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Le délégué général de l’UIMM (Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie) de la Nièvre et de l’Yonne Claude VAUCOULOUX a choisi nos colonnes pour y publier un long plaidoyer favorable à l’apprentissage. Et aux résultantes qui en découlent en matière d’emplois grâce aux embauches de ces jeunes apprenants. Des embauches ô combien importantes et nécessaires malgré le délicat contexte économique que nous traversons avec la crise sanitaire…

TRIBUNE : « Alors oui, la période que nous traversons est vraiment très compliquée. Alors oui, la somme des problèmes immédiats qu’il nous faut régler est immense. Alors oui, les préoccupations du très court terme l’emportent nécessairement sur des sujets qui peuvent paraître plus secondaires.

Alors oui, lorsque la question du niveau de la masse salariale se pose pour les mois qui viennent, la réponse qui s’impose naturellement ne se trouve pas forcément dans la recherche de jeunes alternants. Et pourtant ! Souvenons-nous du temps pas si éloigné d’ailleurs (c’était il y a seulement quelques mois, même s’il est vrai qu’après les huit semaines de confinement que nous venons de traverser, la notion du temps est devenue plus floue), où nous étions tous désespérément à la recherche de compétences. Voire même parfois, et en désespoir de cause, tout simplement prêts à embaucher la personne qui aurait bien voulu venir travailler chez nous !

Nous nous serions occupés du reste, n’est-ce pas ! Cette situation nous la connaîtrons de nouveau dans un avenir que je nous souhaite le plus proche possible. Cela voulant dire au passage, que nous aurons alors retrouvé notre niveau d’activité nominal et que cette crise sera enfin derrière nous…

 

Intégrer des jeunes gens motivés et diplômés dans les entreprises !

 

Les oracles autoproclamés nous prédisent aujourd’hui que plus rien ne sera comme avant et que tout doit être réinventé. Ont-ils tort ? Ont-ils raison ? L’avenir nous le dira ! Mais, permettez-moi de nuancer le « plus rien », parce que sur un point au moins, les mêmes causes entrainant les mêmes effets, je suis prêt à parier qu’au premier jour d’un retour significatif des commandes, nous nous retrouverons alors de nouveau face à la même problématique des compétences. Sans doute probablement de façon amplifiée, par les effets du « papy-boom » qui lui, n’aura pas connu la crise !

Pour la prochaine rentrée, c’est-à-dire dès maintenant, le Pôle Formation UIMM 58/89, comme tous les CFA industriels, peut vous présenter des jeunes gens, motivés et prêts à s’engager pour se former à nos métiers, pour des niveaux d’étude allant du CAP au BAC+5.

Alors bien sûr, je sais que vous allez me répondre qu’aujourd’hui ce n’est vraiment pas le moment et que vous verrez ça plus tard… Enfin peut-être… Rassurez-vous, je ne vous demande pas de signer le contrat à la fin de la lecture de cette tribune. Mais, ce que je vous demande absolument, c’est de ne pas vous interdire d’y réfléchir, parce que plusieurs planètes vont s’aligner en ce sens et qu’à défaut qu’elles ne le soient toutes, certaines fenêtres de tir vont néanmoins s’ouvrir suffisamment en grand pour saisir de belles opportunités.

 

 

L’Etat est attendu au niveau de sa mobilisation en faveur des apprentis

 

La dynamique initiée depuis plusieurs années autour de l’apprentissage, notamment industriel, ne peut pas s’arrêter comme ça, d’un coup d’un seul. Il est donc plus qu’évident que tous les acteurs qui gravitent autour de ce sujet vont devoir se mobiliser pour la conforter, voire même l’amplifier. En prenant des initiatives courageuses et déterminées, afin que ne retombe pas, tel un soufflé sorti du four, le début du regain d’intérêt mesuré au fil des quelques dernières rentrées.

Au premier rang de ces acteurs, doit figurer bien sûr l’Etat. Puisque d’abord, ayant fait main basse sur les destinées de la formation professionnelle et de l’apprentissage depuis la promulgation en septembre 2018 de la loi « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » dite « avenir », il lui appartient de montrer qu’il est véritablement le leader qu’il a souhaité devenir.

