Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Voilà un club service qui respire la santé ! Les projets de manifestations fourmillent dans les têtes de ses dirigeants alors que le programme établi de la future saison, 2022/2023, vient d’être esquissé avec beaucoup de certitudes par son nouveau président. Une figure connue des milieux associatifs de Puisaye, en la personne de Jean-Pierre GERARDIN. Ce dernier succède à Monique CARRE qui aura rendu son tablier vendredi soir au terme d’une passation des pouvoirs des plus conviviales…

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Seraient-ils des stakhanovistes en puissance de l’œuvre humanitaire et de l’action sociale à réaliser sans cesse, les membres du Rotary Club de Puisaye-Forterre ?! Qu’on en juge, plutôt !

Inscrivant déjà au calendrier de la prochaine saison 2022/2023 un salon des vins au profit de l’association Cap Saint-Martin, un loto, une conférence scientifique, une opération vente de saumon, la participation au Bric-à-brac de Mézilles…, ne voilà-t-il pas que ses dirigeants expriment la ferme intention d’y ajouter d’autres évènementiels caritatifs à leur programme, particulièrement chargé, déclinables sur leur territoire de prédilection : la Puisaye-Forterre !

Visiblement, les réflexions vont bon train pour peaufiner d’autres de ces précieux rendez-vous, synonymes de présence altruiste sur le terrain. Mais, in fine, ne serait-ce pas le propre d’un club service respectueux de sa charte originelle et de ses engagements que d’être là aux côtés des plus précaires, des plus malades, des plus âgés, des plus jeunes qui ont eux aussi besoin de cette main tendue ?   

 

Un encouragement permanent vers la jeunesse grâce au club INTERACT…

 

Les jeunes, précisément, ce sont aussi ceux qui fréquentent le club INTERACT. Une structure associative, apparue au niveau mondial en novembre 1962 – soixante printemps déjà au compteur ! – qui regroupe de jeunes pousses en herbe, futur vivier du grand mouvement international qu’est le ROTARY.

Localement, le lycée de Toucy accueille l’une de ses antennes pour néophyte de la solidarité et de la tolérance. Ouvrant ainsi la porte aux adolescents et pré-adultes de 14 à 18 ans pour qu’ils apprennent les rudiments concrets de la générosité constructive au service d’autrui.

Encouragés par leurs « tuteurs », leurs pairs du club de Puisaye-Forterre, ces jeunes gens – pensent-ils franchir un jour le cap du ROTARACT l’entité leur permettant de peaufiner leurs gammes implicatives entre 18 et 31 ans ? – ont ainsi récolté la coquette somme de 1 416 euros de dons, lors d’une soirée spéciale organisée au Château de Saint-Fargeau. Cette enveloppe financière sera reversée ensuite en faveur d’enfants ukrainiens sous l’égide de l’UNICEF.

 

Une intronisation permettant de donner le tempo de la nouvelle saison…

 

Bien sûr, le successeur de Monique CARRE – cette dernière aura présenté un bilan des plus honorables après une saison qui fut encore émaillée de la présence symptomatique de la COVID-19 – ne manqua pas de saluer l’extraordinaire travail effectué par les conjointes/conjoints des membres. Une plus-value indéniable à la réalisation de belles entreprises conceptuelles.

Si Hélène MAZET, représentante du gouverneur François PROT, excusé pour cette cérémonie protocolaire, devait se réjouir de la bonne dynamique vécue au sein de ce club, elle prodigua maintes attentions à la nouvelle recrue du jour, Hervé SAUZAY, intronisé selon les us et coutumes rotariens au terme de cette excellente soirée.

L’un des souhaits de Jean-Pierre GERARDIN étant justement le renforcement des effectifs, priorité sera donc sienne cette saison pour enrichir le noyau de Rotariens de plus en plus omniprésents sur le théâtre des opérations de la vie locale.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Et encore une petite allusion, au moment de conclure des propos, à l’AJ Auxerre revenant avec gloriole parmi l’élite de l’univers footballistique ! Cette fois-ci, la citation émane de Rollon MOUCHEL-BLAISOT. Un personnage éminemment important. Préfet de son état, il n’est autre que le directeur du programme national de l’opération « Action Cœur de Ville » en charge du pilotage interministériel des ORT. ORT ? Les opérations de revitalisation de territoire ! Objet prioritaire de l’avenant d’une convention qui a été paraphée à l’hôtel de ville ce vendredi matin…

 

AUXERRE : La trois centième opération de revitalisation de territoire (ORT) existante dans l’Hexagone, déclinée via le programme national « Action Cœur de Ville », n’est autre que celle qui a été vécue en cette journée agréable de vendredi, si importante pour l’Yonne.

Après Metz, en début de semaine, c’est au tour de la capitale du département septentrional de Bourgogne de prolonger ce qui a été entamé en 2018, sous la forme d’un « premier avenant », tel que cela a été formulé sur l’invitation officielle, ce dispositif ayant comme vocation initiale de redynamiser l’attractivité économique et sociétale d’un centre-ville. En l’occurrence, celui d’Auxerre.

Apparu en novembre 2018, dans le cadre de la loi portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique (ELAN), l’outil est mis à la disposition des collectivités locales. Il offre de réelles opportunités d’avancement avec le coup de pouce de l’Etat et d’une noria de partenaires pour mettre en œuvre un projet de territoire qui englobe les domaines urbains, économiques et sociaux. Lutter contre la dévitalisation des cœurs de ville en justifie donc le plein usage.

 

 

L’attractivité résidentielle doit aller de pair avec l’activité économique…

 

Un dispositif, toutefois, qui aurait dû s’interrompre comme initialement prévu en 2022. Nonobstant, le gouvernement a in fine pris la décision de le poursuivre jusqu’en 2026. Quatre années de plus qui ne semblent pas de trop, pour Rollon MOUCHEL-BLAISOT, directeur du programme national « Action Cœur de Ville », en charge du pilotage interministériel des ORT.

Faisant part de sa satisfaction quant à la qualité des travaux qui ont été menés depuis 2018 à Auxerre et sur l’ensemble du territoire, l’homologue du préfet de l’Yonne Pascal JAN devait rappeler lors de sa prise de parole les principes fondamentaux générés avec l’application concrète de ce dispositif.

Une « Action Cœur de Ville » qui vise à supprimer les « verrues » urbaines, à lutter avec efficacité contre l’étalement urbain et à optimiser le plus possible l’attractivité résidentielle d’un territoire, ce qui doit aller de pair avec son attractivité économique.

Une feuille de route de grande envergure qui met en connexion pléthore d’acteurs en synergie comme la Banque des Territoires, Action Logement, mais aussi les chambres consulaires, les représentants de la gestion immobilière (DOMANYS, Office Auxerrois de l’Habitat), ENEDIS, etc.

Par capillarité, et au vu de la démarche « RSE » qui y est associée – la végétalisation des artères et des places principales du centre-ville -, il ne serait pas étonnant que des entreprises issues de la sphère privée s’investissent davantage en faveur de la déclinaison de ce processus.

Ce « coup d’envoi vers la première division », comme le caractérisait si bien Rollon MOUCHEL-BLAISOT, peut également bénéficier d’indispensables ajustements. C’est l’idée même, pratico-pratique, de cet avenant au contrat initial de 2018, signé ce 08 juillet.

« Grâce à cela, devait-il exposer, les signataires de cet accord ont la faculté de pouvoir le modifier, le compléter, l’étoffer… ».

 

 

Un état des lieux plutôt éloquent depuis 2018…

 

L’approche de ce dossier, vu sous un angle purement statistique, est par ailleurs éloquent. Depuis le lancement de l’opération, cinq milliards d’euros ont ainsi été dépensés pour mener à bien ces différents projets de revalorisation sur le territoire.

A titre d’exemple, Action Logement a financé la rénovation d’un pont ou la construction de 1 300 immeubles, soit un total de 16 634 logements qui ont été remis à neuf sur le marché. L’ANAH a, de son côté, subventionné la réhabilitation de près de 58 000 logements. 71 000 logements supplémentaires ont également profité de la disposition offerte par le dispositif « Ma Prim’Rénov ».

Quant à la filiale de la Banque des Territoires – CDC Habitat -, elle a investi jusqu’à un milliard d’euros en faveur de 234 villes bénéficiaires du programme Action Cœur de Ville.

Dans une dizaine de jours, le directeur national de ce programme ambitieux et salvateur pour les collectivités remettra donc un rapport complet sur la prolongation de ce dispositif au gouvernement.

Il y évoquera parmi ses conclusions le rôle de celui-ci qui s’apparente à un fonds d’amorçage pour les investisseurs privés, désireux de rendre plus acceptable l’attractivité résidentielle d’une ville, inéluctable atout pour susciter l’envie d’installation de nouveaux acteurs de l’économie.

 

 

 

Démographie, économie et écologie : trois défis à relever pour les villes…

 

Puis, Rollon MOUCHEL-BLAISOT devait résumer en une phrase le fond de sa pensée : « la sobriété foncière doit devenir le fil conducteur de la prorogation de ce programme ». Afin d’éviter à tout prix l’étalement des villes, son principal cheval de bataille. « En fait, devait-il renchérir, le véritable ennemi, c’est l’artificialisation des territoires… ».

S’appuyant presque sur la célèbre maxime olympique empruntée au répertoire du baron Pierre de COUBERTIN, le haut fonctionnaire souhaiterait dans un proche avenir aller « plus fort », « plus loin » (en omettant le « plus vite » ?), avec le concours de l’Etat et des partenaires financiers, dans l’accompagnement des collectivités. Pourquoi ?

S’adressant aux partenaires attentifs, installés dans la salle du conseil de l’hôtel de ville, il exposa brièvement sa stratégie.

Cette dernière est articulée autour de trois défis majeurs à relever : le démographique, en prenant en compte l’adaptation de la ville au vieillissement de ses habitants tout en favorisant l’accueil de nouvelles populations, l’économique qui suppose mettre dans son jeu tous les atouts propres à l’effort d’industrialisation et de relocalisation de l’activité – voire à anticiper et à répondre aux nouvelles formes organisationnelles du travail -, l’écologique, enfin, en visant la sauvegarde de la nature et de l’environnement.

Un triptyque qui trouve la meilleure de ses expressions avec la panoplie d’outils existants parmi les ORT, à l’instar de ce programme « Action Cœur de Ville » qui s’échelonne désormais sur quatre années supplémentaires. Les collectivités à l’identique d’Auxerre ne s’en plaindront pas, manifestement ! Pas étonnant que la cité de Paul Bert jouit avec ce « coup d’envoi positif que représente la signature officielle de cet avenant » d’une belle opportunité de figurer ainsi parmi l’élite !

 

 

En savoir plus :

Les signataires de cet avenant "Action Coeur de ville", citons Pascal JAN, préfet de l'Yonne, Mathieu AUFAUVRE, directeur régional de la Banque des Territoires de Bourgogne Franche-Comté, Catherine SADON, vice-présidente de Sites et Cités Remarquables de France, Thierry CADEVILLE, président de la Chambre de Commerce et d'Industrie de l'Yonne, Frédéric BARTHE, directeur WebForce 3 Auxerre, Crescent MARAULT, président de l'Auxerrois et maire d'Auxerre, Sébastien AUJARD, président d'Action Logement Services, Sandy HERBILLON, directrice territoriale Yonne ENEDIS, Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l'Yonne, Eric CAMPOY, directeur de l'Office Auxerrois de l'Habitat, Karine LASCOLS, directrice générale de DOMANYS.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Tout au bord de l'Yonne, dans un quartier discret de Sens, se niche ce bon « p'tit » restaurant thaï. D'ordinaire, la cuisine asiatique (mais laquelle ?) peut évoquer quelques sueurs froides avec ses buffets « géants » sans saveur aucune, ses nems à la composition incertaine, ses lychees en boîte annoncés frais avec un sourire franc comme un âne qui recule ! Cela donne la très désagréable impression de se moquer des clients. Ah, au fait la saison tropicale des lychees, c’est l'hiver ici-bas quand c’est l'été dans l'hémisphère sud !

 

SENS: Quelle quiétude sous cette petite tonnelle arborée et fleurie ! Le patron arrive alors. Il paraît content de lui et nous cite la quasi-intégralité de ses fournisseurs, en omettant juste la référence du produit lave-vaisselle. Bio, peut-on présumer ! Il nous précise que la cheffe est en cuisine, ne travaillant qu'avec des produits de saison. Dont acte.

Un mot sur l'accord mets asiatiques et vin. Souvent, le rosé et sa fraîcheur accompagnent joliment des plats, quelque peu épicés. Ce midi-là, fut servi un Chinon rosé (« beuvez » toujours, n'en « meurrez » jamais citait sieur Rabelais dans « Pantagruel et Gargantua », à propos de ce vin ligérien). En la matière, la bière a aussi ses adeptes.

 

 

Des recettes un brin pimentées, comme il se doit !

 

La salade de bœuf arrive. Franchement, pour votre serviteur, qui dans un lointain passé professionnel, alla régulièrement au pays du sourire qu'est la Thaïlande, les saveurs sont là. Nettes et précises. Et elles sont un brin pimentées, comme il se doit. C'est franchement très bon, et cela donne l'impression, l'espace d'un instant, d'être non pas au bord de l'Yonne, mais plutôt du Chao Phraya, fleuve baignant Bangkok, la capitale thaï ! 

 

 

Un voyage sans escale vers les saveurs orientales…

 

Le sauté de porc est du même acabit, avec force légumes. Ils sont accompagnés d'un riz suavement gluant. Les jus sont précis. C'est délicieux, notre Chinon rosé faisant toujours bon ménage avec les mets !

Un succulent dessert pour terminer : il s’agit d’un entremet, une sorte de crème brûlée à base de mangue et lait de coco qui parachève ce joli voyage gourmand sans escale vers l’Extrême-Orient, l'espace d'un déjeuner !

 


En savoir plus :

 

Les - : les Sénonais trouvent le lieu un peu « chérot », semble-t-il. Sauf que la bonne cuisine ne se fait qu'avec de bons produits dont les viandes du réputé boucher local Jean DENAUX. Le menu est proposé à 40 euros.

Les + : les saveurs sont nettes et précises. Le lieu est paisible, semblant comme hors du temps...

 

 

Contact :


Restaurant Thaitae

41 Quai du petit hameau

89100 Sens

Tel : 06.64.45.15.29.

 

Gauthier PAJONA

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il manie aussi bien le verbe que la truelle Christophe BONNEFOND, le maire de la commune située en périphérie d’Auxerre ! Et gare au ciment qui déborderait un peu trop de la première pierre, posée avec le concours énergique de Jean-Luc SUAREZ, fondateur de la société HERACLIDE, lors de cette cérémonie protocolaire. Une pierre qui symbolise l’édification de la future résidence de 23 logements devant sortir de terre courant 2023. Une véritable solution de maintien à domicile…la troisième voie, en somme.

 

VENOY : Et si l’alternative à la toujours délicate gestion des personnes âgées confrontées à leur maintien à domicile avant de se rendre en EHPAD s’apparentait à ce projet de construction résidentiel qui vient de prendre son essor dans la proche localité d’Auxerre ?

Implantée à deux cents mètres à peine du cœur du bourg, où se concentrent les commerces installés autour de la place de la mairie, la future infrastructure élevée sur deux étages devrait accueillir ses premiers locataires au cours de l’année prochaine. Si tout va bien, selon la formule consacrée !

Les premiers coups de pioche sont attendus au début du mois d’octobre. Petit à petit, les T2 et T3 prendront corps dans ce bâtiment flambant neuf, s’ouvrant sur la rase campagne à proximité de là, non loin de l’école.

Conformément aux us et coutumes en vigueur dans ce qui touche de près à la filière du bâtiment, la pose de la traditionnelle première pierre aura réuni en fin de matinée, ce jeudi, sous de belles éclaircies ensoleillées, les acteurs, élus et futurs partenaires de ce projet.

 

 

Une première structure construite en Bourgogne qui en appelle d’autres…

 

« Nous tenions à réaliser la pose de cette première pierre depuis un moment déjà, confie Christophe BONNEFOND, micro à la main, évoquant la mission quasi régalienne de sa localité d’essayer de ramener le plus de services possibles à la population et qui soient accessibles à tout le monde. Une commune, forte de ses deux mille habitants éclatés sur dix-sept hameaux, qui développe aussi le plus d’initiatives en faveur de la préservation de son système scolaire.

Le projet du jour, cette résidence où fleuriront ces vingt-trois logements dans quelques mois, est le fruit d’une rencontre constructive entre le vice-président du Département de l’Yonne et Jean-Luc SUAREZ, fondateur et l’un des trois dirigeants associés de cette société HERACLIDE, apparue il y a peu dans le microcosme de ce secteur d’activité.

C’est depuis l’Allier, précisément à Vichy, cité toujours autant effervescente avec ses « eaux » revigorantes que sont accueillis les bureaux de l’entité francilienne. Là, où l’homme d’affaires Jean-Luc SUAREZ envisage avec moult stratégies de poser et développer ses jalons dans le territoire le plus septentrional de la Bourgogne.

Après Les Adrets, en Isère, et une implantation dans le département de l’Hérault, l’entrepreneur décide d’investir dans la construction d’un troisième concept de ces fameuses résidences senior non médicalisées, prenant leur envol.

Un concept positionné dans l’Yonne, le premier sans doute d’une longue série dans notre contrée régionale puisque de nouveaux édifices devraient éclore en Saône-et-Loire à Gueugnon et en Côte d’Or dans les trimestres à venir.

 

 

La quête de partenaires « intellectuels » qui s’adaptent au contexte icaunais…

 

Une résidence où la domotique bien anticipée sera reine et ne sera pas un énième établissement de service santé senior de plus mais plutôt une « troisième voie » indispensable au maintien à domicile « aménagé », offrant la sécurisation à ses pensionnaires ainsi que le confort.

Côté emploi, un poste de manager de résidence sera créé ; HERACLIDE s’appuyant sur les services d’aide à domicile existants avec les partenaires du cru pour assurer la logistique de la résidence toute l’année.

Un acte de pose de première pierre que la vice-présidente du Conseil départemental en charge des Solidarités, Elisabeth FRASSETTO, aime tout particulièrement comme cette dernière devait le préciser lors de sa prise de parole : « c’est la convergence des planètes, devait-elle ajouter, il y a un projet local qui s’inscrit avec un support de professionnels. Il va exactement dans l’esprit du Schéma départemental autonomie qui a été préconisé par l’institution : à savoir le prolongement au maximum de la vie de nos seniors chez eux. ».

Puis, l’élue rappellera que le Département recherche en priorité des partenaires « intellectuels » sur ce type de projets, faisant montre de volonté et de souplesse dans la manière d’appréhender le sujet. « Le dossier de Venoy avait tout à y gagner ! », souligna-t-elle.

Quant à la politique tarifaire, celle des loyers qui devrait être pratiquée lors de la mise en service de cette résidence, Elisabeth FRASSETTO s’est dite très vigilante à cette stratégie : « en effet, l’Yonne est un territoire où la population qui y est vieillissante s’est quelque peu paupérisée. Nous ne devons pas l’oublier ! ».

Moyennant quoi, des résidences seniors qui auraient pour principe de se réserver à une élite financière en adoptant des tarifs trop élevés s’inscriraient dans l’irrecevabilité aux yeux de l’élue départementale. Un item qui n’est pas celui qui sera décliné visiblement par la direction de la société à l’appellation grecque !

 

 

En savoir plus :

 

Parmi les personnalités ayant assisté à cette cérémonie protocolaire, citons :

Christophe BONNEFOND, vice-président du Département et maire de Venoy,

Elisabeth FRASSETTO, vice-présidente du Département en charge des Solidarités,

Arminda GUIBLAIN, conseillère départementale et maire de Monéteau,

Catherine BUISSON, directrice générale de la société HERACLIDE,

Jean-Luc SUAREZ, directeur général de la société HERACLIDE,

Marc BERNIS, responsable du marketing et de la communication de HERACLIDE.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils ne sont pas si nombreux à connaître de leur vivant l’honneur de voir baptiser de leur nom une rue ou un édifice, qui plus est, une école ! Le groupe scolaire de Laborde portera désormais celui de Jean-Pierre SOISSON. L’inauguration s’est faite samedi 02 juillet, en présence de l’ancien ministre et député-maire d’Auxerre, sous le regard ému des amis de toujours.

 

LABORDE : Le bonheur supprime la vieillesse disait KAFKA… Il suffisait en ce samedi matin, de voir le visage de celui qui fut 27 ans durant maire d’Auxerre et 44 ans député de la circonscription (excusez du peu !), pour authentifier l’adage. Elus, habitants du hameau, amis d’hier et d’aujourd’hui, tous étaient venus saluer celui dont le nom est à jamais indissociable d’Auxerre et de Laborde.

Au diable les cannes pour aider à marcher. Au diable ces jambes qui ne portent plus, au diable la vieillesse ! L’esprit est toujours aussi vif et la voix, même empreinte d’émotion, porte encore fort et clair. En cette fin de matinée, le tutoiement est de rigueur ! Ici, il n’y a pas de ministre qui tienne, pas de député, pas de maire, juste « Jean-Pierre », que l’on vient saluer d’une accolade ou d’une bise, souvenirs en bandoulière, en quête d’un « selfie » pour arrêter l’horloge du temps…

 

 

"Une école ? C’est le plus beau des cadeaux que vous puissiez me faire !"

 

C’est à l’issue d’une consultation des habitants de Laborde et de Jonches, qu’il fut décidé de donner le nom du groupe scolaire du hameau à celui qui, sa vie politique durant, aura travaillé au côté de cinq présidents de la République et participé à huit gouvernements. Un choix validé en conseil municipal le 19 mai dernier.

« Une école ! Jamais, je n’y ai pensé ! Jamais, je ne l’ai espéré ! C’est le plus beau cadeau que vous puissiez me faire et le plus inattendu… ».

Visiblement ému, le bientôt nonagénaire savoure avec gourmandise cette escapade à Laborde : « j’ai des souvenirs ici extraordinaires. Les hameaux sont les joyaux d’Auxerre… ».

Un attachement qu’il a souhaité concrétiser par la remise d’un chèque de 1 000 euros afin d’aider au développement de la bibliothèque de l’école. L’occasion d’une petite pique à ceux qui, alors ministre des Sports, de la Jeunesse et des Loisirs sous GISCARD, lui avaient retiré la tutelle des bibliothèques pour la confier au ministère de la Culture : « mais la culture, elle avait encore moins d’argent que moi et ceux qui ont demandé ça, ont fait une très mauvaise opération financière ! ».

 

Tout se termine toujours autour d’un verre de chablis !

 

Il fait chaud en ce premier samedi de juillet. La cérémonie touche à sa fin, l’heure du pot de l’amitié a sonné et le héros du jour sonne le rappel : « Venez les gamins, on va boire un verre de chablis ! ».

A la bonne vôtre, Monsieur SOISSON, vive Chablis, vive Laborde et vive la vie !

 

 

Des petites phrases à retenir…

 

« Je crois bien avoir passé plus de temps avec lui qu’avec ma femme… » (Alain DROUHIN, maire de Bléneau et ancien directeur de cabinet de Jean-Pierre SOISSON).

« Avec Camille DEBAY, votre adjoint de 1971 à 1984, vous nous avez toujours soutenu, vous avez toujours privilégié le « bien vivre » à Laborde, préférant une urbanisation raisonnée afin de conserver notre esprit village… ». (Marie-Ange BAULU, conseillère municipale déléguée aux hameaux de Laborde et Jonches).

« Vous savez, j’ai quand même passé près de quarante ans à ses côtés et c’est avec beaucoup d’émotion que je suis là aujourd’hui, alors qu’on lui rend cet hommage qu’il mérite… » (Jean-Paul SOURY, ancien assistant parlementaire de Jean-Pierre SOISSON).

« C’était un client d’une simplicité et d’une gentillesse sans pareil. A chaque fois, il passait en cuisine voir ce qu’il allait manger, grapillant au passage quelques gougères. Il faisait en général confiance à mes propositions, comme cette fois, où, recevant le « Club des 100 » dont il était membre, j’avais émis l’idée de servir des pieds de cochon gratinés sur toasts à l’apéritif. Il s’en était inquiété : « Tu n’y pense pas ! Il ne faut pas rigoler avec ces gars-là ! ». Ils n’en avaient jamais mangé et j’ai eu un succès phénoménal avec mes pieds de cochon, plus qu’avec tout le reste du repas ! Ils en avaient sans doute marre du homard… ». (Jean-Luc BARNABÉ, ancien restaurateur).

« En tant qu’enfant de Laborde, ça me fait plaisir que l’école porte son nom, même si personnellement, je pense que cela aurait été une bonne chose que le choix se porte sur Raymonde, l’ancienne institutrice qui, arrivée en 1963, a travaillé là pendant plus de 23 ans. A l’époque, l’école se trouvait à la mairie et elle s’occupait des quatre classes… ». (Didier, natif de Laborde).

« Lors des Conseils européens à Bruxelles, je débarquais toujours avec un carton de chablis. Je me rappelle d’un ministre allemand, un solide bavarois, qui connaissait Chablis mais pas Auxerre et me présentait toujours comme celui qui habitait une petite ville, pas loin de Chablis… ». Jean-Pierre SOISSON.

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil