorité unie autour du locataire de l’Elysée, Michèle CROUZET se dit prête à mener des combats pour défendre les idées et le programme présidentiels.

 

 

Puis, incisive, elle décoche une flèche bien ciblée envers l’un des candidats de sa circonscription qui pourrait peut-être lui ravir la place au soir du second tour.

« Notre territoire ne serait être une zone de jeu pour les personnalités qui n’y habitent pas et passent leur temps derrière les plateaux de télévision… ».

Le très médiatique Julien ODOUL est donc le destinataire privilégié de cette pique ?

Autre leitmotiv revenant sans cesse dans son allocution : la défense du nord de l’Yonne et de ses habitants. « Je veux continuer à vous défendre parce que vous le méritez ! ». 

 

 

Unique candidate à pouvoir se prétendre de la majorité présidentielle…

 

Avant qu’elle ne recentre son discours sur la pleine légitimité de sa candidature, l’un des temps fort de cette intervention : « je suis la seule et unique candidate de la majorité présidentielle, les autres ne représentent que l’opposition… ».

Un argument maintes fois martelé au cours de la soirée qui se déroule sans accroc et ponctuée de salves d’applaudissements. Dans le viseur de cette affirmation, se situe Véronique FRANTZ, l’adjointe en charge des affaires culturelles et patrimoniales de la Ville de Sens. Elle qui n’avait pas caché il y a peu ses velléités électoralistes en brandissant l’étendard de la nouvelle formation de l’ex-premier ministre Edouard PHILIPPE, « Horizons ».

Toutefois, au grand dam de l’adjointe sénonaise, « Horizons » figure désormais parmi le triptyque de la coalition présidentielle, « Ensemble », qui accueille dans ses rangs l’inévitable MoDem et Renaissance, nouveau patronyme de La République en Marche en quête de formule sémantique. Donc, si elle persiste, elle le ferait sciemment en connaissance de cause et sans pouvoir se réclamer du parti du maire du Havre. Dont acte !

EHPAD, justice, scolarité, alimentation, industrie (la société BOUDIN à Maillot), artisanat (le tailleur de pierre Nicolas BONNET), emploi, patrimoine, santé – elle obtiendra une enveloppe de 64,2 millions d’euros pour la troisième circonscription au côté du gouvernement et avec l’inconditionnel appui du ministre des PME/TPE, Jean-Baptiste LEMOYNE -, Michèle CROUZET démontre dans une longue tirade qu’elle a agi durant son mandat. Elle veut en présenter le bilan lors d’un grand inventaire à la Prévert. Entre autres, 3,5 millions d’euros émanant de l’Etat via le ministère du Transport ruisselleront dans l’Yonne septentrionale en faveur de l’accessibilité de la gare régionale de Sens.

 

Le volet sécuritaire aura bénéficié des aides de l’Etat…

 

Enfin, sur le volet sécuritaire qu’elle ne manquera pas d’illustrer, la parlementaire a rappelé que le commissariat de Sens – celui-ci ne connaissait alors que des baisses d’effectifs et ne bénéficiait d’aucun moyen matériel digne de ce nom - a pu enfin se refaire une santé et obtenir gain de cause, grâce à son intervention en haut lieu.

Non seulement, plusieurs ministres de l’Intérieur s’y sont rendus en visite officielle, en couplant leur déplacement avec la visite de l’Ecole de la Police nationale. Mais, en outre, de nouveaux renforts humains sont venus étoffer l’effectif local. Sans omettre des moyens numériques et la dotation de nouveaux véhicules au parc automobile.

En cas de réélection, Michèle CROUZET sollicitera le futur président de l’Assemblée nationale afin de siéger à la commission des affaires sociales.

« Lors de mon prochain mandat, ajoute-t-elle, je désire m’impliquer davantage sur le dossier de la scolarité, sur le grand âge et sur la santé en milieu rural… ».

Pour cela, il faudra obtenir le maximum de suffrages auprès des électeurs les 12 et 19 juin. Affaire à suivre, donc, au terme de ces cinq semaines de campagne où conviction doit rimer avec communication…

 

Thierry BRET

 

 


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Proposé par France Expo, le traditionnel évènement nous revient après une saison perturbée par la crise sanitaire. Accueilli au parc des expositions auxerrois jusqu’au 15 mai inclus, il offre un vaste panorama des opportunités existantes sur le marché de l’écoconstruction et de la rénovation durable…

 

AUXERRE : Aménagement de l’intérieur, amélioration énergétique, financement des projets, conseils et bureaux d’étude…tous les items propres à la découverte de l’habitat durable sont réunis à AUXERREXPO ce week-end lors de ce rendez-vous, portant hautes les valeurs de la maison basse consommation et de la réduction carbone.

La manifestation est concoctée par France Expo. Elle reçoit la fine fleur des spécialistes régionaux de l’habitat avec pléthore d’exposants répartis selon de grands univers thématiques, tous orientés vers le durable et l’ergonomique. A découvrir.

 

 

En savoir plus :

Salon de l’Habitat d’Auxerre

AUXERREXPO

Entrée gratuite

14 et 15 mai

Samedi de 10h à 19h

Dimanche de 10h à 18 heures

 

Thierry BRET

 

 


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Dommage, trois fois dommage pour le président de l’UIMM de l’Yonne, Jean-Dominique DA GREGORIO. Il n’aura pu se soustraire à ses activités entrepreneuriales pour assister à l’un des évènements porté par sa structure patronale autour du devenir des parcs automobiles en entreprise. Une animation qui fut abordée sous l’angle de la RSE. Sa coreligionnaire du MEDEF, Emmanuèle BONNEAU, quant à elle, était bien présente : c’est elle qui devait lancer la soirée !

 

CHAMPLAY : Visiblement ravie de se retrouver dans l’une des nombreuses concessions que possèdent le groupe NOMBLOT dans la région, la présidente du MEDEF de l’Yonne Emmanuèle BONNEAU posait les jalons de cette passionnante soirée, dédiée au futur de l’automobile.

Un futur qui s’élabore depuis pas mal de temps à grand renfort de véhicules hybrides et électriques, inondant le marché. Une réelle problématique pour les entreprises artisanales et industrielles, voire les collectivités, qui se doivent désormais de renouveler leur parc dans leur quasi intégralité à l’approche de dates fatidiques imposées par l’Europe et la gouvernance hexagonale, en matière de transition mobile.

Un changement de paradigme qui incombe aux entrepreneurs comme devait le rappeler la responsable du MEDEF dans l’Yonne.

« Les entreprises ont une responsabilité concernant les enjeux liés au respect du climat et de l’environnement qu’elles prennent très à cœur, précisa l’oratrice, scrutant celles qui étaient représentées par leurs dirigeants lors de cette manifestation.

Poursuivant, Emmanuèle BONNEAU souligna que « cette initiative allait permettre aux adhérents du MEDEF et de l’UIMM de mieux appréhender les enjeux liés à la gestion de leur parc automobile. Et ce dès le premier véhicule, quel que soit son mode de financement ».

 

 

Plusieurs experts du groupe STELLANTIS (l’addition de plusieurs marques automobiles dont PEUGEOT et CITROEN) avaient effectué le déplacement depuis l’Ile-de-France afin de distiller la bonne parole face à des chefs d’entreprise avides de renseignements pratiques.

Ceux-ci furent nombreux. Tant sur le volet stratégique adopté par le groupe STELLANTIS que sur la partie fiscale et sa réglementation. Quant au SDEY (Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne), il apporta son point de vue avec l’un de ses porte-paroles sur l’accès à la recharge des véhicules électriques, le nerf de la guerre de ce moyen de locomotion réducteur de Co2.

A ce sujet, Emmanuèle BONNEAU se félicita de la présence du SDEY, l’un des adhérents du MEDEF 89. « Il est indispensable de connaître la situation de cette stratégie d’installation de bornes électriques sur notre territoire, affirma la présidente.

Présentant la structure estudiantine « Striving For Climate » et l’un de ses représentants, la cheffe d’entreprise salua leur excellent travail en faveur du développement durable et de ses valeurs.

Citant Frédéric DARD (le père épistolaire du commissaire San Antonio), la patronne de BC Entreprise invita tous les participants de cette animation placée sous le sceau de la convivialité et de l’échange à respecter l’environnement tout en trouvant des solutions adéquates pour leurs sociétés.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Voulez-vous une preuve de l’attractivité prégnante qu’exerce le territoire de l’Yonne sur l’Ile-de-France voisine et la capitale de l’Hexagone, Paris ? En voici une, toute faite et qui se construit patiemment depuis la signature d’un accord de réciprocité, survenue en juin 2021, entre les PETR Grand Auxerrois et Nord de l’Yonne et la mégalopole nationale. Un partenariat, inédit et astucieux qui permettra de valoriser les circuits courts de la distribution alimentaire en favorisant les productions agricoles de notre terroir…

 

JOIGNY : Qui a dit que le territoire de l’Yonne n’était pas suffisamment attractif au niveau économique à l’échelle de l’Hexagone ? Tout le monde, en vérité ! Eh bien, pour faire taire les pessimistes de tout poil qui ne voient pas plus loin que le bout de leurs bésicles embuées, voilà une information 100 % positive à faire circuler auprès de tous !

Elle concerne une judicieuse initiative prise au printemps 2021 dont les prolongements factuels commencent à se faire ressentir quant à ses potentialités et perspectives envisageables. L’Yonne, terre nourricière de Paris ? Non, ce n’est pas une énième blague de potache qui aurait pu être publiée dans les colonnes médiatiques au petit jour du 01er avril dernier. Cela pourrait devenir très vite une réalité tangible après la récente visite de plusieurs élus de la capitale, dont l’ex-star du PAF (Paysage Audiovisuel Français), la journaliste Audrey PULVAR, reconvertie aujourd’hui en une défenseuse de la chose publique, en qualité d’adjointe à l’édile de Paris, Anne HIDALGO.

 

Audrey PULVAR vient prendre le pouls sur le terrain de l’Yonne…

 

La candidate socialiste à la présidentielle avait effectué le déplacement en terre icaunaise l’an passé pour parapher cet accord qui devrait offrir des opportunités intéressantes pour les filières agricoles de l’Yonne. A la grande satisfaction de la Chambre départementale d’Agriculture et des représentants syndicaux.

Nourrir Paris et ses 2,1 millions d’habitants n’est pas du domaine du raisonnable, sur le papier. Même si l’eau qui coule dans la capitale aurait dû se nommer l’Yonne et non la Seine comme certains géographes (bourguignons !) le pensent encore !

A contrario, favoriser l’alimentation de certains arrondissements en victuailles et produits made in Yonne semble déjà plus réalisable à brève échéance du fait de la proximité de ce département, situé au sud de la métropole. Selon les termes précisés par l’accord de coopération qui a été établi entre les deux partenaires, les PETR Grand Auxerrois et Nord de l’Yonne, et Ville de Paris, l’an passé.

Lors de cette journée immersive dans le Jovinien, Audrey PULVAR, accompagnée des maires du XIIème (Emmanuelle PIERRE-MARIE) et du XIVème arrondissement (Carine PETIT), ont pu disserter longuement avec des professionnels du monde agricole. Testant sans doute au passage quelques succulents produits !

 

 

Le XIIème arrondissement de Paris : un tiers des habitants de l’Yonne...

 

140 000 habitants, c’est le nombre de Parisiens qui résident dans le douzième arrondissement de la capitale. Soit un tiers des habitants de l’Yonne. On imagine aisément le potentiel en matière de débouchés pour les denrées alimentaires en provenance de notre territoire qui pourraient s’écouler via les marchés et les structures collectives pour sustenter la population. Une aubaine pour Nicolas SORET, président de la CC et maire de Joigny, qui avait flairé l’opportunité depuis bien longtemps.

« Là où je me réjouis, précise-t-il, c’est que les choses deviennent concrètes. On rentre dans le dur de l’opérationnel et ça, c’est chouette ! ».

Surtout que la Ville de Paris va organiser fin juin le Festival de l’Alimentation durable. Un évènement auquel participera une délégation icaunaise conduite par le numéro trois de la Région Bourgogne Franche-Comté. Au four et au moulin, Nicolas SORET ?

« Oui, car notre objectif sera d’y rencontrer les vingt-et-une personnes gestionnaires de l’alimentation de la capitale ! ».

Des contacts ô combien indispensables en vue de finaliser le dossier : ce sont celles et ceux qui appuient sur le bouton de la commande.

 

 

D’un approvisionnement mondial aux circuits de proximité…

 

En proie à une véritable révolution de palais, en ce qui concerne ses circuits de distributions alimentaires, Paris change donc de paradigme sur cet item. D’un approvisionnement mondial, les élus de la première ville de France veulent désormais privilégier des ressources alimentaires produites dans un rayon maximal de 250 kilomètres. Au moins pour la moitié de ces denrées.