Comment ensuite, imaginer un seul instant qu’il pourrait abandonner l’une des orientations majeures qu’il avait portée et mise en œuvre dès le début du quinquennat. Ce qui constituait une sorte de totem pour l’exécutif.

La Région Bourgogne Franche-Comté, quant à elle, a toujours fait preuve d’une grande sensibilité vis-à-vis de la formation, en particulier pour l’apprentissage. Et bien que dépossédée depuis deux ans d’une prérogative à laquelle elle était très attachée, il y a fort à parier qu’elle saura ici saisir l’occasion de se remettre le pied à l’étrier. Après ce qu’elle considère sans doute encore aujourd’hui comme un camouflet dont elle n’a certainement pas fini la digestion...

 

 

« Pas de contrat, plus d’apprenti… » : cela deviendrait le pire des échecs…

 

Et puis il y a bien entendu les Opérateurs de Compétences (OPCO) qui, à peine mis en place dans le cadre de la loi « Avenir » vont avoir à cœur de montrer qu’ils sont des passages obligés dans un dispositif qui pourtant, à certains égards, peut aujourd’hui laisser à penser aux observateurs avisés, qu’ils constituent plus un alibi paritaire qu’un véritable facteur clé de succès.

Bref, tout cela pour dire que beaucoup sera entrepris pour sauver le soldat apprentissage. Cela passera avant tout par l’instauration de mesures d’ampleur, visant d’une part à la réduction du coût d’un apprenti pour l’entreprise et d’autre part, par une souplesse permettant d’accueillir les jeunes dans les CFA. Dès la rentrée prochaine, quand bien même ils n’auraient pas tout de suite une entreprise d’accueil avec laquelle signer leur contrat.

C’est ici qu’intervient le rôle des employeurs. Car, à l’instar de la formule « pas de bras, pas de chocolat », passé le temps raisonnable de la dispense d’avoir signé le contrat d’apprentissage, nous aurons droit au « pas de contrat, plus d’apprenti ». Ce qui serait alors un terrible constat d’échec !

Echec, tout d’abord, vis-à-vis de notre jeunesse et des parents d’élèves que nous avons eus tant de mal à convaincre de choisir une autre voie que celle d’une formation classique. Mais assurément en second lieu, échec pour les entreprises qui courront le risque de voir ainsi mises à mal des années d’efforts. Echec, enfin, pour l’apprentissage d’une manière générale, dont les détracteurs auront beau jeu de soutenir la thèse d’un dispositif mineur ne valant la peine d’être sauvé.

Alors NON ! Nous savons bien, au contraire, que l’apprentissage constitue et constituera plus que jamais une voie d’excellence pour accéder à la compétence, au diplôme et enfin à l’emploi. Ces emplois qualifiés que nous avons à pourvoir dans nos entreprises, aujourd’hui, demain et après-demain. Nous ne pouvons donc pas laisser s’écrouler ce que nous avons eu tant de mal à construire.

Aussi, chefs d’entreprises industrielles, ne vous interdisez surtout pas de miser sur la jeunesse ! Elle est assurément « LE » pari gagnant pour l’entreprise. Et l’UIMM est à vos côtés pour vous aider à rafler la mise !

 

Claude VAUCOULOUX

Délégué général de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de la Nièvre et de l’Yonne

 


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A peine rouvert depuis le 12 mai après l’interminable période de confinement et voilà que la triste nouvelle s’est déjà répandue très vite par le biais des réseaux sociaux. Le spécialiste des articles de sports d’extérieur a décidé de fermer les portes de sa vitrine commerciale dans peu de temps. Un arrêt qui semble définitif. Il a fait l’objet d’une longue explication de texte dans un communiqué…

AUXERRE : « The end » pour l’enseigne RABASKA ! Elle avait pourtant coutume de faire régulièrement le buzz sur les réseaux sociaux grâce à ses opérations évènementielles. Des actions que ses deux gérants, Vincent DUPUIS et Quentin THOUVENOT, animaient de main de maître !      

La boutique attirait les aficionados des sports extérieurs dits OUTDOOR (running, trail, randonnée, etc.). Elle ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir malgré sa réouverture ce mardi 12 mai après une longue période de léthargie imputable à l’épidémie de coronavirus.

Sur leur page Facebook, les deux co-gérants de la structure apparue à Auxerre en 2018 expliquent longuement cette décision mûrie et réfléchie : elle n’est pas la résultante directe de l’infection virale qui sévit à l’heure actuelle sur la planète.

Interrogé sur cet état de fait, Vincent DUPUIS n’a pu que confirmer cette information de très mauvais augure pour une enseigne qui avait réussi à la force du poignet et avec une cote de sympathie grandissante sur les réseaux sociaux de se faire un véritable nom de référence.

« Nous avons subi de plein fouet le mouvement des Gilets jaunes. Puis, celui inhérent aux réformes de la retraite. Maintenant, ce sont les affres du coronavirus qui nous ont obligés à demeurer porte close durant deux mois, constate un brin désabusé Vincent DUPUIS, notre trésorerie n’a pas tenu… ».

Au final, les pertes de la société s’élèvent à 20 000 euros. Malgré un chiffre d’affaires annuel de 250 000 euros. Il en aurait fallu davantage pour sortir l’entité de l’ornière dans laquelle elle se trouvait.

Malgré l’organisation d’évènements de qualité (les championnats de France de bûcheronnage concoctés à Auxerre, la multiplication d’animations sur le parvis du magasin), rien n’y fera. L’ombre du Tribunal de commerce se profilait davantage à l’horizon.

 

 

Une chute qui a débuté au démarrage de la société…

 

Mais, comme l’explique avec souci de transparence Vincent DUPUIS, la véritable cause de cet échec se situe au début de l’aventure des deux professionnels. Ils ouvrirent de manière prématurée leur magasin afin de répondre aux exigences et aux besoins de l’organisateur du CRAZY RACE FESTIVAL. Un évènement de sinistre mémoire dans le landerneau où les deux entrepreneurs s’étaient engagés en qualité de partenaires dans une opération prévue du 07 au 09 septembre 2018. Celle-ci, ayant avorté avant terme, n’eut jamais lieu.

RABASKA, à l’instar d’autres partenaires de renom sur la place auxerroise, consacra une enveloppe budgétaire conséquente à ce projet qui fut rayé du calendrier dix jours avant son échéance et ce, à la surprise générale. Faute d’un quota important du nombre de réservations garantissant la faisabilité de l’animation.

Pourtant, l’enseigne réussit par la suite à devenir l’une des vitrines les plus en vogue au plan national sur son segment d’activité. Multipliant les soirées à thèmes, les conférences, les phases de test d’équipement, et les échanges avec la communauté d’amis sous formes de soirées apéritives.

Mais, le manque de visibilité aura eu raison des appétences volontaristes de l’entreprise. Et surtout plombera sa croissance commerciale.

« A la fin de l’année 2019, précise Vincent DUPUIS, tout fut mis en œuvre pour quitter le secteur où nous étions pour emménager dans la zone des Clairions. Malheureusement, le local que nous avions repéré n’a pas pu nous revenir… ».

De Charybde en Scylla, la scoumoune s’est abattue sur le sympathique duo qui voyait ses pertes s’envoler au fil des mois malgré un fonctionnement correct de la boutique.

Désormais, en attendant la fermeture définitive d’une vitrine qui manquera cruellement au milieu sportif local, une procédure opératoire a été mise en place pour assurer sa fréquentation pendant cette sortie progressive du confinement.

Avant que ne survienne l’inexorable couperet…

 

 

 


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Faire le choix d’une mobilité agile et respectueuse de la distanciation sociale intègre les priorités stratégiques de la plus ancienne marque de deux-roues motorisés au monde encore en activité. Face à la crise sanitaire qui demeure persistante dans l’Hexagone, la solution de mobilité idéale est incontestablement le deux roues pour assurer ses déplacements. Des solutions de financement existent afin d’en faciliter leurs acquisitions. Dont le dernier-né électrique conçu par le fabricant, le Peugeot e-Ludix…

PARIS : Le postulat est simple : pour optimiser au maximum sa sécurité lors de ses déplacements, il est nécessaire d’utiliser un mode de locomotion qui soit adapté au contexte environnemental de l’instant.

C’est-à-dire permettre la distanciation sociale. Et peut-être s’abstenir d’emprunter les transports collectifs qui ne sont pas encore à 100 % de leur capacité du fait de l’absence de leur personnel, et trop perméable à la promiscuité entre les voyageurs.

L’une des solutions qui devrait prendre de l’ampleur d’ici les prochaines semaines, notamment dans les zones urbaines, sera l’usage des deux-roues motorisés en guise de transport individuel. C’est déjà le cas à Paris. Mais, cela le deviendra également dans les villes de province.

Alors que le gouvernement préconise la marche à pied et l’usage du vélo pour se rendre sur son lieu de travail, il apparaît comme une évidence que le scooter possède de très beaux lendemains devant lui.

D’autant que 60 % de nos concitoyens effectuent journellement des trajets pour se rendre dans leur entreprise distante de moins de cinq kilomètres de leur domicile.

Bref, autant d’arguments positifs qui ont su faire tilt chez l’un des concepteurs de ces petits engins aux caractéristiques très impressionnantes : Peugeot Motocycles.

Rappelons que les modèles de scooter 50cc sont aisément accessibles via une formation BSR pour les pilotes âgés de moins de dix-huit ans. Leur conduite ne nécessite pas de permis spécifique. Quant à la gamme supérieure, les 125cc, ils requièrent pour leur maniement une formation de sept heures avec les permis auto, ou ceux des catégories A1, A2 et A4.

L’un des fleurons à l’estampille du constructeur national, le scooter 3 roues développant 400cc, le fameux « Métropolis », se pilote avec le permis auto. Notons qu’il offre des conditions de stabilité optimale y compris pour les béotiens en la matière.

 

 

L’électrique est tête de liste des nouvelles préconisations…

 

Reste l’électrique. Et dans ce domaine, Peugeot Motocycles dispose également des atouts pour satisfaire les demandes consuméristes de ses prospects. La version « e-Ludix » vient à peine d’incorporer la gamme que déjà elle intègre le dispositif mis en place par le gouvernement qui alloue une prime de 400 euros pour aider à son acquisition.

Un coup de pouce qui est compatible avec les aides des régions et des communes éligibles au dispositif qui facilite l’équipement en véhicule électrique.

En outre, le fabricant proposera une offre de leasing à 99 euros par mois dès que l’objet de toutes les convoitises arrivera en concession dans les semaines à venir. Ces offres concerneront aussi bien la clientèle de particuliers que les professionnels soucieux de franchir le pas.  


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Certes, le retour vers la normalisation de la vie scolaire n’a concerné qu’une infime proportion d’élèves ce jeudi matin. Mais, l’enthousiasme des enseignants et des élus (Guy FEREZ et Guy PARIS) faisait plaisir à voir après ces huit longues semaines de privation pédagogique imputable à la présence nocive et sournoise du COVID-19.

AUXERRE: Cela n’a pas été la ruée sur l’or. Mais, quand même. A l’école Henri Matisse qui devait accueillir une quinzaine de bambins ce jeudi vers 8h30, tout a été organisé à la perfection pour que cette reprise de l’enseignement se passe dans le respect absolu des règles protectrices voulues par le gouvernement.

Les parents accompagnaient leurs chères têtes blondes jusqu’à l’entrée du bâtiment, donnant des nouvelles de leur progéniture aux enseignants après ces longues semaines d’enfermement et de doutes.

Certains exprimaient quelque peu leurs appréhensions. D’autres firent un petit salut à leur enfant avant de venir les chercher sur le coup de midi pour le déjeuner.

Accompagné de son premier adjoint, Guy PARIS, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre Guy FEREZ a pris la température ambiante en constatant de visu de quoi il en retournait.

Un élu qui in fine sera satisfait par cette reprise de l’activité pédagogique même par le petit bout de la lorgnette. Quatorze enfants étaient concernés par ce retour à la vie scolaire dans cette école.

 

 

Saluer le travail des services municipaux et de l’Education nationale…

 

Ils étaient plus d’une trentaine dans le second établissement visité au cours de cette matinée, à l’école des Rosoirs.

Accueilli par la directrice Sophie FEVRE, le maire d’Auxerre eut droit à la visite en règle de l’établissement. En suivant de manière scrupuleuse la signalétique placée au sol qui garantit la distanciation physique.

Il put aussi s’entretenir avec quelques enseignants qui reprenaient leur rôle de pédagogue aux côtés de leurs jeunes apprenants et partager avec eux leurs ressentis sur cette expérience unique en son genre.

Le maire n’aura pas manqué de saluer la mobilisation et le travail fourni par les services municipaux (« ils ont œuvré d’arrache-pied depuis plusieurs jours ») pour que les conditions de cette reprise soient les plus optimales possibles. Ainsi que l’implication du personnel de l’Education nationale, plus que jamais sur le pont afin de rassurer les parents les plus circonspects.

 


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De nombreux établissements scolaires accueilleront ce jeudi 14 mai une proportion encore faible de têtes blondes dans les salles de cours sur notre territoire. Mais, la Ville de Sens n’ouvrira pas ses écoles. La décision signifiée ce mercredi par la présidente de la Communauté de communes du Sénonais est sans appel et pour cause. L’élue ne veut prendre aucun risque : deux cas suspects au COVID-19 lui ont été signalés parmi le personnel éducatif…

SENS : Cela aurait dû être un peu la fête dans l’esprit de nombreuses familles ce jeudi matin aux alentours de huit heures. Mais, ce désir de retrouvailles si attendues entre les enfants et leurs enseignants tournera court.

Les élèves des grandes sections de maternelles, de cours préparatoire et de cours moyen deuxième année, préparés à la reprise de leur scolarité après huit longues semaines de confinement, joueront finalement les prolongations en demeurant chez eux.

Contre toute attente, la nouvelle du report de la reprise de l’école a été annoncée ce mercredi après-midi par un communiqué de presse à l’estampille de la présidente de la Communauté de communes du Sénonais et maire de Sens, Marie-Louise FORT.

Mais, la cause de cette annulation séance tenante est plus que recevable et s’inscrit dans le cadre légitime du principe de précaution.

Informée le matin même de l’existence de deux cas suspects de coronavirus au sein d’une équipe pédagogique d’une école locale, Marie-Louise FORT, après s’en être entretenu avec l’inspecteur d’académie Vincent AUBER, a pris soin de stopper net le processus menant à la reprise de la scolarité et de le reporter à une date ultérieure.

 

 

Une reprise envisageable une fois les résultats des tests connus…

 

Les services de l’Education nationale et de l’Agence régionale de Santé (ARS), en attente des résultats de tests effectués sur ces personnes, informeront les autorités locales d’ici la fin de la semaine, à défaut en début de semaine prochaine.

Dans le même temps, la recherche de personnes ayant été en contact avec les cas suspicieux d’être infectés par le virus est à l’étude.

Prudente, Marie-Louise FORT prône la carte de la sécurité optimale. Ne souhaitant pas exposer la santé des enfants et de leur famille, ni celle des agents municipaux, ni celle des personnels de l’enseignement.

En conséquence, la reprise vers un semblant de normalisation scolaire n’est pas immédiate. D’autant que l’élue ne bougera pas d’un iota tant que les résultats des différentes investigations sanitaires ne lui seront pas communiqués par les services ad hoc de l’Agence régionale de Santé.   

Seul le dispositif organisé avec le concours de l’Education nationale en faveur des enfants des personnels soignants et des acteurs de la lutte contre l’épidémie est maintenu à ce jour.

 

 

 


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