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Dès le lendemain de l’intervention télévisée du Président de la République, les experts-comptables et leurs équipes ont accompagné les chefs d’entreprise dans les arrêts de travail pour le maintien à domicile des employés devant garder leurs enfants privés d’école. Une mobilisation tous azimuts…

TRIBUNE : A peine close l’allocution du Premier Ministre Edouard PHILIPPE relative à la fermeture des restaurants et commerces non alimentaires, que déjà les experts-comptables ainsi que leurs collaborateurs prenaient les initiatives d’accompagnement des entreprises dans les demandes d’activité partielle. Non sans mal, par ailleurs, tellement le site de la direction du travail était saturé.

Tout comme la demande de report de paiement des cotisations sociales sur le site de l’URSSAF, là encore indisponible à cause d’un surplus de fréquentation.

Plus que jamais, les experts-comptables sont en première ligne dans ce contexte si particulier, à l’écoute des besoins et de la détresse de leurs clients.

Nous sommes à l’affût de la moindre information utile, et mettons en œuvre les dispositifs pour les aider au niveau du :

* report de paiement des charges sociales,

* report des échéances d’emprunt,

* report des échéances de crédit-bail,

* de la demande indemnisation activité partielle,

* de la demande d’aide de solidarité,

* prêt garanti par l’Etat,

* de la demande aide financière exceptionnelle URSSAF COVID 19.

Chaque semaine, ces spécialistes interviennent pour gérer son lot de nouveautés et de réactivité nécessaire afin d’aider les entreprises en cette période difficile.

Nous les aidons également à établir un plan prévisionnel de trésorerie qui est à actualiser régulièrement pour tenter d’anticiper ce besoin avec prévision d’arrêt d’activité d’un mois, puis désormais de deux, peut-être bientôt de trois voire de six mois…

 

Le drame du dirigeant qui s’est porté caution pour son entreprise…

 

L’annonce du gouvernement sur les aides mises en place pour atteindre l’objectif « zéro recette, zéro dépense » est bien plus facile à dire qu’à mettre en place. D’ailleurs, le « zéro dépense » est impossible !

L’erreur serait justement de ne plus payer les factures : cela entraînerait un cercle infernal de faillites en cascade !

Alors, quel est le meilleur conseil ? Il faut essayer de limiter la casse, de tenter d’anticiper les besoins et de préparer la reprise tout en modifiant son organisation.

Malheureusement, les entreprises qui n’avaient pas de trésorerie d’avance, risquent de ne pas se relever. A moins que le dirigeant puisse encore piocher dans ses économies personnelles.

Les aides proposées ne sont que des « rustines ». Ce qui est déjà une très bonne chose, mais cela risque de ne pas être suffisant pour certains.

Le drame n’est pas tant la perte d’activité temporaire qui amoindrit la réserve de trésorerie de certaines entreprises. Ni la baisse du revenu du dirigeant qui pourra connaître des jours meilleurs plus tard.

Non, le drame, c’est le dirigeant qui s’est porté caution pour son entreprise, qui n’a plus d’économies pour sauver ce qu’il peut, qui n’aura pas droit au chômage, ni aux aides sociales basées sur le revenu de référence (N-1) qui dépasse le plafond….

Vous savez, cette « classe moyenne » qui cotise, paye des impôts mais qui gagne trop pour avoir des aides. Mais pas assez pour passer les crises. Les patrons sont tous des riches, c’est bien connu ! Mais, la réalité est tout autre.

Est-ce qu’il y aura une cagnotte en ligne pour aider les restaurateurs, les commerçants ?

En tant qu’expert-comptable, je comprends la souffrance de ces chefs d’entreprise. Parfois, je me sens impuissante face à ceux qui espèrent encore garder en vie une entreprise au « pronostic vital engagé ».

Mais, gardons l’espoir en des jours meilleurs ! De nouvelles entreprises naîtront. La vie économique reprendra avec de nouveaux projets et une nouvelle vie !

Sylvie CORREIA

 

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre professionnelle des Experts-Comptables de l’Yonne

 


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Les professionnels du bâtiment et des travaux publics ne sont pas tous à l’arrêt depuis le début du confinement. C’est le cas du président de la SASU BOIS METAL CONCEPTION Julien VIEL qui a choisi de faire tourner tant bien que mal son entreprise malgré les aléas de ce contexte si particulier. Explications entre espoirs et craintes en réaction à brûle-pourpoint sur la période actuelle…

AUXERRE : Satisfait de pouvoir récupérer sa dotation de solution hydro-alcoolique remis par les instances départementales de la CAPEB, Julien VIEL garde le moral. Même s’il confirme un très net ralentissement de l’activité économique dans son secteur de prédilection.

A la tête de la société « BOIS METAL CONCEPTION », intervenant dans la fabrication et la pose de pièces de menuiserie/métallerie, l’entrepreneur de Tissey, dans le Tonnerrois, s’interroge sur la situation.

Même s’il a choisi de ne pas baisser la garde et de poursuivre son activité professionnelle depuis la mi-mars, soit le début de la période de confinement.

« Je ne voulais pas interrompre le travail, précise-t-il, afin d’honorer les chantiers en cours… ».

 

 

Mais, malgré cette attitude positive pavée de bonnes intentions, il consacre davantage de temps à son atelier de fabrication où il conçoit les futures portes et fenêtres qu’il aura à livrer ensuite à sa clientèle. Quand le contexte sera un peu plus clément.

Le souci qui le préoccupe le plus à l’instant « t », puisqu’il vient enfin de se munir de solution hydro-alcoolique nécessaire à la protection sur les chantiers, c’est le manque de fournitures.

L’approvisionnement des matières premières indispensables à l’exercice de son métier se raréfie. Il le sait : cela prendra du temps même après le fameux 11 mai pour reprendre un rythme de croisière au niveau professionnel.

D’ici là, Julien VIEL croise les doigts en attendant de pouvoir honorer pleinement ses contrats auprès des particuliers qui l’amènent d’ordinaire à sillonner l’Yonne et l’ensemble de la Bourgogne.

 


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Sous un agréable soleil printanier se déroulait vendredi après-midi sur le parvis du siège social de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment la seconde séance d’approvisionnement en solution hydro-alcoolique. Un geste salvateur apprécié par les bénéficiaires qui souhaitent la reprise de leurs activités. Mais pas à n’importe quel prix…

AUXERRE : Séquencée en trois dates, la distribution de produits hydro-alcooliques aux adhérents du syndicat professionnels des artisans de la filière du bâtiment (CAPEB) a rencontré une nouvelle fois le succès ce vendredi 17 avril. Deux jours après le rendez-vous initial qui s’était déjà déroulé dans des conditions similaires au même endroit.

Ce sont au total trois cents récipients de cinq litres de ce précieux liquide qui seront remis in fine aux professionnels de la corporation. L’ultime séance est prévue le mardi 21 avril après-midi, de 14 h à 17 h.

Les responsables du syndicat ont donc convié leurs adhérents qui s’étaient préalablement inscrits à se munir de ce précieux auxiliaire indispensable à la sécurité afin d’assurer la continuité de leurs chantiers.

 

 

 

 

Une commande avait été générée en amont auprès de la société « AMH Labo » basée à Fontenoy pour pouvoir satisfaire les besoins des chefs d’entreprise qui le désiraient.

Ce geste symbolique permet d’entrevoir la reprise des activités. Même si certaines structures sont opérationnelles et honorent tant bien que mal quelques travaux auprès de particuliers dans le domaine de l’électricité, de la maçonnerie ou de la plomberie.

 

 

Des masques aux abonnés absents, des fournitures devenues de la denrée rare…

 

Toutefois, la majeure partie des artisans ne dispose pas des outils nécessaires (gel, masques) pour assurer la protection optimale de leurs salariés. 

