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Après une année blanche pour cause de COVID, le Salon International de l’Agriculture fait son grand retour Porte de Versailles à Paris. Le contexte sanitaire ne permettra sans doute pas de battre le record établi en 2014 avec plus de 703 000 visiteurs enregistrés. Mais, il est à parier que l’on se bousculera dans ses allées. En pleine campagne pour la présidentielle, l’on devrait y croiser nombre de candidats, la fibre paysanne chevillée au corps. Affichant un soutien au monde agricole avec les promesses de circonstance.

 

PARIS : Plus grande ferme de France pour les uns, barnum médiatique aux mains de l’agroalimentaire et du productivisme agricole pour d’autres, le Salon de l’Agriculture n’en est pas moins devenu un rendez-vous incontournable tant pour ses visiteurs que pour ses exposants.

Un succès populaire qui ne s’est jamais démenti depuis son édition première en 1964 et un passage obligé pour tout le sérail politique. A l’exception de François MITTERRAND qui l’aura toujours boudé, chaque locataire de l’Elysée y a laissé son empreinte au fil du temps.

Champion hors catégorie, Jacques CHIRAC, qui vivait l’instant comme un moment de communion avec un monde qu’il connaissait bien depuis ses premiers pas à la Commission de Bruxelles, alors jeune ministre de Georges POMPIDOU. Il faut dire que « le Jacquot » ne ménageait pas sa peine, arpentant des heures durant les allées du Salon, grand flatteur de culs (de vache !) devant l’Éternel, amateur effréné de produits régionaux, à l’appétit insatiable et au solide coup de fourchette !

Bien loin des déboires de Nicolas SARKOZY qui, du « Casse toi, pauv’con » de 2008, au tour des stands bâclé en 1h30 de 2009, en passant par son absence inaugurale en 2010, n’a jamais connu le succès de son prédécesseur. Autant de rencontres « sans filtre », qui débouchent parfois sur des moments houleux comme en 2016, lorsque François HOLLANDE fut accueilli par des « connard, fumier, bon à rien » de la part d’éleveurs en colère, lui tournant le dos pour mieux afficher leur désespoir.

Pour son premier Salon en tant que chef d’Etat en 2018, Emmanuel MACRON se sera lui aussi offert une bordée de sifflets, avant d’entamer un marathon de douze heures à travers les stands. Record battu l’année suivante avec plus de quatorze heures de dégustations et de serrages de mains au compteur ! Autant de visites qui fourmillent d’anecdotes, comme celle relative à Edouard BALLADUR, alors Premier ministre, s’interrogeant sur le nombre de litres de lait produits par un…bœuf charolais ! Il paraît que l’éleveur en rit encore.

 

 

Des emplacements et des prestations à des prix pharaoniques !

 

Eleveurs, producteurs, organisations et syndicats agricoles, régions, instituts de recherche, organismes publics… : le SIA rassemble depuis bientôt soixante ans tous les acteurs de la filière agricole. Si l’occasion est donnée au public urbain d’aller voir des vaches et de découvrir que le lait ne sort pas forcément d’une brique « UHT », le salon est aussi un lieu de business avec un millier d’exposants et plus de 33 000 visiteurs professionnels venus de 42 pays. Un marché juteux confessent certains, pouvant représenter en une semaine jusqu’au quart de leur chiffre d’affaires. Longtemps réputé pour ses dégustations pantagruéliques, le Salon de l’Agriculture se savoure aujourd’hui au prix fort : verre de vin à 6 euros, sandwich à dix euros, crêpe artisanale à huit euros… Il faut bien payer l’emplacement !

Selon un article de l’hebdomadaire « L’Usine Nouvelle », un stand de 10 m2 peut valoir jusqu’à 10 000 euros ! Des tarifs qui font la part belle aux enseignes de la grande distribution qui trouvent là l’occasion de se racheter une vertu à moindre frais dans leurs négociations commerciales avec les producteurs.

