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Plutôt studieuse que farniente la future période estivale des enfants et adolescents cette année ! Ainsi en a décidé le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse Jean-Michel BLANQUER qui dévoilait ce samedi matin à Paris aux côtés de Julien DENORMANDIE et de Gabriel ATTAL les diverses facettes du programme « Vacances apprenantes » dont les quartiers sensibles seront prioritaires…

PARIS : C’est dans les salons du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, rue de Grenelle, qu’a eu lieu ce samedi matin la présentation du copieux programme dont sera bénéficiaire un million d’enfants et d’adolescents cet été. Un processus validé par le gouvernement pour lutter avec efficience contre le décrochage scolaire qui est lié à la longue période de confinement.  

Le concept baptisé « Vacances apprenantes », de quoi réjouir les frimousses joyeuses des têtes blondes qui n’en demandaient pas tant depuis leur retour en classe (!), bénéficiera d’une enveloppe budgétaire de deux cents millions d’euros.

Le dispositif, gratuit, sera toutefois réservé aux plus modestes des familles. Et en particulier, à celles et ceux de ces enfants qui vivent dans les quartiers dits « sensibles ». Bon nombre de ces gosses n’ont pas emprunté le chemin de l’école depuis le 15 mars dernier, date du début du confinement.

Le ministre de l’Education nationale a ensuite détaillé son plan lors d’une conférence de presse, autour d’une stratégie qui s’articule selon les principes vertueux de vacances épanouissantes et éducatives.

En terme clair, il s’agira pour les participants à ce dispositif de joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire s’amuser et profiter des joies inhérentes aux congés d’été sans omettre de remettre la blouse le temps d’une séance pédagogique instruit de manière officielle.

Le gouvernement table sur la pratique des colonies de vacances, des écoles ouvertes et autres centres aérés pour que la jeunesse rattrape les manques intellectuels perdus durant près d’un trimestre. 250 000 départs en colonies seront ainsi financés par l’Etat dont deux cents mille seront réservés aux enfants des familles les plus modestes.

Toutefois, il a été précisé que les « enfants ayant décroché de l’enseignement à distance faute d’équipement numérique » seraient également prioritaires pour suivre ces camps de vacances éducatifs.

Les centres aérés à vocation pédagogique devraient accueillir 300 000 enfants. Le développement de jeux à orientation éducative y serait favorisé dans le cadre de la remobilisation scolaire.

 

 

2 500 écoles, collèges et lycées pourraient ouvrir cet été…

 

Quant à l’ouverture des établissements scolaires cet été, elle n’est pas exclue. Jean-Michel BLANQUER souhaite mobiliser près de 2 500 écoles, collèges et lycées dans les villes et les territoires ruraux.

On sait également que des activités de soutien scolaire, des cours d’éducation physique et des actions culturelles compléteront le dispositif pour 400 000 élèves.

Enfin, pour être tout à fait complet sur ce dossier, il faut savoir que 50 000 jeunes âgés de moins de 17 ans pratiqueront l’école ouverte buissonnière cet été. Soit à la campagne, soit sur le littoral. Histoire de se familiariser avec la nature et la découverte du patrimoine local.

Une aide ponctuelle exceptionnelle de trente millions d’euros sera attribuée par l’Etat aux collectivités territoriales qui désirent financer ce dispositif. Sachant que douze millions d’élèves sont scolarisés en France.

Reste le principal levier à ce plan pour qu’il fonctionne correctement : le nombre suffisant d’enseignants mobilisés sur la base du volontariat.

Idéalement, le gouvernement aimerait s’appuyer sur la présence physique de 25 000 professionnels pour que les 400 000 scolaires qui suivront le programme en école ouverte le fassent dans de bonnes conditions. Soit cinq fois plus qu’actuellement en période scolaire.

Mais, le SNES-FSU, syndicat  national des enseignants du second degré, a déjà fait savoir qu’il n’était pas du tout convaincu par la pertinence de ce programme « vacances apprenantes ». Logique, il a le malheur de tomber en pleine période estivale !

 


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Astucieux prétexte que celui du calendrier julien qui place la fête des mères et celle des pères en cette période printanière de la saison. C’est en ces instants de félicité familiale qu’a choisi le Meilleur ouvrier de France (MOF) des charcutiers-traiteurs 2011 pour se rappeler à notre bon souvenir. Et à celui, surtout, des épicuriens et autres gourmets qui empruntent son sillage depuis ses débuts. Un come-back culinaire plein de succulence et de savoir-faire…

CHEMILLY-SUR-YONNE : Le concept s’apparente presque à un nouveau défi gourmand. Tant le garçon possède l’audace nécessaire pour y parvenir et sait se subjuguer pour donner le meilleur de lui-même jusqu’au fond de l’assiette.

Concevoir une nouvelle ligne de produits autour de spécialités gastronomiques conditionnées en gamme de bocaux stérilisés requiert de l’appétence dans la maîtrise du moindre geste technique effectué.

Un tour de main que possède le coordonnateur et enseignant de la célèbre Ecole hôtelière de Lausanne (Suisse) qui n’en a pas oublié pour autant les préceptes d’Escoffier.   

Il suffira pour s’en convaincre de déguster quelques-unes de ces recettes intégrant sa nouvelle ligne de produits baptisée « Charcuterie Fine ».

Des saveurs délicates dont on peut se sustenter dès l’entrée, sous la forme de terrines, mousses et autres recettes à tartiner. Mais aussi, de plats cuisinés devant faire le bonheur des férus de bonne chère.

 

 

L’eau vient à la bouche à la simple lecture de la carte qui dévoile les atouts de cette collection savoureuse : blanquette de veau aux graines de moutarde, cuisses de canard confites à la sarriette, confit de joue de bœuf à la bourguignonne ou encore le poulet de la maison MIERAL à la chablisienne. Pour cette dernière recette, Fabien PAIRON s’est rapproché du fameux producteur de volailles de Bresse pour en garantir toute la qualité.

D’ailleurs, l’artisan le précise : « Toutes ces créations ont été réalisées sans additifs, ni conservateurs et autres colorants ajoutés. Elles ont été stérilisées donc elles sont à conserver à température ambiante… ».

Pour l’anecdote, cette gamme de recettes en bocaux est en cours de certification auprès des services du Collège Culinaire de France. Mais, les récents évènements liés à la présence sur notre territoire du coronavirus ont quelque peu retardé les démarches.

 

 

Des produits élaborés et distribués par Le BORVO…

 

Le projet a été élaboré avec l’étroite complicité de Daniel RAYMOND et de son fils, Benjamin. Une figure emblématique de l’artisanat et des arts de vivre à la sauce de l’Yonne que l’on ne présente plus. Ensemble, ils ont développé cette gamme de recettes en bocaux qui sont distribués par la société de CHEMILLY.

« En fait pour la petite histoire, précise Fabien, j’aime bien cette maison icaunaise « Le BORVO », avec qui je partage mes racines. Aussi, je souhaitai apporter mon soutien à cette structure via cette action pour lui donner aussi un joli coup de projecteur en cette période complexe pour les artisans, les restaurateurs, les hôteliers… ».

 

 

 

On l’aura compris : il y aussi derrière ce geste beaucoup d’altruisme et de générosité de la part du Meilleur ouvrier de France originaire de Villeneuve-sur-Yonne qui aura conçu ce projet dans le pur jus du bénévolat !

« Vous savez, ajoute-t-il en souriant, je me fie le plus possible à une maxime quand je réalise de nouveaux projets : « On peut sortir un bourguignon hors de la Bourgogne mais on ne peut pas sortir la Bourgogne d’un bourguignon ! ».

Une formule joliment dite qui démontre l’autre facette intime de ce personnage au cœur gros comme ça !

En savoir plus :

Commandes possibles de cette gamme de produits sur la boutique en ligne : www.boutique.leborvo.fr

 

 


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Initialement prévu le jeudi 04 juin, le conseil municipal d’Auxerre n’a pas eu lieu. Un message à la formulation lapidaire, adressé par e-mail à l’ensemble des élus quarante-huit heures auparavant, en annonça l’annulation sans autre proposition de dates. Sauf que son report s’envisageait après le second tour des élections municipales. La goutte d’eau débordant du vase qui provoque depuis l’ire des élus de l’opposition. Mais, aussi de certains de leurs collègues d’autres obédiences politiques…

AUXERRE : Dissocier la prise de parole du jour du contexte électoraliste inhérent aux échéances  municipales. Tel un leitmotiv reproduit en boucle, l’explication de texte fournie par les quatre interlocuteurs prenant part à la conférence de presse de ce vendredi après-midi aura été martelée sans relâche afin d’imprégner l’auditoire (les journalistes) sur les réelles intentions de leurs auteurs.

Faisant valoir leurs droits et devoirs d’élus, devant rendre des comptes auprès de leur électorat, Elisabeth GERARD-BILLEBAULT, Michèle BOURHIS, Sébastien DOLOZILEK et Pascal HENRIAT, en l’absence d’Isabelle JOAQUINA excusée, ont tenu une conférence de presse pour exiger des explications à l’actuel maire d’Auxerre.

Notamment sur la manière dont a été gérée la crise sanitaire durant ce laps de temps où « l’équipe en place a joué les prolongations » et ses incidences financières sur le budget.

Première motivation de leur courroux : la suppression de cet « énigmatique » conseil municipal du 04 juin, disparu du calendrier sans autre justificatif selon eux.

Hormis, un mail comportant deux courtes phrases explicatives faisant mention de cette annulation il n’y aura pas d’autre alternative de report avec une date précise à l’issue. Les élus n’en sauront pas davantage sur les raisons exactes de ce retrait.  

De quoi faire sortir de ses gonds Pascal HENRIAT qui voit rouge et s’insurge contre l’absence de pratique démocratique dans sa ville : « la Région a organisé des visioconférences et a pu voter son budget ; il en a été de même avec le Conseil départemental où cinq réunions furent organisées avec les moyens technologiques que nous connaissons alors que la Ville d’Auxerre n’a pas organisé de conseil municipal depuis…le 04 décembre ».

Rappelant qu’ils étaient détenteurs de leurs mandats jusqu’au 28 juin, les quatre élus contestataires mais « d’autres », d’après Pascal HENRIAT, pourraient aussi tenir des propos similaires », souhaitent une clarification sur les actions réelles qui ont été mises en place durant la période de l’épidémie du COVID-19 et leurs coûts.

« Nous voulons connaître la réelle portée des engagements financiers pris par le maire d’Auxerre envers les milieux associatifs qu’ils soient culturels, sportifs, sociaux, explique Elisabeth GERARD-BILLEBAULT, que l’on nous explique enfin la méthode, le fonds et la notion du combien cela va-t-il coûter dans les démarches budgétaires… ».

Reprochant à l’édile de ne pas les avoir sollicités pour prendre leurs avis, les quatre bretteurs y vont de leurs coups d’épée à force d’exemples concrets pour démontrer qu’un organe institutionnel à l’instar du conseil municipal est avant tout une structure de concertation et d’échange qui décide après en avoir débattu avec son collège.

 

La gratuité du stationnement, autre point d’achoppement…

 

Parmi les autres exemples à retenir dans la catégorie des choses qui ne vont pas : le stationnement. Et le choix inexplicable du maire d’Auxerre de le rendre gratuit et accessible à tous jusqu’en septembre.

« C’est un manque à gagner en matière de recettes d’environ 250 000 euros sur une période de cinq mois, détaille l’ancien adjoint en charge des finances, Pascal HENRIAT, je crains qu’Auxerre ne bascule inéluctablement dans le rouge et qu’il y ait un effet de ciseau très important entre la baisse des recettes, évidente, et l’augmentation des dépenses à brève échéance… ».

Une incidence budgétaire qui impactera par effet ricochet l’Agglomération. Quant au mode opératoire des déchetteries ou la gestion de l’état civil, ils figurent également en bonne position de cet inventaire discutable pour les interviewés.

Autre interrogation qui sera jetée en pâture : la réouverture tardive des marchés auxerrois alors que la plupart des villes de l’Yonne voyaient les leurs fonctionner avec les précautions d’usage depuis longtemps. 

« Nous ne comprenons que des dépenses annoncées par le maire d’Auxerre (cf : celles inhérentes au développement de la plateforme numérique destinée à accompagner le commerce) le soient aujourd’hui alors qu’elles ne seront engagées qu’à partir de septembre… ».

En filigrane, il faut lire entre les lignes : Guy FEREZ sera-t-il encore dans le fauteuil de maire à cette époque ?

Perplexes sur l’attitude anti-démocratique de celles et de ceux qui gèrent la ville, les quatre pourfendeurs de l’équipe en place réclament de la transparence afin de conserver la cohésion sociale dans l’intérêt de tous.

« Est-ce que l’on nous cache des choses sous le tapis, s’interroge Pascal HENRIAT, on aurait aimé débattre de toutes ces prises de décision au nom de la démocratie. Un maire doit-on le rappeler n’est pas désigné par le préfet et ne possède pas le droit divin… ».

Des avis partagés par deux autres élus qui ont tenu à confirmer ces propos par voie téléphonique : Nadine DROEGHMANS qui ne s’est pas représentée à une nouvelle mandature électorale et l’ancien adjoint en charge de l’environnement, Denis ROYCOURT, qui préfère faire cavalier seul pour conquérir le poste d’édile le 28 juin…   

 


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Même si les professionnels de l’immobilier du département nord-bourguignon ont en règle générale plutôt bien négocié l’épineux épisode de la crise sanitaire en réalisant quelques transactions, le grand rush tant annoncé d’une migration massive des Franciliens et Parisiens vers notre territoire est loin d’être à l’ordre du jour dans les faits. Surtout sur le marché de la résidence principale quand on est un primo-accédant…

SENS : Une clientèle de l’Ile-de-France désireuse de s’installer définitivement dans l’Yonne, pourquoi pas ? Mais, au-delà de réelles touches velléitaires se rapportant à l’attrait conféré par les résidences secondaires pour vivre une villégiature tranquille loin des nuisances de la capitale, on n’en constate pas vraiment les effets concrets depuis la sortie de crise.

Certes, il existe bien quelques acquéreurs originaires de la capitale de l’Hexagone ou de sa proche banlieue à vouloir tenter l’expérience de l’achat en province. Mais de l’avis du président régional de la FNAIM Ile-de-France, Guy BRUGGEMAN, cela reste toutefois très marginal dans les faits.

Le coût prohibitif du foncier appliqué en Ile-de-France est pourtant la première motivation de ces personnes qui pensent que l’herbe est plus verte ailleurs que dans leur région d’origine.

« On assiste plutôt à des achats pulsionnels, précise l’ancien président de la FNAIM de l’Yonne, mais ce n’est pas directement imputable à la sortie du confinement. D’ailleurs, une question se pose : cela va-t-il durer longtemps ? ».

Sans doute les professionnels ont-ils été contactés un peu plus que d’ordinaire par les Franciliens en manque de verdure champêtre ces dernières semaines. Mais, les biens ciblés figuraient le plus souvent parmi ceux de la catégorie des petits prix.

Toutefois, avec le resserrement bancaire tel qu’il est observé depuis plusieurs mois par Guy BRUGGEMAN, beaucoup de ces demandes ne dépasseront pas le stade du refus net et définitif par les établissements bancaires, faute de l’obtention de la ligne de crédit nécessaire.

« Il faut encore patienter jusqu’à la rentrée avec peut-être les effets réels de la sortie de crise pour obtenir un aperçu exact du marché, confie le professionnel, et connaître la vraie politique mise en œuvre en matière de logement par le gouvernement à l’automne… ».

 

 

Le télétravail n’est pas un argument suffisamment crédible…

 

Plusieurs interrogations subsistent. Quid du devenir du prêt à taux zéro ou des garanties accordées par l’Etat pour rassurer les banques en matière d’emprunts ?

Pour l’heure, le marché de l’immobilier navigue un peu à vue, balloté par de nombreuses incertitudes liées à la conjoncture économique.

