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Unité et témoignage : les musulmans d’Auxerre ont organisé un « mur de protection » ce dimanche 01er novembre vers 10h30 sur le parvis de la cathédrale Saint-Etienne à Auxerre. Un geste symbolique pour rassurer les chrétiens…

BREVE : Il y eut d’abord la chaleur des retrouvailles, puis le silence. Celui imputable à un moment de recueillement qui a été organisé dans un esprit œcuménique et fraternel.

De longues minutes de partage qui ont ainsi respectées ce dimanche matin aux alentours de 10h30 sur le parvis de la cathédrale Saint-Etienne à Auxerre à l’appel de la communauté musulmane auxerroise.

Une trentaine de personnes, jeunes et plus âgées, ont occupé cet espace le temps de la traditionnelle cérémonie religieuse marquant les festivités de la Toussaint. Un office célébré par le prêtre de la paroisse, Arnaud MONTOUX.

Le religieux a eu des mots très élogieux pour la fraternité musulmane au nom de la communauté chrétienne qui a assuré la sécurité de l’office dominical. Un geste noble et altier, fort en symbole et en solidarité.

Une présence manifeste pour dénoncer également la barbarie et l’insoutenable après le terrible drame qui a été perpétré sur le sol français ce 29 octobre dernier à Nice, à l’intérieur de la basilique Notre-Dame et qui aura coûté la vie à un sacristain et à deux fidèles…

 

 


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L’achat d’automobiles s’inscrivant dans la droite ligne de la transition énergétique et de la mobilité électrique progresse de très belle manière dans notre pays. Depuis le 01er janvier 2020, ce sont plus de 116 000 véhicules qui ont ainsi été immatriculés. Soit un solde positif de 80 000 de mieux par rapport à l’année dernière à la même période…

DIJON (Côte d’Or) : S’il y a bien un domaine où la crise ne vient pas ternir le tableau des réalisations commerciales, c’est bien celui des véhicules électriques et hybrides !

Qu’on se le dise, mais ces purs produits de la mobilité newlook et durable ont le vent en poupe. Comme le confirment les récentes statistiques dévoilées par le baromètre de l’AVERE France, l’association nationale pour le développement de la mobilité électrique.

Depuis le début de l’année, il s’est écoulé 116 588 unités sur le marché français. Soit une progression exponentielle intéressante puisque frisant avec les 80 000 véhicules de mieux que la saison dernière à pareille époque. En septembre, les véhicules électriques et hybrides affichent une hausse de…206 % !

 

 

De quoi satisfaire la déléguée générale de l’AVERE France, Cécile GOUBET, intervenante lors de la récente Journée de la Mobilité électrique à Dijon, le « E Day ».

« Avec plus de 18 500 immatriculations en septembre, les véhicules électriques et hybrides donnent le ton et montrent à celles et ceux qui en doutaient encore qu’ils n’ont plus la vocation de jouer les seconds rôles…. ».

Rien que sur le mois dernier, c’est une part de marché de 9 % qui a été octroyée par ce segment de plus en plus dynamique du secteur automobile.

Une hausse impressionnante que les seules aides à l’achat ne peuvent expliquer….

 


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Le tissu industriel de l’automobile se situe aujourd’hui à la croisée des chemins. Alors que le secteur a été fortement touché par les incidences de la crise sanitaire, ce segment de l’activité économique doit s’engager vers une démarche titanesque qui vise à révolutionner le marché. Celui qui nous prépare à la vulgarisation du véhicule électrique et, à terme, de son corollaire, le véhicule autonome…

DIJON (Côte d’Or) : On ne parle plus que de cela dans les chaumières. Normal, car la France a fait le choix d’une relance verte dans le domaine de l’automobile. Les observateurs de cette spécificité ont pu encore le constater de visu lors du récent évènement régional, « E Day », consacré à la mobilité électrique et concocté sur le circuit de PRENOIS. Une animation dont la programmation avait été articulée par Bourgogne Franche-Comté Mobilité Electrique et sa cohorte de partenaires institutionnels et entrepreneuriaux. Dont le groupe EDF BFC.

Il est vrai que le sujet mérite de l’intérêt et ne peut susciter que de la curiosité. De la part de la filière industrielle, elle-même. Mais aussi des collectivités territoriales qui se sont déjà engouffrées vers la mobilité énergétique de demain. On ne compte plus les initiatives portées par des municipalités pour verdir leur parc automobile et le rendre développement durable en termes de réduction de la consommation d’énergie.

 

 

Le monde politique s’en est également mêlé adroitement. Dernièrement, le plan de relance dévoilé par le président de la République Emmanuel MACRON faisait la part belle à ces véhicules électriques qui se positionnent désormais au cœur de la stratégie de l’industrie automobile nationale.

Cette mobilité électrique dont tout le monde vante les bienfaits représente, il est vrai, une filière d’excellence pour la reconquête de la souveraineté technologique industrielle du pays. Une pièce qui s’apparente comme maîtresse dans l’échiquier des réponses économiques et environnementales à apporter à brève échéance à l’Hexagone.

 

 

 

 

Promouvoir et anticiper un nouveau modèle économique…

 

D’ailleurs, Robert POGGI, président de Bourgogne Franche-Comté Mobilité Electrique, vénérable institution portée sur les fonts baptismaux par l’une des figures emblématiques de cet item dans la région (Thierry BROSSIER), devait le rappeler lors de l’inauguration de cet évènementiel d’importance. Pour lui, « il est nécessaire de mettre tout en œuvre pour promouvoir la mobilité électrique au sein de notre région, en accompagnant notamment son déploiement et en valorisant les actions entreprises par ses partenaires… ».

Ce fut chose faite lors de ce rendez-vous qui réunira pléthore de professionnels du secteur automobile. Soit les industriels et les artisans, de prime abord, mais aussi les collectivités locales, en pleine mutation sur ce sujet.

Derrière chaque réunion déclinée sur une journée complète, il y eut la volonté de transmettre un savoir, une information utile, une compréhension pour découvrir tous les enjeux de cette filière novatrice qui se développe sur un rythme de croisière effréné. Une manière sans doute judicieuse, voire astucieuse, de se poser les bonnes questions, d’y répondre avec le concours d’une noria d’experts et de spécialistes, afin de mieux anticiper le marché et ses évolutions…La transition énergétique inhérente à la mobilité électrique n’attend plus !

Thierry BRET

 

 

 


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La préfecture de l’Yonne n’aura pas tardé à réagir à la décision de l’édile de Migennes d’autoriser l’ouverture des commerces non-alimentaires sur sa commune. « Un maire ne peut pas prescrire par arrêté municipal des règles contraires à un texte de portée générale pris par le gouvernement… ». Moyennant quoi, François BOUCHER se voit dans l’obligation de retirer au plus vite son arrêté sous peine d’illégalité…

AUXERRE : L’affaire fait aujourd’hui tache d’huile bien au-delà des simples frontières régionales. Provoquant l’intérêt des médias nationaux qui relatent ce vent de fronde impulsé par certains élus contre le décret gouvernemental applicable sur l’ensemble du territoire en matière d’ouverture des commerces. Des élus, en grande majorité issus du rang des Républicains à l’instar du maire de Migennes, François BOUCHER.

Or dans le cas présent, la réaction de la préfecture de l’Yonne ne s’est pas fait attendre dès réception de l’arrêté municipal en date du 29 octobre paraphé par le conseiller départemental.

Profitant d’une intervention téléphonique avec la presse, ce vendredi en fin d’après-midi, le préfet Henri PREVOST a procédé à une mise au point s’avérant très catégorique et sans aucune ambiguïté. Le représentant de l’Etat invite l’élu de Migennes à faire machine arrière en retirant de manière immédiate son texte officiel diffusé via la page Facebook de la ville.

En outre, le préfet de poursuivre que « les commerces non-alimentaires demeurant ouverts malgré l’application du décret gouvernemental se placeraient ainsi dans l’illégalité ». Le haut-fonctionnaire a par ailleurs ajouté que « les commerçants étaient dans l’obligation d’appliquer les mesures nationales ».

 

 

Une situation complexe qui ne laisse pas indifférent le préfet…

 

Sollicités lors d’opérations de contrôle sur le terrain, les forces de l’ordre ne manqueraient pas de verbaliser les commerçants réfractaires à la décision nationale. Celle-ci ne pouvant être remise en cause par un arrêté pris par un maire. Il en coûterait alors 135 euros aux professionnels lors d’une première contravention. Beaucoup plus, en cas de récidive.

Le préfet de l’Yonne s’appuie sur le texte officiel du gouvernement pour légitimer sa position : « Le décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de COVID-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire a posé les règles applicables sur l’ensemble du territoire en matière d’ouverture des commerces en définissant la liste des activités autorisées à accueillir du public ».

Toutefois, le représentant de l’Etat n’est pas indifférent à la situation complexe vécue par les commerçants. Il a rappelé que « le décret du 29 octobre a également précisé que peuvent être maintenues les activités de livraisons et de retrait des commandes ». Sont concernés par cette démarche la plupart des commerces mais aussi les restaurants tels que l’a défini l’article 40.

 


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On connaissait le commerce équitable. L’édile Les Républicains de Migennes invente, quant à lui, le concept de « l’équité du traitement commercial » ! Publié dans la soirée sur la page Facebook de la localité icaunaise, l’arrêté municipal autorisant l’ouverture des commerces non-alimentaires, signé de la main de François BOUCHER, pointe les disparités existantes entre la grande distribution et les boutiques de proximité qui ne sont pas traitées à la même enseigne en cette période de confinement…

MIGENNES : C’est un sacré pavé dans la mare que vient de jeter le maire de Migennes dans le microcosme économico-institutionnel de l’Yonne. Malgré la période de confinement, il a autorisé l’ouverture des commerces non-alimentaires de sa commune.

Evoquant le principe de l’égalité de traitement entre tous les commerces, François BOUCHER ne s’est pas fait prier pour parapher un arrêté qui offre l’opportunité auxdits commerces, qui ne sont pas autorisés par le gouvernement à ouvrir jusqu’au 01er décembre, de poursuivre tout bonnement leurs activités. Comme si de rien n’était, en somme ! Et cela en marge du décret officiel publié jeudi soir par l’exécutif !

A sa lecture, le document est sans équivoque sur les intentions de l’élu qui montre du doigt ce que beaucoup d’observateurs nationaux ne cessent de constater depuis la connaissance du décret via des médias interposés : la concurrence exacerbée entre les circuits de la grande distribution qui demeurent opérationnels durant cette période de sinistrose économique et les commerces de proximité, bannis du système en devenant hors-jeu.

Les arguments avancés par le maire de Migennes ont le mérite d’être clairs et interrogatifs sur la pertinence des choses.  Dans cet arrêté qu’il a transmis au représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, mais aussi à la directrice générale des services de la mairie de Migennes et au responsable de la police municipale, François BOUCHER considère que « les attendus de ce décret gouvernemental créent une pratique commerciale déloyale contraire aux décisions annoncées par le président de la République ».

 

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Ne pas appliquer un décret défavorable envers les petits commerces

 

En second lieu, la non-fermeture des grandes surfaces entraîne une rupture d’égalité de traitement entre les supermarchés, les hypermarchés et les petits commerces non-alimentaires. De surcroît, les rayons non-alimentaires et non-essentiels (quelle est réellement la définition exacte d’un commerce non-essentiel par ailleurs ?!) n’étant pas fermés dans la GMS, cela pénalise les boutiques indépendantes qui ne peuvent que souffrir comptablement de cette situation.

En résumé, le maire de Migennes ne veut pas que s’applique sous cette forme cette règle défavorable envers les petits commerçants du centre-ville. Des entrepreneurs qui sont déjà en souffrance économique depuis pas mal de temps.

Quant à la durée de cet arrêté, elle n’est pas précisée en fonction d’une date. Plutôt selon la phase évolutive de la situation, c’est-à-dire « jusqu’à ce que l’égalité de traitement soit rétablie ».

 

 

Jouant les « chevaliers blancs », François BOUCHER se place toutefois en position très délicate avec la publication de cet arrêté qui ne correspond pas à la légalité étatique.

Une protestation véhémente qui pourrait le conduire à mener un véritable bras de fer avec la préfecture. Voire à disputer une toute autre bataille, cette fois, devant le tribunal administratif.

Quant aux commerçants qui seraient irrespectueux du décret gouvernemental, ils s’exposeraient alors à une contravention de 135 euros qui pourraient ensuite augmenter de manière exponentielle en cas de persistance.

Dans tous les cas, la décision rebelle de François BOUCHER a déjà eu le mérite de faire beaucoup de bruit dans le landerneau : d’autres élus lui ont donné leur soutien. Une nouvelle fronde contestataire en perspective ?

Thierry BRET

 


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