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Evoquer le quotidien d’un club de football ne se limite pas uniquement à ses seuls résultats sportifs et aux diverses compétitions qui ponctuent la saison. Accompagnée de plusieurs élus régionaux dans sa découverte de la structure, la présidente de la Bourgogne Franche-Comté a pu s’en rendre compte lors de son récent séjour en terre icaunaise. Cette plongée, riche d’enseignement parmi un univers très éloigné de la sphère politico-institutionnelle, restera dans les annales. Non seulement, l’élue régionale a pris soin de rencontrer les jeunes pousses de l’une des filières de la formation footballistique nationale dont la Chine nous envie, et ses dirigeants. Mais, elle a, en outre, pu converser avec les représentantes du groupe ACADOMIA, partenaire du club de Ligue 2, en matière de programmes pédagogiques…

AUXERRE : Faisant référence à maintes reprises dans ses propos à l’emblématique club du FC Sochaux Montbéliard, Marie-Guite DUFAY connaissait néanmoins le stade de l’Abbé Deschamps où elle a déjà eu l’opportunité d’assister à une rencontre sportive.

Nonobstant, elle ne s’était pas encore immergée en sa qualité de présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté dans le saint des saints que représente le névralgique Centre de formation icaunais. L’un des dix plus cotés de France.

Complexe sportif aiguisant tous les appétits, des plus jeunes-les joueurs ayant été détectés pour leur valeur physique et athlétique dès l’âge de 12 ans, aux plus grands-les partenaires chinois de l’AJA qui désirent importer le concept dans l’ex-Empire du Milieu en vue d’une éventuelle organisation de la Coupe du Monde d’ici 2050, le Centre de formation méritait bien d’être biffé sur l’agenda déjà ultra chargé de la présidente.

Accueillie par le président Francis GRAILLE, lui-même encadré du directeur général du club, Baptiste MALHERBE, du directeur sportif, Cédric DAURY et du directeur du centre éducatif, Bernard DAVID, Marie-Guite DUFAY parcourut, commentaires à l’appui, les différents étages de ce bâtiment, moderne, ergonomique et bien pourvu en équipements audio-visuels.

Discutant avec quelques jeunes apprentis footballeurs, l’élue régionale a pu échanger quelques mots avec l’une des vedettes du club professionnel, Yaya SANOGO, pur fleuron de l’AJA dès l’âge de 12 ans, transfuge du mythique pensionnaire de la Première League anglaise (Arsenal) et aujourd’hui engagé par Toulouse.

Une belle réussite aux examens avec 86 % de bacheliers

Si beaucoup de jeunes gens sont originaires de l’Yonne, d’autres proviennent de tout l’Hexagone. Certains, de niveau bachelor, sont en partance pour les Etats-Unis où ils continueront leur cursus en enseignement supérieur. Sans omettre leur formation footballistique initiale.

La formation, notamment les filières post-bac que souhaitent développer à l’avenir le président Francis GRAILLE fut au centre des discussions. Anne-Brigitte SANSON, la responsable pédagogique du groupe ACADOMIA à Auxerre, éclaira de ses lumières les aspects pragmatiques de ces programmes, déclinés vers les jeunes gens.

L’enseignement du savoir prendra à terme une tournure orientée vers l’international. C’est aussi le souhait de James ZHOU, l’actionnaire principal du club auxerrois. Des joueurs de la puissance mondiale à taille d’un continent fréquenteront le centre de formation de l’AJA. A contrario, quatre enseignants français sont pris en charge par l’actionnaire localement pour assurer la détection.

Parmi les autres thèmes de discussion : la création en cours de l’équipe féminine avec le Stade Auxerrois et la rénovation de certaines installations sportives.

Marie-Guite DUFAY, satisfaite, termina sa visite en arborant elle-même les couleurs de l’AJA, en recevant un maillot floqué à son patronyme…


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Les budgets prévisionnels, validés lors du dernier Conseil d'administration de l’association, affichent des résultats annuels excédentaires de l’ordre de 20 000 euros par an. Un chiffre probablement revu à la baisse en raison d’une réduction de 12 % de la subvention FSE, signifiée il y a peu, aux responsables de l’entité icaunaise. Profitant de la récente assemblée générale, le président Guy PARIS a analysé le bilan de l’exercice écoulé avant de se projeter sur les perspectives de développement 2018/2019. Pérenniser le nombre de sorties vers l’emploi et valoriser la formation afin de répondre aux besoins de la situation professionnelle constituent plus que jamais le socle inaltérable d’un outil qui a accompagné 35 salariés sur le chemin de l’insertion cette année…Interview.

