Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Dès le 06 janvier prochain, l’ancien préfet de l’Yonne abordera une nouvelle étape de sa déjà longue carrière au service de la République en assurant le déploiement du Service national universel. Le haut-fonctionnaire a appris son affectation ce mercredi 11 décembre, à l’issue du Conseil des ministres. Son successeur a été désigné de manière concomitante : il s’agit de l’ex-directeur général de l’ANTAI, l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions, Henri PREVOST…

AUXERRE : Partira, partira pas ? Depuis la période estivale, Patrice LATRON, préfet de l’Yonne, devait répondre avec la régularité d’un métronome à ce type d’interrogations, innocemment posées par les journalistes du paysage territorial au détour d’un évènementiel.

Exprimant toujours avec le sourire et dans le doute, l’incertitude quant aux dates exactes de son futur départ (forcément une évidence puisqu’un représentant de la préfectorale a pour vocation de vivre des mutations professionnelles au rythme cadencé d’une nouvelle affectation tous les deux ans) et le futur lieu d’accueil pour y accomplir ses missions.

Arrivé dans le département de l’Yonne le 21 août 2017, Patrice LATRON savait pertinemment dans son for intérieur que le couperet qui mettrait un terme définitif à sa fonction et avec sa relation sur ce territoire, allait tôt ou tard s’abattre.

D’autant que le représentant de l’exécutif étatique avait déjà eu droit à quelques semaines de prolongation depuis l’été, au vu des usages temporels en vigueur. Un sursis de courte durée qui n’aura pas excédé un trimestre, en vérité !

Mais, cette fois, c’est fait ! Patrice LATRON peut profiter de la trêve des confiseurs pour préparer tranquillement ses valises avant de regagner Paris où il officiait au préalable en qualité de directeur de cabinet du préfet de police.

 

 

 

A 58 ans, l’ancien préfet de l’Yonne fait donc un come-back remarqué dans la capitale. Et pas à n’importe quelles conditions, visiblement : conseiller du Gouvernement, Patrice LATRON aura désormais pour objectif d’assurer le développement du Service national universel.

Sans doute, son vécu a-t-il plaidé en sa faveur. Lui, le diplômé de l’école militaire de Saint-Cyr qui fut affecté au 1er Régiment de chasseurs parachutistes de Souge (Gironde) et au 9ème Régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers (Ariège). Précisons qu’il fut aussi l’aide de camp du Premier ministre Edouard BALLADUR (de juillet 1994 à mai 1995) ; une expérience au plus près des acteurs politiques qui se poursuivit ensuite avec Alain JUPPE, de mai 1995 à juin 1997.

 

Un nouveau préfet ayant travaillé au Commissariat de la Marine…

 

Son successeur, Henri PREVOST, prendra officiellement les rênes de la préfecture de l’Yonne le 06 janvier. En pleine période des vœux ce qui pourrait être d’excellente augure pour faire plus ample connaissance avec les forces représentatives, institutionnelles, économiques et politiques, du département.

Depuis quatre ans, ce diplômé du Droit de la mer et de Sciences politiques, conseiller maître à la Cour des Comptes, exerçait la fonction de directeur de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (ANAI). Une affectation logique pour celui qui s’occupa durant sept ans de la Sécurité routière en qualité de délégué adjoint.

Au sein de l’ANAI, organisme acteur de la sécurité routière et de la transformation de l’action publique, Henri PREVOST a déployé différents projets afin d’optimiser les infractions relevées par les radars.

Gageons qu’il saura être imaginatif pour essayer d’endiguer l’un des taux d’accidentologie les plus élevés de France en matière de circulation routière : celui de l’Yonne !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Foisonnante. C’est le qualificatif de circonstance qui résume le mieux la riche actualité de l’édifice érigé à la Renaissance par des bâtisseurs inspirés des vertueux principes mathématiques du nombre d’Or. Financé par le loto du Patrimoine, cher à Stéphane BERN, bénéficiant d’une délégation de service public qui échoie à la société ALFRAN (voire notre article), l’infrastructure pentagonale, unique en France, fait l’objet d’une campagne de souscription. Celle-ci a été actée ce jeudi 12 décembre grâce aux paraphes du Département et de la Fondation régionale du Patrimoine…

AUXERRE : C’est l’un des cent-vingt sites de l’Hexagone à pouvoir bénéficier du soutien de la mission patrimoine qui a été confiée à l’animateur Stéphane BERN par le chef de l’Etat.

La singulière silhouette de l’édifice du Tonnerrois, joyau de l’architecture né de cette période si prolifique en termes de créativité, la Renaissance, est au centre de beaucoup d’intérêts en cette fin d’année 2019.  

Non seulement, la construction pentagonale intègre le cercle restreint des dix-huit sites emblématiques nationaux à être aidé en priorité. Mais en outre, elle est la raison d’être d’une campagne de souscription dont les principes opératoires ont été validés par le Conseil départemental de l’Yonne et la Fondation du Patrimoine.

C’est un grand appel à la générosité populaire mais aussi au mécénat d’entreprise qui a été doublement lancé afin de contribuer à la sauvegarde de ce bijou patrimonial de Bourgogne d’exception.

 

 

Une construction bâtie avec le chiffre 5 et le nombre d’Or…

 

Dans l’absolu, chaque donateur profitera de déductions fiscales incitatives après son geste altruiste à la suite d’un don réalisé par chèque ou en ligne sur le site sécurisé de la Fondation. C’est ce que devait expliquer avec moult détails le délégué régional de la fondation, Guy BEDEL.

« Maulnes représente le fruit d’une aventure architecturale exceptionnelle où l’homme a su ériger un bâtiment avec intelligence… précisa le président de la structure. Saluant ce symbole de la tolérance né d’une culture humaniste, Guy BEDEL livra ensuite ses théories sur ce chiffre, le 5, creuset fertile de l’imaginaire des bâtisseurs de ce site dont le pendant existe en Italie à Pouilles où furent tournées les scènes de l’adaptation cinématographique de l’ouvrage d’Umberto ECCO, « Le nom de la rose ».

« Ce chiffre cinq dont Léonard De Vinci s’inspira pour concevoir l’une de ses plus célèbres esquisses, « l’Homme de Vitruve », exprime le savoir et l’intelligence de l’être. Il en est de même pour le nombre d’Or qui n’est ni plus ni moins que la divine proportion des choses de tout ce qui est et ce depuis la période de l’Antiquité… ».

Des éléments informatifs ajoutés par Guy BEDEL dont se délectèrent avec savante curiosité les participants à cette cérémonie protocolaire, Patrick GENDRAUD, président du Département, la sénatrice Dominique VERIEN qui aura été l’une des instigatrices de ce rapprochement entre les deux structures, et les élus du Conseil départemental, Anne JERUSALEM, également présidente de l’agence Yonne Tourisme et de la CC du Tonnerrois, Isabelle FROMENT-MEURICE, cheville ouvrière également du projet sur la délégation de service public, Maurice PIANON, Jean MARQUAND et Gérard ANDRE.

 

 

Une aide de 430 000 euros grâce au loto du Patrimoine…

 

Satisfait de la tournure des opérations, le président du pouvoir exécutif territorial ne pouvait que se réjouir des circonvolutions faites autour de ce dossier. Rappelant l’aspect collectif mis en place autour du projet.

« J’ai foi en de belles espérances quant à la réalisation de ce projet qui va servir à valoriser le Tonnerrois, une contrée où il y a plus de richesses patrimoniales et culturelles qu’ailleurs… ».

Autre motif de satisfecit : l’aide financière globale obtenue par le loto du patrimoine et accordée au Département, propriétaire du site. Elle s’élèvera à 430 000 euros pour une dépense hors taxes de travaux estimés à ce jour à 1,6 million d’euros.

L’enveloppe budgétaire sera affectée à la restauration des deux derniers pans de toitures et façades correspondantes en 2020 et 2021. Pour mémoire, la remise symbolique de ce chèque eut lieu le samedi 21 septembre à l’occasion des Journées européennes du patrimoine.

Quant à la souscription qui démarre, ses cosignataires en espèrent une collecte de 70 000 euros sous forme de dons. Sachant que les particuliers, les entreprises et les associations sont ciblées par cette campagne volontariste et des dépliants qui circuleront en abondance par les relais de renseignements touristiques habituels.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le business center de la Banque Verte continue de se remplir en Côte d’Or. Dernièrement, ce sont six entreprises supplémentaires qui ont rejoint la dizaine de structures aux secteurs d’activités et aux profils variés déjà présentes en ce lieu de la technologie et de l’innovation. Prouvant de manière inéluctable la pertinence du concept sur le territoire régional…

DIJON (Côte d’Or) : Excellente idée que ce Village by CA Champagne Bourgogne ! Depuis sa création, le concept peut s’enorgueillir d’avoir accueilli une quinzaine de start-up issues des secteurs de l’alimentation/nutrition, santé/médical, industrie, gastronomie…

Ces entités aux ambitions prometteuses figurent aux côtés de deux partenaires résidents et acteurs incontournables de la Bourgogne Franche-Comté que sont VITAGORA et la Food Tech.

Facilitateur du développement des entreprises, le Crédit agricole Champagne Bourgogne s’est fait l’écho récemment de l’agrandissement de ce site avec l’accueil de six nouvelles entreprises.

Ces nouveaux occupants sont MEREMPSA, Le GRAND VERRE, LIFE LOVING FOOD, COCOLIS, BEBE SOON et ORA VITIS.

Ces sociétés interviennent respectivement dans les domaines du recrutement dans la santé, la distribution pour rendre le vin français plus accessible aux jeunes Américains, l’utilisation de protéines végétales en guise d’alternatives aux viandes animales, la livraison de colis, l’organisation de week-ends bien-être pour futurs parents et le développement commercial des domaines viticoles.

D’autres structures devraient les rejoindre au cours de 2020…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

En marge de l’assemblée plénière consacrée au budget primitif 2020 qui s’échelonne lors de ces trois prochaines journées à Dijon, la présidente de la Région a défendu avec conviction ses choix stratégiques, justifiant ainsi ses engagements prioritaires alors que son mandat entre dans son ultime ligne droite. Le plus gros investisseur public qui agit sur le territoire ne procèdera donc pas aux vingt millions d’euros d’économies exigées par l’opposition. Des économies qui porteraient atteintes forcément aux nécessaires dépenses d’intervention…

DIJON (Côte d’Or) : Ses contradicteurs lui ont expressément demandé de réduire la voilure côté dépenses à la veille de l’assemblée plénière qui doit se prononcer sur l’adoption du budget primitif pour l’exercice 2020. C’est donc une fin de non-recevoir, en bonne et due forme, que leur proposera en guise de réponse, et ce dès l’ouverture de la session la présidente de l’exécutif régional.

Durant la conférence de presse qui faisait office de préambule à ce rendez-vous qualifié d’extrême importance pour le devenir de notre contrée, mardi après-midi, l’élue de Bourgogne Franche-Comté n’a nullement tergiversé pour apporter des éclaircissements précis et détaillés sur la ligne politique qu’elle a choisie de mener au cours des douze prochains mois de son mandat.

Une année charnière à bien des égards pour la maîtresse femme de la Région qui correspond à celle d’une fin de mandat (2021). Un terme de présidence qui surviendra après six années passées à la tête de l’organe institutionnel mais qui ne signifie pas pour autant la  fin de règne dans l’absolue de l’élue franc-comtoise…

Faisant fi des rodomontades coutumières qui viseraient à ternir son action, Marie-Guite DUFAY aborde cette séance, ô demeurant capitale, avec une certaine sérénité.

« Quel que soit la famille politique qui apporte un regard sur notre travail, délivre-t-elle en guise de hors d’œuvre oratoire, on nous dit bravo pour tout ce que nous avons réalisé depuis cinq ans sur le territoire car nous sommes bien présents au rendez-vous… ».

 

 

Pas d’économies substantielles sur des postes névralgiques de la Région…

 

Alors, ce budget primitif 2020 qui se caractérise comme très ambitieux (il est d’un montant total d’1,631 milliard d’euros – hors gestion active de la dette -) semble conforme aux priorités régionales de l’équipe en place. Afin d’en connaître la substantifique moelle, nous le présenterons par ailleurs plus en détail dans une prochaine publication.

Toutefois, on peut dire que son articulation s’avère être en cohérence avec les aspirations budgétaires habituelles, mobilisant l’ensemble des politiques régionales pour répondre à l’urgence du changement climatique ainsi qu’aux enjeux de l’emploi et de la formation sur le territoire.

Mais, là où l’intervenante s’est montrée intransigeante dans ses formulations, c’est sur le refus de faire des économies substantielles applicables à des postes névralgiques dont ne peut se départir la Région.

Trois catégories de postes bénéficient précisément de ses faveurs : les lycées, les TER (pour les transports ferroviaires) et les ressources humaines.

« J’ai pu observer ce que certaines entités régionales avaient pratiqué en ponctionnant les budgets dédiés à la formation, explique-t-elle, je ne baisserai la ligne budgétaire de ce poste d’un iota : c’est fondamental à mes yeux… ».

Puis, Marie-Guite DUFAY apporte de l’eau au moulin de la justification de ses actes.

 

 

« Je ne ferai pas de coupes sombres sur les lycées. Notre territoire possède la densité la plus importante d’établissements secondaires de l’Hexagone. L’argent que nous leur versons favorise la rénovation des bâtiments, le plan d’évolution des sites, encourage le personnel. D’ailleurs, des phases de mutualisation s’exercent naturellement entre établissements, engendrant de facto des économies… ».

En est-il de même dans son raisonnement pour le transport ferroviaire à bord des TER ?

« Nous avons entrepris des négociations avec la SNCF pour aboutir à une offre de transport en augmentation de cadencements. Les tarifs ont suivi une courbe baissière. Certes, aujourd’hui, les trains ont la cote et sont bondés. Mais, c’est la rançon de notre succès et un problème de riches ! La Région est très sensible au développement des mobilités nouvelles. Je rappellerai que la première expérience unique en France de covoiturage conventionnée par la puissance publique est fonctionnelle chez nous ! ».

Reste pour clore ce tour d’horizon le troisième point de ses préférences, se rapportant aux ressources humaines.

« Si je pouvais augmenter davantage les salaires des fonctionnaires de la région qui sont loin de dormir, je le ferai ! Nous sommes d’ailleurs en flux tendu sur toutes les politiques que l’on mène ; il faudrait même recruter tellement les besoins sont importants… ».

 

 

Le pacte financier est respecté en Bourgogne Franche-Comté…

 

Donc, in fine, il n’y aura pas de réduction budgétaire sur ces postes, véritables clés de voûte de l’arborescence architecturale du Conseil régional.

« D’ailleurs, renchérit la présidente un brin goguenarde dans son propos, quand j’invite l’opposition à me citer les postes sur lesquels je devrais amenuiser les financements, je n’obtiens aucune réponse de sa part… ».

Et la présidente de conclure : « je sais que je rendrai l’exécutif au terme de ce mandat dans le bon état financier que je l’ai trouvé. Disposant à l’heure actuelle d’une situation saine, cela nous permet de nous endetter davantage… ».

Marie-Guite DUFAY profita de sa prise de parole de bon aloi pour saluer le travail de l’ancien Premier ministre, Manuel VALLS, parti depuis à la conquête de Barcelone avec plus ou moins de réussite : « il avait la fibre régionaliste et a su attribuer des recettes dynamiques afin de remplacer la dotation que verse l’Etat par un versement d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée. Un mécanisme financier qui nous a considérablement aidés… ».

Observant que le pacte financier, soucieux du respect du non-dépassement des dépenses de plus de 1 %, était appliqué en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY insista sur le fait qu’il n’y aura pas d’effet ciseau sur ces postes, fondements de la politique appliquée depuis sa prise de fonction.

Un message clair adressé à l’opposition qui, durant ces trois jours d’assemblée plénière, contestera ces décisions…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Stridente, la sirène alertant d’une menace importante retentira ce vendredi vers midi dans le ciel sénonais par trois coups longs. Les habitants devront-ils pour autant s’inquiéter de cette sonnerie si désagréable à l’oreille ? Non ! Elle marquera en fait le début des opérations de secours réalisées à titre préventif sur le site de l’industriel de type Seveso. Un exercice grandeur nature, conçu dans le cadre d’un PPI (Plan particulier d’intervention) qui sera conduit par les services de la préfecture et la gendarmerie…

SENS: Emploi du temps quelque peu complexe à gérer pour la fin de la semaine pour le directeur du site industriel, Patrick GRUBERT ! Ce dernier, parmi sa kyrielle d’occupations, doit aussi se préparer au pire (heureusement de manière fictive) : le lancement d’une alerte générale dans son unité de production.

Filiale de l’allemand BASF, CHEMETALL fabrique des produits chimiques destinés aux professionnels du traitement des surfaces. Pour alimenter le marché hexagonal mais aussi ceux d’autres pays européens : Belgique, Allemagne.

Précautionneuse quant à la sécurité et à la protection de l’environnement, l’unité de production de Sens doit se conformer régulièrement à des exercices permettant de tester l’efficience des secours en cas de soucis majeurs. Ce sera le cas ce vendredi 13 décembre entre midi et quatorze heures.

Ainsi, la préfecture de l’Yonne activera son centre opérationnel départemental et son poste avancé accueilli à la sous-préfecture. Comme devait le confirmer Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet Patrice LATRON, lors d’une conférence de presse.

 

 

L’Yonne n’a pas connu d’incidents majeurs depuis longtemps…

 

Outre les services de l’Etat, seront également mobilisés ceux de la DREAL et du SDIS, le service départemental d’incendie et de secours. Ainsi que les forces de l’ordre, il va de soi.

Ce sont au total plus de quatre-vingts personnes dont une vingtaine de sapeurs-pompiers qui évolueront durant cet exercice. Celui-ci aura aussi pour vocation de tester l’aptitude des secours à réagir promptement et la manière dont pourrait être gérés les riverains du lieu endommagé. Même si dans le cas présent, aucun périmètre de blocage ne sera réellement mis en place lors de cette manœuvre.

Au terme de cette opération, seront étudiés les points forts et points faibles de l’intervention, la validation des procédures, la technicité de la manœuvre, le mode opératoire de la chaîne de commandement depuis la préfecture via les élus, la transversalité des échanges d’information, etc.

Même si le territoire de l’Yonne n’a pas observé de tels incidents depuis longtemps, la préfecture se doit de veiller au grain car les risques sont toujours réels.

Tristan RIQUELME a précisé que trois à quatre autres sites industriels à risques bénéficieraient des mêmes exercices l’année prochaine.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil