Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le plaisir de se retrouver, enfin. Deux ans après la dernière manifestation qui avait permis à un groupe d’élus de s’envoler à destination de Sofia en Bulgarie. Mais, cette année, point de séjour à l’international. Juste une immersion de 48 heures à Alès dans le Gard. Les « Entretiens de CHAMPIGNELLES » reprennent leurs droits. Ils ont été ouverts par la secrétaire générale de la préfecture Dominique YANI...

 

CHAMPIGNELLES: Acte un en cette journée de mardi 26 octobre 2021 pour ces fameux « Entretiens » auxquels les élus de l’Yonne, et tout particulièrement ceux de la Puisaye-Forterre, demeurent très fidèles.

Tant dans l’esprit que dans la forme. Accueillis par la localité qui prête volontiers son nom à ce rendez-vous annuel, les représentants des collectivités territoriales, une fois le petit café salvateur avalé au point d’accueil, se sont mués dans un silence presque religieux pour écouter assis à leurs tables de travail la brève allocution prononcée par le maire Eric PAURON.

Ce dernier se félicita que se perpétue cette remarquable initiative à destination des élus et de leurs représentants, depuis plus de trente ans. Même la COVID n’aura eu raison de ce rendez-vous vieux de trois décennies, attendu par le plus grand nombre.

Lors de cette prime journée marquant le début d’un rendez-vous qui se compose en triptyque avec un séjour immersif en terre cévenole à Alès (du 07 au 09 novembre) et une ultime séance informative déclinée le vendredi 19 novembre à la salle des fêtes, deux items constituaient le point névralgique de ces échanges qui se veulent constructifs.

D’une part, et ce fut le programme de la matinée, un volet didactique aura été consacré à la carrière administrative des agents communaux. D’autre part, et destiné à agrémenter l’emploi du temps de l’après-midi, le plan de relance vu sou le prisme de l’Europe fut prétexte à l’intervention de différents orateurs dont le troisième vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, Nicolas SORET, en charge du développement économique.

 

 

Un tour d’horizon de l’actualité inhérente aux ressources humaines…

 

Si Jean-Pierre GERARDIN fit un long exposé afin de dévoiler au grand jour les arcanes du Centre de Gestion de la fonction publique de l’Yonne et ses nouvelles ramifications régionales, c’est à Dominique YANI en sa qualité de secrétaire générale de la préfecture qu’incombait l’ouverture des réjouissances liées à cet évènement. Après qu’elle fut accueillie au pupitre par le président fondateur des « Entretiens », l’ancien maire de CHAMPIGNELLES Jacques GILET.

Malgré une sonorisation plus que défectueuse, poussant l’auditoire à tendre l’oreille entre deux grésillements des plus désagréables, la représentante de l’Etat aborda différents aspects d’une actualité plutôt hermétique aux profanes mais dont les élus prenaient bonne note car les impactant directement.

Ainsi, Dominique YANI eut le loisir d’argumenter les nouvelles décisions prises par l’Etat en matière de ressources humaines, évoquant tour à tour le poids du télétravail dans la fonction publique, présentant la nouvelle instance qu’est le comité social territorial, tout en rassurant les élus et leurs adjoints présents dans la salle. Elle les a invités au passage à ne pas hésiter à faire appel aux services de l’Etat pour plus amples explications.

 

 

L’emploi des jeunes par le biais de l’apprentissage : à décliner…

 

L’autre sujet qui lui tenait à cœur se rapporta au plan de relance. Un dispositif ayant nécessité un investissement de 100 milliards d’euros à répartir sur différents axes dont la priorisation à l’emploi des jeunes.

La secrétaire générale de la préfecture prit soin ensuite de détailler avec moult explications les différents dispositifs dont peuvent usitées les collectivités locales dans leur quête à employer des jeunes.  

Dominique YANI eut un couplet sur le dispositif « 1 jeune 1 solution », mesure qui porte ses fruits depuis qu’elle est entrée en vigueur. Elle s’attardera également sur l’importance du PEC, le parcours emploi compétence décliné avec le concours des Missions Locales.

L’une des mesures qui retint l’intérêt de plusieurs élus et notamment celui du président des Entretiens Jacques GILET se rapporta à l’apprentissage. Une voie d’accès idéale pour intégrer le marché de l’emploi. Accompagnée d’un subside de 3 000 euros que la collectivité perçoit si elle favorise l’insertion d’un apprenti parmi ses services comme c’est le cas à l’heure actuelle à la préfecture de l’Yonne qui en accueille trois dans ses services.