AUXERRE : Quels sont les premiers enseignements que vous dégagez de l’année écoulée ?

De prime abord, je dois rappeler que la nouvelle gouvernance de l'association a été installée fin 2016. Elle a su assumer totalement ce premier exercice 2017. Il n'est pas dans mes intentions de culpabiliser les acteurs précédents, mais avec un compte de résultat en déficit de 61 568 euros fin 2016 et des fonds associatifs réduits à néant, les perspectives de redressement étaient sombres. Les fondateurs de cet atelier d'Insertion avaient eu une idée remarquable en créant ce concept : apporter du service aux uns et permettre un retour ou un démarrage dans l'emploi pour d'autres. On est en plein dans ces belles valeurs de l'économie sociale et solidaire. Et toute la motivation, la détermination de l'équipe qui m'a accompagnée dans ce challenge reposait, et repose toujours, sur cette utilité sociale de permettre à des personnes d'avoir un emploi, une reconnaissance dans la société et de construire ou reconstruire un projet de vie. En clair, 2017 fut une année de transition. Nous avons dû apprendre, en commettant sûrement des erreurs, mais avec un engagement remarquable, à nos côtés, de professionnels, d'élus, de décideurs, de l’État (l'UT89 de la DIRRECTE), du Département, de la Communauté d'Agglomération, de la Fédération des Foyers Ruraux et de l'accompagnement DLA, de Bourgogne Active et de nos partenaires financiers, de l'OAH…

Nous avons gagné une première manche avec un retour à l'équilibre budgétaire, un développement de l'activité, et une nouvelle dynamique.

« L’arrivée de Mathilda de ALMEIDA est une providence : elle incarne cette bouffée de jeunesse dont nous avions besoin… »

Néanmoins, AMIDON 89  a vécu des périodes délicates au cours de ces douze derniers mois. Avec de surcroît le départ en retraite de la responsable originelle de l’association…

Effectivement. C'est toujours un moment délicat que la passation de relais dans un contexte de dégradation de l'activité et des résultats financiers. Les conditions optimales pour faciliter ce passage n'ont pas été au rendez-vous. Une période d'intérim a été assurée tout particulièrement par Evelyne PETIT que je tiens à remercier très chaleureusement pour sa disponibilité et ses compétences. Ainsi, plusieurs mesures réglementaires qui étaient absentes au sein de cette association, ont été mises en place : mutuelle obligatoire avec participation de l’employeur, délégués du personnel, instance de sécurité et conditions de travail, entretiens annuels,  visites médicales, etc. Par souci d'économie, le contrat avec le cabinet d'expertise comptable n'a pas été reconduit. La comptabilité est revenue à Isabelle MEIRONE, trésorière-adjointe. L'exercice fut difficile en particulier sur le suivi de la facturation clients et la récupération des données…

Et c’est ensuite, à l’automne 2017, que rentre en scène et dans le jeu votre nouvelle directrice Mathilda de ALMEIDA. Une nomination qui va s’accompagner de nombreux changements dans le mode fonctionnel de votre organisme…

L’arrivée de notre nouvelle directrice correspond à une bouffée de jeunesse, de dynamisme, de créativité, d'envie de réussir dans ce nouveau job pour lequel elle met toutes ses compétences. Sa fibre associative et sa bonne humeur font plaisir à voir ! Cette jeune femme a effectué ses études supérieures à l'IUT et à l'IFAG à Auxerre, prouvant que la qualité de l'enseignement supérieur dans notre ville n’est pas usurpée. Sa venue a coïncidé avec une kyrielle de nouveautés. Un logo, plus en phase avec notre dynamisme, a été offert par le professionnel Thomas MICHAL.  De nouveaux supports de communication sont apparus. Ainsi que de nouvelles offres de prestations et de services. Avant la mise en exergue d’un mode managérial novateur.