 

 

Une vision de l’agriculture 4.0 et des start-up agricoles…

 

La grand-messe annuelle de l’agriculture est également un phénomène médiatique avec près de 3 700 journalistes accrédités et des heures de direct à travers les allées du Salon. Ce sont aussi 4 000 animaux présents sur place, de près de 400 races différentes, nécessitant l’acheminement de 230 tonnes de paille, 1 080 balles de tourbe, 100 tonnes de foin et plus de 600 tonnes de copeaux. Les 360 vaches laitières qui fréquenteront la salle de traite, cette année, vont produire pas moins de 40 000 litres de lait, pour plus de 600 tonnes de fumier dont une partie sera retraitée pour la production de biogaz. Une manière de rappeler que les nouvelles technologies et l’innovation sont depuis plusieurs années indissociables du métier d’agriculteur. Pour preuve les 60 start-up et entreprises innovantes, présentes cette année sur l’espace AGRI 4.0, là où elles n’étaient que cinq en 2016.

 

 

En savoir plus :

« Bienvenue à la ferme Yonne » sera présente au pavillon 3 du Salon de l’Agriculture du 26 février au 6 mars à Paris et trois producteurs du réseau iront à la rencontre des Franciliens pour présenter leurs produits tout au long de la semaine : Dominique ROUYER, « Les Escargots d’Armeau »
46 rue de Bourgogne à Armeau
escargots et préparations à base d’escargots ;
Claire GENET « Ferme ULTERIA »
Les Champs Galottes 89530 Saint-Bris-Le-Vineux
fromages de chèvre : crottins, petits bouchons, Vézelay, Saint-Bris, faisselle, yaourts et autres desserts et Coralie FOUQUET « Glaces de l’EARL de la Jaunière » à Moulins-sur-Ouanne
Glaces et sorbets : une gamme d’une quarantaine de parfums variant en fonction des saisons, du parfum basic (vanille, caramel beurre salé) ou parfum plus local (cerise, crème fraiche, ratafia de Jussy, Crémant de Bourgogne), 100 % naturels.

Si l’accès au Salon est synonyme cette année de respect des gestes barrières, la distanciation physique entre deux personnes sera sans doute en supplément ! 

La « Journée Yonne » au SIA est toujours un évènement attendu et propice à de savoureux moments inattendus…

Pour sa première visite au Salon en qualité de Président, Emmanuel Macron avait reçu en 2018 un accueil sous les sifflets de la part d’agriculteurs en colère.

Habitués du Concours Général Agricole, le GAEC Cadoux et la SCEA Riotte-Schrapfer y ont au fil des années, témoignés de l’excellence icaunaise en matière d’élevage charolais.

 

Dominique BERNERD

 


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A 87 ans, la toujours verte propriétaire du Donjon Colette BECHET souhaite passer la main et trouver un acquéreur à son historique demeure. Soucieuse que la transmission de cette forteresse datant du XIIIème siècle se fasse dans les conditions les plus optimales possibles, la « châtelaine » aimerait aussi que ce lieu atypique, site d’accueil de la vie artistique et culturelle de l’Yonne, se pérennise après elle. Une sorte de transmission testimoniale, en quelque sorte…

 

CRAVANT : C’est elle qui le dit, non sans un certain humour caustique, « pour ma fin de vie, je désire transmettre le Donjon de Cravant à des personnes passionnées de patrimoine et de vie culturelle ». Un clin d’œil que l’ancienne styliste fait à son grand âge, 87 ans, qu’on ne lui donne pas au vu de sa présence d’esprit et de son dynamisme !

Pourtant, ce n’est pas d’hier que Colette BECHET tente tant bien que mal de céder cette construction peu ordinaire qui s’érige vers le ciel dans le paysage de la localité située entre Vermenton et Auxerre.

Après moult tentatives de vente, dont la totalité se sont avérées jusqu’alors infructueuses, la propriétaire de la rustique bâtisse a vu avec grand intérêt la démarche entreprise par la collectivité locale et son représentant, le maire Alain LOURY, intéressé par le site.

 

 

« C’est une excellente nouvelle, se confie-t-elle entre deux allers retours entre Dole, où elle séjourne généralement l’hiver, et l’Yonne, le maire a porté grande attention à cet édifice chargé d’histoire, un écrin de belles pierres classé monument historique… ».

Un projet d’achat devant être présenté lors de la prochaine séance du conseil municipal le 03 mars.

Solennelle, Colette BECHET, en fervente supportrice des arts et de la culture, lance aujourd’hui un appel aux passionnés d’architecture d’art et d’histoire de la région. Les invitant à contacter le maire de la commune afin de le soutenir dans ce projet de future acquisition. Pour que cet endroit magique lui survive. Un Donjon édifié il y a neuf cents ans, digne d’être préservé et visité par une jeunesse avide de curiosité.

Thierry BRET

 


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Ils espèrent énormément de monde. Une véritable mobilisation populaire autour d’un thème majeur qui éclaire notre existence : la paix. En pointant d’un index rageur la violation inacceptable du droit international par celui qui se moque éperdument de son application : le locataire du Kremlin. Place de l’hôtel de ville, à Auxerre, lundi soir : tous les Auxerrois sont appelés à manifester contre l’envahisseur russe…

 

AUXERRE : « Auxerre en lutte ». Contre qui ? Contre le président de la Russie Vladimir POUTINE, entré honteusement en guerre depuis trois jours en attaquant l’Ukraine. Un pays frère, le berceau fondateur de la civilisation russe. Un acte de guerre inacceptable.

D’une gravité, sans précédent dans l’ère moderne, qui nous propulse au siècle dernier, aux heures les plus sombres de l’histoire de l’Humanité. Faire entendre sa voix et le faire de manière commune et virulente, voilà ce que propose les responsables de La France Insoumise de l’Yonne. Ils invitent les Auxerroises et les Auxerroises de toutes obédiences idéologiques et sociétales à se rassembler dans la rue, afin de protester ensemble contre l’impensable.

Contre la barbarie et la bêtise. Celle d’un dirigeant qui du haut de sa tour d’ivoire, esseulé, conduit la planète et son peuple vers les abymes.

A l’instar de son leader charismatique, Jean-Luc MELENCHON, La France Insoumise a condamné cette invasion en territoire ukrainien avec la plus grande fermeté.

 

 

« A cette heure, nos pensées vont vers les populations civiles prises au piège (ndlr : déjà plus de deux cents victimes au moment où se rédigent ces lignes), et qui vivent dans la peur. L’urgence est à agir pour les protéger et exiger un cessez-le-feu immédiat ainsi que le retrait des troupes russes. La France doit porter cette exigence devant les Nations Unies… ».

La seule condition avouable aux yeux des responsables de LFI pour qu’il y ait une reprise du dialogue.

« Nous la souhaitons au sein de l’Organisation (ONU) pour la sécurité et la coopération en Europe, qui est le cadre adapté et légitime pour résoudre cette crise grave. La France doit mettre tout en œuvre pour la désescalade et le retour à la paix… ».

LFI précise dans un communiqué national son soutien à toutes les initiatives et rassemblements organisés en France en solidarité avec les populations victimes et pour la défense de la paix.

 

Thierry BRET

 

 


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Ouf, on respire chez les partisans de Jean-Luc MELENCHON. La France Insoumise (LFI) verra bel et bien son leader trublion de la sphère politique débattre lors de la prochaine joute électorale. Mais, du côté des militants du Rassemblement National (RN), l’inquiétude persiste toujours. Idem chez Reconquête ou à Debout La France. A dix jours de la clôture de la collecte des parrainages, Julien ODOUL monte au créneau. Il sollicite l’aide des présidents des EPCI. Au nom de la sauvegarde de la démocratie…

 

SENS : Cinquante petites voix. Une broutille, certes, mais il faut combler le trou pour arriver à la sacro-sainte barre fatidique des cinq cents parrainages, chiffre nécessaire pour prétendre, en étant qualifié de manière officielle, à la course à la présidentielle 2022.

Trois fois rien, en somme. Il suffirait juste que quelques élus se mobilisent enfin et remplissent en leur âme et conscience et sans esprit partisan aucun leurs devoirs régaliens, au nom de la démocratie, pour y parvenir.

Leurs devoirs régaliens ? Utiliser le pouvoir qui leur a été conféré par la constitution depuis 1962 de parrainer l’un des prétendants au fauteuil élyséen. Ils sont 42 000 à pouvoir y prétendre dans l’Hexagone. Une simplicité enfantine, donc, sur le papier, surtout quand on a seulement une quinzaine de candidats sérieux qui possèdent des velléités idéologiques à prendre le départ.

Un devoir, ne l’oublions pas, qu’ils doivent aussi à celles et à ceux qui les ont portés au pinacle de la représentativité citoyenne.

Oui mais, voilà. Sur les 42 000 élus, celles et ceux que nous côtoyons au quotidien et de proximité aux quatre coins de l’Hexagone, seulement dix mille d’entre eux ont osé franchir le Rubicon du parrainage. Avec courage et franchise.

Un excès de faiblesse inexplicable. Si ce n’est la disparition de l’anonymat qui a profondément chamboulé la donne, merci François HOLLANDE jamais à court d’une idée géniale, offrant des moyens de pression évidents à quelques politiciens usant de perfidie pour faire barrage à la démocratie. Une situation ubuesque qui provoque l’ire et des remous dans le cénacle politique hexagonal.

 

Un scandale qui serait préjudiciable à la démocratie…

 

De ce fait, à date, les Français pourraient se voir « voler » le pluralisme de l’élection présidentielle parce que plusieurs candidats peinent à boucler, non pas leur budget de campagne, mais leur indispensable validation inhérente à ces parrainages d’un autre temps démocratique !

Si Jean-Luc MELENCHON et Yannick JADOT, se sont rassurés au début de la semaine après avoir vu passer le couperet de pas loin, obtenant enfin et après moult sueurs froides lesdits sésames, quid aujourd’hui des candidatures de Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Nicolas DUPONT-AIGNAN, Christiane TAUBIRA, Philippe POUTOU ou de la représentante du parti animalier, Hélène THOUY ?

En ces périodes troubles où la démocratie vacille et la liberté de penser autrement se défend armes à la main bec et ongle, et face au scandale démocratique incroyable que consisterait l’élimination d’office de ces candidats dont certains représentent près de 30 % dans les sondages, l’un des leaders régionaux du Rassemblement National, Julien ODOUL, a décidé de réagir, prenant le taureau par les cornes, et surtout sa plume pour se lancer dans un exercice épistolaire inhabituel : rédiger une lettre ouverte aux présidentes et présidents des intercommunalités de Bourgogne Franche-Comté.    

Objectif de cette missive : les appeler à se mobiliser en faveur du soutien démocratique du parrainage, qui ne fait pas foi d’engagement envers le candidat.

Un courrier dont pourrait s’inspirer les autres chefs de file des partis Reconquête, Debout La France, de la gagnante de la Primaire populaire Christiane TAUBIRA, du Nouveau Parti Anticapitaliste ou du parti animalier en l’adressant également à tous ces élus de proximité qui se doivent de préserver le peu de liberté qu’il nous reste : celui de l’éclectisme idéologique et du choix démocratique, terreau majeur d’un scrutin national tel que la France le mérite.   

 

 

 

En savoir plus :

 

La publication intégrale de cette lettre ouverte au nom du pluralisme politique et du débat d'idées : 

« Débloquez les parrainages pour que vive la République !

Mesdames les Présidentes, Messieurs les Présidents,

Notre démocratie est en grand danger. A l’heure où je m’adresse solennellement à vous, Marine LE PEN ne peut pas se présenter à l’élection présidentielle des 10 et 24 avril 2022. En effet, il lui manque 50 parrainages pour obtenir le droit de représenter des millions de Français. Comment se fait-il que cette règle des 500 signatures, aussi indigne qu’absurde, puisse priver d’élection une candidate qui a rassemblé 11 millions d’électeurs en 2017 et qui réunirait, aujourd’hui selon les sondages, entre 44 et 46% des suffrages au second tour dans deux mois ?

Vous avez la capacité et la responsabilité d’éviter un naufrage démocratique sans précédent qui serait lourd de conséquences pour la pérennité de nos institutions déjà fragiles et pour la paix civile. Nombreux sont les maires que nous rencontrons qui se refusent à parrainer la candidate que je soutiens par crainte des pressions réelles ou fantasmées, des intimidations ou des représailles politiques. Comme vous le savez, l’organisation territoriale actuelle assure une place prépondérante et une influence notable aux exécutifs des communautés de communes, communautés d’agglomération et métropoles. Face au scandale annoncé qui verrait la disqualification de trois candidats légitimes représentant plus de 40% de l’électorat, vous devez agir rapidement pour débloquer la démocratie !

Dans l’esprit du geste républicain exemplaire de David LISNARD, président LR de l’Association des maires de France, qui a envoyé son parrainage à Jean-Luc MELENCHON, je vous demande d’inviter tous les maires de votre collectivité qui n’auraient pas encore effectué leur devoir, à donner leur signature républicaine à Marine LE PEN avant le 4 mars. 

Il ne s’agit pas d’un soutien ou d’une adhésion politique mais fondamentalement d’un acte civique pour que cette campagne présidentielle se tienne dans de bonnes conditions dans le respect de la diversité des opinions et avec le souci de la représentativité des Français.   

Je vous prie d’agréer, Mesdames les Présidentes, Messieurs les Présidents, l’expression de mes salutations républicaines.

Julien ODOUL

Porte-parole du Rassemblement National

Président du groupe Rassemblement National

Conseiller régional de Bourgogne Franche-Co ».

 

Thierry BRET

 


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Elle se félicite de la concrétisation de ce partenariat qui s’avère judicieux à bien des égards, la présidente de la Communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne. En apposant sa griffe au bas de ce contrat de relance et de transition écologique (CRTE), signé avec l’Etat et le Département, Anne JERUSALEM impulse une nouvelle dynamique à son projet de territoire où les synergies ne manquent pas…

 

TONNERRE : Construire un vivre ensemble où l’envie de travailler sur l’attractivité résidentielle en faisant évoluer les services publics et la politique rurale, tout en y facilitant les mobilités, constitue le socle stratégique du projet de territoire appliqué à cette zone orientale de notre département. D’ailleurs, le nom de code de ce concept résonne plutôt bien aux oreilles : « Synergies Tonnerroises ».  

Un souffle de dynamisme que souhaite propager la présidente de l’EPCI, Anne JERUSALEM, signataire le 18 février du CRTE aux côtés du préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, et du Conseil départemental de l’Yonne, représenté par l’un de ses vice-présidents, Pascal HENRIAT.

Si ce secteur géographique est le plus petit territoire ayant été retenu dans le cadre de ce programme, il n’en demeure pas moins que l’initiative menée à travers cette démarche se veut constructive et prégnante.

 

 

« Nous menons un projet de territoire co-construit avec l’ensemble de la société civile (entreprises, associations…) qui nous permet d’être au plus près du terrain, a déclaré Anne JERUSALEM, en proposant des initiatives en adéquation avec les besoins de chacun ».

Des projets qui s’avèrent réellement structurants pour ce territoire et qui seront financés par l’Etat et le Département. Ceux-ci concernent l’installation de nouvelles entreprises, la création de passerelles efficientes entre les acteurs de la zone, le développement de l’innovation technologique et sociale, la facilitation des mobilités durables. Le volet de l’alimentation et de l’essor des circuits courts intègrent également ce schéma.

Enfin, la conscience climatique est prise en compte par les responsables de la communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne. La rénovation énergétique des bâtiments communaux et scolaires, d’une part, mais aussi l’accompagnement des projets de diversification agricole et l’amélioration des cœurs de ville, grâce au Fonds Façade et le Fonds Petit Patrimoine bâti, s’inscrivent parmi les priorités.  

 

Thierry BRET

 


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