Enfin, l’ultime point soulevé par Dominique YANI concerna les conseillers numériques pour aider au développement des collectivités. Vingt-trois de ces jeunes gens opèrent à l’heure actuelle dans l’Yonne. Et cela ne semble pas terminé, visiblement…

 

En savoir plus :

On notait la présence de la sénatrice Dominique VERIEN, des conseillers départementaux Gilles ABRY, Yves VECTEN et Jean-Pierre RAOUT ainsi que du premier vice-président de la CCPF Alain DROUHIN.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Voilà plus de quarante ans qu’il a troqué son stylo de journaliste politique pour endosser le costume de chansonnier. Devenu au fil des années, l’un des piliers des cabarets de légende que sont le Caveau de la république, les Deux Ânes ou le Don Camilo, Pierre DOUGLAS s’est produit à Saint-Georges pour la plus grande joie de ses admirateurs. Un personnage attachant, aux multiples facettes, qui ne cache pas son bonheur de rhabiller de rires la grisaille du quotidien.

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Quel aurait été le destin de Pierre MELON, alias Pierre DOUGLAS, s’il n’avait croisé un jour sur sa route, à la fin des années 70, ces deux personnages emblématiques qu’étaient alors Georges MARCHAIS, premier secrétaire du Parti Communiste Français et l’imitateur Thierry LE LURON, déjà au fait de sa gloire… ?

Du premier, il sut reprendre le phrasé et les intonations pour faire rire dans un premier temps ses collègues de rédaction avant que le second, conquis par son talent et son humour ne le propulse sur la scène du Don Camilo. Lui offrant l’opportunité de se lancer dans une carrière d’humoriste et amuser la France entière. Clin d’œil au temps qui passe, le tout jeune octogénaire a intitulé son dernier spectacle « Vite avant que j’oublie !». Simple figure rhétorique car le gamin de 80 balais se souvient de tout et nous fait près de deux heures durant, revisiter les évènements et les personnages qui ont émaillé sa vie. Une vie, façon puzzle, qui s’éparpille au fil des carnets scolaires et des études avortées, passant d’un premier emploi de présentateur du journal à FR3 Limoges à une activité de commercial chez Primagaz, pour finir par faire le siège du standard d’Europe1 plusieurs mois afin d’y rencontrer son directeur de l’époque et figure de la station, Jean GORINI, qui lui donnera sa chance : « je rêvais d’être Tintin, je rêvais d’être un reporter… ».

 

 

De l’humour et des bons mots comme s’il en pleuvait…

 

Au fil du spectacle s’enchaînent anecdotes et personnages, que la verve du chansonnier égratigne férocement, revisitant au passage quelques refrains connus, comme la chanson de Charles AZNAVOUR, « Je m’voyais déjà » pour évoquer l’ego et la soif de pouvoir des hommes politiques, ou cette « Complainte de l’ancien ministre » calquée sur l’air des « Neiges d’antan » emprunté à Georges BRASSENS. La plume se fait plus tendre quand sur l’écran de sa mémoire défilent les amis disparus, à l’image de ces couplets composés un dimanche de janvier 2015, en hommage à CABU et ses copains, « pour ne jamais oublier », entonnés sur la musique de « Ma môme », clin d’œil à une autre de ses idoles, Jean FERRAT. Le spectacle se fait comédie italienne. On rit, on pleure, on pleure, on rit… C’est l’heure de la revue de presse et des pépites glanées au fil des pages et de l’information : « bonne nouvelle pour les 100 000 passagers qui partent chaque jour de Montparnasse, la SNCF a annoncé que dès la fin des travaux, les grèves reprendront normalement ! ». Dernier tour de piste en terre monégasque, qui confine au grandiose avec ce reportage sur l’accouchement de la princesse Stéphanie, revu et corrigé façon Léon ZITRONE : « Je ne vois plus rien, à vous Monaco, à vous les studios ! ». Et dernière salve entourée de ses trois musiciens : « comme aurait dit MARCHAIS, à nous quatre, on fait un bon trio ! ». Comment ça ! Le spectacle est déjà terminé ? Mais c’est un « scandâââle ! ».

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pour sa 23ème année, le festival « Contes Givrés » propose sur quarante communes de Bourgogne près d’une cinquantaine de spectacles généralement gratuits. Ces « contes » sont tantôt traditionnels, parfois venus de très loin, tantôt de création récente, laissant la part belle à l’imaginaire et la parole à un(e) artiste quelquefois accompagné d’un musicien.

 

JOIGNY : Aussi le programme est-il extrêmement varié, depuis l’épopée mandingue de Soundiata, l’enfant-buffle, qui remonte au XIIIème siècle, jusqu’aux fantastiques « hommes-carton » de Marien TILLET, et à la question posée par les Volubiles : être deux dans un couple, oui mais lequel ?