« Une association ne peut pas se soustraire à réaliser des investissements pour progresser… »

Seule ombre au tableau face à ce regain de jouvence, la sempiternelle question concernant les ateliers de Chablis et Saint-Florentin qui, dans le constat financier, montrent un déficit pouvant fragiliser la totalité de l'association. Quelle est votre position à ce sujet ?

C’est simple : le Conseil d'administration persiste à vouloir maintenir ces deux ateliers.  A Chablis, du fait de l'implication de la Ville qui nous apporte un soutien logistique fort et des perspectives de développement, il n’est pas question de baisser les bras. Pour Saint-Florentin, avec un propriétaire de nos locaux qui investit et innove pour nous (en outre, une encadrante aux compétences reconnues est à la tête de la structure), il est exclu de sortir du jeu. Conséquence, le modèle économique est donc repensé en globalité avec des entraides opérationnelles et fonctionnelles. Et une bonne adéquation dispensée avec le service livraison.

A l’instar des entreprises, une association ne peut se soustraire à réaliser des investissements si elle veut continuer à progresser. En ce sens, 2017 fut riche en démarches pour obtenir des financements ?

Oui, il nous fallait renouveler notre parc de machines, pour désencombrer les locaux et offrir un cadre de travail de qualité pour l'accompagnatrice professionnelle, Stéphanie. Je précise, par ailleurs puisque j’en fais allusion, que nos bons résultats en sorties positives lui reviennent largement. Le trésorier, Alain BERNIER, quant à lui, a beaucoup œuvré dans ce domaine logistique avec sa pugnacité et ses connaissances des réseaux. Nous venons de recevoir nos nouvelles machines. Signalons, et avec le concours de l’Office Auxerrois de l’Habitat et de sa direction, que le remplacement de l’adoucisseur d’eau contribue à optimiser un service de qualité. D'autres travaux viennent de se réaliser en 2018 et vont se poursuivre…

AMIDON 89 intègre-t-elle les potentialités offertes par le numérique pour se développer ?

L'informatisation et l'accès Internet sur nos trois sites de production permettent des échanges en temps réel et facilitent la transmission d'informations. La modernisation des modes de fonctionnement des ateliers et cette convergence opérationnelle entre les trois entités valorisent le travail tant sur le plan quantitatif que qualitatif. D’ailleurs, le développement par le nombre de clients s'effectue à un rythme bien supérieur à nos objectifs. Cela efface nos craintes sur la pertinence d'un service de repassage dans les modes de vie actuelle. Le développement de l'activité était l'objectif prioritaire fixé à la nouvelle directrice : d’ores et déjà, il est largement dépassé.

Bien sûr, au-delà de toutes ces considérations, l’objectif essentiel est le retour à l’emploi…

C’est exact ! Notre taux de sortie traduit notre dynamisme puisqu’il est de 70 % !

« 80 % des personnes interrogées ne nous connaissent pas ! Il nous faut changer notre image… »

Un commentaire sur la situation comptable de la structure. Comment s’est soldé l’exercice 2017 ?

Sur un résultat excédentaire de 18 779 euros ! Autant dire que ce bilan est très positif. Il salue la complémentarité et le travail de toutes nos équipes, et le soutien que nous recevons de la part de tous les administrateurs et les élus de Saint-Florentin et de Chablis, ainsi que les partenaires institutionnels (élus et techniciens), privés et prestataires. Une maxime de Nelson MANDELA me vient souvent à l’esprit : « je ne perds jamais, soit je gagne, soit j'apprends ». Nous avons appris et nous avons gagné une première manche en 2017 !

Serez-vous toujours aussi ambitieux à l’avenir ?

Honnêtement, je réponds par l’affirmative. 2018 s'annonce bien. Même si nous avons toujours une trésorerie fragile. Cependant, nos marges de manœuvres sont grandes pour moderniser nos ateliers, poursuivre notre développement, trouver de nouvelles pistes de formation et de service avec dès maintenant, la couture ; peut-être aussi une petite dose de blanchisserie. Vous savez, un atelier d'insertion par l'activité économique ne doit pas être hors sol. Il doit avoir une organisation et une gestion humaine et financière remarquable. Nous préparons les salariés en insertion à un futur contexte professionnel exigeant. La montée en compétences doit se faire en souplesse mais avec fermeté. Quant à la réussite des personnes dans leur futur métier, elle repose sur l'apprentissage du savoir-faire et du savoir-être. Enfin nous devons être encore plus ambitieux, sur le plan service en assurant une continuité d'ouverture des ateliers tout au long de l'année (plus de fermeture en été). Un autre impératif sera de retravailler notre image et notre stratégie sur le plan marketing : 80 % des personnes que nous avons sondés lors d’une enquête d’opinion ne nous connaissent pas ! Il nous faudra aussi veiller et vérifier régulièrement le degré de satisfaction de nos clients. Nous allons donc continuer à apprendre et nous gagnerons tous ensemble car nos salariés qui sont dans cette belle démarche de retour à l'emploi le méritent…


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Occupant la fonction de directeur technique au lycée Saint-Jean-Baptiste de la Salle de Reims, le successeur de Gabriel ANDREI s’installera à Auxerre au terme de la période estivale afin de préparer sa première rentrée en Bourgogne Franche-Comté. En visite de courtoisie il y a quelques jours dans l’Yonne, Marc BESANCENEZ a pu se présenter au corps enseignant et au personnel administratif, en toute simplicité. Un contact qui s’est avéré judicieux pour ce professionnel âgé de 46 ans dont la motivation professionnelle repose sur le développement du bien commun et du bien individuel…

AUXERRE : Devant une salle très attentive à la formulation de ses propos, le futur directeur du groupe Saint-Joseph La Salle, Marc BESANCENEZ, a tenu à remercier chaleureusement, tout en y incluant un zeste d’humour, son prédécesseur, Gabriel ANDREI.

Pilier emblématique de la vénérable institution pédagogique chrétienne, Gabriel ANDREI quittera entre-temps le département de l’Yonne. Il y avait officié avec brio depuis huit ans. A l’automne, il reprendra les rênes d’un établissement lassalien de l’Ile de France, à la périphérie de Paris.

Se voulant rassurant quant à la manière dont il appréhendera l’avenir de l’école des Frères auxerroise, Marc BESANCENEZ a relaté son parcours professionnel.

Cet ingénieur des Arts et Métiers, passionné par la technologie, a accompli un brillant cursus scolaire en obtenant un DEA. Féru de vibro-acoustique, il est à l’origine du BTS de maintenance industrielle, ouvert à Reims.

Membre du directoire et directeur délégué du groupe La Salle, sa venue devrait coïncider avec la mise en exergue d’une stratégie ne bouleversant pas ce qui a été réussi au cours de ces récentes années.

Faisant montre de qualité d’écoute et d’ouverture relationnelle, le futur responsable du groupe scolaire auxerrois (l’un des plus importants de la région Bourgogne Franche-Comté en termes de fréquentation et de taux de réussite aux examens) veut très vite s’intégrer parmi la communauté éducative de son nouveau point d’attache.


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Il n’y a aucune autre alternative possible à entrevoir selon le président de la chambre consulaire de l’Yonne qui tenait une conférence de presse à quelques jours de l’Evènement Business, animation qui mobilisera plus de deux cents entreprises lors d’une journée riche en échanges organisée à l’Hôtel-Dieu de Tonnerre ce jeudi 07 juin. Afin de garantir leur pérennité et de pouvoir avancer, les milieux économiques doivent se remettre en cause de façon perpétuelle. En faisant preuve d’agilité, d’innovation et de créativité. Mais aussi en éradiquant toutes les incertitudes (ce sera la thématique essentielle de cette manifestation par le biais de conférences) qui se présentent au quotidien aux entrepreneurs en quête de concrétisation et de repères…

AUXERRE : La venue du conférencier Philippe SILBERZAHN, vedette incontestable de cette sixième édition de l’Evènement Business, porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ne doit rien au hasard. Il est vrai que le discours de ce professeur d’entrepreneuriat, stratégie et innovation à EMLYON Business School et chercheur associé à l’Ecole Polytechnique, est attendu de manière messianique par les organisateurs de cet évènementiel devant rassembler plus de deux cents entrepreneurs issus de l’Yonne mais aussi en provenance de départements limitrophes et franc-comtois.

Un conférencier de tout premier plan et au discours novateur…

L’effet espéré de cette présence selon le président de la CCI de l’Yonne, Alain PEREZ, est simple : « Philippe SILBERZAHN devrait provoquer un électrochoc durable auprès des chefs d’entreprises qui écouteront avec grand intérêt son discours novateur dans la manière d’aborder la gestion et le pilotage d’une structure professionnelle… ».

La thématique évoquée par l’intéressé concernera l’incertitude dans le processus d’innovation. « J’ai été particulièrement subjugué par les propos tenus par cet exégète, confirme Alain PEREZ, lors d’une précédente intervention où j’avais eu l’opportunité d’écouter ce conférencier. A propos de ces incertitudes, il avait relaté, exemples à l’appui, les péripéties de certaines grandes marques référentes de l’économie mondiale qui n’avaient pas su regarder devant elles en matière d’innovation. Bluffant ! ».

Créateur du premier MOOC d’initiation à l’entrepreneuriat consacré à l’effectuation en novembre 2013, l’intervenant disposant à son actif de plus de vingt années d’expérience en qualité d’entrepreneur et dirigeant d’entreprise, axera sa conférence autour de trois dimensions fondamentales de la prise de décision en incertitude : la dimension ontologique (la nature de notre environnement et ses phases évolutives), la dimension épistémologique (quelle information pouvons-nous utiliser pour mieux décider ?) et la dimension sociologique (l’intégration dans le jeu des différents acteurs impliqués dans la prise de décision en incertitude).

D’autres items, liés à l’actualité récente (la RGPD, cyber sécurité, la crypto monnaie…), pourraient eux-aussi susciter des réactions de la part du conférencier et du public qui assistera à sa prestation en début d’après-midi.

Mais, il n’est pas exclu que d’autres axiomes remontent à la surface. Comme le stipule Alain PEREZ :

« L’une des incertitudes principales qui concerne les entrepreneurs à l’heure actuelle repose sur la notion du recrutement. La question récurrente à laquelle ils doivent faire face est la suivante : « vais-je avoir les moyens humains nécessaires pour pouvoir produire dans les délais ce que j’ai en carnet de commandes ? ». Le facteur emploi demeure la clé voûte du système. Confronté à cette équation qui n’est pas si facile à résoudre, le chef d’entreprise ne peut parfois pas honorer et respecter son carnet de commandes ; ce qui est gravissime…Nous sommes à la croisée des chemins dès que l’on parle de l’emploi. Une chose est sûre, en revanche : l’intelligence artificielle ne nous permet pas de solutionner cette problématique et de remplacer définitivement l’humain au travail… ».

Restent les incertitudes liées aux soubresauts de la géopolitique actuelle. Notamment dans le domaine de l’export où le durcissement des échanges commerciaux avec les Etats-Unis et l’application de sanctions économiques, plus ou moins efficaces, envers la Russie ou l’Iran pénalisent des PME/PMI régionales qui auraient pu se dispenser de ces marchandages étatiques aux contours politiciens. Deux entreprises de l’Yonne (dont les identités n’ont pas été communiquées) connaissent précisément les effets directs de ces conséquences négatives vis-à-vis de ce pays du Moyen-Orient.

Un juste retour des choses pour le Tonnerrois…

Quant aux explicatifs justifiant la tenue de cette importante manifestation aux envergures économiques sur le Tonnerrois, ils auront été largement commentés par le président de la Chambre de Commerce et d’industrie de l’Yonne.

« Depuis le déroulement de la première édition le 19 juin 2008 dans le vieil hôpital de la ville la plus orientale de notre département, beaucoup de choses se sont déroulées. Territoire très industrialisé à l’origine, le Tonnerrois a perdu bon nombre de ses références (LAFARGE, THOMSON…) du fait des effets d’une mauvaise conjoncture. Mais, l’ensemble des acteurs s’est retroussé les manches. La CCI de l’Yonne s’est investie en créant une pépinière d’entreprises. Le haut débit fonctionne. La contrée a su se moderniser en devenant très attractive. Des sociétés comme ARBEO ou GEOCHANVRE rayonnent bien au-delà de leur périmètre. D’autres perspectives se profilent avec insistance, notamment le projet de biomasse devant générer cent-vingt emplois pour 40 millions d’euros d’investissement…Il est grand temps de tourner la page et balayer ces éternels poncifs qui n’ont plus lieu d’être dès que l’on parle de développement économique sur ce territoire… ».

