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Pour leur premier rendez-vous de l’automne, les Conversations de l’Abbaye se sont placées sous le signe de l’immortalité. En accueillant l’académicien Marc LAMBRON. A la fois romancier, essayiste et critique littéraire, mais aussi membre du Conseil d’Etat. Il fut élu le 26 juin 2014 au fauteuil de François JACOB et a régalé le public d’anecdotes savoureuses sur la vénérable institution. 

 

AUXERRE : Avec une moyenne d’âge dépassant les 70 ans, la « Vieille Dame » du quai Conti est souvent brocardée, voire critiquée. Mais, que sait-on de ses règles, de ses conventions et de ses mœurs ? C’est pour répondre à ces interrogations que les Conversations de l’Abbaye avaient convié celui qui y siège depuis près de dix ans, élu à l’âge de 57 ans, presque un « gamin », à l’échelle de l’Académie française : « comme l’immortalité est brève, autant commencer tôt… ». Le ton de la soirée était donné ! Place à l’humour et à l’esprit, pour le plus grand plaisir du public présent.

« Je vais essayer de vous dresser un portrait ethnologique des mœurs de la tribu… » Et quelle tribu ! Vieille de près de quatre siècles, après sa fondation par le cardinal de Richelieu en 1635, plus de 800 académiciens y ont trouvé fauteuil au fil des siècles. Si à sa création le plus jeune élu avait 31 ans et le doyen 53 ans, c’est à l’âge canonique de 103 ans que s’éteignit en 2022 celui qui en était le doyen, René de OBALDIA : « on peut mesurer par là l’allongement de la durée de la vie ! ». Avec d’emblée cette précision sur le fait que sa devise « d’immortelle » se rattache, non à ses illustres représentants, mais bien à l’immortalité de la langue française. Comment devenir académicien et intégrer « cette opiniâtre tribu d’éphémères immortels » selon le mot de Daniel RONDEAU (huitième fauteuil !) ? En manifester avant tout le désir et être atteint de la « fièvre verte », « pouvant se contracter à différents âges et avec des formes plus ou moins aggravées… ».

 

Un florilège de bons mots pas tous académiques !

 

Avec des profils tributaires de l’esprit du temps, comme au sortir de la Grande guerre, où les militaires furent légion : « Lyautey, Joffre, Foch, Weygand, Pétain…, c’était devenue une caserne ! ». Avec le paradoxe que ce dernier, devenu chef d’Etat en 1940, en fut à la fois membre et protecteur, avant d’en être épuré à la Libération ! A noter que depuis la mort du maréchal JUIN en 1967, plus aucun militaire ne fut élu, « o tempora, o mores »…

Si la vacance d’un fauteuil donne lieu à un deuil d’un an, les candidats ont ensuite deux mois d’ici l’élection pour se faire connaître. S’en suit pour le prétendant, une lettre personnalisée adressée à chacun des académiciens, « il faut être déférant sans être obséquieux, trouver le ton juste, pas trop de cirage, mais un peu… ». Avant une visite à leur domicile. Se faire adouber n’est pas chose facile, quand on sait qu’Alfred de VIGNY ne fut élu qu’à sa sixième candidature, Victor HUGO à sa cinquième, LAMARTINE à sa quatrième… Emile ZOLA pour sa part, se présenta 24 fois sans jamais être élu, le caractère antidreyfusard des académiciens de l’époque contribuant sans doute pour beaucoup à ce camouflet. La prudence pour recruter de nouveaux immortels est justifiée, explique d’un sourire Marc LAMBRON : « l’Académie est l’un des EHPAD les plus prestigieux de France et l’on va y vieillir ensemble, autant choisir ses camarades de travail ! ». Ce qui parfois donne lieu à de bons mots, comme ceux attribués à Valéry GISCARD d’ESTAING à propos d’un candidat : « il est suffisant, mais est-il bien nécessaire ? ». Jamais avare d’une vacherie l’ancien « accordéoniste de l’Elysée » ! Le professeur Jean BERNARD pour sa part, avait l’habitude de dire, « à l’Académie, personne ne dit ce qu’il fait, personne ne fait ce qu’il dit… ». Quant à ce ponte de la pharmacie, élu dit-on, après avoir proposé de financer sur ses deniers la rénovation des dorures de la coupole, ses petits camarades lui trouvèrent bien vite un surnom en lien avec sa profession : le « comprimé » !

 

 

« Petites vacheries » entre camarades de promotion !

 

Une fois élu, reste à choisir son épée et son costume, codifié par une ordonnance de Napoléon. Si la règle est de le faire réaliser par les plus grands couturiers et les maisons les plus illustres, certains s’en échappent, « en allant effectuer un voyage en Inde pour se faire tailler un costume au bord du Gange… ». Il n’y a pas de petites économies ! Plusieurs types d’épées : personnelles parfois, comme celle du diplomate Paul MORAND ou du polytechnicien que fut VGE, mais aussi le fruit d’un travail d’orfèvre, comme l’épée en verre du Commandant Jacques-Yves COUSTEAU ou celle dessinée par Jean COCTEAU pour Joseph KESSEL. Sa remise au nouvel académicien un an avant sa réception sous la coupole, pouvant donner lieu à des discours savoureux non dénués de quelques perfidies, comme ces mots de Jean d’ORMESSON, remettant son épée à VGE : « je suis heureux que cette circonstance te donne l’occasion de t’élever jusqu’à moi ! ».

Une petite « vacherie » pouvant s’expliquer, raconte Marc LAMBRON, par le fait  « que les deux furent parfois en légère concurrence dans le passé avec certaines dames, ça peut laisser des traces ! ».

Quant au discours de réception, lui aussi peut donner lieu à de bons mots, comme cette métaphore poétique dont usa Jean COCTEAU,  pour dire l’honneur qui lui était fait, de prendre place désormais au sein d’une « Compagnie de quarante sirènes à queue verte » avec ce commentaire amusé d’un autre immortel, « il va être déçu » !

 

La femme et ses différentes définitions : en toute lucidité !

 

Parmi les missions dévolues à l’Académie pour la défense de la langue française figure en premier lieu l’élaboration d’un dictionnaire Si la première édition date de 1694, la dernière, neuvième du nom, s’est achevée il y a quelques semaines, avec pour ultime mot, « zzz »…

Les mauvaises langues pourront toujours s’amuser que les travaux de la noble assemblée se terminent par une onomatopée désignant le sommeil ! La définition d’un même mot pouvant prendre différentes formes au fil des siècles, à l’exemple de celui de « femme », décrit comme « femelle de l’homme » en 1694, « compagne de l’homme » en 1840, « l’un des deux sexes composant le genre humain », dans l’édition de 1908 : « je pense que dans la prochaine, nous aurons, « espèce supérieure que les hommes essaient d’égaler ». Mais ce n’est que pure spéculation ! ».

Preuve s’il en est, que les académiciens en plus d’avoir de l’esprit, savent aussi manier humour et…lucidité ! Il se murmure même qu’il en sera ainsi pour l’éternité…

 

Dominique BERNERD

 


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C’est beaucoup plus qu’un simple symbole distinctif. Même si le trophée, au coloris vert et bleu, se présente de qualité optimale, côté esthétique. C’est aussi une marque de respect et de fraternité entre les peuples. Ceux d’Afrique et celui de France, où était célébrée cette cérémonie, placée sous la présidence du conseiller départemental de l’Yonne, Magloire SIOPATHIS. Edile d’une localité ivoirienne distante de 700 km d’Abidjan (Bin-Houyé), André Narcisse MEMAN a été distingué par la plus africaine des associations auxerroises, Lune d’Afrique, en faveur de la promotion du vivre ensemble…

 

AUXERRE : Dans le civil, il possède le titre d’inspecteur vérificateur principal, le maire de la commune de Côte d’Ivoire, André-Narcisse MEMAN. Bref, c’est un féru de chiffres mais aussi de lettres, qui a obtenu en octobre dernier dans son pays les félicitations officielles de la direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique. Une institution de l’Etat.

Bref, cet inspecteur des impôts, maire de la commune de Bin-Houyé, localité aux 60 000 âmes située à la frontière avec le Libéria, aime la terre de l’Yonne et plus particulièrement sa capitale auxerroise.

Présent en Bourgogne septentrionale, il y a déjà quelques semaines pour y recevoir une distinction honorifique – le prix du bien vivre ensemble, tout un programme ! -  qui lui a été attribuée par la structure associative, accueillant des membres de la diaspora africaine mais aussi des Français, Lune d’Afrique – on connaît particulièrement bien les activités qui y sont déployées en faveur de l’égalité des droits aux femmes, la promotion du cacao et les manifestations gorgées d’exotisme et de chaleur sur fond d’actualités artistiques et culturelles -, l’élu de Côte d’Ivoire fera une nouvelle halte, vendredi dans la cité de Paul Bert, pour y rencontrer à la fois des représentants de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Relations internationales. Ainsi que son compatriote, le journaliste Dieusmonde TADE, qui y séjourne depuis plusieurs années, ce dernier préside à la destinée de l’antenne hexagonale de cette Lune d’Afrique qui ne cesse de briller.

 

 

Une étape au Congrès des maires de France avec une forte délégation

 

Mais, avant de profiter de la vision champêtre du nord de la Bourgogne, André-Narcisse MEMAN durant ce prochain séjour, l’élu ivoirien aura fait étape au 105ème Congrès de l’association des Maires de France et au Salon des Collectivités, à Paris, en compagnie d’une quarantaine de maires ivoiriens, conduits par le ministre Danho PAULIN et le président de l’UVICOCI (l’Union des Villes et Communes de la Côte d’Ivoire), un organisme ayant pour raison d’être de développer des liens de solidarité et d’entraide entre les agglomérations du pays, sans omettre le développement de relations vers l’international.

Lors de son précédent séjour, André-Narcisse MEMAN avait été accueilli par le conseiller départemental et communautaire de l’Auxerrois, Magloire SIOPATHIS, avec lequel il sera entretenu longuement sur les sujets de l’environnement, du développement économique, de l’éducation et de l’amitié qui doit exister entre les peuples. Un message fort et mobilisateur, relayé également par Dominique DORENT, qui représentait la présidente de la Maison de la Francophonie et des Relations internationales, Marité CATHERIN, déjà investie sur d’autres missions ce jour-là.

Il fut également question d’économie avec sa production phare, le cacao (la Côte d’Ivoire demeure le premier producteur au monde de cette fameuse fève de cacaoyer qui une fois transformée régale les gourmands du monde entier !), mais aussi le café, et l’hévéaculture qui donne naissance, comme chacun le sait, au caoutchouc. Dans les sous-sols, s’il n’y a pas de pétrole (tiens, tiens, c’est comme en France !), certaines zones contiennent de l’or.

Lors de ce nouveau déplacement, et accompagné d’une petite délégation d’élus, André-Narcisse MEMAN fera l’objet d’un suivi médiatique avec la présence de journalistes de la RTI, la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne, qui filmera le moindre de ses faits et gestes officiels aux côtés de ses amis français. Bref, un peu de lumière et de vraie chaleur dans ces relations franco-africaines qui perdurent au nom de la fraternité…

 

Thierry BRET

 


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La crise sanitaire est passée par là et nombre d’interrogations se posent aujourd’hui, sur le sens même du travail et de ses différentes dimensions. Phénomène conjoncturel ou réel changement de paradigme, notamment auprès des jeunes générations ? Les « Entretiens d’Auxerre 2023 » ont donné lieu à une table ronde sur le sujet, avec pour invités, deux sociologues de renom, Jean VIARD et Roger SUE…

 

AUXERRE : Selon une enquête de la fondation Jean-Jaurès, rappelée en préambule de la table ronde par la sociologue Anne MUXEL, 42 % des salariés souhaiteraient aujourd’hui voir leur activité salariale partagée entre bureau et télétravail.

Les changements apparus dans la façon de vivre le travail, après la COVID sont bien réels, notamment auprès de tous ces « démissionnaires silencieux », qui ont fait le choix de changer de vie, en s’affranchissant du travail, privilégiant avant tout la réalisation de leur vie personnelle. Adhésion implicite aux thèses développées par Paul LAFARGUE dans son pamphlet, « Droit à la paresse ». Pour autant, se dirige-t-on vers la fin du travail, alors même, rappelle le sociologue Robert SUE, « que nous vivons dans une société qui se définit par le travail. On a même parlé de « religion » du travail… ». Avec in fine une contradiction entre le fait que nous ne disposons pas aujourd’hui de substitution à ce modèle, « si vous enlevez la question du travail aux politiques, il leur reste quoi ? ». Et le constat d’une évolution ne nous plaçant plus dans une « société du travail ».

Selon le professeur émérite à Paris-Cité, trois éléments ont fait bouger la machine, à commencer par le télétravail, « le travail à distance fait la distance au travail », mais aussi la COVID, « qui a mis sur le devant de la scène non seulement les vraies valeurs mais aussi la promotion de la santé pour le bien commun… ». Avec en filigrane, cette question à la dimension environnementale, « travailler pourquoi faire ? ».

 

Un salarié que l’on ne voit pas, ne travaille pas !

 

Pour son comparse Jean VIARD, le travail se définit avant tout comme un élément de fierté : « c’est fondamentalement l’appropriation d’un projet de construction avec les autres, une forme d’utilité… ». Avec là encore, cet élément nouveau apparu après la pandémie, « où nombre de gens n’ont pas travaillé et 40 % d’entre eux s’en disaient très heureux… ».

Une révolution accentuée là encore par le désir du télétravail, « 25% des gens en bénéficient, 60 % des gens en rêvent », même s’il y a à faire en la matière : « en France, on considère encore aujourd’hui qu’un salarié que l’on ne voit pas, ne travaille pas ! ».

 

   

Trouver un travail qui ait du sens

 

Travailler encore, mais comment et surtout, pourquoi ? Avec, dans une économie jusque-là fondée sur la croissance, un nouvel item, celui de la question écologique et environnementale, susceptible d’interférer sur le sens de la production par le travail.

Selon Roger SUE, « l’on revient à l’interrogation qui fut celle du temps du COVID, celle du bien commun. La croissance sans fin est aberrante et le travail pour le travail est devenu une aberration… ». Avec l’idée que le travail utile socialement, ne passe pas nécessairement par un « moment salarial… Comment intégrer cette société civile dans la production ? ».

Pour le sociologue, les jeunes sont aujourd’hui confrontés à un défi, « que nous entrevoyons, mais qu’eux vont vivre in vivo, notamment pour tout ce qui concerne l’environnement : la recherche d’une voie alternative… ».

Un mode qui ne serait pas forcément salarial et permettrait de pouvoir se projeter dans le bien commun : « cela existe avec le service civique qui est une forme de contribution importante et capitale à la production du bien commun, mais au nom de quoi est-il réservé aux jeunes ! ».

Appelant à inventer un statut du volontariat où chacun pourrait participer tout au long de sa vie, complémentaire d’une activité salariée : « je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas cumuler l’un et l’autre. Les jeunes de plus en plus, mettent l’accent sur le fait qu’ils veulent bien trouver un boulot, mais il faut qu’il ait une utilité sociale, qu’il ait du sens… ».

 

 

A quand un véritable statut de l’étudiant en France ?

 

S’interrogeant également sur le sujet, Anne MUXEL est revenue sur ce nouveau rapport qu’ont aujourd’hui les jeunes générations face au travail, en quête d’impératifs en phase avec leurs valeurs, liés notamment à l’écologie et aux préoccupations environnementales, « qui poussent bon nombre de jeunes même après de grandes études, à refuser au bout d’un moment des postes qui leur demanderaient d’agir de façon contradictoire avec les impératifs éthiques auxquels ils souscrivent… ».

Si l’on voit ainsi émerger de nouveaux repères, attention prévient Jean VIARD, à ne pas creuser un peu plus le fossé pouvant séparer les jeunes ayant décroché très tôt avec l’école, des étudiants qui réussissent le mieux : « que tu ne veuilles pas travailler chez Total, je le comprends très bien, va dans une start-up pour essayer de faire avancer la place écologique des entreprises dans la société ! Quand on met en avant un tel refus, il faut faire attention au discours, face à des gamins qui n’ont pas pu faire d’études et ne se demandent même plus pourquoi ils votent au RN ! ».

Pour le directeur de recherche au CNRS, spécialiste des transformations dans notre société, il serait important de créer un réel statut étudiant pour tous les jeunes de 16 à 26 ans, autorisant des aller/retours entre le travail et les études, « comme en Belgique, où les jeunes peuvent travailler pour 4 000 euros par an sans aucune charge… ».

De conclure, avec cette dernière interrogation : « pourquoi n’a-t-on pas droit à un certain nombre d’années d’études si l’on a arrêté l’école à 14 ans, après s’être aperçu que l’on avait déconné et que l’on souhaite apprendre un job ? ». 

 

Dominique BERNERD

 


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La performance est remarquable. Avec des débits annoncés, dix fois plus rapides à terme que la 4G afin de pouvoir mieux répondre aux besoins des utilisateurs. De quoi séduire les représentants de la sphère institutionnelle que sont Paul-Antoine de CARVILLE, l’édile de Sens, et le président de l’Agglomération du Grand Sénonais, Marc BOTIN, séduits par les démonstrations proposées. Aux manettes de cette séance initiatique : ORANGE. Le réseau 5G se déploie avec son concours dans l’Yonne septentrionale et l’opérateur en télécommunications le fait savoir !

 

SENS : Cela fait plusieurs mois déjà que l’un des principaux opérateurs de télécommunication exerçant sur la planète – le chiffre d’affaires s’élève tout de même à 43,5 milliards d’euros en 2022 pour un effectif de 136 000 collaborateurs dont 74 000 interviennent dans l’Hexagone – prend ses marques progressivement sur le développement de la 5G. Au 01er janvier 2023, ORANGE disposait de plus de 5 600 sites opérationnels, facilitant le déploiement de ce réseau ultra nécessaire à nos communications qui est en passe de remplacer petit à petit la 4G sur le territoire national. Naturellement, l’Yonne est concernée par cette ramification puisque qu’après Auxerre, Sens et son agglomération bénéficient de ce maillage technologique à l’importance considérable pour les usages du numérique. Qu’ils soient d’ordres privatifs ou professionnels.

Autant dire que les séquences démonstratives assurées par les techniciens de l’entreprise aux 291 millions de clients (une paille !) aux élus locaux que sont Paul-Antoine de CARVILLE, maire de Sens, et Marc BOTIN, maire de Dixmont et président du Grand Sénonais, ont eu de quoi leur montrer les prouesses visuelles et techniques de cette 5G dans son optimisation finale, derrière un écran de télévision, une tablette, sur ordinateurs ou via les smartphones. Le futur de la communication toque à la porte et le Sénonais lui tend les bras !

 

 

Un vrai confort de navigation sans latence !

 

Débutée l’an dernier sur le secteur septentrional de l’Yonne, à Sens et autour de la capitale des Sénons, cette mise à niveau de la télécommunication en mode très accéléré (la couverture 5G en 3,5 GHz multiplie les débits à la puissance dix, voire plus !) se présente comme un puissant levier de compétitivité pour les entreprises qui vont en profiter. Comme l’aura fait remarquer Cyprien MATEOS, directeur régional de l’opérateur en Bourgogne Franche-Comté : « La 5G va permettre un véritable confort de navigation, une latence réduite et une vitesse de téléchargement quasi instantanée, même en mobilité… ». On croit rêver et chacun se prend à se pincer en souhaitant que cela arrive le plus vite possible dans son bureau ou à domicile !

A date, hormis la ville phare (Sens) qui accueille déjà cinq boîtes recevant 128 micro-antennes fonctionnelles, d’autres communes disposent du processus technologique performant. On peut citer Paron et Saint-Denis-les-Sens. Et ce n’est pas fini, promet-on du côté d’ORANGE.

 

 

De nouvelles opportunités pour les acteurs économiques…

 

La stratégie de l’opérateur est simple. « Cela va changer la façon dont les utilisateurs vivent la connectivité, explique Cyprien MATEOS, le successeur de Véronique MORLINGHEM, la 5G va modifier l’existence. Grâce à son très haut débit, sa faible latence, de nouveaux services vont ainsi pouvoir se mettre en place comme les télémédecines, la réalité virtuelle, les villes connectées. Offrant de nouvelles opportunités aux entreprises, aux innovateurs, et à la société dans sa globalité. Pour le territoire, les entreprises, l’attractivité touristique, la connectivité avec la 5G représente une occasion incroyable de progrès… ».

Ah, si ce réseau 5G, salvateur à plus d’un titre, pouvait arriver jusqu’au fin fond de nos campagnes !

 

Thierry BRET  

 

 


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Il n’a pas perdu son temps, ni sa soirée, le chargé d’affaires entreprises de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté ! En participant au énième rendez-vous concocté par le staff directionnel de l’AJ Auxerre – l’une des deux soirées « Cartes de Visite » déclinées chaque année -, le cadre bancaire s’est vu gratifié d’un coup de pouce de la chance et de la main « innocente » du tandem formé par Baptiste MALHERBE et Romain DAUCHEL pour gagner le maillot d’un joueur, mis en jeu au terme de l’animation…

 

AUXERRE : Il ne s’y attendait pas ! Et pourtant, il était loin de s’imaginer que sa carte de visite placée de manière anodine dans l’urne transparente allait sortir de la main du président de l’AJ Auxerre, Baptiste MALHERBE. Ce dernier aura laissé durer le suspense, quelques instants seulement !

A l’énoncé de son patronyme, Frédéric CORNET s’est avancé, plutôt timidement vers les deux animateurs de la soirée « Cartes de Visite » (le dirigeant du club et le développeur marketing et relationnel Romain DAUCHEL) afin d’y recevoir son lot : un splendide maillot à l’estampille du club de foot, pensionnaire de Ligue 2 et prêt à retourner dans la division supérieure au terme d’une saison alléchante. D’autant qu’après quatorze journées de compétition âpres et relevées, les protégés de Christophe PELISSIER, coach de la formation élite, occupent une brillante troisième place, synonyme de barragiste et plus si affinité avec les victoires !

 

 

Chargé d’affaires entreprises de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, Frédéric CORNET aura réalisé le coup double parfait de cette soirée placée sous le signe de la convivialité et le développement du business, avoir donné un maximum de cartes de visite aux nombreux invités de l’animation (quatre-vingts dirigeants et cadres des sociétés partenaires de l’AJA) et empocher le gros lot offert à l’issue du tirage au sort, clou de l’évènement…

 

Thierry BRET

 

 


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