Au collège Marie-Noël de Joigny, le passage du festival s’est traduit par la résidence du conteur Innocent YAPI, venu animer un atelier de prise de parole en public auprès d’une classe de troisième.

Durant une semaine, les élèves ont pu bénéficier de trois heures par jour de travail sur la voix, la tenue sur scène, l’improvisation, dans une ambiance empreinte de respect et de bonne humeur.

Leur jeune professeur de français, Valentine UGO le reconnaît : ce travail a établi entre les élèves un excellent esprit de groupe. Il n’y a jamais eu de moqueries et la classe en est sortie soudée, prête à vivre une année scolaire enrichissante.

 

 

Il s’agissait en outre d’une section football qui ne connaissait les contes qu’à travers le programme de 6ème où l’on met souvent l’accent sur des récits pourvus d’une morale ou d’une leçon.

Le répertoire d’Innocent YAPI, originaire de Côte d’Ivoire, leur a permis de découvrir la tradition orale de l’Afrique de l’ouest où le lièvre Botton joue le rôle du personnage rusé, équivalent au renard de nos fables.

L’enseignante a complété cette découverte par l’étude d’un livre de Laurent GAUDE, « La mort du roi Tsongor », prix Goncourt des lycéens en 2002 et par la préparation d’une exposition en partenariat avec l’association « Joigny Baobab ». Cette action proposée par la Bibliothèque départementale de prêt a été entièrement financée par le Département de l’Yonne.

 

Claire CIUPA

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Venue dans l’Yonne à la rencontre des militants et sympathisants LR, Valérie Pécresse a présenté mardi matin en mairie de Venoy son projet pour l’éducation, que la candidate souhaite placer au cœur de la future élection présidentielle. Avec pour priorité absolue de remettre les fondamentaux au cœur de l’école, mais aussi d’en faire un lieu sanctuaire en y restaurant en priorité l’autorité, la discipline et la laïcité.

VENOY : C’est en dédiant son discours à la mémoire de Samuel PATY, dont on commémorera dans quelques jours le premier anniversaire de l’assassinat, que la Présidente de la région Ile-de-France a développé devant un parterre d’élus Les Républicains du département, les actions qu’elle souhaite mettre en œuvre dans le domaine de l’éducation, en cas de victoire aux prochaines présidentielles. Souhaitant être celle qui « relèvera l’école, condition de notre cohésion, voire de notre survie en tant que nation ». Avec pour priorité première, d’en faire un sanctuaire, préservé de toute forme de violence ou de désordre et en faire l’école du respect : « je le dis solennellement, aucun enfant, aucun enseignant, ne doit se rendre en classe avec la boule au ventre… ».

Face à cette violence de plus en plus prégnante, à l’image de cette enseignante agressée en plein cours la semaine dernière en Seine-et-Marne, la candidate souhaite voir impliquées les familles, en créant des « Ateliers d’aide à la parentalité » au sein des établissements et en réactivant les « Conseils de droits et devoirs des familles » qu’elle voudrait rendre obligatoires dans les villes de plus de 15 000 habitants. Des aides qui pourraient s’accompagner de sanctions à l’égard de parents soupçonnés de défaillance éducative, pouvant aller jusqu’à la suspension de leurs allocations familiales.

 

 

Un système scolaire qui ne tourne pas très rond…

 

Aux yeux de Valérie PECRESSE, le système scolaire marche parfois sur la tête, pour preuve l’obligation faite aujourd’hui à un établissement d’accueillir en son sein un élève qui aurait été exclu d’un autre collège ou lycée : « c’est une aberration totale, il va y semer à nouveau le trouble, d’autant que ces poly exclus sont souvent à l’origine des faits les plus graves ». De proposer à leur attention dans chaque département, des « structures de réinsertion scolaire », avec un encadrement renforcé et faire en sorte que les sanctions éducatives soient prononcées le plus rapidement possible et exécutées : « trop d’affaires classées sans suite, contribuant à la culture de l’impunité. Pour moi, le respect du professeur, ce n’est pas négociable ». Appelant à une école sanctuaire, en sortant de « l’omerta » qui conduirait les établissements aujourd’hui, à ignorer la réalité du « prosélytisme islamiste » pour ne pas faire de vague. Soulignant que c’est dans les quartiers le plus soumis au communautarisme, qu’il y a le moins de signalements d’atteinte à la laïcité, résultat d’une loi du silence qui ne dit pas son nom. Pour y remédier, une structure dédiée serait créée, afin de permettre à tout enseignant de dénoncer des faits de radicalisation, gérée non par l’Education Nationale, mais par les ministères de la Justice et de l’Intérieur.

Pour relever l’école, encore faut-il prioriser les savoirs fondamentaux, notamment à destination des écoles primaires, où cela pourrait se traduire par un nombre supplémentaire d’heures de cours de français et de mathématiques : « lire, écrire, compter, c’est le bagage que nous devons donner à chaque élève pour ne plus se retrouver avec 20 % de classe d’âge ne maîtrisant pas la lecture à 18 ans et ne plus être les derniers de la classe pour l’enseignement des mathématiques ».

Avec à la clé, l’instauration d’un examen d’entrée en 6e pour garantir que tous les enfants aient acquis les bases nécessaires à leur scolarité. Un dispositif qui est loin toutefois de faire l’unanimité auprès d’enseignants ou associations de parents d’élèves, qui y voient une forme de barrière sociale. Et pour les recalés à l’examen, mise en place de classes de 6e dites de « consolidation », primant le français et les mathématiques avant que ne soient introduites d’autres matières : « il faut absolument faire de la prévention de décrochage scolaire notre priorité nationale ». Dans le cadre des mesures souhaitées par la candidate, une « Réserve Education Nationale » pourrait être créée à cet effet, composée de professeurs retraités et rémunérés pour apporter gratuitement de l’aide aux devoirs et du soutien scolaire aux enfants le plus en difficultés. Une « réserve » qui pallierait aussi au remplacement de professeurs absents.

 

 

Inciter les vocations avec un plus sur la feuille de paie…

 

Ce projet pour l’éducation passe aussi par une plus grande autonomie accordée aux établissements en matière d’innovations pédagogiques, à l’aune du dispositif mis en place dans les universités, lorsque Valérie PECRESSE était en charge du ministère de l’Enseignement supérieur : « les écoles, les collèges, les lycées, ne doivent plus être les derniers échelons d’une chaîne hiérarchique étouffante, mais au contraire, des lieux d’initiatives et d’émulation ».

Face à la paupérisation de la profession, qui a désormais du mal à recruter, laissant vacants des centaines de postes, la candidate remet en cause le « bizutage institutionnel » consistant à envoyer dans les établissements les plus difficiles, les enseignants les plus jeunes, loin le plus souvent, de leur région d’origine, privilégiant l’envoi dans les quartiers, de « professeurs volontaires avec de vraies primes de fidélisation et de vrais bonus de carrière ».

Une crise des vocations qui pourrait s’accompagner d’une revalorisation des salaires pour les enseignants en début de carrière, mais sans plus de précisions sur leur montant si ce n’est qu’il faudrait pour cela rogner de 10 % le budget alloué au secteur administratif de l’Education Nationale : « une administration lourde qui coûte chez nous beaucoup plus cher qu’ailleurs et en réduire les coûts permettrait de mieux rémunérer les enseignants et valoriser l’ensemble de leurs missions éducatives… » Un remake du « dégraissage de mammouth » façon Claude ALLEGRE… ?

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le chansonnier est une espèce en voie de disparition. Il se fait de plus en rare à la télévision. Si ce n’est sur la chaîne Paris Première qui en fait encore son fonds de commerce (La Revue de Presse). Il ne reste plus alors qu’à guetter les programmations des salles de spectacle pour tenter de débusquer un gala, digne de cette appellation. Ce sera le cas ce samedi 09 octobre à Saint-Georges-sur-Baulche, avec la venue de l’excellent Pierre DOUGLAS.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Quatre-vingts ans et la verve toujours radieuse, l’artiste ! L’ancien journaliste (France 3 Limoges, Europe 1, RTL, TF1 au sein du service politique, France Inter) nous revient en pleine forme avec un spectacle corrosif dont il a le secret.

Lui qui fut débauché par le regretté Thierry LE LURON en 1977 pour quitter le journalisme et faire ses grands débuts à la scène tourne toujours aux quatre coins de l’Hexagone.

« Vite avant que j’oublie » est un condensé de quarante années de bons mots et de petites phrases assassines adressées aux grands de ce monde qui nous entourent : ceux de la politique, du cinéma, du sport et de l’actualité en règle générale. Des bons mots, certes, mais, aussi des textes acidulés mis en musique avec des paroles retravaillées pour la circonstance.

Au passage, le chansonnier n’a rien perdu de son timbre dès qu’il s’agit de brocarder et d’ironiser sur ces potins mondains que tout le monde adore.

« J’ai commencé sous Giscard, je continue sous Macron ! ». Un leitmotiv qui résume à lui seul l’éternelle jeunesse de cet amoureux de la vie qui fait passer son public du rire aux larmes, dans la même soirée, en y ajoutant des zestes de drôlerie et d’émotion.

 

 

En savoir plus :

Pierre DOUGLAS en spectacle

« Vite avant que j’oublie »

Salle des fêtes de Saint-Georges-sur-Baulche

Samedi 09 octobre 2021

A 20h30.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil