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La patience est la clé de la joie, dit volontiers la maxime ! Il aura fallu abuser de cette vertu cardinale avant de procéder à la cérémonie d’inauguration du nouveau centre de formation agricole (CFA) de l’Yonne. Une structure implantée depuis près d’un an sur le site de l’établissement public local d’enseignement et de formation professionnelle agricole Les Terres de l’Yonne. Un instant solennel qui augure d’excellentes perspectives…

 

VENOY : Un an, c’est à la fois très long quand on attend des choses et bien trop court dans certaines circonstances de la vie. De la patience, les responsables du CFA agricole de l’Yonne en ont eu à revendre avant de pouvoir enfin officialiser comme il se doit, avec toute la solennité requise autour d’un tel évènement festif, la phase inaugurale de leur structure.

Il y a quelques jours, l’établissement implanté sur le complexe pédagogique des Terres de l’Yonne a enfin touché de l’index le Graal de la reconnaissance publique. Devant un aéropage de personnalités de la sphère politico-institutionnelle régionale. Un fait qui a clôturé ainsi toutes les supputations et autres commentaires hasardeux ayant pu exister par le passé sur l’opportunité d’avoir déménagé ce site depuis Champignelles en le rapatriant à Venoy ! Un virage à 180 degrés pris à l’époque par la Région afin de résoudre les déséquilibres financiers permanents de l’ancienne structure.

Force est de constater qu’au terme de ces douze derniers mois vécus au nord d’Auxerre, même dans des espaces modulaires qui accueillent la direction et le personnel administratif, jamais le CFA agricole de la Brosse ne s’est aussi bien porté ! 

 

Une visibilité accrue en termes d’image sur les réseaux sociaux…

 

Non seulement, la structure s’est parfaitement intégrée dans le paysage pédagogique de l’établissement de Venoy, lui conférant une complémentarité évidente au niveau de ses formations et cursus (rappelons que le complexe propose des cycles formatifs permettant de préparer aux métiers de l’agriculture, de la vigne, du secteur équestre et des paysagistes) mais en outre, elle a optimisé le nombre de ses élèves.

De quatre-vingt-dix apprentis qui fréquentaient le centre de formation lorsqu’il était encore fonctionnel en Puisaye, le chiffre se situe à l’heure actuelle à 130 apprenants !

Un bond considérable des effectifs qui atteste que la visibilité du lieu est bien identifiée de la part des familles et de leur progéniture. Sans omettre un positionnement marketing bien rodé sur les réseaux sociaux et mis en exergue par la nouvelle directrice Hélène DECULTOT, elle-même cogérante d’une agence de communication et de marketing dans une vie antérieure ! Bonne pioche !

 

 

Le déménagement du site de Champignelles était irrévocable…

 

D’ailleurs, ce volontarisme initié vers la sensibilisation par l’image a été traduit dans les faits par la projection avant la prise de parole d’un clip de 3’42’’, plutôt bien ficelé au plan technique. Un aperçu visuel très significatif de l’état d’esprit qui règne céans depuis cet emménagement de la rentrée 2020. Un bonheur mâtiné de plénitude pour les équipes professionnelles comme pour les apprentis !   

D’ailleurs, preuve que ce premier court métrage a plu dans les chaumières, le CFA agricole prépare déjà la suite, un opus de la même veine qui sera réalisé après la restauration du bâtiment pédagogique.  

Ce sentiment de joie a été partagé par Jean-Baptiste THIBAUT. Président du conseil d’administration des Terres de l’Yonne, l’une des figures de proue actuelle de la chambre départementale d’agriculture n’a pas caché sa joie de se retrouver dans pareil lieu.

Malgré le retard inaugural d’un an, imputable à ce satané coronavirus ! Le fait de tourner la page une bonne fois pour toute avec le site de Champignelles qui dès sa conception au début des années 80 avait accueilli deux types de formation : l’apprentissage initial et la formation par alternance est donc acté. Mais, l’arrêt de la pédagogie initiale une décennie plus tard compromettra très sérieusement l’équilibre économique de l’institution.

Malgré une aide d'équilibre de la part de la Région, accordée ces dernières années et malgré le dévouement et l'adaptabilité du personnel éducatif ainsi que de l'équipe de direction, le recrutement et les conditions d'accueil et de pédagogie devenaient de plus en plus difficiles à assurer. On connaît la suite de l’épisode…

 

 

Une seconde année opérationnelle à Venoy qui confirme les choix…

 

En avril 2019, il a été validé par la Région de rapatrier le CFPA à la Brosse. Ce déménagement avait l'aval de la profession agricole à travers la voix de la Chambre d'agriculture.

Un rapprochement qui aura permis in fine d’optimiser les moyens comme la restauration, l’internat, le plateau sportif et offrir une plus grande attractivité pour le centre. Avec des coûts moindres et des meilleures conditions de travail pour les apprenants ainsi que le personnel éducatif.

Jean-Baptiste THIBAUT ne manque pas de saluer l’investissement du maire de la commune, vice-président du Département, Christophe BONNEFOND.

« Il nous a facilité toutes les démarches administratives, à titre d’exemple, la demande de permis de construire ! C’est vrai que dès qu'on rentre dans l'administratif, ça peut être très simple comme ça, peut être très compliqué. Et quand on a quelqu'un qui facilite les choses, ça permet d'aller plus vite pour faire avancer les dossiers… ».

Le deuxième exercice est désormais enclenché pour le CFA agricole sur son nouveau terrain de jeu. Un second exercice plus que prometteur avec cette hausse caractéristique des effectifs. Ce qui fait dire à Jean-Baptiste THIBAUT : « J'ai pu constater que malgré les problèmes inhérents à cette pandémie, la greffe a pris. L'équipe directionnelle et l'équipe éducative sont très motivées avec des conditions de travail qui s'améliorent… ».

 

 

Un équilibre financier retrouvé mais toujours à consolider…

 

Des interactions se font avec le lycée avoisinant. Quant à la partie budgétaire, elle s’améliore. « Nous sommes à l’équilibre, confirme le président du conseil d’administration, mais attention, il nous faut le consolider durablement ».

Des bons points que Jean-Baptiste THIBAUT attribue également depuis la tribune à la politique volontariste de l'État en faveur de l'apprentissage sous forme de différentes aides visant à soutenir les initiatives pédagogiques.

« Pourvu que cela dure ! » devait ajouter l’orateur en reprenant à sa guise la célèbre formule de la mère de Bonaparte.

Reste que les locaux modulaires et quoique confortables du CFA agricole newlook ne peuvent être que provisoires. Plusieurs bâtiments pourraient être réhabilités sur le complexe de la Brosse à l’avenir. Une piste qui ne manquera pas d’être évoquée lors des prochains conseils d’administration en 2022 !

 

 

En savoir plus :

Parmi les personnalités présentes à cette inauguration :

Henri PREVOST, préfet de l’Yonne,

Christian MOREL, vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté en charge de l’Agriculture,

Marie EVRARD, sénatrice et conseillère départementale de l’Yonne,

Christophe BONNEFOND, vice-président du Département et de l’Agglo de l’Auxerrois,

Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional de BFC,

Gilles ABRY, conseiller départemental,

Didier MICHEL, président de la Fédération départementale du Bâtiment,

Sonia PATOURET, conseillère départementale,

Arnaud DELESTRE, président de la Chambre départementale d’Agriculture,

François AVEZ, directeur de la Chambre départementale d’Agriculture…

 

Thierry BRET

 


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Créneaux sans rendez-vous pour les 65 ans et plus, renforcement du protocole sanitaire dans les écoles primaires, vaccination des 5 à 11 ans, port du masque en centre-ville, arrivée massive de doses de vaccins, ouverture de nouveaux spots de vaccination… lors d’une conférence de presse le préfet Henri PREVOST, le délégué départemental de l’ARS Yann de KERGUENEC et le directeur académique Vincent AUBER ont présenté les nouvelles mesures sanitaires. Elles visent à freiner le rebond épidémique de la cinquième vague.

 

AUXERRE: Pas de « trêve des confiseurs » dans la lutte contre la propagation du virus ! La cinquième vague de COVID-19 frappe notre département de plein fouet et les chiffres s’emballent, à l’image du taux d’incidence dans l’Yonne, passé en dix jours de 186 à plus de 290.

Si l’aggravation de la circulation du virus est bien réelle, la situation est toutefois différente des contextes connus précédemment du fait que 76 % des Icaunais bénéficient à ce jour d’un schéma vaccinal complet. D’où une série de mesures annoncées moins contraignantes que celles prises l’an passé à pareille époque. Où la seconde vague avait été marquée par le retour du confinement. La prudence doit pour autant rester de mise a rappelé avec force le préfet de l’Yonne Henri PREVOST : « Il est impératif que chacun adopte son comportement, avec l’objectif d’arriver en bonne santé pour les fêtes et ne pas saturer le dispositif hospitalier… ». Insistant une fois encore sur l’importance à respecter les gestes barrières, notamment lors de moments de convivialité propices à la propagation du virus, comme les pots festifs de fin d’année au sein des entreprises.

 

 

Une pente ascendante des hospitalisations dans l’Yonne…

 

Délégué départemental de l’Yonne à l’Agence régionale de Santé, Yann de KERGUENEC mise lui aussi sur la prudence afin d’anticiper les potentiels risques de tension pouvant entraîner un surcroît d’hospitalisations, notamment en service réanimation : « C’est là le véritable sujet, le risque de blocage de notre système de santé… ». A ce jour, 93 personnes sont hospitalisées dans le département, victimes de la pandémie, contre 17 il y a un mois. Un chiffre corroboré par celui des patients en réanimation, passé de 3 à 11 pendant la même période, pour une capacité maximale de 22 lits. Une pente ascendante à laquelle les autorités de santé doivent faire face, d’où la mise en œuvre du « plan blanc » dans tous les établissements du département. Il permet de mieux répartir les prises en charge, d’accélérer les transferts de patients et si nécessaire, de déprogrammer certaines opérations non urgentes. Evitant ainsi aux hôpitaux pivots que sont les CHU d’Auxerre et de Sens, d’assumer seuls la tension hospitalière.

 

 

Des opérations « aller vers » vont également se déployer…


Le dispositif de vaccination bat son plein et la mobilisation est totale, avec notamment l’arrivée annoncée de 21 000 doses supplémentaires dès la semaine prochaine : « Des vaccins à majorité de type Moderna, mais il est utile de le préciser, tout aussi efficaces et garantissant la même innocuité que le Pfizer, tous les deux de type ARN Messager. La seule restriction étant que le Moderna n’est pas injectable aux moins de 30 ans… ».

Par ailleurs, toute personne de 65 ans et plus, jugée prioritaire, pourra à compter du 15 décembre, bénéficier d’une troisième dose de rappel en centre, de vaccination, même sans rendez-vous. Également annoncée à la même date, la mise en place de la vaccination des 5/11 ans pour les enfants ayant des pathologies à risque, ouverte à tous à partir du 20 décembre.

Des mesures auxquelles vont se rajouter des opérations « aller vers » afin de faciliter un peu plus l’accès à la vaccination, notamment dès ce samedi, dans certains centres commerciaux : « On va profiter des prochains week-ends, traditionnellement à forte affluence, pour monter des opérations de vaccination, avec ou sans rendez vous de manière à être au plus près des personnes et leur apporter leur dose de rappel… ». A noter qu’à ce jour, 40 % de la population icaunaise bénéficie d’un schéma vaccinal complet de trois doses et la marge de manœuvre est importante. D’autres opérations du même type vont être mises en œuvre, que ce soit à destination des 80 ans et plus, dans les établissements scolaires, voire dans les entreprises : « Autant d’actions visant à toucher les personnes encore hésitantes par rapport au vaccin… » .

 

 

La montée en puissance des tests salivaires chez les plus jeunes…

 

Présent également, Vincent AUBER, directeur académique des services de l’Education nationale de l’Yonne a présenté les nouvelles mesures en vigueur dans les écoles, avec notamment le port du masque y compris à l’extérieur dans la cour de récréation. Il a insisté sur le critère de non brassage des élèves : « Il est extrêmement important à nos yeux et c’est ce qui distingue ce nouveau protocole du précédent, veillant à ce que les groupes constitués ne se mélangent pas, pour permettre un tracing plus rapide… ». Les tests salivaires montent également en puissance, avec 1 100 tests réalisés la semaine dernière dans le département au sein d’établissements publics et privés, pour deux cas positifs déclarés. Plus de 5 000 autotests ont également été distribués, à destination de tous les personnels au contact direct des élèves. Autre mesure d’envergure, la distribution de plus de 7 000 masques inclusifs transparents, considérés comme moins anxiogènes et facilitant l’enseignement : « En particulier quand on travaille sur le langage avec les plus petits… ».

En conclusion, le préfet Henri PREVOST a rappelé que les rues de l’hyper-centre d’Auxerre et de Sens étaient désormais soumises au port du masque. En lien avec la municipalité, un affichage sera installé en conséquence dès ce week-end pour en informer la population plus efficacement : « L’objectif comme toujours, n’est pas de prendre les gens en défaut, mais qu’ils comprennent la règle en la rendant lisible et qu’ensuite, celui qui ne la respecte pas soit verbalisé, de sorte que les gens se protègent et arrivent en bonne santé au moment des fêtes… ».

