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La raison de son succès se résume en une phrase : « il faut toujours dire la vérité aux clients ! ». Un leitmotiv, façon méthode Coué, que l’entrepreneur Yvan PERRIN, à la tête des « Charpentiers du Morvan », se plaît à décliner selon toutes les typologies de demandes faites par la clientèle depuis 1998. Grâce à son novateur concept de « mini maison », l’Avallonnais a convaincu le jury des Prix Stars & Métiers de l’Artisanat où il obtient le trophée de l’Innovation…

 

HAUTERIVE : Jubilatoire soirée pour Yvan PERRIN et son épouse, la très discrète et émue, Christelle ! Le sympathique dirigeant de la société « Les Charpentiers du Morvan » a, une fois de plus, été plébiscité pour son ingéniosité lors d’un concours, lui valant la remise d’un chèque de mille euros – la belle affaire ! - et surtout la reconnaissance objective de ses pairs, issus comme lui de l’artisanat.

Lauréat du Grand Prix de l’Innovation des Prix Stars & Métiers 2023 – le traditionnel rendez-vous cérémonial annuel à l’estampille de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, et de la SOCAMA -, le chef d’entreprise avallonnais – sa structure est localisée à quelques encablures de la sous-préfecture de l’Yonne à Magny – ne s’est pas départi de son sourire juvénile lorsqu’il a rejoint la scène où l’attendait la sémillante animatrice, Virginie PERROT. Un échange auquel était convié, sous le feu nourri des projecteurs éclairant la scène, l’épouse de l’heureux chanceux d’un soir.

 

 

Un concept totalement révolutionnaire, baptisé les « minimaisons»…

 

« Le seul établissement qui a soutenu mon projet dès le départ, c’est la Banque Populaire, soulignera Yvan PERRIN, qui plaça immédiatement les remerciements d’usage dès la phrase introductive de sa prise de parole, je leur dois beaucoup… ».

Créée en 1998 – il y a déjà un quart de siècle, comme le temps défile vite ! -, l’entité positionnée dans la construction de maisons à ossature bois fit effet de précurseur dans le landerneau – on s’en souvient encore -, habitué à faire appel aux « bétonneux », comme le précisera notre chef d’entreprise radieux.

Que de chemin parcouru, donc ! Aujourd’hui, « Les Charpentiers du Morvan » proposent un concept de maison en bois, prête à vivre et peu usuelle, les mini maisons dont la marque a été déposée, sous l’appellation logique mais simpliste au plan marketing de « minimaison », une enseigne qui commence à faire florès en Bourgogne. Notamment à Saulieu, en Côte d’Or, où deux de ces réalisations déclinables en modèles de 20 m2 et 30 m2 viennent d’être installées dernièrement.

 

 

 

Un nouveau trophée qui en appelle d’autres…

 

C’est sans doute cet argument essentiel qui a dû séduire les membres du jury des Prix Stars & Métiers 2023, ces derniers ayant choisi d’attribuer le sésame suprême par les mains de Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne – le garçon est aussi président de la CAPEB Yonne – à Yvan PERRIN.

Une démarche éco responsable bien dans l’air du temps qui demeure la marque de fabrique de cette belle PME du bâtiment et de l’immobilier de l’Yonne – cocorico ! -, employant dix salariés, et lauréate en 2002 du Trophée de l’Artisanat de la Chambre consulaire. Un nouveau trophée à mettre dans son escarcelle qui en appelle d’autres, assurément…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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L’épure de la ligne. La flamboyance du modèle. Le côté chic de l’habitacle. Les quelques gouttes de pluie auréolant la rutilante carrosserie de ce nouveau joyau de l’électrique haut de gamme du constructeur allemand, dévoilé en avant-première il y a quelques jours à Chablis, n’ont en rien affecté la cote de sympathie immédiate du public icaunais pour ce nouveau véhicule, porte-étendard du groupe JEANNIN Automobiles…

 

CHABLIS : Des abeilles qui virevoltent autour d’un pot de miel ! Voilà comment on pourrait qualifier l’assistance d’un soir, réunie là pour vivre un franc moment de convivialité, assorti du jubilatoire instant « t » de la découverte.

On pose dès que possible son généreux verre de bière où l’on peut – les subtiles créations goûteuses au palais issues de la brasserie MADDAM qui accueille l’évènement ! – et l’on se précipite à l’extérieur pour ne pas manquer le compte à rebours, annonciateur de la vision du nouvel objet de tant de convoitise d’un soir : l’Audi Q8, dévoilée avec cérémonial dans sa configuration électrique, en mode « Sportback ».

Recouvert d’une housse de protection noire, cachant la moindre indication informative se rapportant au modèle exposé, le nouveau SUV haut de gamme, disponible à la commande depuis novembre dernier en France, trône en majesté devant l’accès menant à la boutique florissante des deux cousins brasseurs de Chablis que sont Alexis et Vianney MADELIN.   

 

Renouer avec le plaisir de lancements automobiles…

 

Autour de l’automobile, encore masquée de ce voile obscur dont on ne distingue que les courbes avantageuses, se pressent les aficionados de l’enseigne vedette distribuée par le groupe JEANNIN. Un groupe aux multiples facettes, à vrai dire, puisque commercialisant dans sa trentaine de concessions, réparties sur trois départements (Aube, Seine-et-Marne et Yonne) une dizaine de marques dont Volkswagen, Nissan ou Seat !

Dissimulé un peu à l’écart du public dans la pénombre – il n’a jamais apprécié se révéler en pleine lumière – le toujours très discret Yves JEANNIN, à la tête de cette armada commerciale de premier plan, a l’œil qui pétille de malice et de joie intérieure. Quelques mots suffisent pour mieux comprendre : renouer avec la pratique des lancements officiels de véhicules, sortis tout droit de ses concessions, lui procure une intense satisfaction. Surtout après les deux longues années de privation et de disette, imputables à la COVID…

D’ailleurs, le choix d’externaliser cette présentation à Chablis, dans les locaux de la brasserie « MADDAM » - une belle pépite entrepreneuriale par ailleurs – n’est pas le fait du hasard. Joindre l’utile à l’agréable, le convivial à l’informatif, le plaisir de se sentir vivant dans ce monde éculé et de toucher du doigt le Graal de l’automobile électrique – ce fameux Q 8 en mode e-tron – actuel ne pouvaient que faire converger le public, prospects et clients vers la destination finale.

 

 

Quand le voile se retire devant l’assistance…

 

Commercialisé depuis peu dans les concessions hexagonales, que dire de ce nouveau produit made in Germany ? La marque aux anneaux le propose en deux types de carrosserie, la version SUV plus traditionnelle pour les habitués du genre mais également en version coupé que les puristes du constructeur allemand connaissent bien sous le vocable dynamique et rafraîchissant  de « Sportback ». C’est cette seconde variante qui aura nourri assez longtemps le flux d’applaudissements de ce public curieux des performances et opportunités technologiques offertes par la « Belle » mécanique fonctionnant en électrique.

Naturellement, comme il est de coutume chez AUDI plusieurs motorisations et batteries sont disponibles pour ce produit, objet de moult prises de vues malgré la légère pluie perlant sur le capot. Notons dans un coin de notre mémoire, une version sportive aux folles capacités de puissance (503 chevaux) : on en frémit d’avance rien qu’à l’idée de s’installer derrière le volant !

Disponible avec deux batteries différentes, ce SUV newlook, déclinable sur l’un des modèles de pointe de la marque, offre une autonomie maximale allant de 491 à 505 km selon la carrosserie. Voire davantage avec la version « Sportback » tutoyant les 600 kilomètres. La vitesse de pointe, quant à elle, provoque une petite poussée d’adrénaline, avec ses 210 km/h !

Côté tarif, l’entrée de gamme se situe en dessous de 87 000 euros avec la version Q8 e-tron 50. Mais, les prix – selon les options, il y a des choses exceptionnelles et originales que nous vous présenterons en détail lors d’une prise en main de ce véhicule – peuvent être plus « gourmands » ! Parce que ce véhicule de nouvelle génération le vaut bien, en vérité !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Qu’on les appelle paysans, agriculteurs ou agri managers (version ENA), nos amis du monde rural, quasiment pas ou peu représentés au Parlement, permettent toujours à la France de manger et de vivre ! Ils ont payé le plus lourd tribut durant la guerre de 14-18. On leur a demandé de nous nourrir dès la fin du conflit : pari tenu, malgré les millions de morts. Les épouses et les enfants ont pallié le manque de main-d’œuvre. On l’aurait donc déjà oublié ?

 

TRIBUNE : En 1940, ils accueillent souvent les petits Parisiens en malnutrition. En 1945, on leur demande de nous donner à manger : bravo, mission brillamment remplie ! Aujourd’hui, la nouvelle donne est simple : « Monsieur le paysan, il faut produire sans polluer ».

Dès le départ, le monde agricole a mis en garde les pouvoirs publics : qui va payer la note, face aux surcoûts induits par ce nouveau mode de culture ?  A ce jour, aucune réponse n’est parvenue et nos gouvernants pensent encore que le marché peut se réguler tout seul, libéralisme oblige. Et, que les consommateurs iront de plus en plus vers la qualité nutritionnelle offerte par le bio ! Mauvais calculs !

Les agriculteurs subissent aujourd’hui les contraintes de Bruxelles en matière de culture et se plient volontiers à des normes, parfois sans fondement technique, mais qui doivent, en théorie, préserver la nature. Notons au passage que de nombreux pays, l’Espagne en tête, ne respectent pas les directives européennes. Cela ne nous empêche pas d’importer des produits hors normes…

Pour la « norme bio », nous imposons des règles supplémentaires, des contraintes sanitaires que les autres pays ne pratiquent pas ! Le résultat est simple : des surcoûts qui nous rendent peu compétitifs et permettent, notamment à l’Espagne, d’exporter en France des fruits et des légumes labellisés « bio ». Parmi les autres contraintes, citons pêle-mêle, avant de cultiver du bio, il faut laisser la terre au repos deux ou trois ans ; s’assurer du droit à exploiter la terre ; contracter des assurances contre des risques spécifiques à ce type d’activité (aléas climatiques, incendie, tempêtes, dégâts sur les serres…) mais attention aux coûts !

En outre, de nombreuses règles doivent être respectées pour produire les fruits et légumes. L’agriculture biologique est encadrée à l’échelle européenne. La législation évolue fréquemment, il est donc nécessaire de s’informer régulièrement. Ainsi, la Fédération Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB) diffuse toutes les informations nécessaires au sujet de la réglementation.

 

Mais pourquoi le bio coûte-t-il si cher aux consommateurs ?

 

Il s’agit d'un mode de production qui nécessite plus de main d'œuvre et présente des rendements plus faibles. Le coût des intrants (engrais spécifiques, pesticides compatibles avec la culture bio…) est élevé. La labellisation bio est payante. Le contrôle annuel réalisé par « Ecocert », principal organisme certificateur en bio pour obtenir le label « AB » coûte en moyenne 0,5 % du prix d'un produit fini ; ce qui peut représenter une charge trop élevée pour bon nombre de producteurs. Les intrants représentent 15 à 30 % des charges. Ce sont surtout les achats de semences et plants qui sont élevés en LPC bio, de 1 500 à 2 900€/ha selon les cultures. Il y a peu de marges de manœuvre pour réduire ces coûts. Le coût élevé des semences et des plants implique un besoin en trésorerie important pour les systèmes légumiers. Ce besoin doit être anticipé dans les plans prévisionnels de trésorerie. Quant au coût du parc matériel (tracteurs, carburants, outillages, entretien,…), il dépend de la nature des cultures : compter entre 1 500 et 3 000 euros l’hectare. Des coûts en constante augmentation.

Certains analystes affirment que, en plus d'être coûteux pour le producteur, le bio ne fournira jamais les rendements nécessaires pour nourrir une population mondiale grandissante. Seuls, les apports d'engrais de synthèse et de pesticides, ainsi que l'utilisation de semences « OGM », le pourraient. En France, plus du tiers des produits « bio » sont donc importés.

 

 

Qui s’installe pour produire du bio en France ?

 

De nombreux agriculteurs ont renoncé à la culture bio. Après toutes les études techniques qu’ils ont réalisées, ils savent parfaitement de quoi ils parlent. La conclusion fut sans appel : trop coûteux pour offrir des prix acceptables au plus grand nombre de consommateurs. La période inflationniste que nous connaissons leur donne mille fois raison.

La majorité des nouveaux installés se lance dans le cadre d’une reconversion professionnelle. Il s’agit de cadres ou de cadres supérieurs qui aspirent à une vie meilleure à la campagne. Ils n’ont aucune expérience et ne voient la campagne que par le prisme du tourisme et des vacances. Ils chassent les subventions et engouffrent souvent leurs économies.

C’est sans doute louable mais ils oublient que l’enfer est pavé de bonnes intentions. Les seuls qui tirent encore un peu leur épingle du jeu sont les vignerons. Le vin bio se fait peu à peu une place dans le monde viticole. On ne s’improvise pas viticulteur : pour la plupart, il s’agit du même métier qui s’adapte à de nouvelles techniques de fabrication. Ils ont le plus souvent, une histoire et des racines familiales dans le domaine du vin. Pour les autres, les diplômes pour cultiver du bio ne sont pas obligatoires, même s’il existe des formations.

 

 

Ne jamais oublier tous ce que font les agriculteurs pour nourrir l’humanité !

 

Les agriculteurs ont toujours su s’adapter, improviser et l’emporter. C’est l’apanage des grands professionnels. Les conditions économiques d’aujourd’hui ne laissent pas de temps aux « non-professionnels » pour qu’ils s’adaptent aux nouvelles donnes !

Nous verrons dans la deuxième partie de cette tribune pourquoi le bio va si mal. La bonne nouvelle dans tout ça : la visite de notre ministre de la Justice, Eric DUPONT-MORETTI au récent salon de l’Agriculture. Il a pris la défense des coqs de basse-cour, affirmant haut et fort qu’ils ont le droit de chanter, même si certains veulent instruire des procès pour leur interdire le « cocorico » national. Pour certains, il aurait confondu la claque amicale sur le « cul des vaches » au salon avec le « bras d’honneur » à l’Assemblée Nationale !

Lorsque les chrétiens disent leur bénédicité, j’ose espérer qu’ils associent les paysans dans leur prière : « bénissez ce repas et tous ceux qui l’ont préparé », il faudra ajouter « et toutes celles et ceux qui cultivent la terre ! ».

Mesdames, Messieurs les paysans, chapeau bas pour tout, pour tout ce que vous avez fait pour nous, pour tout ce que vous faites, et en toute confiance, pour tout ce que vous ferez à l’avenir…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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On s’en doute, l’ouvrage ne sera jamais un best-seller ! Ni l’un des titres au sommet des ventes des classements qui sont publiés de manière hebdomadaire dans les colonnes littéraires de « L’Express » ! Nonobstant, ce guide pratique à usage professionnel à destination des entrepreneurs et décideurs économiques, soucieux de se lancer dans une démarche de progrès durable et responsable, pourrait bien occuper, en revanche, la meilleure des places sur leur table de chevet, à défaut sur leur bureau !

 

AUXERRE : Des nouvelles de l’ancien directeur de la communication du Conseil départemental de l’Yonne, Fabrice JOBARD ! Cofondateur de « FJ-SLA Consultants », connaissant les rouages des milieux institutionnels comme le fond de sa poche, le garçon promène sa silhouette d’homme d’affaires dynamique entre Neuilly-sur-Seine où il possède désormais ses bureaux professionnels, aux côtés de deux autres associés, et l’Yonne orientale où il a choisi d’y poser ses attaches personnelles et familiales.

Ce diplômé de Sciences Po Grenoble et titulaire du MBA de l’Institut d’administration des entreprises de Paris demeure un personnage très actif. On le savait auteur de plusieurs ouvrages de référence dont le « Guide des usages, du protocole et des relations publiques », publié aux éditions « Territorial » ; le voici qui revient à nos bons souvenirs avec son dernier opus, un précis consacré au SMI, le système de management intégré.

 

Une préface rédigée par un pro de la communication, Franck LOUVRIER…

 

Intitulé « Engager une démarche de progrès durable et responsable » - dans la collection « Les Essentiels » de la même maison d’édition « Territorial » -, ce livre d’une centaine de pages permet de dévoiler une méthodologie efficace pour mettre en place une démarche de progrès, devant par la suite être certifiée.

L’expert en communication qu’est devenu au fil de l’eau Fabrice JOBARD s’est appuyé sur les connaissances de l’autre experte de cet écrit conçu à quatre mains, son associée Sophie LEROY, spécialiste en organisation des entreprises et de la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), cofondatrice du cabinet parisien.

Ces deux esthètes à la réussite de projets qualité, environnementaux et responsables pour des entreprises privées et des collectivités territoriales délivrent à travers ce document les ficelles pour bien anticiper et réussir sa démarche.

On notera la préface de Franck LOUVRIER, vice-président de la Région des Pays de Loire et maire de La Baule, lui-même pédagogue en communication, qui salue l’initiative épistolaire de ce tandem, « un guide qui permet de penser plus loin… ».

 

En savoir plus :

 

« Engager une démarche de progrès durable et responsable »

Aux éditions Territorial, collection « Les Essentiels ».

De Fabrice JOBARD et Sophie LEROY.

Prix livre à 49 euros

Prix e-book à 39 euros.

106 pages.

 

Thierry BRET

 


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Portée par « La Fabrique à entreprendre » du Grand-Sénonais, la manifestation réunit à l’Amphi de Sens jusqu’à jeudi une kyrielle d’acteurs économiques et institutionnels, prêts à consacrer de leur précieux temps pour informer du mieux possible les néophytes de l’entrepreneuriat. Celles et ceux de ces porteurs de projets qui auraient enfin l’envie de franchir le cap et se lancer dans de nouvelles aventures professionnelles…

 

SENS: Des experts, des spécialistes, des férus, des esthètes de l’entreprise ! Bref, trois jours durant, sous le sceau de l’un des outils portés par le Grand Sénonais sur le territoire, le fameux concept de « La Fabrique à entreprendre », celles et ceux qui posséderaient en eux la fibre de la création ou de la reprise d’entreprise peuvent se précipiter dans le très fonctionnel site de l’Amphi, remodelé en forum géant pour y écouter les conseils et les préconisations de ces entrepreneurs qui ont su essuyer les plâtres jadis en effectuant le grand saut vers…l’inconnu. Un grand saut qui leur aura particulièrement réussi puisqu’ils sont toujours là pour en parler !

L’initiative est heureuse. Elle offre un large panorama de réponses précises et constructives devant lever les doutes de ces béotiens de l’entrepreneuriat qui ont voulu reprendre leur destin en main, en optant vers la création de leur société.

Quelles aides obtenir à la création ? Faut-il choisir la forme de la coopérative ? Comment convaincre un banquier de soutenir votre projet – l’un des nœuds gordiens de tout projet qui se respecte ! -, construire son réseau pour y développer ses activités ? Etc…

On y croisera les silhouettes de cheffes d’entreprise épanouies à l’instar de Marie AUBIN (agence de communication « Bonne Com », de Frédérique LECOMTE (PROFILAE), de Lorette DUBOIS SALIN – elle représentait le réseau en vogue côté business « CARBAO » -, mais aussi les experts de la création et membres de « La Fabrique à entreprendre », la Chambre de Commerce et d’Industrie, Initiative 89, ADIE, « Créez comme elles », « Femmes chefs d’entreprise », les professionnels du monde économique à l’instar de BDO pour les experts comptables, le Crédit Agricole, la Banque Populaire et le Crédit Mutuel, « France Active » pour les financements ESS, Sabine VUILLERMOZ avocate d’affaire ou encore les réseaux d’entrepreneurs comme « Femmes chefs d’entreprise », « Créez comme elles », CARBAO », etc.

 

 

En savoir plus :

 

La programmation du jeudi 30 mars de 10h à 16h

 10h-11h : un café créatrice sur le financement des projets et les aides dédiées aux femmes créatrices

11h-13h : une table ronde « Parcours d’entrepreneures » 

13h-14h : un temps de rencontres / échanges / réseautage

14h-15h30 : une conférence « Entrepreneures et femmes, en harmonie avec ses cycles de vie »

 

Thierry BRET

 

 


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