La création de l’AET (Association des entrepreneurs du Tonnerrois) étayera par ailleurs dès juillet 2015 cette tendance au retour du positivisme qui fait foi dorénavant dans ce bassin souvent malmené.


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Rodé depuis une douzaine de représentations, le tour de chant que la formation icaunaise dévoilera ce samedi 02 juin dans le cadre magnifique du cloître de l’abbaye de Pontigny a été largement applaudi le week-end dernier par plus de six cents personnes de la région de Roubaix. C’est à Leers, commune du Nord de la France, que Jean-Claude DUQUENNE, chanteur et leader du groupe ENTRE  NOUS, a pu observer l’impact émotionnel que procuraient ces airs interprétés naguère sur la ligne de front parmi le public d’aujourd’hui…

LEERS (Nord) : Créé en 2004 par des amis passionnés de chansons françaises à texte, le groupe ENTRE NOUS s’est depuis forgé une solide réputation de sérieux et d’efficacité sur scène, multipliant concerts et tours de chant à la grande satisfaction d’un public d’aficionados. Dans sa région de prédilection, la Bourgogne Franche-Comté. Mais aussi à travers la France.

Inspirés par le répertoire de références incontournables de la poésie francophone (Jacques BREL, Georges BRASSENS, Serge REGGIANI ou encore Serge GAINSBOURG), les musiciens ne boudent pas leur plaisir à s’aventurer dès que possible vers des univers ouvert au swing et à la dimension plus jazzy, rendant hommage aux pointures de la discipline aux origines américaines. Mais, ne dédaignant pas à l’occasion se frotter aux jeunes loups de la spécialité et de ses diverses variances, à l’instar de l’excellent guitariste de jazz manouche : Adrien MARCO.

De l’émotion et du succès du côté de Roubaix…

Il y a quelques jours, le groupe, articulé autour de Jean-Claude DUQUENNE, chant, Alain DUTREUIL, piano, accordéon et arrangements, Maurice LARTIGUE, basse et William HELDERLIN, saxophones, s’est produit devant un public conquis par tant de virtuosité dans cette commune du nord de la France, pour y interpréter un tout autre registre : les airs que fredonnaient à leurs rares moments perdus et pour se donner du courage au fond de leurs tranchées les Poilus de la Grande Guerre.

Un prélude au récital que donnera ENTRE NOUS ce samedi 02 juin à l’abbaye de Pontigny, répondant ainsi de manière affirmative à l’invitation lancée par la structure associative, « PONTIGNY EN LUMIERE », organisatrice de cet événement.

Accompagné d’une soixantaine de choristes issus d’une formation locale, ENTRE NOUS a subjugué une salle qui en redemandait encore. Il est vrai que raviver ces airs populaires imprimés dans nos consciences comme « La Madelon », « Frou-frou » ou le classique « Sous les ponts de Paris » avait quelque chose de nostalgique et de profondément sobre en cette année de centenaire de la commémoration de l’Armistice, devant mettre un terme à ce conflit ayant généré des millions de morts sur les champs de bataille européens.

Le devoir de mémoire au gré de superbes chansons…

Une intense émotion fut palpable parmi l’assistance dès que retentit les premières mesures du fameux morceau, « La chanson de Craonne ». Ce texte originel signé du père du chanteur Jean SABLON, Adémar, sera réécrit de façon anonyme par un soldat, empli d’amertume et de révolte sur les conditions de vie vécues au quotidien par ces jeunes hommes, devenus au fil de ces jours belliqueux de la « chair à canons »…

Cette plongée musicale et en chansons dans cette période triste et trouble de l’Histoire de l’humanité ne devra jamais faire oublier la moyenne journalière de décès enregistrée au cours de ces quatre années de conflit : ce sont 6 221 militaires tout camp confondus qui ont été tués au quotidien lors de cette Première Guerre mondiale de sinistre mémoire…


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