 

Dominique BERNERD

 


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Du quart d’heure, initialement prévu de manière très inopinée, l’entretien a été prolongé beaucoup plus longuement. Frôlant presque le tour du cadran de l’horloge, soit une soixantaine de minutes. Ouvert au dialogue et réceptif à l’écoute, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD a reçu une petite délégation du collectif du quartier Saint-Siméon. Afin d’entendre ses doléances en matière de santé…

 

AUXERRE : Ironie du sort ou hasard d’un destin particulièrement circonstancié, la présentation du Pacte Santé 2022-2024 ainsi que la convention de partenariat établie entre la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) et le Conseil départemental au profit des bénéficiaires de l’aide sociale à l’enfance, s’inscrivaient parmi le copieux ordre du jour de la séance plénière de l’organisme vendredi matin.

Quelle ne fut donc pas la surprise des conseillers départementaux de voir la présence, assez importante, d’un groupe de personnes dans le petit espace réservé au public désireux, de voir les arcanes d’une session dans l’hémicycle. Des membres d’un collectif qui s’est constitué depuis plus d’un an dans le quartier de Saint-Siméon. Une zone géographique urbaine qui est aujourd’hui désertée de toute présence médicale…

Le collectif a donc profité de l’ordre du jour, connu par avance, de la séance plénière, retransmise en live sur Facebook pour investir les lieux de manière très pacifique. Interrogées, ces personnes réclament le retour d’un praticien sur ce quartier qui en comptabilisait encore quatre il y a deux décennies. Plus de généralistes à signaler alors que la population est vieillissante.

 

De longues minutes de discussion avec les représentants du collectif…

 

Avant même que ne débute la séance de travail avec le traditionnel appel des élus aux alentours de 09 heures 30, la responsable de la communication de l’organe départemental Laurence VEE est venu quérir cinq représentants de ce collectif afin qu’ils puissent rencontrer de visu le président de l’exécutif.

Un échange impromptu où devaient se greffer également Grégory DORTE, le premier vice-président de l’assemblée et Gilles PIRMAN, vice-président en charge du volet médico-social. Une rencontre à huis clos où rien ne devait filtrer des échanges, évidemment.

 

 

Des quinze minutes, initialement accordées, d’autres s’ajoutèrent. Attestant de facto que le collectif avait sans doute pas mal de choses à dire aux élus ! Il faudra attendre près d’une cinquantaine de minutes pour que ne débute enfin l’ultime session plénière de l’année. Avec un préambule de Patrick GENDRAUD qui prit la parole avant même d’ouvrir officiellement les travaux.

Le président a fait part de sa compréhension face au désarroi de ses concitoyens devant la situation inexorable de la démographie médicale.

 

 

« Nos gouvernants doivent exiger que les jeunes généralistes s’installent dans les zones rurales.. »…

 

« On ressent l’angoisse des personnes qui ont effectivement un manque de médecins dans leur zone d’habitation. Nous, de notre côté, on essaie de faire tout ce que l’on peut dans nos possibilités pour pallier cette baisse de démographie médicale. Mais, on ne peut pas faire non plus l’impossible… ».

Puis, plus véhément dans ses propos, Patrick GENDRAUD s’est retourné vers l’Etat.

« Chaque fois, je le dis et je le redis encore, assène-t-il avec détermination, tant que nos gouvernants n’auront pas pris la décision de demander aux praticiens généralistes d’aller exercer pendant un certain nombre d’années sur des territoires où précisément il n’y a plus de médecins, nous n’y arriverons pas ! ».

Un principe de péréquation sanitaire dont il serait grand temps de mettre en exergue pour sortir de ce marasme récurrent pour des territoires qui n’ont pas la chance d’être urbains. Il en va aussi de la dépense de l’argent public pour y parvenir ! Chacun devant méditer ensuite sur le préambule du président. Un avant-goût prometteur des futurs échanges à venir sur le Pacte Santé 2022/2024…  

 

Thierry BRET

 


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Emploi, formation et accompagnement. Une trilogie qui sied très bien à la Mission Locale rayonnant sur l’Avallonnais et le Tonnerrois. C’est aussi le principe fédérateur du PEC. Le Parcours Emploi Compétences dont deux nouveaux signataires profitent depuis mercredi des avantages. Le recours à ce dispositif est-il une solution de recrutement efficace pour les collectivités territoriales ?

 

AVALLON : Elle se félicite de la tournure des évènements. Elle ? Ni plus ni moins que Cécile RACKETTE ! La sous-préfète inféodée à 100 % à sa mission promotionnelle de l’un des dispositifs astucieux, mettant en exergue le partenariat corrélé entre l’Etat, les collectivités territoriales (en l’occurrence dans le cas présent la municipalité d’Avallon), la MILO (Mission locale du cru) et in fine…le jeune signataire !

Deux nouveaux contrats viennent d’être validés cette semaine sur ce secteur géographique. Ils démontrent en substance que cet accord multipartite se révèle plutôt fructueux à bien des égards. D’autant que les jeunes bénéficiaires disposent d’un contrat de travail de huit mois dans leur besace, agrémentés d’un accompagnement tout au long de cette expérience afin de poursuivre la réalisation de leurs propres projets professionnels.

 

 

Des emplois proposés dans le secteur du périscolaire…

 

Bref, ce processus du deux en un judicieux qui offre une possibilité de recrutement pour les collectivités territoriales qui se prêtent volontiers au jeu. Dans l’illustration du jour, ces deux emplois ont été pourvus dans un secteur en extrême tension : celui du périscolaire.

Précisons que l’Etat prend à sa charge 80 % du salaire des jeunes recrutés qui évoluent en zone de revitalisation rurale ; ce qui n’est pas rien in fine.

Rappelons que le PEC repose sur ce triptyque emploi-formation-accompagnement. Le dispositif permet de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un suivi tout au long de ce parcours, tant par l’employeur que par le service public de l’emploi.

 

Thierry BRET

 

 


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Etre un acteur économique responsable ! C’est ce qui anime au quotidien la pensée de Christophe CHARBONNIER, dirigeant du transporteur PICQ & CHARBONNIER. Une société séculaire qui fait toujours la une de l’actualité. Pas plus tard qu’hier, ce mercredi 08 décembre, où était inaugurée la seconde station de gaz naturel à proximité d’Avallon, près de la bretelle autoroutière de l’A6. Une innovation en faveur de la mobilité durable…

 

AVALLON : La première de ces stations implantées par la société de transport de l’Yonne, fonctionnant à base de gaz naturel liquéfié comprimé, est opérationnelle depuis 2017. Et quatre ans après son ouverture dans l’une des zones industrielles à Auxerre, de l’aveu de son dirigeant Christophe CHARBONNIER, c’est une réussite en matière d’action favorable à la préservation de l’environnement.

Le GNV propose donc à la filière professionnelle de « verdir » leurs moyens de locomotion et personne ne s’en plaindra à l’échelle de la planète. Surtout après le récent et très alarmiste rapport annuel du GIEC qui n’incite pas vraiment à l’optimisme, du côté du réchauffement climatique et des catastrophes qui en découlent en tout genre !

 

 

Une phase de tests avant de lancer le projet à la mi-novembre…

 

C’est avec la complicité de son partenaire des débuts, GAZ’UP, structure coopérative installée à Montauban, que le transporteur de l’Yonne a pu mettre en place ce projet d’implantation d’une deuxième station similaire à la première.     

Il est vrai que GAZ’UP est aujourd’hui le seul réseau de stations de gaz naturel pour véhicules appartenant collectivement aux professionnels du secteur transport. Ainsi, dans l’absolu, toutes les entreprises évoluant sur ce segment peuvent adopter une stratégie volontariste pour devenir des acteurs à part entière de la transition énergétique.

 

 

D’autres partenaires se sont également investis pour que ce projet de station puisse aller jusqu’au bout du chemin. C’est le cas de la Région Bourgogne Franche-Comté dont le cheval de bataille, cher à son premier vice-président Michel NEUGNOT, reste l’accélération du processus de développement de la  mobilité verte. Via l’hydrogène, bien sûr, mais également le gaz naturel pour les véhicules routiers.

Testée au début du mois de novembre, la station est désormais fonctionnelle, accueillant le précieux gaz à – 140 degrés depuis maintenant trois semaines.

 

 

La production de biogaz à partir de méthanisation en 2024…

 

L’inauguration aura servi de prétexte pour en faire plus amples connaissances et découvrir les potentialités avantageuses offertes par ce combustible naturel.

Le site a séduit l’édile d’Avallon et conseillère départementale Jamilah HABSAOUI, ainsi que la conseillère départementale de l’Yonne, Sonia PATOURET. Toutes deux ont pris part à la séance inaugurale officielle avec la découpe du fameux ruban tricolore !

Au quotidien, les poids lourds de PICQ & CHARBONNIER réalisent l’équivalent du tour de la planète en nombre de kilomètres parcourus. Depuis 2017, la PME s’est dotée d’une flotte de 71 tracteurs et de 15 VL/VUL  fonctionnant avec ce fameux GNV sur 130 tracteurs routiers.

L’avenir se préfigure sous de très bons auspices côté initiatives ambitieuses avec la conception in situ de biogaz à partir de méthanisation. Un projet qui pourrait voir le jour à horizon 2024.

 

Thierry BRET

 

 


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