« Il serait important d’en bénéficier au plus vite afin de respecter les mesures de sécurisation, a déclaré le président de la CAPEB 89 Jean-Pierre RICHARD qui a rappelé que « son organisme favorisait aussi les démarches administratives parfois complexes dans le souci d’accompagner ses adhérents ».

Autre particularisme qui empêche les entrepreneurs de travailler convenablement : l’observance de la distanciation sociale (de un à deux mètres entre les personnes). Une chose qui est impossible à respecter pour les collaborateurs exerçant leur métier sur un échafaudage.

Quant aux livraisons de fournitures, l’inquiétude grandit. Les importations de carrelage et de céramique en provenance d’Italie ne franchissent pas la frontière transalpine à l’heure actuelle. Il en est de même des composants électriques qui proviennent de Chine. Ces éléments sont devenus aujourd’hui de la denrée rare, difficile à se procurer dans les meilleurs délais.

 

 

 


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Voici le second volet de cette tribune, consacrée à l’instauration possible d’un nouveau Plan inspiré du modèle de 1945 pour sauver l’Europe de la catastrophe économique dès que la pandémie le permettra. La stratégie inavouée est peu rassurante quant aux intentions. Bien sûr, il faut saluer le courage des soldats américains venus libérer l’Europe du nazisme et rendre hommage, à tous ceux qui sont morts pour nous avoir aidés à retrouver notre liberté ! Pour autant, ne soyons pas dupes sur le faux altruisme de l’oncle Sam !

TRIBUNE: Un peu d’histoire pour se remémorer les faits. Du 01er au 22 juillet 1944, lors de la conférence de Bretton Woods, l’Amérique impose à l’Europe le dollar comme monnaie internationale. Avec une parité sur l’or.

Les Etats-Unis détiennent à eux seuls les deux tiers des réserves d’or de la planète et imposent un nouveau règlement des échanges monétaires. Rappelons que la guerre n’est pas encore terminée et que nous venons à peine d’achever le débarquement des soldats sur les pages de Normandie ! Deuxième acte : il faut à tout prix contrer le développement du communisme en Europe. C’est cela le prix du Débarquement !

En conséquence, il est indispensable que l’Europe relève la tête sur le terrain économique. Le 3 janvier 1948, le plan Marshall propose (et impose) une aide économique de 13 milliards de dollars, dont 1,6 milliard pour la France.

Objectif : la reconstruction des appareils productifs et des infrastructures détruits par la guerre. Encore mieux, les pays soutenus doivent acheter tous les biens nécessaires à leur reconstruction aux Etats-Unis ! Ce qui a fait dire à beaucoup que le plan Marshall était un blanc-seing pour sauver l’économie américaine…

Bretton Woods et le plan Marshal représentent la donne importante d’un impérialisme américain qui ne s’achèvera qu’avec le coût de la guerre du Vietnam en 1971, puis 1976 avec les accords de la Jamaïque et la fin de la parité or pour le dollar !

Alors aujourd’hui, on évoque de nouveau l’opportunité d’un plan Marshall bis, mais pourquoi faire ? La relance de la politique de l’offre en accordant de grandes largesses aux entreprises avec la diminution de la fiscalité et des charges sociales passe par là. Il faut obtenir des subventions mais surtout soutenir l’investissement par le crédit !

 

Relancer l’économie par l’offre : revoilà les bonnes vieilles recettes

 

Elles sont basées sur les théories de Say (1767/1832) et de Keynes (années 1930). Du néolibéralisme pur jus, cher à Emmanuel Macron !

Mais, pour acheter quoi au juste ? Du matériel, des matières premières, de l’outil de production…Justement de quoi aggraver un peu plus les déficits de la balance commerciale avec l’inflation en prime. Puisque cette dernière semble inéluctable, qui va acheter ?