Conséquence : l’Yonne ne peut qu’être impliquée dans cette profonde mutation de la transition alimentaire que mène Paris pour le bien-être de ses habitants.

Quant aux attentes en termes de productions, elles se sont avérées concrètes. Ainsi, l’élue du XIVème désire un approvisionnement de noix et de noisettes. Des besoins qui peuvent résolus grâce à la filière locale ad hoc qui en découle.

Pour autant, Nicolas SORET se veut rassurant. Balayant d’un revers de la main, « toute mauvaise interprétation » pouvant être faite autour de cette initiative, il rappelle que l’enjeu de cette démarche collaborative n’est pas d’appauvrir notre territoire. Estimant que la relation Yonne/Paris n’est pas une fin en soi, mais un moyen. Celui de rééquilibrer les relations entre la capitale et notre département afin d’y créer un ruissellement – le vrai, s’en amusera-t-il ! -, qui permettra de faire venir vers le territoire le plus septentrional de la Bourgogne la richesse qui est concentrée dans la métropole francilienne. Un ruissellement dont les agriculteurs et les producteurs seraient les premiers bénéficiaires.

En outre, parce que ces commandes seront importantes en volume, elles permettront de favoriser la création d’outils de transformation et de proposer de la valeur ajoutée. Concrètement, la commande publique parisienne servira de levier à la valeur ajoutée qui s’appliquera sur le territoire de l’Yonne.

Aujourd’hui, tous les partenaires du milieu agricole sont interpellés positivement par ce rapprochement prometteur entre Paris et les deux PETR de l’Yonne, notamment la Chambre d’Agriculture mais aussi Manger Bio, Bio Bourgogne et le GABY, le groupe d’agriculture biologique de l’Yonne.

Des acteurs de la filière agricole qui ne manqueront pour rien au monde le rendez-vous de la fin juin dans la capitale avec les fameux vingt-et-un gestionnaires qui sont décisionnaires de l’alimentation à Paris. Une métropole qui sert 30 millions de repas dans les 1 300 établissements collectifs sous leur coupe. Cela parle, non ?

 

Thierry BRET

 

 


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C’est l’un des fleurons de l’activité industrielle en Bourgogne Franche-Comté. Disposant de trois unités de production qui sont implantées à Belfort, à Ornans dans le Doubs et au Creusot. Spécialisée dans la fabrication des transports ferroviaires (trains, métros et tramways), la multinationale française vient de valider une jolie commande avec l’Allemagne. Soit la conception de 130 trains régionaux CORADIA Stream de grande capacité à deux niveaux. Montant de la transaction : 2,5 milliards d’euros !

 

PARIS : Voilà une nouvelle qui donne du vague à l’âme. Ou du baume au cœur, selon les cas ! Pionnier de la mobilité durable, ALSTOM, multinationale que l’on ne présente plus vient de décrocher le contrat de l’année avec le voisin allemand. Surtout que la valeur de ce contrat mirifique s’élève à près de 2,5 milliards d’euros pour la livraison de 130 trains régionaux de type CORADIA Stream. Des véhicules de grande capacité d’accueil à deux niveaux qui reviendront à l’acquéreur germanique, SFBW. ALSTOM devant en assurer également la maintenance au cours des trente prochaines années.

Cerise sur le gâteau, le contrat prévoit aussi une option permettant de commander jusqu’à une centaine de trains supplémentaires ! Ces appareils desserviront les lignes de la région du Bade-Wurtemberg.

Ces trains offriront des performances et une technologie nouvelles pour ses usagers. « Ils seront au transport local ce que les sprinters sont à la course à pied, a même plaisanté le ministre du transport du Lander allemand.

 

 

Priorité sera aussi donnée à l’ergonomie et au confort des passagers, avec la possibilité d’être assis dans des sièges inclinables, de bénéficier de zones spécifiques pour les personnalités à mobilité réduite, ainsi qu’un concept d’éclairage performant et un signal WI-FI puissant.

In fine, 380 places assises pourront être accueillies dans les rames de quatre voitures, d’une longueur de 106 mètres. Elles seront mises en service dès 2025. Quant à la vitesse de pointe, elle peut atteindre 200 km/h. Ce train est capable de fonctionner sur les principaux systèmes électriques européens.

A date, plus de 730 de ces véhicules ont été commandés par l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Danemark ou encore l’Espagne. L’Allemagne rejoint donc ce peloton d’acheteurs.

 

Thierry BRET

 


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