« Nous avons aussi observé que des acheteurs payaient comptant l’acquisition de leur terrain sans qu’il y ait un projet constructif à mettre dessus… ».

Quant aux vendeurs, ils sont plutôt dubitatifs.

Certains éprouvent de la crainte à mettre leur bien en vente. D’autres hypothèquent sur une poussée haussière du marché qui ne vient toujours pas. D’autres, enfin, hésitent même à vendre leur logement !

Le spectre d’une noria d’investisseurs franciliens se précipitant dans l’Yonne pour acquérir leur résidence principale est donc illusoire. On est loin des années 1990 où 90 % de la clientèle des agents immobiliers du Sénonais provenaient de la région limitrophe.

D’autant que les Franciliens exècrent même l’idée de se déplacer en transport en commun pour continuer à se rendre sur leur lieu de travail à Paris, après les derniers évènements et les mesures sécuritaires qui leur sont imposées.

Quant à l’argument miraculeux du télétravail, il n’est pas crédible aux yeux de Guy BRUGGEMAN : « Ce sont des fantasmes de certains vendeurs pour se rassurer. Si nous touchions seulement de 5 à 10 % de ces personnes qui ont opté pour cette nouvelle forme de travail, ce serait déjà exceptionnel… ».

Si regain d’intérêt il y a pour notre territoire, c’est plutôt du côté des résidences secondaires qu’il faudrait le chercher. L’archétype même du bien idéal, la maison agrémentée de son jardin, fait nourrir quelques espérances auprès des professionnels, notamment ceux qui évoluent au sud de Villeneuve-sur-Yonne, dans l’Auxerrois, le Vézelien et l’Avallonnais.

Un état des lieux avéré depuis la saison dernière selon le président départemental de la Fédération des professionnels de l’immobilier de l'Yonne, Stephan SIMPSON, qui s’est concrétisé avec l’émergence de nouvelles ventes.

 

 


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Initié par le réseau régional de la chambre consulaire, le nouvel outil multimédia (www.relancermonentreprise.fr) offre l’accès à un ensemble de ressources très utiles aux entrepreneurs en reprise de leur activité. Il est aussi un espace de contribution astucieux où chacun des utilisateurs peut y déposer une idée ou une suggestion profitable à la relance économique…

AUXERRE : L’après confinement est une étape à ne pas prendre à la légère après les nombreuses semaines d’inertie économique. Fort de cela, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Bourgogne Franche-Comté qui ont multiplié les cellules d’appui en soutien des milliers d’entreprises dans le besoin durant les moments les plus cruciaux, poursuivent leur mission sociétale en créant un nouveau site numérique.

Baptisé sobrement (www.relancermonentreprise.fr), l’outil respecte le credo coutumier qui guide les services des CCI au quotidien depuis le début de la crise sanitaire : accompagner à la reprise d’activité des entreprises grâce au redémarrage de l’économie.

Opérationnel depuis peu, ce site présente les diverses solutions préconisées par l’organisme consulaire dans le cadre de la relance, les dispositifs d’aides mobilisables, le cadre réglementaire en matière de réouverture d’activité (on pense volontiers à la filière de l’hôtellerie/restauration/loisirs) ou encore une liste des fournisseurs régionaux d’équipements de protection. On y trouve également la fameuse bourse régionale d’entraide.    

 

 

Facile à manipuler, l’outil encourage les recherches par mots clés, par tags, par thématiques selon les appétences des chefs d’entreprises. Il est aussi un espace contributif puisqu’il recueille les idées et autres suggestions émises par chacun des acteurs de l’économie en vue d’optimiser la relance ô combien nécessaire.

Il suffit d’activer le bouton ad hoc, placé en haut à droite de la page de garde pour que ces éléments à partager transitent par les services des CCI de la région. Ces derniers pourront alors enrichir ces propositions en matière d’accompagnement d’entreprises.

 

En savoir plus :

Les entreprises peuvent aussi contacter le correspondant relance de leur CCI territoriale pour toute précision et accompagnement sur le référent suivant :

www.relancermonentreprise.fr/contactez-votre-cci

 


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