Alors, faut-il une politique de l’offre ? C'est-à-dire, réduire les impôts, augmenter les salaires, améliorer par tous les moyens possibles le pouvoir d’achat des consommateurs. Dans le contexte actuel, c’est inimaginable. Relancer l’offre et la demande : c’est la quadrature du cercle !

On l’a compris tout cela va lourdement peser sur la fin des investissements pour l’amélioration de la qualité de l’environnement. Nous avons hélas oublié que c’est la façon de produire qui est à l’origine de nos maladies et du coronavirus ! On marche sur la tête…

La patronne de la BCE, Christine LAGARDE, tente de nous rassurer. Les entreprises, les banques et les états seront sécurisés par plus de 1 000 milliards d’euros de capital, que la Banque Centrale Européenne pourra injecter ! De qui se moque-t-on ?

Si l’Etat veut soutenir les entreprises et les banques, il faudra éviter de renouveler les erreurs commises en 2008 et qu’il prenne une part du capital des entreprises aidées en rendant le partage des richesses plus équitable.

 

Et pourquoi pas la souscription d’emprunts ?

 

Alors, emprunter, oui mais à quelles conditions ? « M’sieur le poète financier » pourriez-vous émettre des emprunts qu’on ne rembourserait que lorsqu’on peut, quand on veut et dont les intérêts ne seraient versés que si on fait des bénéfices ? Ne rêve pas, « petit scarabée » !

Mais bien sûr que si ! Cette dette perpétuelle a pris la forme, surtout dans les années 80 de TSDI (Titres Subordonnés à Durée Indéterminée). On peut tout chez les saltimbanques de la finance. La souscription de tels emprunts devra être imposée aux plus riches, entreprises et particuliers (et pourquoi pas à la BCE ?).

Inévitablement, la relance passera aussi par des menaces coercitives. Ne serait-ce que pour le rapatriement des fonds placés à l’étranger sur les comptes offshores des fraudeurs de tout poil.

La solidarité oui. Mais, il faut placer l’équité avant l’égalité. Un plan Marshall, pourquoi pas ! Mais, s’il est nécessaire de développer un Plan Marshall qui soit équitable, alors il faut proposer un plan Marshall par personne !

Jean-Paul ALLOU

 


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Ce jeudi s’est tenue par le biais d’une audioconférence la première réunion du Comité du bâtiment, des travaux publics et de la construction sous l’égide de la préfecture de l’Yonne. Un rendez-vous essentiel car il a permis d’évaluer quels étaient les chantiers privés et publics pouvant être potentiellement relancés à brève échéance…

AUXERRE : La mobilisation des acteurs publics et économiques de notre département est totale. Elle sert à optimiser la reprise des chantiers après plusieurs semaines d’interruption liées au coronavirus.

Ce jeudi a eu lieu la première séance de travail souhaitée par la préfecture de l’Yonne pour faire toute la lumière sur ce qu’il était possible d’envisager dans les meilleurs délais.

Les principaux acteurs de la filière ont été invités à s’exprimer avec le représentant de l’Etat, Henri PREVOST, pour identifier les chantiers prioritaires, publics et privés, qui pourraient reprendre à court terme. Dans le respect des gestes barrières et des recommandations sanitaires du moment, il va de soi.

 

 

Participaient également à cet échange par liaison téléphonique les représentants des principaux maîtres d’ouvrage et ceux de l’UD-DIRECCTE.

Le recensement des principaux chantiers qui ont été interrompus a débuté en date du 04 avril.

Précisons qu’un guide des bonnes pratiques a été validé pour ce secteur il y a peu. Il émane de la concertation nationale entre le gouvernement et les organisations professionnelles des entreprises du bâtiment et des travaux publics.

Ce document rappelle les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires adéquates afin de protéger les personnels de la filière.

 

En savoir plus :

http://www.yonne.gouv.fr/Actualites/COVID-19-information-et-soutien-aux-entreprises

https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/covid19-conseilsbtp.pdf

 


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